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Combien de bahuts privés bloqués ?


Invité rogermila

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Invité rogermila
Posté

Alors que les médias reprennent en choeur, les stats transmises par l'Education Nationale .

Où on imagine des petits fonctionnaires jubilant de faire connaitre des chiffres du blocage en augmentation; pas un mot sur le nombre de blocages dans les établissements privés.

Quand bien même, il n'y aurait aucun établissement privé touché par un quelconque blocage, pourquoi une telle censure de l'info ?

Ont-ils peur de voir exploser à la prochaine rentrée scolaire, le nombre d'inscriptions dans les collèges et lycées privés; accompagné d'une chute vertigineuse des effectifs d'élèves dans le public impliquant mathématiquement des suppressions de postes ?

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Ont-ils peur de voir exploser à la prochaine rentrée scolaire, le nombre d'inscriptions dans les collèges et lycées privés; accompagné d'une chute vertigineuse des effectifs d'élèves dans le public impliquant mathématiquement des suppressions de postes ?

Aucun 'risque' il y a un quota de postes dans le 'privé' (sous contrat) et donc la répartition public/privé n'est pas du tout déterminée par la préférence des parents.

Posté

Tous les journaux parlent "des jeunes" et "des lycéens" qui bloquent leurs établissements alors qu'il n'y a qu'un minorité agissante.

Posté
Ont-ils peur de voir exploser à la prochaine rentrée scolaire, le nombre d'inscriptions dans les collèges et lycées privés; accompagné d'une chute vertigineuse des effectifs d'élèves dans le public impliquant mathématiquement des suppressions de postes ?

Je dirais au contraire: s'ils veulent éviter qu'augmente le nombre d'inscriptions dans les établissements privés à la prochaine rentrée, ils ont intérêt à communiquer les chiffres de grévistes dans le privé. Les parents acceptent de moins en moins de mettre leurs enfants dans des établissements où c'est le bordel. Et l'EDNAT le sait, donc s'ils ne le font pas c'est qu'il n'y a pas eu de grève dans le privé.

Posté
Je dirais au contraire: s'ils veulent éviter qu'augmente le nombre d'inscriptions dans les établissements privés à la prochaine rentrée, ils ont intérêt à communiquer les chiffres de grévistes dans le privé. Les parents acceptent de moins en moins de mettre leurs enfants dans des établissements où c'est le bordel. Et l'EDNAT le sait, donc s'ils ne le font pas c'est qu'il n'y a pas eu de grève dans le privé.

L'EDnat et les syndicats, ce n'est pas forcément la même chose; il est dans l'intérêt de l'EDNat que le "privé" se développe car c'est beaucoup moins couteux que le public puisque les parents d'élèves paient une seconde fois pour l'éducation de leur gosses.

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