José Posté 17 mai 2010 Signaler Posté 17 mai 2010 Putain, le fil à la con. Merde quoi, si les Français savaient s'amuser, ça se saurait.
Chitah Posté 17 mai 2010 Signaler Posté 17 mai 2010 Ben voyons. L'occupation hebdomadaire des rues par des zombies en roller, c'est dans ma tête. Absolument pas, ils existent ces gens, c'est leur caractère "zombie", membres d'un complot national de festivocratie que je conteste. Tiens, je te rappelle que depuis un siècle, dans certains lieux, il existe des gens qui braillent en regardant 22 pélos se fritter pour une curieuse petite sphère de cuir pendant 90 minutes. Ce sont des homo festivus aussi? Et les fêtes comme la fête Bleu Blanc Rouge du FN, ou je ne sais quoi encore, c'est aussi composé d'homo festivus? Allons, allons, soyons sérieux…. si les Français savaient s'amuser, ça se saurait. +1 Mes petites virées à Bruxelles sont en effet de très bons souvenirs, peu d'équivalents à Paris ou ailleurs.
Salatomatonion Posté 17 mai 2010 Signaler Posté 17 mai 2010 Visiblement les apéros géants Facebook c'est mal mais quand c'est labellisé citoyenno-festif pas de souci : A noter, la différence quand on compare avec l'affiche 2007 : Ici la cucuterie citoyenne décrit la rencontre entre voisins comme un pique-nique organisé et propret dans un jardin public qui l'est tout autant, où les barrières sociales et générationnelles se consument au feu doux du barbecue. Dans la version 2010, c'est la teuf de folie en mode défilé nocturne, bordélique et bruyant dans une rue bondée. Si ça c'est pas de la décadence !
Lancelot Posté 17 mai 2010 Signaler Posté 17 mai 2010 Faire la fête avec des inconnus, quelle idée, vraiment…
Mike S Blueberry Posté 17 mai 2010 Signaler Posté 17 mai 2010 Excellent, et surtout basico-basique. Ainsi, tous les fantasmes sur l'homo festivus et la décadence de la civilisation ne sont que du pipeau. Sous prétexte que le comportement du "jeune" est caractérisé par un certain nombre de constantes qui ont traversé les âges, il ne pourrait pas y avoir de dérives, d'excés? Jusqu'à quel degré de connerie doit-on se contenter de hausser les épaules en disant : "Bah. Il faut que jeunesse se passe"? C'est encore plus grave que ce que je croyais. Ce que tu me dis-là relève de test de Roschach : toi, à l'inverse du bon sens, tu vois des gens festifs, des hordes de SA sur une vulgaire image de manuel scolaire : Tout ça c'est dans ta tête. Disons que c'est un poil plus festif que ça.
free jazz Posté 17 mai 2010 Signaler Posté 17 mai 2010 Absolument pas, ils existent ces gens, c'est leur caractère "zombie", membres d'un complot national de festivocratie que je conteste. Personne n'a parlé de complot. Soit tu entends des voix, soit tu continues à faire pipi autour de ton territoire. Nous parlons d'une tendance, tout comme un effet de mode, c'est-à-dire de mimétisme augmenté par les phénomènes de foule. Tiens, je te rappelle que depuis un siècle, dans certains lieux, il existe des gens qui braillent en regardant 22 pélos se fritter pour une curieuse petite sphère de cuir pendant 90 minutes. Ce sont des homo festivus aussi? Certes, il n'est que de voir le degré de régression grégaire des supporters de foot, foule dans laquelle on trouve aussi des Darwin awards de compétition. +1Mes petites virées à Bruxelles sont en effet de très bons souvenirs, peu d'équivalents à Paris ou ailleurs. Les fêtes en Belgique (de même que dans les flaques d'eau social-démocrates hollandaises) m'évoquent plutôt ceci :
Brock Posté 17 mai 2010 Signaler Posté 17 mai 2010 tiens, un lieu public sans cailleras en train de faire chier le monde ? ca doit etre Montreal le dimanche. ah si j'en repere un en survet bleu au milieu dans le fond, en train de chourer la puree et les saucisses. le salaud! j'aime bien la banderole 'voisins solidaires' en petit.
h16 Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Consternant derechef, ces affiches. Y'a de quoi en faire un billet (avant le 28, bien sûr) … Jim16, tu aurais pas un peu de temps pour nous faire quelques améliorations festives ?
Tremendo Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 C'est pourquoi je suis pour les clubs select, sur invitation seulement, sans musique (ou alors très légère) et où le bruit d'un sous-verre qui fait scouic sur une table parfaitement propre fait lever des sourcils. On y chuchote. C'est très bien. +1, ça doit être l'âge ou je deviens sourd, mais je supporte de moins en moins ces endroits où il faut gueuler pour se faire entendre, donc moi au bout de 5 minutes, la fête est finie. Consternant derechef, ces affiches. Y'a de quoi en faire un billet (avant le 28, bien sûr) … Jim16, tu aurais pas un peu de temps pour nous faire quelques améliorations festives ? Ces fêtes sont agaçantes et d'une naïveté, je vois d'ailleurs en bas à gauche de l'affiche en tout petit que le gouvernement français sponsorise la fête des voisins.
free jazz Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Consternant derechef, ces affiches. Y'a de quoi en faire un billet (avant le 28, bien sûr) … Jim16, tu aurais pas un peu de temps pour nous faire quelques améliorations festives ? Il y aurait de quoi faire en partant de la "société du care" proposée par Martine Aubry comme nouveau contrat social. Elle semble généraliser à l'ensemble de la société cette tendance à l'infantilisation par la citoyenneté festive et va jusqu'à en faire un programme politique. Mais peut-être as-tu déjà fait un billet consacré à cette riante perspective. "La société du bien-être passe aussi par une évolution des rapports des individus entre eux. Il faut passer d'une société individualiste à une société du "care", selon le mot anglais que l'on pourrait traduire par "soin mutuel" : la société prend soin de vous, mais vous devez aussi prendre soin des autres et de la société." http://www.lemonde.fr/politique/article/20…411_823448.html
Skeggjöld Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Ces fêtes sont agaçantes et d'une naïveté, je vois d'ailleurs en bas à gauche de l'affiche en tout petit que le gouvernement français sponsorise la fête des voisins. Y a-t-il vraiment des gens qui organisent des fêtes entre voisins ? Personnellement, je n'ai jamais pu souffrir mes voisins. Ce sont des modernes, ils passent leurs nuits à faire la fête, c'est-à-dire à gonfler des ballons et gesticuler dans des T-shirts vagues en écoutant une musique particulièrement immonde et répétitive. Ils s'ingénient à laisser portes et fenêtres ouvertes de façon à ce que tout le monde dans l'immeuble soit au mis au courant qu'une fête s'organise en haut. Je crois que si jamais l'un de mes voisins frappait chez moi pour me proposer de faire la fête je lui administrerais un coup de boule.
free jazz Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Le fil tel qu'il a été proposé, fête vs crise, est un grand n'importe nawak. certains talibans du forum en viennent à critiquer toute fête comme signe de décadence, voire tout attroupement comme manifestation de collectivisme. Non pas toute fête, surtout pas des banquets entre amis dans la tradition de la philia grecque. Ceux qui me connaissent te diront que je ne suis pas le dernier à y mettre de l'ambiance et je vais volontiers boire des pots avec des collègues après le travail. Mais qu'est-ce que cela a de comparable avec les attroupement géants type apéros facebook, fête de la musique et autres techno parades, rassemblant des masses dans une sorte de communion où la seule finalité est la promiscuité anonyme, le plaisir de se frotter à l'échange de sueur et de chaleur avec des inconnus? Ceci n'a rien à voir avec une attitude joyeuse où l'individu s'affirme par ses traits d'esprit et une humeur moqueuse. On y voit au contraire la dissolution de la personnalité dans une entité plus vaste, une recherche frénétique d'abandon. Ce que nous appelions avec f.mas 'l'oubli de soi', qui correspond à des individus diminués. Il y a au fond une forme de tristesse collective qui préside à ces attroupements anonymes et moutonniers. En effet rien de plus grégaire que se trouver pris dans une foule nombreuse atteignant un certain seuil d'excitation où dominent les instincts animaux. Que ce soit une manifestation festive dans un stade ou dans la rue, où la personnalité et le discernement de l'individu sont abolis au profit d'un comportement soumis à la pression collective. D'où une inflation de comportements hystériques et par imitation, agresssifs, voire suicidaires. Au passage, j'ai remarqué que les progressistes adeptes des mouvements d'émancipation festifs sont souvent des gens fondamentalement tristes, voire sinistres.
h16 Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Il y aurait de quoi faire en partant de la "société du care" proposée par Martine Aubry comme nouveau contrat social. Elle semble généraliser à l'ensemble de la société cette tendance à l'infantilisation par la citoyenneté festive et va jusqu'à en faire un programme politique. Mais peut-être as-tu déjà fait un billet consacré à cette riante perspective. "La société du bien-être passe aussi par une évolution des rapports des individus entre eux. Il faut passer d'une société individualiste à une société du "care", selon le mot anglais que l'on pourrait traduire par "soin mutuel" : la société prend soin de vous, mais vous devez aussi prendre soin des autres et de la société." http://www.lemonde.fr/politique/article/20…411_823448.html Oui, j'en avais parlé ici : http://h16free.com/2010/04/15/2413-retrait…ine-a-la-soluce Au passage, j'ai remarqué que les progressistes adeptes des mouvements d'émancipation festifs sont souvent des gens fondamentalement tristes, voire sinistres. C'est ma foi assez vrai.
Mike S Blueberry Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Y a-t-il vraiment des gens qui organisent des fêtes entre voisins ? Oui. Certains l'ont fait à nos dépends, il y à quelques années de cela. Là où habitent mes parents, chaque année, l'été est accueillie par une fête qui rassemble des gens du voisinage. Nous étions relativement nouveaux dans le quartier et avons trouvé une invitation dans notre boite aux lettres (plutôt sympathique jusque là). Mes parents n'ont pas souhaité s'y rendre étant occupés et ayant peu de points commun avec les voisins. La fête était organisé dans la cour d'un particulier à quelques pas de chez nous. La journée, tout s'est passé dans un calme relatif (petite musique, omniprésente, mais de circonstance). C'est à partir de 22h30 que les choses se sont gâtés. C'est l'heure à laquelle un joueur de batterie s'est mis à faire une démo en plein air. La démo s'est transformé en concert, si bien que, ne pouvant fermer l'oeil, j'ai fini par me rhabiller pour aller dire ma façon de penser à ces sagouins. Je me suis introduit dans la petite cour et ai demandé à parler au responsable. Ayant compris la raison de ma venue il m'a aimablement signifié qu'il ne discuterait "même pas" avec moi. Une mégère, assise non loin de là, mit son grain de sel : "On les invite, ils viennent même pas et ensuite ils se plaignent". Je n'ai pas insisté et suis rentré chez moi, sachant à quoi m'en tenir. Ce charmant organisateur de fêtes pour les voisins ne m'a pas semblé avoir beaucoup de considération pour ces derniers. D'autant qu'à l'heure où j'ai mit les pieds dans sa courette, il devait y rester 10 - 15 personnes et que le vacarme produit en ces lieux devait emmerder au bas mot 100 personnes. Mais vu que tout le monde avait eu sa petite invitation, personne n'était en droit de se plaindre. En somme, on était loin de l'ambiance bon enfant et unanime dépeinte sur les affiches postées précédemment.
free jazz Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Dans l'ivresse festivocrate, l'attroupement dégénère vite en droit à occuper la rue et à emmerder les habitants du quartier investi pour l'occasion. Sans compter les bandes de jeunes des banlieues qui profitent généralement de la confusion pour casser et détrousser les passants. L'anomie est encore renforcée si la manifestation est subventionnée par les autorités, avec la facilité des transports "gratuits" ou presque. Lors de la fête de la musique, les nuits parisiennes se transforment ainsi en terrain de chasse pour les prédateurs et il vaut mieux ne pas sortir de chez soi passé les premières réjouissances. En l'absence de privatisation des rues, on peut regretter que maréchaussée n'envoie pas plus souvent la troupe siffler la fin de la récré.
JackieV Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Y a-t-il vraiment des gens qui organisent des fêtes entre voisins ? Heu oui. Dans mon immeuble elles sont très sympa, en été c'est barbeuc tous les mois. C'est assez bruyant en général mais c'est dans la cour et ça se termine toujours vers 1h, donc personne ne moufte. Et puis c'est un immeuble composé à 80% de moins de trente ans ou de célibataires. D'autre part on est dans un quartier où la tolérance au bruit est élevée (quartier Ste-Anne à Rennes, si qqn connaît). Dans l'ivresse festivocrate, l'attroupement dégénère vite en droit à occuper la rue et à emmerder les habitants du quartier investi pour l'occasion. Sans compter les bandes de jeunes des banlieues qui profitent généralement de la confusion pour casser et détrousser les passants. Amusant, ton monde.
h16 Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Amusant, ton monde. Sur Paris, c'est de plus en plus fréquent sur les grosses manifs, cependant.
free jazz Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Amusant, ton monde. C'est-à-dire que je n'ai pas l'heur de vivre dans une réserve pour bobos. Sur Paris, c'est de plus en plus fréquent sur les grosses manifs, cependant. Pas qu'à Paris. C'était le cas encore dimanche lors de la fête du titre de champion à Marseille. Par exemple. Vous me direz que ce sont des marseillais, donc des gens pas tout-à-fait civilisés et que ça ne compte pas. Je prendrai alors pour preuve ce fameux apéro géant de Nantes : Ce rassemblement de plus de 9.000 personnes a entraîné au cours de la nuit, jusqu'à 4h30 du matin, l'évacuation de 57 participants. 41 personnes ont été placées en gardes à vue, selon le dernier bilan, pour trafic de stupéfiants, dégradations, vols, ivresses manifestes ou violences.
JackieV Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Sur Paris, c'est de plus en plus fréquent sur les grosses manifs, cependant. Ah oui c'est vrai, maintenant je me rappelle avoir entendu parler de "débordements" lors de la dernière technoparade. Après j'ai grandi dans un ville de banlieue parisienne et il n'y a jamais eu de débordements lors de la fête du village. Pourtant on est entre Chanteloup-les-Vignes et les Mureaux. Je n'ai pas la prétention de nier les problèmes d'insécurité, c'est juste que dans ce fil j'ai l'impression que la réalité est légèrement amplifiée.
José Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 …c'est juste que dans ce fil j'ai l'impression que la réalité est légèrement amplifiée. C'est free jazz aussi : il déteste tout ce qui fait fuir le gardon.
JackieV Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 J'en profite pour ajouter que lors de la dernière fête des voisins, j'ai appris que mon voisin de droite avait lu Rothbard et Hayek, et il s'est livré à une analyse critique du premier ce fut fort intéressant de débattre avec lui. Donc je suis POUR
Brock Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Y a-t-il vraiment des gens qui organisent des fêtes entre voisins ? Personnellement, je n'ai jamais pu souffrir mes voisins. ne viens jamais au Canada stp le probleme c'est pas la naivete, ou le collectivisme; le probleme c'est la facon dont les francais posent au lieu d'avoir des relations sociales normales. la comparaison entre mes fetes en fRance et mes fetes au Canada fait si mal que ca fait un peu pitie, ca donne envie de secourir les francais. (sans parler des terrains de airsoft de 30 hectares) J'en profite pour ajouter que lors de la dernière fête des voisins, j'ai appris que mon voisin de droite avait lu Rothbard et Hayek, et il s'est livré à une analyse critique du premier ce fut fort intéressant de débattre avec lui. Donc je suis POUR tu es si positif, ca doit etre agacant pour les autres gris-fripés.Ne peux-tu pas Promener Ton Ennui comme les autres? ( celle-la on me l'a sortie en vrai lol )
Chitah Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 L'anomie est encore renforcée si la manifestation est subventionnée par les autorités, avec la facilité des transports "gratuits" ou presque. Dans le monde réel, les transports en commun sont suspendus pendant les manifestations : les bus, bien évidemment puisqu'il y a occupation de la chaussée, mais également les métros puisque niveau crowd control, c'est risqué. Après, dans ton monde imaginaire je ne sais pas, mais dans la réalité cela ne se passe pas du tout comme cela, à une ou deux exceptions notables (par exemple la nuit blanche à Paris, les transports sont gratos je crois).
free jazz Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Dans le monde réel, les transports en commun sont suspendus pendant les manifestations : les bus, bien évidemment puisqu'il y a occupation de la chaussée, mais également les métros puisque niveau crowd control, c'est risqué. Après, dans ton monde imaginaire je ne sais pas, mais dans la réalité cela ne se passe pas du tout comme cela, à une ou deux exceptions notables (par exemple la nuit blanche à Paris, les transports sont gratos je crois). Les transports sont suspendus dans un périmètre limité aux festivités, mais il faut bien que tous ces gens viennent, si tu réfléchis un peu. Lors de la nuit blanche ou de la fête de la musique, la Ratp met aussi à disposition des noctambus gratuits et des métros qui circulent toute la nuit, ce qui permet effectivement aux racailles de venir en masse commettre leurs larcins.
Chitah Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Les transports sont suspendus dans un périmètre limité aux festivités, mais il faut bien que tous ces gens viennent, si tu réfléchis un peu. Concernant les manifestations syndicales, des cars sont affrétés* par ces organisations. Je ne vois donc pas de quoi tu parles. * avec l'argent du contribuable bien entendu.
free jazz Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Je ne vois donc pas de quoi tu parles. Moi non plus à vrai dire. Le sujet ne concerne pas les manifestations syndicales. Tu peux retourner regarder la télé.
Chitah Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 Je n'ai pas la prétention de nier les problèmes d'insécurité, c'est juste que dans ce fil j'ai l'impression que la réalité est légèrement amplifiée. C'est bien le moins que l'on puisse dire : lier quelques fêtes à la con au naufrage de la civilisation, il faut le faire.
h16 Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 C'est free jazz aussi : il déteste tout ce qui fait fuir le gardon. Il y a une coquille. Il fallait lire C'est free jazz aussi : il déteste tout ce qui fait fuir le lardon. … Réflexion faite, il y a une autre coquille. Il fallait lire : C'est free jazz aussi : il déteste tout ce qui fait fuir le garçon.
free jazz Posté 18 mai 2010 Signaler Posté 18 mai 2010 C'est bien le moins que l'on puisse dire : lier quelques fêtes à la con au naufrage de la civilisation, il faut le faire. Tu noteras que tu es le seul à parler de complot et de naufrage de la civilisation. Au demeurant tu prends l'expression panem et circenses pour comparer la période actuelle à celle du cirque romain. Et de t'exclamer qu'elle n'a rien de nouveau. Or la multiplication du nombre de jours de cirques et de jeux a commencé avec la fin de la République romaine. Il n'a cessé d'augmenter à mesure de la décadence romaine (passant de 75 jours à 175), avec un Etat de plus en plus centralisé et organisateur de festivités pour distraire les oisifs, si bien que les romains pouvaient de fait assister aux jeux du matin au soir. Amusant, si l'on pense que les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.