Librekom Posté 13 septembre 2009 Signaler Posté 13 septembre 2009 Un principe de prudence enseigné aux jeunes filles, déjà il y a près de 20 ans : tu ne bois que ce qui a été versé sous tes yeux (au bar) ; tu n'acceptes aucun verre d'un tiers (sauf confiance solide) ; si tu poses ton verre quelque part et le quittes des yeux même 30 secondes, eh bien tu n'y retouches sous aucun prétexte. Evidemment, ça casse l'ambiance de drague quand un admirateur propose un verre à une femme pour initier une discussion et ça revient cher pour les distraites ou les danseuses acharnées. La vie, des fois, c'est une dure lutte. retire le "et en plus" à ma précédente phrase et tu obtiens mon contre argument. Si un salaud doué te prend pour cible, il est peu probablement que tu y échappe, même si tu es vigilant. Maintenant, il n'y en a pas non plus à tous les coins de rue ! C'est quand même un phénomène plutôt rare !
Esperluette Posté 13 septembre 2009 Signaler Posté 13 septembre 2009 retire le "et en plus" à ma précédente phrase et tu obtiens mon contre argument. Si un salaud doué te prend pour cible, il est peu probablement que tu y échappe, même si tu es vigilant. Maintenant, il n'y en a pas non plus à tous les coins de rue ! C'est quand même un phénomène plutôt rare ! Il y a des salauds calculateurs et des salauds par occasion. La stratégie de prudence concerne bien entendu la seconde catégorie.
ernest Posté 13 septembre 2009 Signaler Posté 13 septembre 2009 Ernest tu es trop destroy dans ton humour Ce n'était pas qu'une blague. Ces tristes jeunes qui cherchent partout de nouvelles expériences à vivre - pour mieux fuir une réalité qu'ils ne comprennent pas - méritent parfois d'être ramenés à la réalité. Et puis c'est quoi cette histoire d'endroit où l'on doit surveiller notre verre pour ne pas finir déculotté ? On a inventer l'ordinateur pour ne plus sortir de chez soi, vous êtes au courant ?
Brock Posté 13 septembre 2009 Signaler Posté 13 septembre 2009 Ce n'était pas qu'une blague. Ces tristes jeunes qui cherchent partout de nouvelles expériences à vivre - pour mieux fuir une réalité qu'ils ne comprennent pas - méritent parfois d'être ramenés à la réalité.Et puis c'est quoi cette histoire d'endroit où l'on doit surveiller notre verre pour ne pas finir déculotté ? On a inventer l'ordinateur pour ne plus sortir de chez soi, vous êtes au courant ? faut sortir le dimanche
LaFéeC Posté 14 septembre 2009 Signaler Posté 14 septembre 2009 Dès que le GHB a commencé à faire des ravages, certaines boites ont décider d'utiliser des gobelets avec couvercle plastique pour éviter les problèmes. Cela avait l'avantage d'éviter aussi les bagarres à coup de verre cassé. Ca n'a pas duré longtemps. Mais le phénomène de "l'empoisonnement" existait avant, j'ai une amie à qui quelqu'un a mis un trip dans le verre. Mettre un produit psychotrope dans un verre à l'insu du buveur est très grave, on ignore totalement la réaction (allergies, dosage, descente…), c'est pourquoi j'appelle ça un empoisonnement.
Esperluette Posté 14 septembre 2009 Signaler Posté 14 septembre 2009 Ca me rappelle un type aux intentions galantes qui m'avait proposé une boisson, je lui ai demandé un simple coca, il s'est radiné avec un rhum-coca (en jurant de ses grands dieux que jamais il n'aurait osé pareille manœuvre et que, d'abord, où ça du rhum ? ). Visiblement il ne lui était pas venu à l'esprit qu'il pouvait exister des raisons médicales au refus d'alcool. Le risque d'empoisonnement s'étend au-delà des cachetons bizarres en douce lors des soirées.
LaFéeC Posté 14 septembre 2009 Signaler Posté 14 septembre 2009 Le risque d'empoisonnement s'étend au-delà des cachetons bizarres en douce lors des soirées. Toutafé, mais le GHB est inodore et incolore, malheureusement.
Drake Posté 14 septembre 2009 Signaler Posté 14 septembre 2009 Dès que le GHB a commencé à faire des ravages, certaines boites ont décider d'utiliser des gobelets avec couvercle plastique pour éviter les problèmes. Cela avait l'avantage d'éviter aussi les bagarres à coup de verre cassé. Ca n'a pas duré longtemps.Mais le phénomène de "l'empoisonnement" existait avant, j'ai une amie à qui quelqu'un a mis un trip dans le verre. Mettre un produit psychotrope dans un verre à l'insu du buveur est très grave, on ignore totalement la réaction (allergies, dosage, descente…), c'est pourquoi j'appelle ça un empoisonnement. La première foi où j'ai saoulé une fille profité des effets déshinibiteur de l'alcool, c'était 1) totalement involontaire (je le jure monsieur le juge, je n'avais rien planifié) et 2) j'ai eu la délicatesse de le faire avec un Château Lafaurie-Peyraguey. Un seul verre à suffi, la belle n'était pas bien grosse. Pas de risque d'allergies, d'intoxication, le buveur ne peut prétendre ignorer les effets psychotropes du produit, et en plus c'est en vente libre (par contre c'est un peu cher, finalement je comprends Leepose dans se phase pré-slave).
Invité Posté 14 septembre 2009 Signaler Posté 14 septembre 2009 c'est criminel de balancer un trip dans un verre sans prévenir, si tu n'es pas au courant que tu es sous trip, tu peux légitiment te croire devenu complètement fou et préférer le suicide. C'est arrivé à un docteur aux USA quand la CIA testait, parfois sans le dire, du LSD sur le personnel militaire. Sur le GHB, je comprends pas trop le mode opératoire. Une fois le verre contaminé, qui dit que les amis de la victime ne vont pas s'occuper de leur pote amorphe, ils peuvent s'en apercevoir, qui dit que quelqu'un d'autre ne va pas profiter de la récolte à la place du violeur au GHB. Sinon la technique pour violer légalement est : 1) un ou deux bon gros verres 2) une blague pourrie 3) et au lit.
LaFéeC Posté 14 septembre 2009 Signaler Posté 14 septembre 2009 Sinon la technique pour violer légalement est :1) un ou deux bon gros verres 2) une blague pourrie 3) et au lit. Voilà, tu te sapes bien, tu prends une paire de bouteilles au bar et des filles rappliquent très vite.
Librekom Posté 14 septembre 2009 Signaler Posté 14 septembre 2009 et oui et puis ceux qui ont des fantasmes hard qu'ils souhaitent réaliser, il y a des proffessionels qui font ça très bien.
Esperluette Posté 14 septembre 2009 Signaler Posté 14 septembre 2009 Sur le GHB, je comprends pas trop le mode opératoire. Je pense que plusieurs types s'arrangent pour piéger la victime, l'isoler, l'embrouiller puis l'emmener mine de rien. Et je ne serais pas surprise que les salopards commencent par pister les proies vulnérables.
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