Nirvana Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 On me l'a offert en me le présentant comme un livre de vulgarisation. Je me suis fait avoir.
h16 Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Gardez-le pour vous mais un jour Lucilio a lu : Il a adoré mais n'osera jamais l'avouer ici. Je vois que le Père Goriot a été cité, je n'irai donc pas au bûcher pour m'être terriblement ennuyé à sa lecture ? C'était la sale année de l'oral de Français où j'ai subi du ROUSSEAU également. Sinon, un jour je suis sorti avec une fille plutôt jolie à qui j'ai voulu faire plaisir en m'intéressant à ses lectures et j'ai lu un bouquin d'Alexandre JARDIN. Pourquoi cries-tu lorsque tu écris des NOMS DE FAMILLE ? On me l'a offert en me le présentant comme un livre de vulgarisation. Je me suis fait avoir. Il existe une édition en anglais avec de jolis graphiques colorés. Il y a aussi des livres de coloriages, si tu veux.
Nirvana Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Les gens ordinaires ne sont bons qu'à lire des livres de coloriages ? Ca en dit long sur la prétention et le mépris des scientifiques.
José Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Les gens ordinaires ne sont bons qu'à lire des livres de coloriages ? Ca en dit long sur la prétention et le mépris des scientifiques. Une brève histoire du temps est un livre de vulgarisation scientifique. Que tu ne comprennes rien à ce livre ne change rien à ce fait. Tu sais, dans la vie, faut faire des efforts de comprenure. Lire de vrais livres, voir des films classiques.
h16 Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Les gens ordinaires ne sont bons qu'à lire des livres de coloriages ? Ca en dit long sur la prétention et le mépris des scientifiques. Roooohlala comment il l'a mal pris Ménon ménon c'était juste une boutade méchante.
Salatomatonion Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Pourquoi cries-tu lorsque tu écris des NOMS DE FAMILLE ? C'est une habitude, j'écris toujours les noms de famille en majuscule.
Nirvana Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 C'est une habitude, j'écris toujours les noms de famille en majuscule. Ah, c'est pas banal, ça.
Skeggjöld Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Ah, c'est pas banal, ça. Si l'on respectait les règles typographiques, les noms de famille devraient être écrits en petites majuscules.
Invité jabial Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 C'est comme en musique : les grandes oeuvres classiques réclament un effort et sont plus "ennuyeuses" que la musique populaire. Dépend lesquelles. Ce n'est que personnel, mais j'ai tendance à trouver la musique populaire ennuyeuse, et si on me demande si je préfère qu'on mette du classique ou de la musique populaire sans préciser le morceau, je répondrai classique sans hésiter. En français ou en anglais l'histoire est la même (je l'ai lu en anglais). Soit. Le pire a été pour moi L'Assomoir de Zola, on me l'a fait lire en 5è au collège. Je n'ai pas du dépasser le tiers du livre en lisant en diagonale. Zola n'est pas franchement mauvais, mais quelle carricature…
Invité rogermila Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Le pire a été pour moi L'Assomoir de Zola, on me l'a fait lire en 5è au collège. Je n'ai pas du dépasser le tiers du livre en lisant en diagonale. Le fait d'apprécier telle ou telle lecture dépend aussi beaucoup de l'age car les gouts évoluent tout au long de l'existence. Zola ne m'a jamais intéréssé étant jeune mais vers 45 ans, j'ai lu d'une traite l'ensemble des 20 volumes des Rougon-Macquart (de "La fortune des Rougon" au "Docteur Pascal")
Barem Posté 12 janvier 2010 Auteur Signaler Posté 12 janvier 2010 Je dévie légèrement de mon sujet pour préciser un trait de caractère dont je n'arrive pas à me défaire, et dont je veux vous parler : bien que je suis un esprit curieux et attentif, je n'arrives pas à consacrer mon temps à lire, … Peut etre trouverez vous mon cas absurde, mais j'attends surtout de vous que vous étudiez du mieux que vous le pourriez et le désirerez mon cas et qu'éventuellement vous m'accordiez une aide salutaire… Je précise que j'ai tendance à culpabiliser sur mon "triste" sort, j'ai même voulut durant une certaine période voir un psychologue pour m'aider à enrayer ces pensées qui m'oppressent de plus en plus. Je me sens, comment dire, démuni.
Nirvana Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Tu n'avais pas déjà créé exactement le même sujet à ton inscription ?
Barem Posté 12 janvier 2010 Auteur Signaler Posté 12 janvier 2010 Tu n'avais pas déjà créé exactement le même sujet à ton inscription ? Tu as raison. Mais il semble que les réponses que vous m'avez donné ne m'ont pas permis de m'extirper de ce "cercle vicieux".
Nirvana Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Tu as raison.Mais il semble que les réponses que vous m'avez donné ne m'ont pas permis de m'extirper de ce "cercle vicieux". Fais-le, c'est tout. Y a pas de secret. Si tu ne veux pas, personne ne te forcera, on peut vivre très bien sans jamais lire de livre. Ou va effectivement voir un psychologue. Il faut peut-être accepter l'éventualité que nous n'ayons pas la réponse et qu'il y a de meilleures sources d'aide que ce forum.
Barem Posté 12 janvier 2010 Auteur Signaler Posté 12 janvier 2010 J'ai lut mon ancien sujet, les réponses étaient très allusives, sans grand secours. Je reconnais cependant que les membres de ce forum ne puisse répondre à mes interrogations, mais je tentes le coup tout de même, et peut etre je trouverais le bon conseil… ( un jour ) Enfin, il me faudrait des heures pour expliquer mon cas, je préfères revenir à la discussion antérieur.
Rincevent Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Oligo-elemen : ton cas est typiquement traitable par un spécialiste des TCC.
Esperluette Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Peut etre trouverez vous mon cas absurde Non. Je lisais énormément jusqu'à la prépa, après la prépa je me suis trouvée quasi incapable de bouquiner pendant plusieurs années et malgré des progrès, je n'ai jamais retrouvé cette facilité depuis. Dommage. Néanmoins, la vie offre plein de ressources. Je précise que j'ai tendance à culpabiliser sur mon "triste" sort, j'ai même voulut durant une certaine période voir un psychologue pour m'aider à enrayer ces pensées qui m'oppressent de plus en plus. Je me sens, comment dire, démuni. Il est là ton souci. Mais la psychothérapie via un forum, c'est du charlatanisme de bas étage. Adresse-toi à un pro.
Barem Posté 12 janvier 2010 Auteur Signaler Posté 12 janvier 2010 Au vue de l'article sur Wiki" concernant les TCC, évoqués plus haut par Rincevent, je crois bien être victime de troubles anxieux… Cela reste à confirmer, mais je penses que ces troubles me concernent puisque je n'arrive pas, depuis des années, à m'extirper de cette condition. Merci pour vos conseils, et après quand j'entends que les libéraux sont des gens "égocentriques" …
Nirvana Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Non. Je lisais énormément jusqu'à la prépa, après la prépa je me suis trouvée quasi incapable de bouquiner pendant plusieurs années et malgré des progrès, je n'ai jamais retrouvé cette facilité depuis. Dommage. Néanmoins, la vie offre plein de ressources. Il est là ton souci. Mais la psychothérapie via un forum, c'est du charlatanisme de bas étage. Adresse-toi à un pro. +1
Saucer Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Si c'est juste une question de volonté, d'effort, que tu souhaites simplement modifier ton comportement donc, fais comme te le dit Rincevent et va voir un psy comportementaliste. Ca suppose déjà un minimum de volonté, bien sûr. Sinon, tu peux commencer par lire :
Barem Posté 12 janvier 2010 Auteur Signaler Posté 12 janvier 2010 Si c'est juste une question de volonté, d'effort, que tu souhaites simplement modifier ton comportement donc, fais comme te le dit Rincevent et va voir un psy comportementaliste.Ca suppose déjà un minimum de volonté, bien sûr. Sinon, tu peux commencer par lire : Merci pour l'info bèbel
ernest Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Peut etre trouverez vous mon cas absurde, mais j'attends surtout de vous que vous étudiez du mieux que vous le pourriez et le désirerez mon cas et qu'éventuellement vous m'accordiez une aide salutaire…Je précise que j'ai tendance à culpabiliser sur mon "triste" sort, j'ai même voulut durant une certaine période voir un psychologue pour m'aider à enrayer ces pensées qui m'oppressent de plus en plus. Je me sens, comment dire, démuni. En bon disciple d'Alain, je parie sur un manque de volonté, tout simplement (tout en étant conscient de ma naïveté). Je ne résiste pas à citer ce passages des Propos sur le bonheur d'Alain (ici): « Beaucoup de gens se plaignent de n'avoir pas ceci ou cela ; mais la cause en est toujours qu'ils ne l'ont point vraiment désiré. Ce colonel, qui va planter ses choux, aurait bien voulu être général ; mais, si je pouvais chercher dans sa vie, j'apercevrais quelque petite chose qu'il fallait faire, et qu'il n'a point faite, qu'il n'a point voulu faire. Je lui prouverai qu'il ne voulait pas être général. »
G7H+ Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 Peter Pan, de James M. Barrie, cadeau pour mes 7 ans, incapable de lire plus de 3 pages. Stendhal a une morale dégueulasse qui transparaît dans ses bouquins Je n'ai pas du tout ressenti cela à la lecture du Rouge ou de la Chartreuse.
LeSanton Posté 12 janvier 2010 Signaler Posté 12 janvier 2010 On est dans la constatation des faits. Stendhal a une morale dégueulasse qui transparaît dans ses bouquins… ? Tiens, cela pourrait être intéressant: pourquoi donc exactement, et où précisément dans ses écrits? On peut toujours avancer gratuitement que Stendhal "a une morale dégueulasse", il serait beaucoup plus intéressant d'étayer ses propos de façon argumentée et illustrée. C'est un point intéressant en soi: en quoi la morale de Stendhal (en son époque, bien entendu, c'est absolument débile de la "ramener" à la notre) pourrait valablement être jugée "dégueulasse", mon bon jabial?
Nirvana Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 En bon disciple d'Alain, je parie sur un manque de volonté, tout simplement (tout en étant conscient de ma naïveté). Je ne résiste pas à citer ce passages des Propos sur le bonheur d'Alain (ici):« Beaucoup de gens se plaignent de n'avoir pas ceci ou cela ; mais la cause en est toujours qu'ils ne l'ont point vraiment désiré. Ce colonel, qui va planter ses choux, aurait bien voulu être général ; mais, si je pouvais chercher dans sa vie, j'apercevrais quelque petite chose qu'il fallait faire, et qu'il n'a point faite, qu'il n'a point voulu faire. Je lui prouverai qu'il ne voulait pas être général. » +1 Quand on veut, on peut. Si on ne peut pas, c'est qu'on ne voulait pas.
Johnnieboy Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 +1Quand on veut, on peut. Si on ne peut pas, c'est qu'on ne voulait pas. Wishful thinking detected.
Invité jabial Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 En bon disciple d'Alain, je parie sur un manque de volonté, tout simplement (tout en étant conscient de ma naïveté). Je ne résiste pas à citer ce passages des Propos sur le bonheur d'Alain (ici):« Beaucoup de gens se plaignent de n'avoir pas ceci ou cela ; mais la cause en est toujours qu'ils ne l'ont point vraiment désiré. Ce colonel, qui va planter ses choux, aurait bien voulu être général ; mais, si je pouvais chercher dans sa vie, j'apercevrais quelque petite chose qu'il fallait faire, et qu'il n'a point faite, qu'il n'a point voulu faire. Je lui prouverai qu'il ne voulait pas être général. » Il n'a pas tort, mais là il parle de réussite, pas de bonheur. Est-ce que la réussite est le bonheur ? Il y a des choses qu'on ne peut obtenir seulement avec du travail et du talent. Je n'ai pas du tout ressenti cela à la lecture du Rouge ou de la Chartreuse. Rouge uniquement en ce qui me concerne, je n'ai surtout pas voulu lire quoi que ce soit d'autre. Tiens, cela pourrait être intéressant: pourquoi donc exactement, et où précisément dans ses écrits? La complaisance incroyable que j'ai perçue à l'égard du salopard de personnage principal du Rouge et le Noir. C'est subjectif ? Je m'en fous, ça m'a choqué à vie On peut toujours avancer gratuitement que Stendhal "a une morale dégueulasse", il serait beaucoup plus intéressant d'étayer ses propos de façon argumentée et illustrée. C'est un point intéressant en soi: en quoi la morale de Stendhal (en son époque, bien entendu, c'est absolument débile de la "ramener" à la notre) pourrait valablement être jugée "dégueulasse", mon bon jabial? Dans la mesure où ma lecture date de plus de 10 ans, si je devais véritablement étayer, argumenter et illustrer, il faudrait que je relise ce bouquin, chose qui m'inspire une horreur indicible rien que d'y penser. Je préfère encore mille fois me taper les œuvres intégrales de Zola.
h16 Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 Je préfère encore mille fois me taper les œuvres intégrales de Zola. Argh.
Ash Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 Dans la mesure où ma lecture date de plus de 10 ans, si je devais véritablement étayer, argumenter et illustrer, il faudrait que je relise ce bouquin, chose qui m'inspire une horreur indicible rien que d'y penser. Je préfère encore mille fois me taper les œuvres intégrales de Zola. Pourquoi faut-il toujours que tu en fasses des tonnes ? Ca donne à tes lecteurs un sentiment d'absurde mêlé à de l'agacement.
Invité jabial Posté 13 janvier 2010 Signaler Posté 13 janvier 2010 Pourquoi faut-il toujours que tu en fasses des tonnes ? Ca donne à tes lecteurs un sentiment d'absurde mêlé à de l'agacement. Ceci répond fort justement à quelques lecteurs bien précis qui me demandent de justifier mon ressenti avec une pointe de condescendance. Que les snobinards de la culture littéraire s'agacent donc, ce n'est pas mon problème. Entrer par le menu dans l'esprit tordu d'un personnage immature qui n'accepte pas que la vie ne lui donne pas immédiatement tout ce à quoi il pense avoir droit, se comporte en manipulateur et reproche les conséquences de ses actes à qui fait éclater la vérité fut véritablement un épisode des plus désagréables pour moi, et je me moque comme de mes premières chaussettes des gens qui sont assez suffisants pour croire devoir déceler et corriger l'erreur dans les perceptions d'autrui au contact d'une œuvre artistique.
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