le dernier dino Posté 16 septembre 2010 Signaler Posté 16 septembre 2010 Rand Paul est le fils de son père mais sa vision de la politique étrangère est sensiblement plus interventionniste, disons plus martiale. Ceci explique cela. Je vois mal Sarah Palin soutenir Ron Paul lui-même. En même temps, c'est peut être sa vision le temps de la campagne…
Baltar Posté 17 septembre 2010 Signaler Posté 17 septembre 2010 Je suis d'accord avec toi sur tous tes précédents posts.Heureusement Palin et Beck donnent en général la nausée aux libertariens et/ou "supporters" de Ron Paul. Car il est évident que ce sont des clowns (j'aime le répéter :} ). D'accord avec ton accord. Palin, Beck et Lincoln c'est le trio infernal, jolie récupération politicienne des Tea Parties. Glenn me file littéralement des barres de rires avec ses sketchs sur Fox News ou lorsqu'il joue le prof au tableau. Il a le mérite d'avoir évoqué Hayek, dommage qu'il n'ait pas du tout tenu le même propos lorsque les républicains était au pouvoir. Et l'analyse journalistique franchouille des Tea Parties reste au niveau du caniveau.
Sous-Commandant Marco Posté 17 septembre 2010 Signaler Posté 17 septembre 2010 D'accord avec ton accord. […] ^3
Nirvana Posté 25 septembre 2010 Signaler Posté 25 septembre 2010 Christine O’Donnell, pire que Sarah Palin ?Elle ne chasse pas le caribou et n’aperçoit pas la Russie de sa fenêtre d’Alaska. Mais Christine O’Donnell est le clone rêvé de son mentor, Sarah Palin. L’ultraconservatrice favorite du Tea Party vient de remporter les primaires républicaines dans le Delaware. Convaincue que l’Amérique, devenue « socialiste », a perdu son âme, cette célibataire de 41 ans, sans le moindre diplôme universitaire, rêve d’un nouveau Far West puritain : avortement interdit et port d’armes sans régulation. Elle s’est aussi rendue célèbre en condamnant la masturbation sur MTV dans les années 90 ! La vidéo circule partout sur Internet, tout comme ses vieilles confessions de pratique de magie noire. Elle est en outre soupçonnée d’avoir utilisé les fonds de sa campagne pour arrondir ses fins de mois… Cette illuminée a-t-elle vraiment des chances de remporter l’élection de mi-mandat de novembre dans un État votant traditionnellement démocrate ? On en doute, mais la machine Sarah Palin qui fabrique des mini-clones dans tout le pays est, elle, à prendre bel et bien au sérieux… http://www.elle.fr/elle/Societe/News/Chris…8gid%29/1359879
Bastiat Posté 26 septembre 2010 Signaler Posté 26 septembre 2010 Lu dans le Parisien d'hier : "pour protester contre la vente de thé sans taxes" Ca c'est du journalisme brillant !
free jazz Posté 26 septembre 2010 Signaler Posté 26 septembre 2010 Intéressant rapprochement du mouvement avec le Cato Institute. Ces milliardaires qui veulent la peau d'Obama jeudi 09 septembre 2010 Les élections américaines de mi-mandat approchent et la gauche tremble. Le mouvement du Tea Party n’a jamais été aussi assidu pour dénoncer à renfort de grands rassemblements publics le socialisme de Barack Obama et la mise en péril de la liberté au pays d’Abraham Lincoln. Derrière ce mouvement quelque peu hétéroclite qui rassemble diverses tendances de la droite conservatrice américaine se cachent des intérêts privés puissants, que l’observateur moyen peine à identifier. Le portrait des frères Koch publié par Jane Mayer dans le New Yorker du 30 août 2010 nous présente deux de ses figures les plus méconnues et pourtant les plus influentes de la vie politique américaine. Charles Koch, 74 ans, et David H. Koch, 70 ans, sont les propriétaires quasi exclusifs de Koch Industries, un conglomérat basé à Wichita, dans le Kensas. Grâce à sa place dans l’industrie pétrolière, et à ses marques Brawny (papier toilette), Dixie (gobelets), Georgia-Pacific (bois), Stainmaster (tapis) ou Lycra (matière), le chiffre d'affaires de Koch Industires serait de 100 milliards de dollars par an. La fortune combinée des frères Koch est la troisième plus grande des Etats-Unis, derrière celles de Bill Gates et Warren Buffett. Les Koch sont depuis longtemps des libertariens au sens américain du terme. Ils défendent un taux très bas d’imposition pour les individus et les entreprises, des services sociaux limités et une liberté totale pour les entreprises, notamment en termes de normes environnementales. Une étude de l’Institut de Recherche en Economie Politique d’Amherst, à l’Université de Massachusetts, a d’ailleurs classé Koch Industries parmi les 10 entreprises les plus polluantes des Etats-Unis. Et les frères Koch sont parmi les premiers mécènes de think tanks, d’organisations politiques et de mouvements sociaux opposés à la politique d’Obama- de la réforme du système de santé jusqu’au plan de relance économique, en passant par la politique de lutte contre le réchauffement climatique. D’après Jane Mayer, la particularité de ces magnats du pétrole est qu’ils utilisent leur puissance financière non seulement pour défendre les intérêts privés de leurs entreprises mais aussi pour diffuser et promouvoir une idéologie en tous points opposée à la politique de l’Administration démocrate au pouvoir. Gus diZerega, un ancien proche de Charles Koch devenu professeur de science politique, explique cette volonté absolue de peser dans le débat politique par un transfert de la peur ancestrale du communisme dans la droite américaine à une défiance vis-à-vis de n’importe quelle forme de régulation. Inspirés par les thèses d’un des papes du néo-libéralisme, Friedrich Von Hayek , les frères Koch ont toujours vu le gouvernement américain, et son expansion, comme une menace grave pour les libertés fondamentales. Engagés dès 1979 dans le parti libertarien, ils firent leur premier pas en politique en soutenant activement la candidature présidentielle d’Ed Clark, situé encore plus à droite que Ronald Reagan. Pour contourner les règles de financement des campagnes politiques, David Koch se présenta même comme candidat à la vice-présidence sur le ticket d’Ed Clark. De nombreuses mesures que les frères défendaient à l’époque ont inspiré le mouvement Tea Party actuel : la fin de la sécurité sociale, du salaire minimum, du contrôle de port d’armes, et de tout type de taxes ; la légalisation de la prostitution, de la consommation festive de drogues, et du suicide. Le gouvernement ne doit servir qu’à protéger les droits des individus, ce qui rend caducs et inutiles le FBI, la CIA et toutes les agences de régulation fédérale, de la Securities and Exchange Commission (chargée de contrôler les marchés financiers) au Département de l’Energie. Dépités par leur échec aux présidentielles de 1979- le ticket libertarien obtint 1% des voix- les frères Koch auraient depuis lors nourri une haine tenace pour la politique conventionnelle. Ils se seraient donc décidés à faire de la politique autrement. En usant de leurs moyens pour peser sur le débat d’idées, là où celles-ci se fabriquent : dans les universités et les think tanks. D’après Jane Mayer, les fondations créées par la famille Koch auraient financé en 30 ans - dans des proportions qui dépassent largement les 100 millions de dollars- 34 organisations politiques, dont trois qu’ils ont créées, et plusieurs qu’ils dirigent. Et les frères Koch sont toujours au premier rang pour financer des campagnes politiques ou de lobbying. Ils ont notamment contribué à pérenniser le Cato Institute, un des think tanks les plus réputés et les plus cités dans les médias américains, et qui défend généralement des positions néo-libérales. Le Mercatus Center, un think tank herbergé par la George Mason University à Arlinton, en Virginie, et qui se présente comme "la première source universitaire d'idées orientées vers le marché" , leur doit aussi beaucoup. Ce dernier serait en réalité une machine à idées entièrement au service de l’idéologie de ses fondateurs, notamment dans son combat contre l’Environmental Protection Agency (EPA). Les Koch ont aussi compris que leurs idées devaient être diffusées et portées par des mouvements sociaux pour être véritablement efficaces. C’est pourquoi ils ont créé en 1984 Citizens for a Sound Economy, un groupe chargé de mobiliser des citoyens dans plus de 26 Etats pour défendre le programme des Koch à travers des campagnes de publicité, des événements médiatiques ou des manifestations, puis Citizens for the Environment, en 1990. Plus récemment, ils se sont montrés solidaires du mouvement Tea Party- notamment à travers un nouveau groupe créé en 2004, Citizens for Prosperity- et extrêmement critiques de l’Administration Obama. Dans une newsletter adressée à ses 70 000 employés, Charles Koch a par exemple comparé ce gouvernement au régime du président vénézuélien Hugo Chavez. Au regard de la puissance économique et politique des Koch, leur combat n’est pas prêt de s’arrêter. Jane Mayer conclut d’ailleurs son article en expliquant que les frères ont longtemps joué de leur anonymat pour avancer leurs pions, mais que cette époque est révolue. Grâce à sa remarquable enquête, il est en effet indubitable que le nom des Koch éveillera la méfiance de tout citoyen américain un temps soit peu soucieux de la place croissante que prend la droite radicale américaine dans le paysage politique actuel. * Jane Mayer, 'Covert Operations', New Yorker, 30 août 2010. http://www.nonfiction.fr/article-3731-ces_milliardaires_qui_veulent_la_peau_dobama.htm L'article du New Yorker: http://www.newyorker.com/reporting/2010/08…30fa_fact_mayer
Nirvana Posté 26 septembre 2010 Signaler Posté 26 septembre 2010 Qu'est-ce que c'est, le "néo-libéralisme" ?
Sous-Commandant Marco Posté 26 septembre 2010 Signaler Posté 26 septembre 2010 Qu'est-ce que c'est, le "néo-libéralisme" ? Le néo-libéralisme, c'est la théorie selon laquelle l'état doit favoriser la libre-entreprise, le marché et le capitalisme. Le néo-libéralisme cherche à copier les réalisations d'une société libre, tout en récusant ses fondements, notamment la diminution du poids de l'état. Pour les ennemis du libéralisme, c'est une cible facile puisque cela leur permet de confondre la copie et l'original.
free jazz Posté 26 septembre 2010 Signaler Posté 26 septembre 2010 Le néo-libéralisme, c'est la théorie selon laquelle l'état doit favoriser la libre-entreprise, le marché et le capitalisme. Le néo-libéralisme cherche à copier les réalisations d'une société libre, tout en récusant ses fondements, notamment la diminution du poids de l'état. Pour les ennemis du libéralisme, c'est une cible facile puisque cela leur permet de confondre la copie et l'original. Quand l'establishment de gauche ou les altercomprenants utilisent cette expression, c'est rarement en ce sens ordo-libéral défini au colloque Lippmann. La plupart du temps il s'agit d'un terme épouvantail qui mêle critiques de l'Etat-providence, intérêts privés corporatistes et organisations mondialistes du type FMI dans une espèce de force occulte. Ainsi l'article désigne Hayek comme le pape du néo-libéralisme et le Cato comme son bras armé.
Apollon Posté 26 septembre 2010 Signaler Posté 26 septembre 2010 Ainsi l'article désigne Hayek comme le pape du néo-libéralisme et le Cato comme son bras armé. Expression qui vient directement du réseau Voltaire.
F. mas Posté 26 septembre 2010 Signaler Posté 26 septembre 2010 Petite précision sur les emplois hasardeux de l'expression "extrême droite" : comme il s'agit d'un terme assez lâche qui sert à identifier (à tort ou à raison) tous les mouvements et les idéologies hostiles au mainstream idéologique sécrétés, tolérés et soutenus au sein d'une même communauté politique, elle varie essentiellement en fonction des histoires locales. Il se trouve que celle des Etats-Unis à des côtés assez libertariens (entremêlés de côtés pas du tout libéraux). Eh oui, ce redneck bas de plafond qui sent un peu le chien de prairie, pense que des hélicoptères noirs de l'onu volent au dessus de sa caravane et attend de pied ferme les services fiscaux avec une M 60 sur les genoux fait aussi parti de la happy libertarian family, pas la peine de faire cette tête. Edit : je lis sous la plume de Tom Woods (Lewrockwell Institute) dans The american conservative que pour Slate, ce n'est pas l'extrémisme droitier des tea partiers qui pose problème, mais leur anarchisme et leur peu de foi en l'autorité de l'Etat. Feel free to pick your own explanation ! http://www.amconmag.com/blog/tea-and-anarchy/
kolb Posté 26 septembre 2010 Signaler Posté 26 septembre 2010 Une autre partie des tea-partiers vient des petites et moyennes entreprises s'inquietant des niveaux des taxes, tant il est vrai que le big governement n'osant pas s'attaquer aux grosses compagnies-quand il ne les subventionne pas- peut facilement accabler celles-ci.
Chitah Posté 2 octobre 2010 Signaler Posté 2 octobre 2010 Hé ben de mieux en mieux : http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=9149
G7H+ Posté 2 octobre 2010 Signaler Posté 2 octobre 2010 Lu dans le Parisien d'hier : Koch, pas Kock. Incapables de recopier un article anglais sans faire de fautes. Bande de trous du cul.
free jazz Posté 3 octobre 2010 Signaler Posté 3 octobre 2010 L'avis de Chomsky sur le Tea Party vu du côté libertaire, avec un gros point Godwin en guise de conclusion.
kolb Posté 8 octobre 2010 Signaler Posté 8 octobre 2010 Il y a aussi cela: LexingtonThe perils of constitution-worship One of the guiding principles of the tea-party movement is based on a myth Sep 23rd 2010 WOULDN’T it be splendid if the solutions to America’s problems could be written down in a slim book no bigger than a passport that you could slip into your breast pocket? That, more or less, is the big idea of the tea-party movement, the grassroots mutiny against big government that has mounted an internal takeover of the Republican Party and changed the face of American politics. Listen to Michele Bachmann, a congresswoman from Minnesota and tea-party heroine, as she addressed the conservative Value Voters’ Summit in Washington, DC, last week: To those who would spread lies, and to those who would spread falsehoods and rumours about the tea-party movement, let me be very clear to them. If you are scared of the tea-party movement, you are afraid of Thomas Jefferson who penned our mission statement, and, by the way, you may have heard of it, it’s called the Declaration of Independence. [Cheers, applause.] So what are these revolutionary ideas that make up and undergird the tea-party movement? Well, it’s this: All men and all women are created equal. We are endowed by our creator—that’s God, not government [applause]—with certain inalienable rights… The Declaration of Independence and the constitution have been venerated for two centuries. But thanks to the tea-party movement they are enjoying a dramatic revival. The day after this September’s constitution-day anniversary, people all over the country congregated to read every word together aloud, a “profoundly moving exercise that will take less than one hour”, according to the gatherings’ organisers. At almost any tea-party meeting you can expect to see some patriot brandishing a copy of the hallowed texts and calling, with trembling voice, for a prodigal America to redeem itself by returning to its “founding principles”. The Washington Post reports that Colonial Williamsburg has been crowded with tea-partiers, asking the actors who play George Washington and his fellow founders for advice on how to cast off a tyrannical government. Conservative think-tanks have the same dream of return to a prelapsarian innocence. The Heritage Foundation is running a “first principles” project “to save America by reclaiming its truths and its promises and conserving its liberating principles for ourselves and our posterity”. A Heritage book and video (“We Still Hold These Truths”) promotes the old verities as a panacea for present ills. America, such conservatives say, took a wrong turn when Woodrow Wilson and Theodore Roosevelt fell under the spell of progressive ideas and expanded the scope of government beyond both the founders’ imaginings and the competence of any state. Under the cover of war and recession (never let a crisis go to waste, said Barack Obama’s chief of staff, Rahm Emanuel), Franklin Roosevelt, Lyndon Johnson and now Mr Obama continued the bad work. Thus has mankind’s greatest experiment in self-government been crushed by a monstrous Leviathan. Accept for argument’s sake that those who argue this way have identified the right problem. The constitution, on its own, does not provide the solution. Indeed, there is something infantile in the belief of the constitution-worshippers that the complex political arguments of today can be settled by simple fidelity to a document written in the 18th century. Michael Klarman of the Harvard Law School has a label for this urge to seek revealed truth in the sacred texts. He calls it “constitutional idolatry”. The constitution is a thing of wonder, all the more miraculous for having been written when the rest of the world’s peoples were still under the boot of kings and emperors (with the magnificent exception of Britain’s constitutional monarchy, of course). But many of the tea-partiers have invented a strangely ahistorical version of it. For example, they say that the framers’ aim was to check the central government and protect the rights of the states. In fact the constitution of 1787 set out to do the opposite: to bolster the centre and weaken the power the states had briefly enjoyed under the new republic’s Articles of Confederation of 1777. The words of men, not of gods When history is turned into scripture and men into deities, truth is the victim. The framers were giants, visionaries and polymaths. But they were also aristocrats, creatures of their time fearful of what they considered the excessive democracy taking hold in the states in the 1780s. They did not believe that poor men, or any women, let alone slaves, should have the vote. Many of their decisions, such as giving every state two senators regardless of population, were the product not of Olympian sagacity but of grubby power-struggles and compromises—exactly the sort of backroom dealmaking, in fact, in which today’s Congress excels and which is now so much out of favour with the tea-partiers. More to the point is that the constitution provides few answers to the hard questions thrown up by modern politics. Should gays marry? No answer there. Mr Klarman argues that the framers would not even recognise America’s modern government, with its mighty administrative branch and imperial executive. As to what they would have made of the modern welfare state, who can tell? To ask that question after the passage of two centuries, says Pietro Nivola of the Brookings Institution, is to pose an impossible thought experiment. None of this is to say that the modern state is not bloated or over-mighty. There is assuredly a case to be made for reducing its size and ambitions and giving greater responsibilities to individuals. But this is a case that needs to be made and remade from first principles in every political generation, not just by consulting a text put on paper in a bygone age. Pace Ms Bachmann, the constitution is for all Americans and does not belong to her party alone. Nor did Jefferson write a mission statement for the tea- partiers. They are going to have to write one for themselves. The Economist
François Posté 18 octobre 2010 Signaler Posté 18 octobre 2010 Une réponse aux critiques libérales (au sens anglo-saxon du terme) des tea-parties http://www.nytimes.com/2010/10/18/opinion/…p;th&emc=th
Brock Posté 24 octobre 2010 Signaler Posté 24 octobre 2010 Bande de trous du cul. on dit 'journaliste'. le journaliste, c'est le trou du derriere par lequel on fait caca. aussi, un TP vient de naitre au Quebec. c'est interessant comme tendance. http://www.thestar.com/news/canada/article…a-party-is-born
Tea-Party France Posté 24 octobre 2010 Signaler Posté 24 octobre 2010 On dit extrême droite quand on est contre le dictacte du progressisme. Le progressisme c'est imposé une vision du monde que l'on estime être l'inévitable ''voie du progrès'' c'est l'essense même du facsisme (Mussolini ne se privait pas de faire l'apolosie du progrès). Un libertarien ne peut être progressiste, ou alors que d'un point de vu personnel, mais il se trouve que comme toujours se sont les progressistes qui oppriment les gens ne voulant adherer à leurs idéologie.
Brock Posté 24 octobre 2010 Signaler Posté 24 octobre 2010 salauds de progressistes qui font des tartines avec des embryons comme si c'etaient des oeufs de lompe et qui aiment l'art moderne qu'on comprend pas avec des zizis dedans
Nirvana Posté 25 octobre 2010 Signaler Posté 25 octobre 2010 http://www.rue89.com/california-dreamin/20…i-mandat-171070
Tea-Party France Posté 26 octobre 2010 Signaler Posté 26 octobre 2010 Comme tout les article de rue89 il ne s'agit que de considérations haineuses, si l'énoncé était; prenez chaque candidat et dites les clichés que peuvent avoir de bon français bouré à France 2 sur lui en caricaturant de la manière la plus grossière possible le trait, je mettrais 20/20.
Groucho Marx Posté 26 octobre 2010 Signaler Posté 26 octobre 2010 S'il n'y avait que les journalistes de France2 et de Rue89 qui étaient dans ce cas là, ça irait encore. Mais je crois que l'excellence dans la désinformation est l'apanage d'à peu près 100% d'entre eux.
Tea-Party France Posté 26 octobre 2010 Signaler Posté 26 octobre 2010 Bien entendu j'ai dis France 2 comme cela, mais je suis formel sur ce point, avec les médias français on ne peut pas savoire ce qu'il se passe vraiment.
Nirvana Posté 26 octobre 2010 Signaler Posté 26 octobre 2010 Bon, vu que sur /polac/ on a affaire à de vrais spécialistes de l'extrême droite (entre autres), j'aurais voulu te demander, Anon, si tu crois que l'équivalent du Tea Party pouvait arriver chez nous. Si oui, sous quelle forme ? Aussi butée/agressive/redneck que de l'autre côté de l'Atlantique ? (badurl) http://www.underfoule.net/polac/res/5913.html (badurl)
Tea-Party France Posté 26 octobre 2010 Signaler Posté 26 octobre 2010 Vite la dictature du prolétariat pour lutter contre les éléments réactionnaires.
justt Posté 26 octobre 2010 Signaler Posté 26 octobre 2010 Vous savez, c'est pas parce qu'ils ont l'air libertariens d'assez loin qu'ils ne sont pas authentiquement cons…
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