Chitah Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Sinon, pour détendre l'atmosphère : http://24heuresactu.com/2011/11/14/un-skinhead-devient-gay-apres-un-accident-photos/
free jazz Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Ce que j'ai écrit c'est : l'islamophobie n'est pas une maladie, donc ton accusation tombe à l'eau. (de même pour l'homophobie d'ailleurs). Et j'ai écrit que dire que l'islam est homophobe par nature est une erreur, c'est tout. Après, il existe bien entendu des musulmans homophobes. J'ai très bien compris que tu t'es toi-même enfermé dans une contradiction insoluble en assimilant l'islamophobie à une sorte de racisme pathologique et donc, aux yeux de la loi, de discrimination passible d'une condamnation pénale. Dès qu'est enclenchée cette mécanique de prolifération des phobies, tu ne pourras pas empêcher les homosexuels et leur fan-club de se déclarer à leur tour victimes des religions et des institutions naturelles, et d'accuser l'islam au motif qu'il constitue une doctrine de haine, de rejet et d'exclusion à l'égard des homosexuels. Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. Dans une minarchie, les 3/4 des lobbys crieraient dans le désert (pas longtemps d'ailleurs). Sans doute, mais là tu parles de ton petit monde imaginaire, non des causes réelles de l'extension actuelle des procédures arbitraires.
Chitah Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 J'ai très bien compris que tu t'es toi-même enfermé dans une contradiction insoluble en assimilant l'islamophobie à une sorte de racisme pathologique et donc, aux yeux de la loi, de discrimination passible d'une condamnation pénale. J'ai écrit exactement le contraire. J'ai dit que ce N'ETAIT PAS une pathologie, toi tu comprends que C'EST une pathologie. Sur l'histoire de la condamnation pénale, c'est également croustillant. En fait, je suis anarcap, mais je tiens à ce que l'Etat conserve une seule compétence : punir les gens vilains avec l'islam. N'importe nawak. Tout cela montre que j'ai raison. Ce n'est pas grave, je sais que tu es intelligent et que intérieurement tu as révisé ta position.
poney Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Sans doute, mais là tu parles de ton petit monde imaginaire, non des causes réelles de l'extension actuelle des procédures arbitraires. C'est effectivement un monde imaginaire, mais je tente de ne pas inverser cause et conséquence. La "tyrannie des minorités", comme tu dis, n'est que la conséquence d'un Etat sorti de son lit depuis bien trop longtemps, qui lui est la cause de tout ce fatras.
free jazz Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Tout ce qu'on voit arriver montre plutôt que j'avais raison, hélas, en expliquant que cette légalisation du prétendu mariage homosexuel, loin d'aller vers davantage de liberté, entraînerait davantage d'ingénierie et de contrôle social, de mainmise du gouvernement dans les affaires familiales, de constructivisme et de chasse aux sorcières exercée par les groupes d'oppression. En parlant de rééducation, un article paru dans l'immonde avant l'élection qui m'avait mis la puce à l'oreille. Parler d'homosexualité dès l'école maternelle : une nécessité, par Gaël PasquierL'actuel ministre se démarque donc des instructions données par son prédécesseur qui englobaient dans ce combat l'ensemble de l'Ecole, avec une majuscule, sans créer de distinction entre les niveaux d'enseignement. Il méconnaît également d'autres textes officiels qui, tels que celui publié au Bulletin officiel du 2 novembre 2000, inscrivaient la lutte contre l'homophobie " à l'école, au collège, et au lycée " dans le cadre de l'éducation à l'égalité des filles et des garçons par l'intermédiaire de la lutte contre les stéréotypes de sexes. Ces injonctions contradictoires nécessitent donc certains rappels : 1. La lutte contre l'homophobie, conformément aux instructions officielles de l'éducation nationale, concerne tous les niveaux d'enseignement et commence dès la petite section de l'école maternelle. Néanmoins, elle ne saurait prendre dans l'enseignement primaire la même forme qu'au collège et au lycée. Elle n'implique pas nécessairement de parler de sexualité mais nécessite de diversifier les modèles proposés aux élèves. Les agencements familiaux, sexuels et sentimentaux actuels sont beaucoup plus nombreux et complexes que ceux qui leurs sont communément proposés comme des horizons de vie souhaitables. 2. Interroger les stéréotypes de sexes comme le demande la "Convention interministérielle pour l'égalité entre les filles et les garçons, les femmes et les hommes dans le système éducatif" de 2006 ne peut se faire sans questionner l'injonction à l'hétérosexualité qu'ils véhiculent. Un petit garçon ne fera pas nécessairement sa vie d'adulte avec une femme, une petite fille n'est pas tenue d'espérer un prince charmant. Pourtant les histoires racontées en classe envisagent rarement d'autres possibles. Diversifier les représentations que l'on propose aux élèves est donc là aussi primordial. 3. La lutte contre l'homophobie dès les premiers niveaux d'enseignements est d'autant plus nécessaire qu'il y a potentiellement dans chaque classe des garçons ou des filles qui aimeront un jour de manière définitive ou occasionnelle quelqu'un de leur sexe. On évalue en général entre 5 % et 10 % le pourcentage d'homosexuels ou de lesbiennes dans une population donnée. A l'échelle d'une classe de trente élèves, cela représente entre un et trois enfants ou adolescent-e-s amenés un jour à se qualifier ainsi. La prévalence du suicide chez les jeunes homosexuel-le-s implique que l'homosexualité soit banalisée dès le plus jeune âge. Sinon, comment éviter qu'un adolescent attiré par une personne de son sexe ne se perçoive comme marginal ? 4. Il n'est pas nécessaire de comprendre le sens d'une insulte pour qu'elle soit efficace. Il arrive que des élèves d'élémentaire mais aussi de maternelle utilisent le terme "pédé" afin de blesser un camarade. Certes les enfants ne connaissent pas toujours la signification des mots qu'ils emploient mais ils saisissent très bien qu'ils désignent un comportement humiliant et répréhensible. Celui ou celle qui se découvre ou se découvrira homosexuel-le n'a pas besoin d'avoir été lui ou elle-même insulté-e pour intérioriser cette honte. 5. La lutte contre l'homophobie ne se limite pas à la condamnation des insultes ou des remarques homophobes. Réagir à des propos injurieux est une obligation de tout éducateur et de toute éducatrice mais ne saurait suffire. Il faut cesser de présenter l'hétérosexualité comme étant la seule sexualité normale, naturelle et légitime. Cela implique d'utiliser en classes des situations quotidiennes souvent nombreuses, comme lorsqu'un élève dit à un-e camarade qu'un garçon ne peut pas être amoureux d'un garçon ou une fille embrasser une fille. 6. Il n'est pas nécessaire de demander une autorisation aux parents d'élèves pour aborder ces sujets en classe. Il est toutefois possible de les informer qu'ils le seront au cours de l'année scolaire. Des parents ne sauraient soustraire leur enfant aux enseignements obligatoires : la lutte contre les discriminations racistes, antisémites, sexistes et homophobes fait partie des missions de l'école républicaine au même titre que l'apprentissage de la lecture et du calcul. 7. La lutte contre l'homophobie ne s'ajoute pas à l'ensemble d'un programme d'apprentissage déjà chargé mais s'intègre aux enseignements traditionnels. Un livre comme L'Heure des parents, de Christian Bruel, en montrant différentes formes de schémas familiaux, est un formidable support pour une séance de langage en petite section. Camélia et Capucine, d'Adela Turin, conte de fées atypique, se prête volontiers à une analyse littéraire en CM2. 8. Tout comme parler du fait religieux n'implique pas de faire la promotion du judaïsme, du christianisme ou de l'islam, évoquer l'homosexualité en classe ne peut s'apparenter à du prosélytisme et ne saurait influencer de manière néfaste le développement de l'enfant. Il s'agit simplement de proposer aux élèves des outils pour comprendre le monde qui les entoure, de leur apprendre la tolérance et le respect, valeurs constitutives de l'école républicaine, et de leur permettre de se projeter, d'une manière adaptée à leur âge, dans leur vie future. Gaël Pasquier est directeur d'une école maternelle et doctorant en sciences de l'éducation
Chitah Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 En parlant de rééducation, un article paru dans l'immonde avant l'élection qui m'avait mis la puce à l'oreille. Un corollaire de ton interrogation est la question suivante : l'éducation est-elle une science? En effet l'auteur de l'article est doctorant en sciences de l'éducation, je ne sais pas pourquoi j'ai l'impression que l'ombre du charlatanisme scientiste n'est pas loi, qu'en penses-tu? Ou peut-être que ce sont les forumeurs qui ont des gosses qui peuvent nous éclaire?
Tremendo Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Parce que la carte a pour titre je crois "l'homophobie dans le monde musulman". Voici une carte concernant l'homophobie dans le monde : http://www.guidomo.f...comment-page-1/ Tu vois qu'il manquait des pays africains, l'Inde (excusez du peu) notamment. Les peines pour homophobie existent essentiellement dans les pays dont les gouvernements sont des arriérés. Pour le reste : post hoc ergo propter hoc comme d'habitude. Certe il y a corrélation avec gouvernements pourris aussi, m'enfin les grosses tâches rouges et oranges sont quand même concentrées dans les pays musulmans, et en Inde il y en a 140 millions tout de même. Moi je cherche juste à comprendre je n'affirme rien. En parlant de rééducation, un article paru dans l'immonde avant l'élection qui m'avait mis la puce à l'oreille. Il n'est pas nécessaire de demander une autorisation aux parents d'élèves pour aborder ces sujets en classe. Il est toutefois possible de les informer qu'ils le seront au cours de l'année scolaire. Des parents ne sauraient soustraire leur enfant aux enseignements obligatoires : la lutte contre les discriminations racistes, antisémites, sexistes et homophobes fait partie des missions de l'école républicaine au même titre que l'apprentissage de la lecture et du calcul. C'est le problème de l'école publique et des programmes pilotées d'en haut. Les parents son pris en otage au gré des idéologies à la mode. C'est quand même aberrant de tenir des discours pareils, les gens ne se rendent pas compte à quel point on a affaire à des totalitaires en herbe.
Chitah Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Certe il y a corrélation avec gouvernements pourris aussi, m'enfin les grosses tâches rouges et oranges sont quand même concentrées dans les pays musulmans, et en Inde il y en a 140 millions tout de même. Tu as remarqué que les pays musulmans sont en général plus chaud que les autres pays? Ainsi, l'islam provoque la montée de la température moyenne? Franchement ces histoires de corrélation sont farfelues non? L'être humain est par nature intolérant, voilà tout. Les américains ont retiré l'homosexualité de la liste des maladies mentales dans les années 70, et j'apprends à l'instant que les chinois ont fait de même en…2001! Donc bon.
Tremendo Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Tu as remarqué que les pays musulmans sont en général plus chaud que les autres pays? Ainsi, l'islam provoque la montée de la température moyenne? Franchement ces histoires de corrélation sont farfelues non? L'être humain est par nature intolérant, voilà tout. Les américains ont retiré l'homosexualité de la liste des maladies mentales dans les années 70, et j'apprends à l'instant que les chinois ont fait de même en…2001! Donc bon. Il est vrai qu'historiquement l'homosexualité n'a eu de cesse d'être criminalisée dans les sociétés plus traditionnelles, ce fut vrai en tout temps et en tout lieu, avec tout de même des différences, dans les meilleurs des cas l'homosexualité était simplement tabou et s'afficher comme tel était réprouvé par la morale. Une autre possibilité est que les pays musulmans souffrent actuellement d'un déficit cruel en intellectuels , mais aussi de manière générale d'une société civile capable d'aller à rebours de ses gouvernants et intellectuels islamistes qui trouvent écho internationalement. Ca viendra bien sûr.
Bisounours Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Un corollaire de ton interrogation est la question suivante : l'éducation est-elle une science? En effet l'auteur de l'article est doctorant en sciences de l'éducation, je ne sais pas pourquoi j'ai l'impression que l'ombre du charlatanisme scientiste n'est pas loi, qu'en penses-tu? Ou peut-être que ce sont les forumeurs qui ont des gosses qui peuvent nous éclaire? Si je puis me permettre d'intervenir en tant que maman et travailleur social (ouch, ça fait mal) Je demande à l'école de se contenter d'instruire mon enfant, dans un environnement respectueux et paisible, point final. C'est le lieu où l'on apprend des savoirs de base indispensables sans se faire laver le cerveau, là il s'agit davantage de pédagogie L'éducation devrait être du domaine de la sphère familiale et privée, auquel cas elle n'est vraiment pas une science, mais un bricolage au quotidien, la transmission de certaines valeurs, et chacun fait pour le mieux Bien sûr, il existe des situations où les parents peuvent être défaillants et c'est là que des "professionnels de l'éducation" peuvent intervenir. Alors je dirais que oui, l'éducation est une science humaine, dans le sens où certains se sont penchés sur la connaissance de certains mécanismes intimes, mais limitée et cadrée. Pour aider et soutenir des parents en difficulté, il est nécessaire de connaitre certaines "bases" afin de ne pas faire plus de dégâts qu'existants. Mais c'est difficile, j'y ai été confrontée. Bon, je n'ai jamais rien dit que des trucs évidents, en fait
poney Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Des trucs évidents pour des libéraux, pas pour des socialistes, qui pensent tout le contraire (je caricature à peu de frais, je sais).
Lancelot Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 En effet l'auteur de l'article est doctorant en sciences de l'éducation, je ne sais pas pourquoi j'ai l'impression que l'ombre du charlatanisme scientiste n'est pas loi, qu'en penses-tu ? Ce que je peux en dire : lorsque des étudiants passent un concours administratif mais qu'ils n'ont pas le niveau requis (par exemple un master pour passer une agrégation), une magouille bien connue est de leur filer un diplôme bidon en "sciences de l'éducation".
Bisounours Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Abon ? Il y a pas une filière spéciale qui s'appelle comme ça, en fac ?
Lancelot Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Il y a pas une filière spéciale qui s'appelle comme ça, en fac ? Aussi. Mais sachant qu'on distribue leur diplôme à des gens qui n'y ont jamais foutu les pieds, j'ai tendance à ne pas les prendre super au sérieux.
Malky Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Un corollaire de ton interrogation est la question suivante : l'éducation est-elle une science? En effet l'auteur de l'article est doctorant en sciences de l'éducation, je ne sais pas pourquoi j'ai l'impression que l'ombre du charlatanisme scientiste n'est pas loi, qu'en penses-tu? Un avis de M. Feynman sur la question en français : Je me suis alors posé la question suivante : "N'y a-t-il pas des choses plus ordinaires auxquelles les gens croient sans raison valable ?" (J'ai alors pensé aux sorciers ; dommage qu'il n'y en ait plus parce qu'il aurait été facile dans ce cas-là de faire la preuve que leurs remèdes ne marchent pas). Finalement, j'ai trouvé : les gens croient, par exemple, qu'il existe une science de l'éducation. On enseigne la pédagogie ; il y a des gens qui réfléchissent à la manière d'enseigner les mathématiques, etc. Et pourtant, en dépit de toutes ces réflexions sur la façon d'améliorer nos techniques d'enseignement, le rendement de l'enseignement ce cesse de baisser ; au mieux il reste stationnaire. Voilà donc un exemple de remède de sorcier qui ne marche pas. Mais on pourrait songer à d'autres exemples ; la manière dont nous traitons les criminels en est un. On n'a fait aucun progrès dans ce domaine ; il y a des tas de théories mais on ne fait aucun progrès ; la manière dont nous traitons les criminels ne fait pas le moins du monde diminuer la criminalité. La docimologie est ce qu'il y a de plus proche d'une science, amha, mais c'est n'est pas stricto sensu une science de l'éducation.
Chitah Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Merci à Bisounours, poney, Lancelot et Malky. C'est bien ce qui me semblait, ce truc des sciences de l'éducation c'est très vraisemblablement du charlatanisme (je garde cependant en tête les réflexions de Bisounours qui modère un peu ce propos).
F. mas Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Les sciences de l'éducation, c'est surtout un diplôme destiné à légitimer tous ces parasites qui prétendent former les enseignants dans les IUFM. Il faut bien justifier aux yeux des crétins une telle rente de situation.
Tremendo Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Les sciences de l'éducation, c'est surtout un diplôme destiné à légitimer tous ces parasites qui prétendent former les enseignants dans les IUFM. Il faut bien justifier aux yeux des crétins une telle rente de situation. Un diplôme en éducation? Ca sert à quelque chose?
F. mas Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 à faire vivre des parasites socialistes et socialisants http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Meirieu
Tremendo Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 à faire vivre des parasites socialistes et socialisants http://fr.wikipedia....hilippe_Meirieu J'ai toujours pensé qu'être prof était une vocation qu'un diplôme ne pourrait jamais remplacer, le tout complété par des connaissances dans les disciplines qu'on enseignaient.
Malky Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Hmm Meirieu : Engagé aux côtés du PS, puis d'Europe Écologie, il se définit lui-même comme militant et homme de gauche. En s'appuyant sur les écrits des grands pédagogues (de Rousseau à Freinet) Rousseau grand pédagogue, sans rire… Par contre dans la page WP de Freinet il y a un lien vers les écoles libertaires de Hambourg que je ne connaissais pas, et le sujet me semble très intéressant.
Bisounours Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 On parle pas de la même chose en fait, pour vous, sciences de l'éducation, c'est le gars qui apprend à apprendre aux élèves en iufm, et là, effectivement, on retrouve le gloubiboulga à la con, les séances de branlette interpellées au niveau du vécu, avec référentiel bondissant à la clé, sauce socialiste et cie, on est ok Je cause des métiers de l'éducation spécialisée, ceux qui interviennent auprès des familles défaillantes, en dehors de tout contexte pédagogogique, évidemment, on y retrouve pas mal de bouffons lavés du cerveau, avec le pin's touche pas à mon pote, hélas, et c'est bien pour cela que j'ai eu quelques difficultés…
Bisounours Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Houla, je l'ai lu il y a des années, ça me rajeunit pas !
sans Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Une autre possibilité est que les pays musulmans souffrent actuellement d'un déficit cruel en intellectuels , mais aussi de manière générale d'une société civile capable d'aller à rebours de ses gouvernants et intellectuels islamistes qui trouvent écho internationalement. Ca viendra bien sûr. Ma théorie est que les gouvernement actuels de ces pays (je pense surtout au Maroc et à l'Algérie) tiennent à se la jouer islamistes de façade pour éviter une prise de pouvoir islamiste (cf, le FIS dans les années 90 et la guerre civile). Si j'en crois ce qu'on m'a dis, l'homosexualité y est notoirement pratiquée par un certain nombre de gens (par contre, c'est de la bisexualité, un homme qui renonce aux femmes, les gens trouve ça étrange) Evidemment, les lois qui existent sont utra-rarement/jamais appliquées. Je crois d'ailleurs savoir que l'application d'une peine nécessite plusieurs témoins ayant assisté à la pénétration.
poney Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Théssier à bien eu sa thèse, a partir de là, n'importe quoi peut-être de la science.
Nick de Cusa Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Sérieux ? A votre avis ? http://www.baylorisr.org/wp-content/uploads/Regnerus.pdf
poney Posté 16 novembre 2012 Signaler Posté 16 novembre 2012 Je lirai ça demain, ou déjà ce soir, et j'te dirai ce que j'en pense. Mais ce que je peux dire en l'ayant simplement "traversé" (ce qui permet de parfois se faire une bonne impression) : - Social Science Research est une revue (très) sérieuse - Les références sont nombreuses et se "croisent" (mobilisation d'auteurs qui s'opposent, triangulation de publications, …) - Panel d'étude très large (3 000 personnes interrogées à la louche) Je ne connais pas Regnerus mais le papier à l'air sérieux. Mais sans le lire, impossible de dire mieux que "à l'air".
Nick de Cusa Posté 17 novembre 2012 Signaler Posté 17 novembre 2012 Merci Poney, au plaisir de te lire.
Chitah Posté 17 novembre 2012 Signaler Posté 17 novembre 2012 On parle pas de la même chose en fait, pour vous, sciences de l'éducation, c'est le gars qui apprend à apprendre aux élèves en iufm, et là, effectivement, on retrouve le gloubiboulga à la con, les séances de branlette interpellées au niveau du vécu, avec référentiel bondissant à la clé, sauce socialiste et cie, on est ok Je cause des métiers de l'éducation spécialisée, ceux qui interviennent auprès des familles défaillantes, en dehors de tout contexte pédagogogique, évidemment, on y retrouve pas mal de bouffons lavés du cerveau, avec le pin's touche pas à mon pote, hélas, et c'est bien pour cela que j'ai eu quelques difficultés… Non mais c'est très intéressant : sur la première catégorie, on a du clochard intellectuel, mais sur la seconde on connait moins.
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