Dan Posté 5 octobre 2010 Signaler Posté 5 octobre 2010 Aujourd'hui un enseignant de mon IUT m'a dit que notre filière sélective bac +3 a un meilleur niveau que les filières générales. Je lui ait demandé si un étudiant qui avait des très bons résultats pouvait continuer en Master M1 pro, et là j'ai eu une réponse pour la moins surprenante :"Pour aller en Master M1 il faut obligatoirement une lettre de recommandation du directeur de l'IUT même si tu es major de promo. Malheureusement le directeur a reçu l'ordre de l'éducation nationale de ne pas en faire car l'État a surement mis en place des quotas pour ne laisser que les filières générales accéder à ce type d'étude même si ils elles possèdent un niveau inférieure à ta filière". C'est effectivement vraiment pathétique. D'autant plus qu'en France, le diplôme te suit souvent toute ta vie quelque soit tes performances ultérieures. Un collègue dans l'informatique financière des banques de marché a un BTS. Il a 40 ans et maintenant 10 ans comme prestataire dans ce domaine. Compétent, travailleur, efficace. Lorsqu'il a postulé dans une grande banque en interne, on lui expliqué que compte tenu de son diplôme, il appartenant à tel grille de salaire et pas à une autre. Incroyable. Il travaille quotidiennement avec des business Analysts et il fait parti des très bons. Mais non, il a eu un BTS il y a 20 ans donc il doit être payé 20% de moins. C'est comme ça. Heureusement qu'il y a un marché parallèle plus pragmatique et juste. Mais cette mentalité se retrouve fréquemment dans les grandes boites. Nous sommes vraiment un pays de caste.
Calembredaine Posté 5 octobre 2010 Signaler Posté 5 octobre 2010 -> De mon point de vue, un anarcap qui met en pratique ses idées dans une société étatiste a beaucoup de chances de ne pas respecter les lois étant donné qu'il ne reconnait pas le monopole de la puissance publique. Ha ok. Mais tu oublies de dire qu'un anarcap qui met ses idée en pratique dans une société étatiste est un anarcap mort. Personnellement, je ne suis pas suicidaire et la meilleure façon de mettre ses idées en pratique, c'est de louvoyer tout en respectant -en façade- scrupuleusement la législation. Par exemple, je ne dénoncerai jamais un clandestin même s'il y a peu de chance que je lui apporte une aide autre que très ponctuelle et dont le risque est proche de zéro.
mr_kawim Posté 5 octobre 2010 Signaler Posté 5 octobre 2010 Pour quoi faire ? J'aimerais faire 1 an a la Korea University Business School, quelqu'un connait ?? Le pays est plus ouvert que son voisin du nord ou pas ??
Johnnieboy Posté 5 octobre 2010 Signaler Posté 5 octobre 2010 J'aimerais faire 1 an a la Korea University Business School, quelqu'un connait ??Le pays est plus ouvert que son voisin du nord ou pas ?? Connais pas l'école. Je peux juste te dire que les Coréens sont ouverts et chaleureux (même un peu trop parfois), les Coréennes jolies et pas effrayées par les étrangers, la ville de Séoul est géniale, on s'y amuse beaucoup, on y mange bien, on boit un peu trop. Sinon, c'est relativement propre et moderne. J'ai encore pas mal d'amis coréens, envoie-moi un MP si tu veux que je leur demande quelque chose pour toi.
Yul Posté 5 octobre 2010 Signaler Posté 5 octobre 2010 Nous sommes vraiment un pays de caste. et c'est le même pays qui se prétend égalitaire, où tu peux pas allumer la télé sans entendre 15 fois le mot "solidaire" en l'espace d'une minute…. je ne vais rien dire de bien neuf, mais à mon avis, il y a probablement un passif culturel hérité de l'Ancien Régime sur lequel s'est greffé la société stratifiée et figée à laquelle aboutissent généralement les régimes socialistes. Cette histoire de diplômes est d'autant plus pathétique quand on sait le peu de valeur de beaucoup des diplômes français.
Théo31 Posté 5 octobre 2010 Signaler Posté 5 octobre 2010 il y a probablement un passif culturel hérité de l'Ancien Régime Ce qui fait dire à l'auteur de La France injuste que "l'ancien régime défile dans la rue".
Jiplasse Posté 6 octobre 2010 Signaler Posté 6 octobre 2010 Bonjour, histoire de plomber un peu plus le moral de certains … : Le PS veut faire payer les français résidants à l'étranger.
0100011 Posté 6 octobre 2010 Signaler Posté 6 octobre 2010 Bonjour,histoire de plomber un peu plus le moral de certains … : Le PS veut faire payer les français résidants à l'étranger. Les commentaires sont à vomir.
Nirvana Posté 6 octobre 2010 Signaler Posté 6 octobre 2010 La Corée du Nord, on y est. Vivement le développement de l'exploration spatiale. On ne sera tranquille que sur une autre planète.
Tremendo Posté 6 octobre 2010 Signaler Posté 6 octobre 2010 Les commentaires sont à vomir. Je trouve dans l'ensemble qu'ils vont dans notre sens, quant à moi, je vais de ce pas faire les démarches pour acquérir la nationalité mauricienne que je peux avoir par ma mère. Le jour où cette loi passe -et il y a fort à parier que les socialistes de droite soient séduits par cette proposition- et bien je rends ma nationalité.
Adrian Posté 6 octobre 2010 Signaler Posté 6 octobre 2010 Finalement, la question est plutôt " Comment faire pour que la France nous quitte ?" .
Baltar Posté 6 octobre 2010 Signaler Posté 6 octobre 2010 Bonjour,histoire de plomber un peu plus le moral de certains … : Le PS veut faire payer les français résidants à l'étranger. DSK avait déjà évoqué une proposition du même type à l'époque.
pilgrim Posté 6 octobre 2010 Signaler Posté 6 octobre 2010 L'état ressemble de plus en plus à un chien affamé qui poursuit un nonos.
pilgrim Posté 6 octobre 2010 Signaler Posté 6 octobre 2010 D'accord avec tout ce qui est dit dans ce texte. (sauf peut être sur les 30 ans, j'espère bien que la roue commencera à tourner bien avant.)J'ajoute que parmi les raisons d'espérer, je suis frappé par l'augmentation de la culture économique et politique des jeunes libéraux. Il y a 20 ans, lorsque je collais mes premières affiches "Madelin", les jeunes de démocratie libéral, ça clapotait dans un utilitarisme approximatif se limitant à "le libéralisme, c'est payer moins d’impôts et devenir jeune cadre dynamique dans une grande société." En face, les étatistes avaient une vraie culture économique (marxiste certes, mais culture tout de même) et politique. Le résultat c'est que dans les débats, les jeunes libéraux se faisaient facilement démonter. Aujourd'hui, j'ai l'impression que la tendance est inverse. Et cela se sent dans les commentaires sur les forums. Les Etatistes clapotent souvent au niveau d'un discours bisounours convenu. Et les libéraux ont en général une meilleure connaissance économique et politique (avec une très forte augmentation de la tradition jusnaturaliste) Dont une partie vient clairement d'internet. Pour fréquenter un peu les jeunes gauchos, je peux te dire qu'aucun n'a lu marx, bakounine, lénine, jaurès, sartre etc Leur culture c'est un mélange de tv, de libé et de libelles syndicalistes. Je les démonte en 20 s chrono.
Johnnieboy Posté 6 octobre 2010 Signaler Posté 6 octobre 2010 La Corée du Nord, on y est. Vivement le développement de l'exploration spatiale. On ne sera tranquille que sur une autre planète. Si ma mémoire ne me fait pas défaut, je crois bien que même les Américains a l'étranger paient des impôts.
Tremendo Posté 6 octobre 2010 Signaler Posté 6 octobre 2010 Si ma mémoire ne me fait pas défaut, je crois bien que même les Américains a l'étranger paient des impôts. C'est étrange d'ailleurs que cela nous vienne d'Amérique cette proposition. Il me semble que si les américains de l'étranger ne paient pas, il ne vaut mieux pas qu'ils reviennent aux USA, le fisc peut les empêcher de repartir et leur exiger le paiement sur le champ.
philippulus Posté 7 octobre 2010 Signaler Posté 7 octobre 2010 Le PS veut faire payer les français résidants à l'étranger. Cela fait suite à ce communiqué : COMMUNIQUE DE PRESSENON A LA DOUBLE PEINE FISCALE Le Président socialiste de la Commission des Finances de l’Assemblée nationale, Jérôme CAHUZAC, propose la création d’un impôt sur le revenu des Français « qui travaillent à l’étranger ». Cette proposition revient sur le tapis budgétaire régulièrement. La cible est toute trouvée : la diaspora française. Elle est loin, mal informée et pas encore représentée à l’Assemblée nationale. Il est donc tout naturel de lui infliger une double peine fiscale. Celle-ci avait d’ailleurs déjà été proposée par Dominique STRAUSS-KAHN pendant la campagne présidentielle de 2007, embarrassant la candidate investie par son parti. De fait, Ségolène ROYAL, en déplacement à Berlin, n’avait pas jugé pertinent de reprendre la proposition. Pourquoi ? Plusieurs raisons, dont chacune suffit : La première est que cet impôt concernerait un nombre si faible de nos ressortissants que sa mise en oeuvre couterait plus cher que les recettes qu’il pourrait in fine rapporter à l’Etat. En effet - le Président de la Commission des Finances ne peut ignorer – il ne serait pas applicable dans les 127 pays liés à la France par des conventions fiscales. Pays dans lesquels la présence française est la plus importante, comme le Royaume-Uni, la Suisse, la Belgique, les Etats-Unis, le Canada, l’Allemagne, mais aussi le Brésil, le Liban, Israël… Tous les Français résidant dans ces 127 pays, échapperaient donc à l’impôt proposé par M. Cahuzac. Il ne peut pas l’ignorer. La deuxième raison est que si on décide quand même de remettre tout à plat et notamment ces 127 conventions fiscales, il faut bien comprendre qu’une telle taxe ne se décide pas seul. Il faudrait négocier à nouveau avec nos 127 partenaires actuels, mais aussi avec le reste du monde. Au cas, peu probable, où on obtiendrait un accord unanime, cela prendrait des décennies. La troisième raison est que cet amendement révèle une méconnaissance exaspérante de la mobilité internationale. D’une part, partir ne signifie pas fuir l’impôt. Les Français de l’étranger ne sont pas des exilés fiscaux. Tous, nous connaissons quelqu’un, famille ou ami, qui est parti vivre une expérience à l’étranger. L’objectif de ces compatriotes, c’est avant tenter leur chance. Et tous paient des impôts, que ce soit en France ou à l’étranger. D’autre part, la moitié des Français à l’étranger sont des binationaux, pas des riches expatriés. Ceux-là ne sont pas tous nés en France, ils n’y ont pas été soignés, ils ne sont pas allés à l’école publique. Vivre à l’étranger, c’est prendre un risque. Car la solidarité française n’est pas nationale, elle est territoriale. Ceux qui ne résident pas en France ne peuvent prétendre à rien. Pas de CMU, pas d’allocation. Pendant la crise, les salariés de la City de Londres sont peut-être revenus en France, mais ils n’ont pas touché les Assedics. Le seul droit intangible que nos ressortissants conservent au-delà de nos frontières, c’est le droit de vote. Et je ne peux qu’espérer qu’ils l’utiliseront massivement pour faire entendre leur voix dans les deux chambres du Parlement, contre la double peine fiscale. Robert del PICCHIA Sénateur des Français établis hors de France Vice-Président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées
philippulus Posté 7 octobre 2010 Signaler Posté 7 octobre 2010 histoire de plomber un peu plus le moral de certains … :Le PS veut faire payer les français résidants à l'étranger. Les trois conditions généralement admises lorsqu'il doit être décidé dans quel pays vous payez l'impôt sont : - le lieu de votre travail - le lieu de votre résidence - le lieu ou réside les membres de votre foyer Typiquement, en ce qui concerne la seconde condition, il est admis que si vous passez plus de 6 mois par an dans un lieu de résidence, même si vous en avez plusieurs, c'est dans le pays de cette résidence principale ou l'impôt doit être payé. C'est le cas de tous les français résident à l'étranger ! Comme ces derniers exercent généralement leur activité dans le pays du lieu de résidence, et sont généralement accompagnés des membres de leur famille, c'est bien dans leur pays de résidence qu'ils doivent payer l'impôt. Au delà de ces considérations, accords fiscaux bilatéraux ou pas, l'Etat français n'a aucun droit d'imposer une fiscalité aux résidents nationaux de l'étranger. Pour ma part, je suis parti à l'étranger et n'y touche plus aucune prestation. De plus, j'ai choisi de ne pas souscrire à l'assurance sociale des français de l'étranger, mais ai souscrit un contrat privé. Je n'ai aucun compte à rendre à l'état français, et si le prix à payer est de ne plus jamais remettre les pieds sur le territoire français, voir dans l'UE, et bien qu'ils aillent tous se faire empapaouter chez les esquimaux ou toute autre peuplade suffisamment membrée pour tuméfier douloureusement leurs sphincters annaux.
POE Posté 7 octobre 2010 Signaler Posté 7 octobre 2010 Je n'ai aucun compte à rendre à l'état français, et si le prix à payer est de ne plus jamais remettre les pieds sur le territoire français, voir dans l'UE, et bien qu'ils aillent tous se faire empapaouter chez les esquimaux ou toute autre peuplade suffisamment membrée pour tuméfier douloureusement leurs sphincters annaux. A moins que cela ne dure qu'un an, l'usage veut qu'on ne mette qu'un seul n à anaux pluriel d'anal.
fbr1010 Posté 7 octobre 2010 Auteur Signaler Posté 7 octobre 2010 C'est effectivement vraiment pathétique. D'autant plus qu'en France, le diplôme te suit souvent toute ta vie quelque soit tes performances ultérieures. Un collègue dans l'informatique financière des banques de marché a un BTS. Il a 40 ans et maintenant 10 ans comme prestataire dans ce domaine. Compétent, travailleur, efficace. Lorsqu'il a postulé dans une grande banque en interne, on lui expliqué que compte tenu de son diplôme, il appartenant à tel grille de salaire et pas à une autre. Incroyable. Il travaille quotidiennement avec des business Analysts et il fait parti des très bons. Mais non, il a eu un BTS il y a 20 ans donc il doit être payé 20% de moins. C'est comme ça. Heureusement qu'il y a un marché parallèle plus pragmatique et juste. Mais cette mentalité se retrouve fréquemment dans les grandes boites. Nous sommes vraiment un pays de caste. -> Ton histoire ne m'étonne pas. Pendant une année je me suis occupé du service informatique d'une PME de 120 salariés en mettant en place des solutions permettant de limiter les pertes financières dues à des pannes techniques, tout en faisant faire en parallèle 100 000€ net d'économies par an à entreprise grâce à la négociation de contrats NTIC avantageux. Ensuite pendant mon BTS j'ai travaillé dans une multinationale du géomarketing ou j'ai mis en place un gros projet d'amélioration de la productivité qui dépassait très largement les objectifs qui m'avaient fixés. Malgré mes expériences, à la sortie du bac +2 j'avais effectivement pleins d'entreprises qui étaient intéressées par ma candidature, sauf qu'elles me proposaient un salaire moyen en CDI en mettant en avant le fait que leurs grilles de rémunération classent les personnes selon leurs diplômes et non selon leurs compétences. Étant donné que les évolutions de carrière se font difficilement dans notre pays, j'ai préféré continuer les études. <–<
Chitah Posté 7 octobre 2010 Signaler Posté 7 octobre 2010 -> Ton histoire ne m'étonne pas. Pendant une année je me suis occupé du service informatique d'une PME de 120 salariés en mettant en place des solutions permettant de limiter les pertes financières dues à des pannes techniques, tout en faisant faire en parallèle 100 000€ net d'économies par an à entreprise grâce à la négociation de contrats NTIC avantageux. Ensuite pendant mon BTS j'ai travaillé dans une multinationale du géomarketing ou j'ai mis en place un gros projet qui dépassait très largement les objectifs qui m'avaient fixés.Malgré mes expériences, à la sortie du bac +2 j'avais effectivement pleins d'entreprises qui étaient intéressées par ma candidature, sauf qu'elles me proposaient un salaire moyen en CDI en mettant en avant le fait que leurs grilles de rémunération classent les personnes selon leurs diplômes et non selon leurs compétences. Étant donné que les évolutions de carrière se font difficilement dans notre pays, j'ai préféré continuer les études. <–< Et la validation des acquis de l'expérience, ça ne marchait pas?
ShoTo Posté 7 octobre 2010 Signaler Posté 7 octobre 2010 En même temps pour une première embauche, on a quoi d'autres à vendre qu'un diplôme ?
fbr1010 Posté 7 octobre 2010 Auteur Signaler Posté 7 octobre 2010 Et la validation des acquis de l'expérience, ça ne marchait pas? -> Il me semble que la VAE ne sert qu'à avoir des certificats et non des diplômes, et qu'en plus il faut plus d'années d'expériences que d'années de cours équivalents. En même temps pour une première embauche, on a quoi d'autres à vendre qu'un diplôme ? -> Là ce n'est pas une première embauche car j'avais déjà de l'expérience. Le truc c'est que les entreprises ont peur de se tromper lorsqu'elles prennent en CDI et donc le diplôme leur sert de sécurité.
fbr1010 Posté 7 octobre 2010 Auteur Signaler Posté 7 octobre 2010 Bonjour,histoire de plomber un peu plus le moral de certains … : Le PS veut faire payer les français résidants à l'étranger. -> Ce qui me dégoute surtout c'est que de nombreuses personnes vont encore voter en se disant "UMP = moins d'impôts, PS = plus d'impôts" alors qu'au final l'UMP met autant de nouvelles taxes en place que le PS au lieu de changer de politique…
Esperluette Posté 9 octobre 2010 Signaler Posté 9 octobre 2010 En tout cas, certaines entreprises privées semblent trancher la question "faut-il quitter la France ?". Bye-bye Ryanair à Marseille : Ryanair envisage de quitter MarseilleLa compagnie irlandaise à bas coûts Ryanair envisage clairement de quitter sa base française de Marseille après sa mise en examen pour «travail dissimulé», écrit le directeur général de la compagnie aérienne dans un courrier cité par Le Parisien/Aujourd'hui en France de ce samedi. «Nous allons rapidement annoncer des projets alternatifs qui impliqueront (malheureusement) de fermer notre base de Marseille et de relocaliser nos avions et notre personnel dans des aéroports non français», écrit Mickael O'Leary dans ce courrier «confidentiel» daté du 4 octobre, une semaine après la mise en examen. Ryanair a été mise en examen le 27 septembre à Aix-en-Provence pour «travail dissimulé», «prêt illicite de main d'oeuvre», «emploi illicite» de personnel navigant, «entrave au fonctionnement du comité d'entreprise, aux fonctions de délégué du personnel ainsi qu'à l'exercice du droit syndical et au fonctionnement du CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail)». http://www.20minutes.fr/ledirect/606803/ec…itter-marseille
José Posté 23 octobre 2010 Signaler Posté 23 octobre 2010 Définitivement, c'est la Nouvelle-Zélande l'avenir : "En Nouvelle Zélande, l'alcool moins cher que l'eau en bouteille".
Invité Posté 23 octobre 2010 Signaler Posté 23 octobre 2010 Définitivement, c'est la Nouvelle-Zélande l'avenir : "En Nouvelle Zélande, l'alcool moins cher que l'eau en bouteille". Voilà un aspect prioritaire à prendre en compte.
ph11 Posté 23 octobre 2010 Signaler Posté 23 octobre 2010 Les USA sous Coolidge, donc jusqu'en 1928 de mémoire, étaient tout à fait libéraux, et ils le sont globalement bien plus que nous, même de nos jours. Ils n'accepteraient pas le tiers de la tournante que se prend notre liberté.Sinon pour ta question, je te dirai sans problème oui. Vouloir changer les choses en France c'est beau, c'est noble, mais c'est une perte de temps. Et notre temps est compté. On ne peut pas dire qu'ils aillent dans le bon sens. Avec les patriot Acts, Acta, Coica, les réformes d'Obama,…
MrJones Posté 23 octobre 2010 Signaler Posté 23 octobre 2010 Définitivement, c'est la Nouvelle-Zélande l'avenir : "En Nouvelle Zélande, l'alcool moins cher que l'eau en bouteille". Selon les auteurs de l'étude, le gouvernement devrait adopter des mesures similaires à celles qui ont été prises pour freiner la consommation de tabac, à savoir une hausse des taxes, le contrôle de la publicité et la limitation des heures d'ouverture des magasins.Ils réclament également un prix minimum pour l'alcool, notamment pour les vins bon marché vendus souvent en brick et les alcopops, ces mélanges d'alcools et de soda ou jus de fruits très prisés des jeunes. De la folie furieuse là… c'est pas assez cher, il faut augmenter les prix ! Oo
Tea-Party France Posté 23 octobre 2010 Signaler Posté 23 octobre 2010 Les USA sous Coolidge, donc jusqu'en 1928 de mémoire, étaient tout à fait libéraux, et ils le sont globalement bien plus que nous, même de nos jours. Ils n'accepteraient pas le tiers de la tournante que se prend notre liberté.Sinon pour ta question, je te dirai sans problème oui. Vouloir changer les choses en France c'est beau, c'est noble, mais c'est une perte de temps. Et notre temps est compté. Ces étatistes qui avaient maintenu odieusement l'inique ISR?
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.