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Décadence intellectuelle de l'anti-libéralisme


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Posté
Il y a eu plein de discussions là-dessus, notamment un fil que je ne retrouve plus où tout le monde y allait de son verset et de son interprétation. Beaucoup de passages du coran laissent froid dans le dos, certe il faudrait une lecture plus attentive, mais comment explique-t-on que cette lecture attentive ne soit pas utile pour l'ancien et le nouveau testament, de même que d'autres textes d'autres religions?

Mais évidemment, il y aura toujours un pekin qui viendra nous ressortir son interprétation à lui, ça devient lassant cette excuse selon laquelle tout est question d'interprétation, et qu'il y a les méchants musulmans qui interprètent mal et les gentils qui eux interprètent bien. Si le coran est si ambigu, il y a peut-être une raison.

Sources?

Les pays dont tu parles, à majorité musulmane sont des régimes autoritaires, où la justice est partiale et instable, la délinquance d'Etat bien plus importante et les taux d'élucidation des crimes bien moindre, bref, je ne vois pas en quoi l'islam a eu des conséquences bénéfiques à ce niveau-là.

Lire le coran en français n'a aucun sens, toute traduction est partiale et empêche l'expression de la richesse linguistique du texte. En résumé si tu n'as pas lu le coran en arabe, alors tu ne l'as pas lu.

Par ailleurs il y a des amalgames qui me surprennent dans ce pays. Comment ne pas voir le lien entre islam et absence de délinquance? Tu ne peux pas être délinquant et suivre les préceptes moraux de l'islam ou de n'importe quelle religion. C'est juste incompatible.

Posté
Tu sous-estimes les influences culturelles sur le comportement des gens.

Nier que le contexte culturel, religieux, ou familial y soit au moins un peu pour quelque chose dans leurs comportements, c'est exactement emprunter la langue de bois des journalistes et autres pseudo-experts accrédités. Ces racailles sont de mauvais musulmans, mais beaucoup se revendiquent de l'islam et font régner (très souvent) une sorte de terreur dans certains quartiers au nom de l'islam (pression sur les blancs qui l'ouvrent, pressions sur les femmes trop dévêtues, pressions sur les commerces pas halals). Certe, c'est un islam assez dévoyé sous certains aspects, ils sont effectivement moins hardcores que les talibans, ils ne sont pas fondamentalistes, mais si on n'en arrive à se rassurer avec ce genre de comparaison alors le ver est déjà dans le fruit.

Hitler, Innocent III, Torquemada, Charles IX et bien d'autres se sont réclamés du christianisme. Sans oublier le culte rendu à la vierge aussi bien dans les mafias italiennes, que dans les gangs latinos. Tout compte fait, ils avaient juste un peu dévoyé le nouveau testament. :icon_up:

Posté
Lire le coran en français n'a aucun sens, toute traduction est partiale et empêche l'expression de la richesse linguistique du texte. En résumé si tu n'as pas lu le coran en arabe, alors tu ne l'as pas lu.

Bof

Hitler, Innocent III, Torquemada, Charles IX et bien d'autres se sont réclamés du christianisme.

:icon_up: A quoi bon discréditer ta position avec des sorties pareilles ?

Posté

Mes exemples sont évidemment parodiques.

Si je dis que lire le coran dans une langue étrangère n'a aucun sens, je sais de quoi je parle. Quand dans le coran au sujet des infidèles il est écrit "katilouhoum" et non pas "ktoulouhoum" ou "takatalou ma3ahoum", il faut savoir que le verbe "katilouhoum" vient du verbe " kaatala" qui est de la forme "Faala" forme qui renvoie souvent à une réciprocité. Si tu n'as pas fait d'arabe, tu ne peux pas comprendre ça et tant d'autres choses. C'est purement factuel.

Posté
Il faut mettre le Coran de côté lorsqu'on parle de ces jeunes qui foutent la merde, et chercher ce qui leur est commun.

Ça n'est pas l'Islam puisque tous ne sont pas musulmans.

De mon expérience, je retiens qu'ils (les cailles) ont en commun une vie à la dure, petits ils prennent des beignes à la maison, mais rarement dehors où dès très tôt ils font relativement ce qu'ils veulent. J'ai également de plus en plus souvent écho, ou suis témoin, de cas où, après une connerie, un enfant se voit soutenu et défendu par ses parents face à l'autorité scolaire, les voisins, les gens dans les transports, etc… bref les adultes. Passé 13-14 ans, un gamin comme ça est ingérable, même pour ses vieux, et, après une rude journée à foutre sa zone ou ne rien foutre au collège/lycée, il traine avec tous les autres qui sont dans son cas, A NE RIEN FOUTRE, en bas, le soir, tous les soirs. Et dès qu'un bon plan se présente, il veut être sur le coup.

Quant aux rares qui essaient de se la jouer pieux musulman, les 3/4 ne tiennent pas longtemps avant de se remettre à boire sous les fenêtres de leurs vieux.

Quand tu dis "Je pense qu'une bonne partie du problème est culturel.", tu as raison. Mais quelles est la culture de ces jeunes ? Ils sont tous en échec scolaire, leur culture est un fatras de concept moraux mal digérés, d'appât du gain et d'oisiveté, de frustration et de ressentiment assaisonnés de rap hardcore, mariné à la misère sexuelle et aux films de boules, au whisky et au shit, le tout saupoudré de Coran.

Quand on entend la phrase typique de journaleux : "ces jeunes n'ont pas de repères, pas de valeurs" ça à l'air con, mais c'est vrai.

:icon_up:

Posté
Il faut mettre le Coran de côté lorsqu'on parle de ces jeunes qui foutent la merde, et chercher ce qui leur est commun.

Ça n'est pas l'Islam puisque tous ne sont pas musulmans.

De mon expérience, je retiens qu'ils (les cailles) ont en commun une vie à la dure, petits ils prennent des beignes à la maison, mais rarement dehors où dès très tôt ils font relativement ce qu'ils veulent. J'ai également de plus en plus souvent écho, ou suis témoin, de cas où, après une connerie, un enfant se voit soutenu et défendu par ses parents face à l'autorité scolaire, les voisins, les gens dans les transports, etc… bref les adultes. Passé 13-14 ans, un gamin comme ça est ingérable, même pour ses vieux, et, après une rude journée à foutre sa zone ou ne rien foutre au collège/lycée, il traine avec tous les autres qui sont dans son cas, A NE RIEN FOUTRE, en bas, le soir, tous les soirs. Et dès qu'un bon plan se présente, il veut être sur le coup.

Quant aux rares qui essaient de se la jouer pieux musulman, les 3/4 ne tiennent pas longtemps avant de se remettre à boire sous les fenêtres de leurs vieux.

Quand tu dis "Je pense qu'une bonne partie du problème est culturel.", tu as raison. Mais quelles est la culture de ces jeunes ? Ils sont tous en échec scolaire, leur culture est un fatras de concept moraux mal digérés, d'appât du gain et d'oisiveté, de frustration et de ressentiment assaisonnés de rap hardcore, mariné à la misère sexuelle et aux films de boules, au whisky et au shit, le tout saupoudré de Coran.

Quand on entend la phrase typique de journaleux : "ces jeunes n'ont pas de repères, pas de valeurs" ça à l'air con, mais c'est vrai.

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Posté
Il faut mettre le Coran de côté lorsqu'on parle de ces jeunes qui foutent la merde, et chercher ce qui leur est commun.

Ça n'est pas l'Islam puisque tous ne sont pas musulmans.

De mon expérience, je retiens qu'ils (les cailles) ont en commun une vie à la dure, petits ils prennent des beignes à la maison, mais rarement dehors où dès très tôt ils font relativement ce qu'ils veulent. J'ai également de plus en plus souvent écho, ou suis témoin, de cas où, après une connerie, un enfant se voit soutenu et défendu par ses parents face à l'autorité scolaire, les voisins, les gens dans les transports, etc… bref les adultes. Passé 13-14 ans, un gamin comme ça est ingérable, même pour ses vieux, et, après une rude journée à foutre sa zone ou ne rien foutre au collège/lycée, il traine avec tous les autres qui sont dans son cas, A NE RIEN FOUTRE, en bas, le soir, tous les soirs. Et dès qu'un bon plan se présente, il veut être sur le coup.

Quant aux rares qui essaient de se la jouer pieux musulman, les 3/4 ne tiennent pas longtemps avant de se remettre à boire sous les fenêtres de leurs vieux.

Quand tu dis "Je pense qu'une bonne partie du problème est culturel.", tu as raison. Mais quelles est la culture de ces jeunes ? Ils sont tous en échec scolaire, leur culture est un fatras de concept moraux mal digérés, d'appât du gain et d'oisiveté, de frustration et de ressentiment assaisonnés de rap hardcore, mariné à la misère sexuelle et aux films de boules, au whisky et au shit, le tout saupoudré de Coran.

Quand on entend la phrase typique de journaleux : "ces jeunes n'ont pas de repères, pas de valeurs" ça à l'air con, mais c'est vrai.

Merci d'exprimer ce point de vue

Posté
Lire le coran en français n'a aucun sens, toute traduction est partiale et empêche l'expression de la richesse linguistique du texte. En résumé si tu n'as pas lu le coran en arabe, alors tu ne l'as pas lu.

Par ailleurs il y a des amalgames qui me surprennent dans ce pays. Comment ne pas voir le lien entre islam et absence de délinquance? Tu ne peux pas être délinquant et suivre les préceptes moraux de l'islam ou de n'importe quelle religion. C'est juste incompatible.

J'ai souvent entendu cela de la part de mes amis musulmans (très) cultivés. Le problème est que cela interdit toute discussion entre musulmans et non musulmans. Par ailleurs, ce que ces mêmes amis reconnaissent volontiers est que quasiment personne ne peut aujourd'hui comprendre le Coran en version originale, de même qu'un nombre infinitésimal de francophones peut lire La chanson de Roland ou Tristan et Iseult dans une version "originale"

Posté
J'ai souvent entendu cela de la part de mes amis musulmans (très) cultivés. Le problème est que cela interdit toute discussion entre musulmans et non musulmans. Par ailleurs, ce que ces mêmes amis reconnaissent volontiers est que quasiment personne ne peut aujourd'hui comprendre le Coran en version originale, de même qu'un nombre infinitésimal de francophones peut lire La chanson de Roland ou Tristan et Iseult dans une version "originale"

Ne pas le lire ou l'entendre en VO, c'est se priver de la dimension poétique du texte.

Une bonne traduction peut permettre d'exprimer le sens du texte, et d'ailleurs, je pense que seule une minorité de musulmans parle la langue du Coran.

Donc l'objection est juste mais s'applique sans doute aux musulmans eux-mêmes dans leur majorité.

Posté
Purée ! Relisez le message de Yul.

Vous avez Ben Laden, racaille, tournante, Hamas, Films pornos, Lapidation, Amputation, Excision, Terroriste, le type qui se fait tuer pour un clope, l'argent qui coule à flot dans les banlieues comme tribut aux barbares…

C'est pas la peine de faire du flanc avec une nanalyse cuturelle, on a bien compris ce que signfie islam pour Yul.

D'abord vous déformez l'interprétation de Yul qui ne dis pas que l'attitude de la "racaille" correspond au coran mais à ce qu'ils en retiennent : l'idée qu'ils peuvent parfaitement mépriser tout ce qui n'est pas musulman.

Cette idée est-elle elle-même dans le coran ? Sans trancher cette question, cela n'empêche pas à cette "racaille" de se relier au coran de cette manière. On peut aussi faire remarquer qu'avant la colonisation, la mise en esclavage de captifs non musulmans était accepté dans le monde musulman comme quelque chose de parfaitement légitime aux yeux de la religion. Il n'est donc pas impossible qu'il reste quelque chose de ces pratiques dans les mentalités.

Je ne crois pas bien sûr qu'une majorité de musulmans approuveraient aujourd'hui l'esclavage des non musulmans mais le mépris de qui n'appartient pas à la communauté y est un réflexe relativement plus fort qu'ailleurs.

Contrairement à ce que vous dites Yul ne mélange pas tout. Il décrit des réalités différentes sur les quelles l'islam a une influence ou du moins des manières différentes d'appréhender l'islam. Il faudrait ajouter à sa description les variantes d'un Islam tolérant, spirituel et civilisé.

Posté
D'abord vous déformez l'interprétation de Yul qui ne dis pas que l'attitude de la "racaille" correspond au coran mais à ce qu'ils en retiennent : l'idée qu'ils peuvent parfaitement mépriser tout ce qui n'est pas musulman.

Cette idée est-elle elle-même dans le coran ? Sans trancher cette question, cela n'empêche pas à cette "racaille" de se relier au coran de cette manière. On peut aussi faire remarquer qu'avant la colonisation, la mise en esclavage de captifs non musulmans était accepté dans le monde musulman comme quelque chose de parfaitement légitime aux yeux de la religion. Il n'est donc pas impossible qu'il reste quelque chose de ces pratiques dans les mentalités.

Je ne crois pas bien sûr qu'une majorité de musulmans approuveraient aujourd'hui l'esclavage des non musulmans mais le mépris de qui n'appartient pas à la communauté y est un réflexe relativement plus fort qu'ailleurs.

Contrairement à ce que vous dites Yul ne mélange pas tout. Il décrit des réalités différentes sur les quelles l'islam a une influence ou du moins des manières différentes d'appréhender l'islam. Il faudrait ajouter à sa description les variantes d'un Islam tolérant, spirituel et civilisé.

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Posté
D'abord vous déformez l'interprétation de Yul qui ne dis pas que l'attitude de la "racaille" correspond au coran mais à ce qu'ils en retiennent : l'idée qu'ils peuvent parfaitement mépriser tout ce qui n'est pas musulman.

Cette idée est-elle elle-même dans le coran ? Sans trancher cette question, cela n'empêche pas à cette "racaille" de se relier au coran de cette manière. On peut aussi faire remarquer qu'avant la colonisation, la mise en esclavage de captifs non musulmans était accepté dans le monde musulman comme quelque chose de parfaitement légitime aux yeux de la religion. Il n'est donc pas impossible qu'il reste quelque chose de ces pratiques dans les mentalités.

Je ne crois pas bien sûr qu'une majorité de musulmans approuveraient aujourd'hui l'esclavage des non musulmans mais le mépris de qui n'appartient pas à la communauté y est un réflexe relativement plus fort qu'ailleurs.

Contrairement à ce que vous dites Yul ne mélange pas tout. Il décrit des réalités différentes sur les quelles l'islam a une influence ou du moins des manières différentes d'appréhender l'islam. Il faudrait ajouter à sa description les variantes d'un Islam tolérant, spirituel et civilisé.

Tu n'as rien compris à ma critique, et tes arguments sont idiots.

Sans même parler du fond, de la problématique que souhaite aborder Yul et qu'il lui appartient d'exprimer de la manière la plus simple et la plus cohérente possible, je considère que la forme d'expression de son intervention qui introduit le champ lexical que j'ai énuméré n'est pas de nature à permettre d'appréhender la problématique d'une façon sereine et rationnelle.

Tes arguments sont idiots parce que faire un lien entre l'esclavagisme musulman et les racailles de banlieues, c'est tout simplement n'importe quoi.

Le mépris des musulmans vis à vis de ce qui n'appartient pas à la communauté est à peu près le même que les autres communautés, les asiatiques ne me semblent pas différents, les indiens non plus et surtout lorsqu'ils viennent de castes élevées.

La lèchage de bottes du bon bwana qui apporte la civilisation c'est terminus.

Posté
De fait, en France, en 2010, on peut établir une loi quasi-scientifique disant qu'être traité de raciste signifie qu'on approche de la vérité sur le sujet en question. Ca marche avec les sujets économiques comme l'histoire du capitalisme occidental, ou la crise de 2007 (qui, je le rappelle, est en partie provoquée par l'antiracisme institutionnel américain), l'immigration évidemment, et la politique en général (Obama, le Tiers Monde, la discrimination positive, le vivre-ensemble, l'immobilier "social" etc.)

C'est dommage, la pensée correcte française détruit notre langage à marche forcée, mais il faut bien faire avec.

J'aimerais quand même bien savoir le rapport entre l'immigration et la crise de 2007.

Posté
Cette idée est-elle elle-même dans le coran ? Sans trancher cette question, cela n'empêche pas à cette "racaille" de se relier au coran de cette manière. On peut aussi faire remarquer qu'avant la colonisation, la mise en esclavage de captifs non musulmans était accepté dans le monde musulman comme quelque chose de parfaitement légitime aux yeux de la religion. Il n'est donc pas impossible qu'il reste quelque chose de ces pratiques dans les mentalités.

Je ne crois pas bien sûr qu'une majorité de musulmans approuveraient aujourd'hui l'esclavage des non musulmans mais le mépris de qui n'appartient pas à la communauté y est un réflexe relativement plus fort qu'ailleurs.

1:"Parfaitement légitime" est…comment dire… très exagéré. L'esclavage n'était pas interdit mais a toujours été fermement déconseillé voire combattu en Islam, et n'a été réservé en majorité qu'aux prisonniers de guerre.

2: De nombreuses racailles utilisent comme argument la "vengeance contre l'esclavage blanc" et le ressentiment envers les abus, réels et imaginaires, de la colonisation. La plupart ignorent tout de l'histoire des musulmans avant la seconde guerre mondiale.

3: Vouloir lier une pratique unanimement critiquée et pratiquement abolie en Islam avec les fantasmes revanchards de gosses complètement paumés moralement n'a pas grand sens et n'a rien à voir avec le sentiment communautaire.

Posté
Tu n'as rien compris à ma critique, et tes arguments sont idiots.

Sans même parler du fond, de la problématique que souhaite aborder Yul et qu'il lui appartient d'exprimer de la manière la plus simple et la plus cohérente possible, je considère que la forme d'expression de son intervention qui introduit le champ lexical que j'ai énuméré n'est pas de nature à permettre d'appréhender la problématique d'une façon sereine et rationnelle.

Vu ton degré d'énervement, je plussoie avec ta remarque. Pour toi, appréhender de façon sereine et rationnelle la problématique c'est obligatoirement abonder dans ton sens, c'est un petit peu ridicule non?

Tes arguments sont idiots parce que faire un lien entre l'esclavagisme musulman et les racailles de banlieues, c'est tout simplement n'importe quoi.

Moi j'ai compris l'idée de Domi comme ce que chacun porte en soi un héritage culturel et reproduit certains schémas ancrés ou inculqués. C'est évidemment loin d'être suffisant mais c'est pas bête. Cela ne veut pas dire que les blancs et les musulmans d'aujourd'hui sont des esclavagistes.

Mis à part cela, on rappellera que l'esclavage est loin d'avoir disparu, particulièrement dans beaucoup de pays musulmans (Arabie Saoudite, émirats arabes, Mauritanie, Maroc, Niger…).

Le mépris des musulmans vis à vis de ce qui n'appartient pas à la communauté est à peu près le même que les autres communautés, les asiatiques ne me semblent pas différents, les indiens non plus et surtout lorsqu'ils viennent de castes élevées.

Ben non tu te trompes lourdement, rien à voir. Ne pas se mélanger à d'autres communautés ne signifie pas nécessairement mépris.

J'aimerais quand même bien savoir le rapport entre l'immigration et la crise de 2007.

Et bien relis le post, a priori il n'y en a aucun, il s'agissait d'une comparaison. L'immigration n'est pas la cause de la crise, bien au contraire c'est un dynamisateur, en revanche en temps de crise, les populations immigrées -aux qualifications les plus basses- sont les plus touchées car plus facilement au chomage, et donc les plus susceptibles de toucher des aides sociales, ce qui creuse un peu plus les comptes publics et n'arrange rien à la situation. Il est d'ailleurs drôle de voir comment les sans-papiéristes enterrent malgré eux l'Etat-providence qu'ils adulent par ailleurs.

Posté

Désolé pour le HS, mais j'éprouve quelques difficultés à faire le lien entre "Décadence intellectuelle de l'anti-libéralisme" et "Islam, racailles et autres joyeusetés" ?

Ce n'est pas une critique, juste une interrogation, vu que le deuxième sujet est abondamment traités dans d'autres fils.

Posté
Désolé pour le HS, mais j'éprouve quelques difficultés à faire le lien entre "Décadence intellectuelle de l'anti-libéralisme" et "Islam, racailles et autres joyeusetés" ?

Ce n'est pas une critique, juste une interrogation, vu que le deuxième sujet est abondamment traités dans d'autres fils.

C'est une phobie virale. :icon_up:

Posté
Désolé pour le HS, mais j'éprouve quelques difficultés à faire le lien entre "Décadence intellectuelle de l'anti-libéralisme" et "Islam, racailles et autres joyeusetés" ?

Oui, moi aussi je ne vois pas le lien.

Donc à partir d'ici, les posts qui parlent islam dans ce fil seront purement et simplement poubellisés.

Posté
Oui, moi aussi je ne vois pas le lien.

Donc à partir d'ici, les posts qui parlent islam dans ce fil seront purement et simplement poubellisés.

Merci Maître… :icon_up:

Posté

Pour en revenir au sujet principal, il semble en tout cas que le marxisme n'est plus la référence obligatoire de la dénonciation du capitalisme depuis l'effondrement du bloc de l'est. Dans quelle mesure cela a-t-il changé la qualité intellectuelle du gauchiste moyen ?

Posté
Pour en revenir au sujet principal, il semble en tout cas que le marxisme n'est plus la référence obligatoire de la dénonciation du capitalisme depuis l'effondrement du bloc de l'est. Dans quelle mesure cela a-t-il changé la qualité intellectuelle du gauchiste moyen ?

Le marxisme n'existe peut-être plus en tant que tel (je veux dire en étant explicitement cité), mais ses principales thématiques sont recyclées. Le thème de l'aliénation a été décliné par exemple en parlant du pouvoir de la publicité (d'où l'émergence des mouvements anti-pub).

Posté
Le marxisme n'existe peut-être plus en tant que tel (je veux dire en étant explicitement cité), mais ses principales thématiques sont recyclées. Le thème de l'aliénation a été décliné par exemple en parlant du pouvoir de la publicité (d'où l'émergence des mouvements anti-pub).

C'est vrai mais il faut faire la distinction entre ce qui est le plus spécifique au Marxisme et ce qui peut être commun à toute forme de socialisme. Dans le cas de l'exploitation (distinct de l'aliénation ? ), Marx a tenté de donner une justification pseudo-économique à ce concept mais il est certainement commun à plusieurs courants socialistes.

Ce qui est le plus spécifique au Marxisme, c'est l'analyse de classe et le matérialisme historique. Sur ce point, certains réflexes se sont perdus (peut-être ? Je ne nie pas le reçyclage en tout cas) même si j'avoue ne pas connaître suffisamment le sujet. Il y a probablement une plus grande liberté d'analyse au sein des mouvements d'extrême gauche qui n'est plus obligé d'adopter une grille d'interprétation austère et contraignante et rend peut-être le socialisme au sens large d'autant plus populaire.

Posté
Pour en revenir au sujet principal, il semble en tout cas que le marxisme n'est plus la référence obligatoire de la dénonciation du capitalisme depuis l'effondrement du bloc de l'est. Dans quelle mesure cela a-t-il changé la qualité intellectuelle du gauchiste moyen ?

La dénonciation de l'ordre des choses est une loi perpétuelle de l'humanité. Cette passion a, dans une époque où la raison fait autorité, besoin de se rationaliser. Le marxisme est un vecteur de cette passion mais l'histoire l'a discréditée et c'est pourquoi il est cherché un nouveau vecteur. En résulte un dogmatisme positif moindre, un système intellectuel léger, un scepticisme de façade et le relativisme.

Posté
La dénonciation de l'ordre des choses est une loi perpétuelle de l'humanité. Cette passion a dans époque où la raison fait autorité, besoin de se rationaliser. Le marxisme est un vecteur de cette passion mais l'histoire l'a discréditée et c'est pourquoi il est cherché un nouveau vecteur. En résulte un dogmatisme positif moindre, un système intellectuel léger, un scepticisme de façade et le relativisme.

Bon, ben voilà, le sujet est clos, la polémique éteinte.

On peut maintenant parler de miam en toute liberté.

Posté
C'est vrai mais il faut faire la distinction entre ce qui est le plus spécifique au Marxisme et ce qui peut être commun à toute forme de socialisme. Dans le cas de l'exploitation (distinct de l'aliénation ? ), Marx a tenté de donner une justification pseudo-économique à ce concept mais il est certainement commun à plusieurs courants socialistes.

Ce qui est le plus spécifique au Marxisme, c'est l'analyse de classe et le matérialisme historique. Sur ce point, certains réflexes se sont perdus (peut-être ? Je ne nie pas le reçyclage en tout cas) même si j'avoue ne pas connaître suffisamment le sujet. Il y a probablement une plus grande liberté d'analyse au sein des mouvements d'extrême gauche qui n'est plus obligé d'adopter une grille d'interprétation austère et contraignante et rend peut-être le socialisme au sens large d'autant plus populaire.

Je ne suis pas un grand théoricien de tout cela, mais je peux affirmer que la mort du PCF marxiste a commencé lorsque les nouveaux militants sont arrivés dans ce parti par l'antiracisme, l'écologie, l'altermondialisme. A partir de là, l'effondrement était écrit. La lourdeur de ses structures a fait le reste, l'empêchant de se réformer, et laissant d'autres partis rafler la mise.

Posté

La rébellion sans recul ni humanité est l'attribut éternel de la jeunesse et de ceux qui l'admirent ou souhaitent être admires par elle, le marxisme n'a été q'un épisode.

Par contre ce qui n'est pas intemporel et éternel, c'est une Societe totalement tournée vers sa jeunesse, non pas pour son potentiel de maturité positive mais pour son immaturité même.

Les idéologies radicales sont donc d'autant plus dangereuses et stupides de nos jours.

Posté
Je ne suis pas un grand théoricien de tout cela, mais je peux affirmer que la mort du PCF marxiste a commencé lorsque les nouveaux militants sont arrivés dans ce parti par l'antiracisme, l'écologie, l'altermondialisme. A partir de là, l'effondrement était écrit. La lourdeur de ses structures a fait le reste, l'empêchant de se réformer, et laissant d'autres partis rafler la mise.

Ah oui, c'est intéressant comme explication. Et le fait que le PS ait eu accès au pouvoir et puisse imposer ses thèmes à la gauche non plus. En tout cas, cette explication me semble valable pour la France.

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