Esperluette Posté 24 février 2010 Signaler Posté 24 février 2010 Tous des pervers et des cochons Les Parisiens n’ont qu’une obsession : pincer les fesses des filles, exhiber leurs attributs, susurrer des obscénités aux passantes. Et Frédéric Beigbeder n’y trouve rien à redire. Paris est peut-être la ville des amoureux, mais c’est aussi la capitale des obsédés. Pour en faire la regrettable expérience, il vous suffit d’être une femme et de marcher dans la rue. Vous obtiendrez rapidement votre quota de vieux pervers et, surtout si vous vivez sur la rive gauche, vous n’aurez pas à aller bien loin. En seulement quelques semaines, on m’a proposé la botte une bonne dizaine de fois. Un jour, devant le passage piéton à Saint-Michel, j’attendais que le feu passe au vert quand un homme qui aurait pu être mon grand-père s’est penché vers moi et m’a susurré à l’oreille : “Joli cul.” Les Français n’hésitent pas non plus à vous faire admirer leurs attributs quand bon leur semble, de préférence en plein jour et dans des endroits publics. Ainsi lors d’une balade au jardin du Luxembourg, par une belle journée ensoleillée, j’ai vu un homme d’une cinquantaine d’années debout devant les urinoirs se masturber sans se soucier le moins du monde des mamans avec poussettes et des bambins qui jouaient autour. Un comportement isolé, me direz-vous. Que nenni. Quelques jours plus tard, sur le boulevard Saint-Germain, un homme en costume d’une cinquantaine d’années, d’apparence parfaitement respectable, ouvrait sa braguette devant nous. Après plusieurs épisodes de ce genre, j’ai commencé à croire que c’était la norme à Paris. Ou était-ce moi qui attirais les vieux cochons ? “Nous sommes tous des Casanova, quel que soit notre âge” Après avoir posé la question à des amies et collègues, je me suis aperçue que toutes avaient des histoires du même genre à raconter. Et si c’était Paris qui était la capitale universelle des pervers ? Pourquoi les Français pensent-ils avoir le droit de draguer sans vergogne des femmes qui ont la moitié de leur âge et/ou de jouer les exhibitionnistes ? Faut-il incriminer la nourriture ? Du Viagra a-t-il été glissé à leur insu dans le foie gras ? S’agit-il d’une exception culturelle, ou Paris est-elle simplement une ville excitante ? J’étais en train de réfléchir à cet étrange phénomène en feuilletant des magazines chez mon libraire quand, soudain, je me suis retrouvée nez à nez avec une femme nue, imprimée sur le tee-shirt de mon voisin. Il n’avait pas l’air d’un vieux pervers. Il s’agissait de l’écrivain Frédéric Beigbeder. Peut-être allait-il pouvoir décrypter ce phénomène typiquement français. “Bonjour, Frédéric. Pouvez-vous expliquer à une étrangère indignée pourquoi il y a tant de pervers à Paris ?” Il hausse un sourcil puis me sourit : “Mademoiselle, dit-il, c’est le sport national français. Nous sommes tous des Casanova, quel que soit notre âge. La France a une longue tradition de séduction. Vous n’avez pas lu le Don Juan de Molière ?” Guère convaincue, j’ai poursuivi mon chemin. En passant devant le Café de Flore et Les Deux Magots, hauts lieux de l’existentialisme, j’ai profité de mes lunettes de soleil pour étudier attentivement les fronts concentrés, les regards perdus dans de lointaines réflexions et le tabagisme frénétique des personnes en terrasse. Etaient-elles toutes en train de réfléchir au sens de la vie ? Non. Je parierais plutôt qu’elles examinaient cette question existentielle : comment réussir, sans se faire prendre, à pincer les fesses des filles dans le bus ? http://www.courrierinternational.com/artic…-et-des-cochons
Lancelot Posté 24 février 2010 Signaler Posté 24 février 2010 L'article a un commentaire digne des "phrases qui vous ont hérissé le poil" : Votre article est dramatique. Le pire, mais je ne voudrais pas vous faire peur, c'est que cela ne se passe malheureusement pas qu'à Paris… Partout en milieu urbain, les filles sont klaxonnées, sifflées, interpelées, volontairement choquées, éhontément matées (a minima).Que voulez-vous, nous vivons dans un pays "déclompexé" et cela ne risque pas de s'améliorer. Pas tant que les femmes ne se réveilleront pas en exprimant leur mécontentement dans les urnes !
Saucer Posté 24 février 2010 Signaler Posté 24 février 2010 Que voulez-vous, nous vivons dans un pays "déclompexé" et cela ne risque pas de s'améliorer. Pas tant que les femmes ne se réveilleront pas en exprimant leur mécontentement dans les burnes ! Ouch.
Invité jabial Posté 24 février 2010 Signaler Posté 24 février 2010 La personne qui a écrit cet article n'a pas eu de chance. Il y a, dans une grande ville comme Paris, beaucoup d'obsédés, mais il faut vraiment jouer de malchance pour en rencontrer autant en si peu de temps. Et puis, il faut dire que joue le moutonnisme citoyen : il fut un temps où le type se masturbant au milieu du Jardin du Luxembourg à proximité des femmes et des gosses se serait pris une raclée mémorable par les passants mâles, et ce, bien avant que les pandores ne débarquent.
Sous-Commandant Marco Posté 24 février 2010 Signaler Posté 24 février 2010 En période de crise, les instincts reproducteurs sont décuplés.
Glockinette Posté 24 février 2010 Signaler Posté 24 février 2010 Cet article parle d'une réalité qui existe surement mais qui m'est étrangere. La plupart des messieurs parisiens que j'ai pu croiser se sont au contraire montrés plutôt courtois et sympathiques.
Baltar Posté 24 février 2010 Signaler Posté 24 février 2010 Si j'en crois les témoignages d'amies il y a un paquet de boulets à Paris (regards insistants, propositions sexuelles directes dans le métro etc). Et puis la différence avec l'Europe du Nord (GB, Scandinavie etc), c'est que les filles ne peuvent pas s'habiller court sans se faire traiter de p*** à chaque coin de rue.
john_ross Posté 24 février 2010 Signaler Posté 24 février 2010 Les "parisiennes" sont d'une rare vulgarité, sans aucune commune mesure avec les "londoniennes". Mais je me demande si c'est pas un peu du à cette ville de merde qu'est Paris.
Eva Posté 24 février 2010 Signaler Posté 24 février 2010 Il y a, dans une grande ville comme Paris, beaucoup d'obsédés, mais il faut vraiment jouer de malchance pour en rencontrer autant en si peu de temps. Et puis, il faut dire que joue le moutonnisme citoyen : il fut un temps où le type se masturbant au milieu du Jardin du Luxembourg à proximité des femmes et des gosses se serait pris une raclée mémorable par les passants mâles, et ce, bien avant que les pandores ne débarquent. +1 N'oublions pas qu'il y a aussi énormément de femmes qui soit ne savent pas poser leurs limites (et sont vite catégorisées comme faciles, donc les mecs qu'elle fréquente risque beaucoup plus de "tenter leur chance") ou manquent cruellement de charisme, de sorte qu'elles sentent la fille facile et "qui fait des trucs qu'elle regrette après". Prenons une femme avec "du caractère" (j'en ai au moins une en tête, rencontrée au café liberté), elle ne se fait pas emm… souvent. Les jupes "raz la touffe" (pour citer un ami qui a la qualité d'être souvent compris !) y sont aussi pour quelque chose. Pour avoir récemment étudié ce domaine, la "symbolique" joue énormément. Un "mec" prêt à "draguer" dans la rue ne se choisi pas n'importe quelle nana, il y a foule de pré-signaux envoyés par la femelle qui prédétermine quel genre de choses on peut ou non se permettre… Selon qu'on soit plus ou moins proches de certains archétypes on peut en attirer plus ou moins d'un archétype complémentaire. L'effet s'amplifie à mesure qu'on se rapproche de la caricature et s'estompe à mesure que l'on en sort. Théorie très personnelle, c'est ce que j'appelle le syndrome de l'adolescente (oui j'aime donner des noms à tout ce que je pense), à défaut d'expérience personnelle en se jette à corps perdu dans un archétype et attire tous les types qui recherchent celui ci : la bonne copine, la goth, la salope, l'immature, la prude… etc A mesure qu'elles accumulent de l'expérience, beaucoup s'extraient de ces archétypes pour arriver à une personnalité plus nuancées, d'autres pas. Néanmoins joue aussi le facteur "fécondable" et "non fécondable". On rapproche plus facilement une femme de 40 ans d'une mère que d'une aventure de passage (sauf si elle s'habille "comme sa fille"…) hummm… bref, en synthèse, après avoir vécu à Paris les 3 dernières années et avoir passé toutes mes soirées, et mes nuits dehors, (sinon une large majorité) entre after working, bières avec les copains, conférences, RDV galants, RDV de sites de rencontres (on a tous au moins un cadavre dans son placard…) et boites de nuit, je peux vous assurer que l'effet que décrit l'auteur de l'article n'est pas imputable à un seul parti, qu'il soit la femme, les malotrus, les passants passifs ou la ville (ce qu'il faut être animiste pour croire cela…) Quand on se fait emmerder régulièrement il faut voir quels milieux on fréquente, son habillement, quel comportement on adopte à tous les stades de la séduction avant de pouvoir en tirer des conclusions sur les autres… De plus les touristes sont des proies plus convoitées, car promettant de moindre conséquences et plus d'ignorance que les parisiennes. Je ne nie pas cependant qu'il y ai une sacrée bande de pervers à Paris… de là à dire que proportionnellement à la population totale il y en a plus ou moins qu'ailleurs, un gouffre fait obstacle…
ernest Posté 24 février 2010 Signaler Posté 24 février 2010 Théorie très personnelle, c'est ce que j'appelle le syndrome de l'adolescente (oui j'aime donner des noms à tout ce que je pense), à défaut d'expérience personnelle en se jette à corps perdu dans un archétype et attire tous les types qui recherchent celui ci : la bonne copine, la goth, la salope, l'immature, la prude… etcA mesure qu'elles accumulent de l'expérience, beaucoup s'extraient de ces archétypes pour arriver à une personnalité plus nuancées, d'autres pas. Sartre appelle ça un « gros plein d'être ». Donc en plus de se faire draguer, elles perdent leur liberté, leur peu d'humanité et tout le tralala. Sinon c'est une marque de plus de l'auto-flagellation occidentale que cette lamentation sur la perversité parisienne. Les femmes (comme les hommes) ont de la chance de vivre en occident.
ShoTo Posté 24 février 2010 Signaler Posté 24 février 2010 Un "mec" prêt à "draguer" dans la rue ne se choisi pas n'importe quelle nana, il y a foule de pré-signaux envoyés par la femelle qui prédétermine quel genre de choses on peut ou non se permettre… Ne mettons pas tout le monde dans le même sac, on peut aussi aborder dans la rue sans être lourd. Mon critère principal est si la fille à l'air pressé ou pas, si elle téléphone par exemple j'y vais pas.
Saucer Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 Pour avoir récemment étudié ce domaine, la "symbolique" joue énormément. Un "mec" prêt à "draguer" dans la rue ne se choisi pas n'importe quelle nana, il y a foule de pré-signaux envoyés par la femelle qui prédétermine quel genre de choses on peut ou non se permettre… Une chose terrible, je n'en vois aucune faire la vaisselle ou repasser des chemises dans la rue. C'est pourtant un excellent "pré-signal" pour le mâle.
Eva Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 Une chose terrible, je n'en vois aucune faire la vaisselle ou repasser des chemises dans la rue. C'est pourtant un excellent "pré-signal" pour le mâle. hihihi c'est sur que les présignaux peuvent etre validés ou contredits par la suite…
jubal Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 Il est evident que l'auteur a largement exagere et invente dans cet article, ca se vend toujours mieux qu'une realite pas toujours aussi coloree. La traduction est tres approximative, et "oublie" un passage: celui ou l'auteur pretend que sarkozy a ete pris en photo au G8 a regarder le derriere d'une jeune brezilienne (oops, c'etait obama en fait).
Librekom Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 +1N'oublions pas qu'il y a aussi énormément de femmes qui soit ne savent pas poser leurs limites (et sont vite catégorisées comme faciles, donc les mecs qu'elle fréquente risque beaucoup plus de "tenter leur chance") ou manquent cruellement de charisme, de sorte qu'elles sentent la fille facile et "qui fait des trucs qu'elle regrette après". Prenons une femme avec "du caractère" (j'en ai au moins une en tête, rencontrée au café liberté), elle ne se fait pas emm… souvent. Les jupes "raz la touffe" (pour citer un ami qui a la qualité d'être souvent compris !) y sont aussi pour quelque chose. Pour avoir récemment étudié ce domaine, la "symbolique" joue énormément. Un "mec" prêt à "draguer" dans la rue ne se choisi pas n'importe quelle nana, il y a foule de pré-signaux envoyés par la femelle qui prédétermine quel genre de choses on peut ou non se permettre… Selon qu'on soit plus ou moins proches de certains archétypes on peut en attirer plus ou moins d'un archétype complémentaire. L'effet s'amplifie à mesure qu'on se rapproche de la caricature et s'estompe à mesure que l'on en sort. Théorie très personnelle, c'est ce que j'appelle le syndrome de l'adolescente (oui j'aime donner des noms à tout ce que je pense), à défaut d'expérience personnelle en se jette à corps perdu dans un archétype et attire tous les types qui recherchent celui ci : la bonne copine, la goth, la salope, l'immature, la prude… etc A mesure qu'elles accumulent de l'expérience, beaucoup s'extraient de ces archétypes pour arriver à une personnalité plus nuancées, d'autres pas. Néanmoins joue aussi le facteur "fécondable" et "non fécondable". On rapproche plus facilement une femme de 40 ans d'une mère que d'une aventure de passage (sauf si elle s'habille "comme sa fille"…) hummm… bref, en synthèse, après avoir vécu à Paris les 3 dernières années et avoir passé toutes mes soirées, et mes nuits dehors, (sinon une large majorité) entre after working, bières avec les copains, conférences, RDV galants, RDV de sites de rencontres (on a tous au moins un cadavre dans son placard…) et boites de nuit, je peux vous assurer que l'effet que décrit l'auteur de l'article n'est pas imputable à un seul parti, qu'il soit la femme, les malotrus, les passants passifs ou la ville (ce qu'il faut être animiste pour croire cela…) Quand on se fait emmerder régulièrement il faut voir quels milieux on fréquente, son habillement, quel comportement on adopte à tous les stades de la séduction avant de pouvoir en tirer des conclusions sur les autres… De plus les touristes sont des proies plus convoitées, car promettant de moindre conséquences et plus d'ignorance que les parisiennes. Je ne nie pas cependant qu'il y ai une sacrée bande de pervers à Paris… de là à dire que proportionnellement à la population totale il y en a plus ou moins qu'ailleurs, un gouffre fait obstacle… En gros, les femmes qui se font draguer vulgairement par des gros lourds n'ont qu'a mieux se tenir, elles se feront moins draguées ou moins vulgairement. Et bien non, je suis pas d'accord. Pour moi il n'est pas acceptable de foutre la main au cul de qui que ce soit, même si c'est le plus beau cul du monde mis en valeur avec un string, des haut talons et un pantalon hyper moulant. Pour moi une femme qui s'habille de façon provocante, hyper sexy, top biche, … ne mérite pas d'être traitée de cette façon. Ces mecs devrait se faire soigner, ils mériteraient à leur tour de se faire traiter de la même façon par le plus vicieux des homos de la ville. Je ne sais pas s'il y a plus de vicieux désinhibés à Paris qu'ailleurs. Ce dont je suis sûr, par contre, c'est que les français (et pas seulement les parisiens) parlent beaucoup plus de sexe que les belges ou les italiens. Je me souviens d'une conférence médicale à valencienne ou une chirurgienne avait commencé son intervention par une boutade à connotation sexuelle ce qui avait déclenché l'hilarité générale. De tels propos tenus dans un tel contexte à Bruxelles ou Rome auraient plutôt déclencher une profonde indignations et l'auraient complètement décrédibilisée.
jubal Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 En gros, les femmes qui se font draguer par des gros lourd n'ont qu'a mieux se tenir, elles se feront moins draguées. Et bien non je suis pas d'accord. Pour il n'est pas acceptable de foutre la main au cul de qui que ce soit, même si c'est le plus beau cul du monde mis en valeur avec un string, des haut talons et un pantalon hyper moulant. Mettre une main au cul c'est draguer ?
Librekom Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 Mettre une main au cul c'est draguer ? Oui enfin, depuis le début du fil on ne parle pas de séduction, mais bien de gestes et de propos déplacés ainsi que d'exhibitionnisme. J'ai édité pour que ce soit plus clair.
José Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 Sérieux… vous y croyez une seule seconde à l'histoire de cette nana supposément harcelée ?
Librekom Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 Sérieux… vous y croyez une seule seconde à l'histoire de cette nana supposément harcelée ? Elle n'a pas dit qu'elle se faisait harceler, elle a dit qu'elle se faisait régulièrement draguer de façon très vulgaire et oui j'y crois.
José Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 …oui j'y crois. Je vais de dire un truc qui va modifier ta perception de la vie : les nanas fabulent encore plus que les gays.
0100011 Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 Je vais de dire un truc qui va modifier ta perception de la vie : les nanas fabulent encore plus que les gays. Elles interprètent…
Ash Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 Cet article parle d'une réalité qui existe surement mais qui m'est étrangere. La plupart des messieurs parisiens que j'ai pu croiser se sont au contraire montrés plutôt courtois et sympathiques. Peut-être parce que vous renvoyez une bonne image de vous-même.
Sous-Commandant Marco Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 A la réflexion, ça doit être encore un plan comm de Beigbeder, qui est cité dans l'article. Il ne sort pas un livre bientôt ?
Esperluette Posté 25 février 2010 Auteur Signaler Posté 25 février 2010 Perso, quand j'étais jeune fille, je croisais trop souvent des malotrus. Y compris ceux qui exhibaient leur attribut. Maintenant, vieille et décrépite comme je suis, je n'ai affaire qu'à des badinages.
Invité jabial Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 Ma sœur, en se promenant seule, a deux ou trois fois été abordée dans la rue par d'illustres inconnus, qui étaient longs, longs à lâcher l'affaire ("vous êtes sûre que vous ne voulez VRAIMENT pas boire un verre?" -> "monsieur, je n'ai pas le temps, au revoir"). Néanmoins, ni exhibition ni main aux fesses. Quant à moi, pour mon casier de malotru, je plaide coupable d'avoir, une fois dans ma vie, pincé l'arrière-train d'une demoiselle ; j'avais 13 ans, il s'agissait d'un pari stupide, et je me suis copieusement humilié devant la donzelle en question a posteriori. Je n'arrive pas à me souvenir de qui il s'agissait, ni même si la gifle que je méritais a été distribuée ou non. Quand j'y repense, j'en ai encore honte aujourd'hui.
jubal Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 Perso, quand j'étais jeune fille, je croisais trop souvent des malotrus. Y compris ceux qui exhibaient leur attribut. Serieusement tu voyais souvent des exhibitionnistes ? Dans un quartier precis ? Néanmoins, ni exhibition ni main aux fesses. C'est aussi l'experience de mes 2 soeurs, et je n'ai moi meme jamais vu d'exhibitionnistes. Je n'en connais aucun non plus. Ca depend peut etre de l'endroit.
Esperluette Posté 25 février 2010 Auteur Signaler Posté 25 février 2010 Serieusement tu voyais souvent des exhibitionnistes ? Dans un quartier precis ? Je ne sais pas ce que tu appelles "souvent" mais ça m'est arrivé dans le métro en pleine journée plusieurs fois, dans la rue en pleine journée itou… Pas de quartier précis. Enfin, disons que j'ai toujours vécu sur la rive gauche de la Seine, alors statistiquement, c'était plutôt dans ce coin-là. *** A présent, c'est plus rigolo : je reçois des demandes en mariage. (oui, par badinage)
Ash Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 Ma sœur, en se promenant seule, a deux ou trois fois été abordée dans la rue par d'illustres inconnus, qui étaient longs, longs à lâcher l'affaire ("vous êtes sûre que vous ne voulez VRAIMENT pas boire un verre?" -> "monsieur, je n'ai pas le temps, au revoir"). Néanmoins, ni exhibition ni main aux fesses.Quant à moi, pour mon casier de malotru, je plaide coupable d'avoir, une fois dans ma vie, pincé l'arrière-train d'une demoiselle ; j'avais 13 ans, il s'agissait d'un pari stupide, et je me suis copieusement humilié devant la donzelle en question a posteriori. Je n'arrive pas à me souvenir de qui il s'agissait, ni même si la gifle que je méritais a été distribuée ou non. Quand j'y repense, j'en ai encore honte aujourd'hui. Et la situation inverse, ce n'est arrivé à aucun homme ici ? Parce que moi oui. Pas farouche la nana.
Invité jabial Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 Et la situation inverse, ce n'est arrivé à aucun homme ici ? Parce que moi oui. Pas farouche la nana. Aux mêmes âges, il m'est arrivé une aventure plus ou moins similaire où l'"agresseur" était féminin. Mais ça, je raconte pas
Leepose Posté 25 février 2010 Signaler Posté 25 février 2010 Sur la base de mon expérience personnelle de Parisien, et sur la base de celle d'un pote (banlieusard… rien a voir….) je dirais qu'on a a faire a un phénomène statistique assez complexe. Il y a finalement assez peu de mec qui drague tout ce qui bouge…. Mais ces bougres là sont terriblement actifs. Leur idée : sur 30 nanas abordées a l'arrache, ne subir que 20 rateaux. Sur les 10 restantes, obtenir leur numéro de téléphone. Et sur les 3 numéros rééllement obtenus, tirer son coup coute que coute. Perso je ne drague JAMAIS. Ni dans la rue, ni ailleurs. J'ai étais abstinent toute ma vie ou presque, et pourtant je suis né a Paris. Je méprise profondément les crevards qui déshabille du regard toutes les belles nanas surtout de face, sans se cacher, je trouve ca lamentable… moi j'oserais pas, et je méprise aussi les nanas qui s'habillent comme des putes, ca m'initimide a fond.
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