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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres


Nick de Cusa

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David Bowie avait prévu la chute de l'industrie musicale et s'était adapté en conséquence

 

Le chanteur avait vendu des "obligations Bowie" qui titrisaient ses futurs royalties.
 
Feu le grand David Bowie n'était pas qu'un androgyne "métamorphe et générateur de personnages". Il était aussi une des rares stars du rock à avoir survécu aux ravages de l'addiction à la drogue et à avoir développé un instinct de survie suffisamment fort pour diverisfier son portefeuille financier avant que l'industrie musicale n'explose.
 
En 1997, avec l'aide du banquier David Pullman, la création des "obligations Bowie" a permis au chanteur de vendre les droits des 25 albums qu'il a enregistré avant 1990 pour une somme totale de 55 M$, les achateurs de ces obligations percevant toutes les futures recettes générées par le catalogue de Bowie auxquelles s'ajoutent 8% d'intêrets. Moody's avait alors attribué une note de A à ces obligations.
 
Comme noté dans un article de Reason rédigé par Gene Callahan et Greg Kaza en 2004 :
Du point de vue de David Bowie, sa structure financière était trop dépendante des caprices de sa popularité. En vendant une partie de ses droits à d'autres, Bowie a été en mesure de diversifier ses investissements (nous supposons qu'il n'a pas dépensé la totalité des 55M$ dans une énorme virée shopping avec sa femme top-modèle Iman.). Il a réduit son exposition à un changement des gouts musicaux du public qui l'aurait rendu pauvre. Dans le même temps, les investisseurs qui n'avaient aucune part dans les ventes de Ziggy Stardust auparavant ont pu se diversifier dans ce domaine et obtenir un taux d'intérêt convenable.
 
En 2002, le Thin White Duke de jadis avait dit au New York Times :
L'absolue transformation de tout ce que nous connaissions de la musique s'opérera au cours des 10 prochaines années, et rien ne pourra l'arrêter. Je ne vois aucune raison à prétendre que cela ne va pas arriver. Je suis tout à fait confiant dans l'idée que le copyright, par exemple, n'existera plus dans 10 ans, et que la paternité et la propriété intellectuelle vont suivre le même chemin.
La musique elle-même va devenir comme l'eau courante et l'électricité. En conséquence, il faut profiter des ces quelques dernières années parce que tout cela   disparaitra à jamais. Vous devriez vous préparer à faire beaucoup de tournées parce que cela sera vraiment l'unique opportunité qu'il restera. C'est terriblement excitant. D'un autre coté, ce n'est pas important que vous pensiez que cela soit excitant ou pas; c'est ce qui va arriver.
 
Bien que l'idée des obligations Bowie ait été copiée par des artistes comme James Brown, Joan Jett, les Isleys Brothers et le gestionnaire de Marvin Gaye, leur valeur n'a pas été construite pour durer. Peter Campbell du Financial Times écrit sur la chute de la musique comme produit :
La percée du service de musique en peer-to-peer Napster a infligé un camouflet à la législation sur le copyright, ce qui a fait craindre aux artistes et à l'industrie pour leur futur économique - le tout ayant eu pour conséquence d'amener les obligations Bowie à un niveau historiquement bas.
En 2004, la vente de CD physiques ayant étant cannibalisée par le téléchargement illégal et la popularité grandissante des services de musique en ligne, Moody's a abaissé la note des obligations Bowie à BBB+, soit un cran au-dessus de celle des obligations pourries.
L'agence de notation a justifié cette baisse par "un revenu généré par ces actifs plus   faible qu'attendu et causé par les faibles ventes de la musique enregistrée" à ce moment-là. 
 
Dans l'esprit de ce jour, durant lequel des fans de musique du monde entier ont envahi les réseaux sociaux pour partager gratuitement leurs chansons préférées de David Bowie (qui étaient autrefois uniquement disponibles sous la forme de produits physiques couteux), regardez la vidéo ci-dessous dans laquelle Bowie chante "L'homme Qui a Vendu le Monde",  bien avant qu'il vende les contrats à terme de son passé.

 

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Super! je sais que cet article va flaire à mes "amis"facebook!

Bowie précurseur aussi  en économie? surprenant!

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Petite correction à l'article de reason : les Bowie Bonds ne donnaient pas droit aux royalties + 8% d'intérêt mais donnaient droit à 8% d'intérêt seulement avec les royalties comme collatéral.

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Petite correction à l'article de reason : les Bowie Bonds ne donnaient pas droit aux royalties + 8% d'intérêt mais donnaient droit à 8% d'intérêt seulement avec les royalties comme collatéral.

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J'ai aussi remplacé paternité par droit d'auteur (authorship)

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Un superbe article, long, mais qui mériterait une trad en français :

https://medium.com/akoma-media/how-one-company-defied-the-odds-and-is-grossing-almost-1-billion-in-revenue-in-nigeria-part-1-181463b81231#.g7k7b3cbi

Il faudrait avoir l'autorisation de l'auteur. Alternativement: traduire les paragraphes les plus significatifs, paraphraser le reste, une intro, une conclusion, et pouf, un bel article CP.

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Quelqu'un pour pour les gros problèmes méthodologiques d'oxfam sur la pauvreté ? (6 raisons d'être sceptique à propos de leurs chiffres sur les inégalités)

 

http://fee.org/anythingpeaceful/6-points-about-oxfams-misleading-inequality-numbers/

 

Je prends, je peux le faire dans la journée.

 

Par contre, la critique omet un point important : le biais d'appréciation du capital des plus pauvres, sans doute un "oubli" de plusieurs milliers de milliards de $ (cf toutes les études d'Hernando de Soto).

  • Yea 2
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Qu’est ce qui a tué la croissance économique ?

Pourquoi débat-on encore de la liberté économique ?

 

Les débats sur l’économie moribonde sont un passe-temps américain. Ce sujet remplit les colonnes des éditorialistes, fait bouillir la blogosphère, dévore les experts TV et domine les débats politiques.

 

C’est une question extrêmement importante car de nombreuses personnes sont sérieusement frustrées par ce problème. La popularité récente de certaines personnalités politiques excentriques de gauche et de droite – soutenues par les foules qui soutiennent les remèdes miracles du nationalisme et de la redistribution – en est la preuve.

 

Il est bon de temps en temps d’analyser la situation dans son ensemble. Le rapport de l’Economic Freedom of the World le fait avec une expertise fantastique. Si vous êtes sensible aux processus de collecte de données, à leurs analyses en vue d’en tirer des conclusions, vous apprécierez ce rapport. Il s’en tient à ce que l’on connait et à ce que l’on peut mesurer. Les éditeurs du rapport travaillent sur ce sujet depuis 1996, la constance dans l’apparition des causes et des effets est donc indéniable.

 

Le rapport mesure et étudie cinq indicateurs clés de la liberté économique : la sécurité des droits de propriété, la santé de la monnaie, la taille du gouvernement, la liberté de commercer mondialement et l’étendue de la réglementation. Toutes leurs mesures sont transparentes et scrutées par des experts en permanence. Si vous vous demandez comment certaines mesures ont donné ces résultats, vous pouvez obtenir les réponses puisque tout est dans le rapport, y compris le détail des fantastiques collections de données, en téléchargement libre.

 

Le rapport passe au crible 157 pays dont 100 d’entre eux avec des données disponibles depuis 1980. 42 variables distinctes au total sont utilisées pour le classement.

 

Voici LE point à retenir de ce rapport : dans toutes les mesures relatives au bien-être, les économies les plus libres surperforment grandement par rapport aux économies contrôlées.

 

Les pays du premier quart, c’est-à-dire les économies les plus libres, ont des indicateurs de revenu moyen plus de 7 fois supérieurs aux pays du dernier quart (les moins libres). C’est aussi vrai pour les pauvres : le revenu moyen des pauvres dans les économies libres est égal à six fois celui du revenu moyen des économies contrôlées. Le groupe constitué des revenus les plus bas dans les économies libres reste 50% plus élevé que la moyenne des revenus des économies les moins libres.

L’espérance de vie est de 80,1 ans dans les pays du premier quart et de 63,1 ans pour les pays du dernier quart.

 

Le rapport montre ensuite que les libertés individuelles sont plus protégées dans les économies les plus libres.

 

Il est magnifique de constater que ce rapport met un terme à un siècle de débats idéologiques. En effet, ces résultats ne sont pas issus d’une idéologie politique. Ils sont tirés de faits relevés sur le terrain et des conditions réelles du droit, de la réglementation, des institutions, de la législation et de la politique.

 

Les implications du rapport sont alors indiscutables. Si vous souhaitez qu’un pays devienne plus riche, vous devez adopter des principes de liberté économique. Si vous souhaitez conduire un pays à la pauvreté, il existe aussi un moyen : faites grossir le gouvernement, détruisez la valeur de la monnaie, limiter le commerce et réglementez intensément toute la production et la consommation.

 

En fait, on finit de lire ce rapport avec une seule question en tête : pourquoi continue-t-on à débattre de ce sujet ?

 

Qu’en est-il des Etats-Unis ?

 

Tout le monde sait que les Etats-Unis ont un problème. Alors qu’ils connaissent la plus grande explosion de technologie et de communication de l’Histoire, c’est-à-dire une transformation qui devrait déclencher un énorme boom économique similaire à ce que nous avons expérimenté au XIXe siècle, nous assistons à des résultats pathétiques en terme de croissance et de revenu par foyer.

 

Un coup d’œil rapide montre bien ce que je veux dire par là. Le graphique ci-dessous montre l’évolution annuel du PIB en pourcentage depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale jusqu’à aujourd’hui.

 

[GRAPHIQUE]

 

De même, voici le revenu médian par foyer de 1984 à 2013 :

 

[GRAPHIQUE]

 

Vous trouverez dans ces deux graphiques la source de la frustration des votants et du climat d’inquiétude ambiant.

 

Les gens veulent comprendre pourquoi et savoir qui tenir pour responsable. L’Index de la Liberté Economique le laisse clairement entendre.

 

Entre 1970 et 2000, les Etats-Unis ont généralement été listé en 3e position des économies les plus libres, derrière Singapour et Hong Kong. Les Etats-Unis ont commencé à déraper en 2000. En effet, entre 2000 et aujourd’hui, leur position sommaire dans l’index a glissé de 0,9 %. Cela ne semble pas beaucoup mais « une baisse d’un point dans le classement est associée à une baisse du PIB à long terme entre 1 et 1,5% annuellement », d’après le rapport, et cela s’ajoute année après année.

 

Par rapport aux autres pays, listés du plus libre au moins libre, les Etats-Unis sont passés de la 3e place à la 16e place. Les pays suivants sont aujourd’hui devant eux : Australie, Chili, Irlande, Canada, Jordanie, Taiwan, Nouvelle-Zélande, Hong Kong et Singapour.

 

Il y a aussi quelque chose que je trouve incroyable. La Géorgie, ancien pays soviétique, se classe à la douzième place. Dans le même ordre d’idée, pouvez-vous deviner quel pays est juste derrière les Etats-Unis à la 17e place ? La Roumanie, ancien cauchemar communiste. Le fait que la Roumanie soit seulement légèrement moins libre que les Etats-Unis est un progrès merveilleux pour les Roumains, mais devrait faire honte aux Américains.

 

La chute de la liberté économique des Etats-Unis a été abrupte. Les auteurs du rapport notent aussi que ce déclin est très inhabituel. La plupart des pays du monde deviennent plus libre, ce qui est en accord avec la baisse de la pauvreté mondiale.

 

Les Etats-Unis, eux, se déplacent rapidement dans la direction opposée : « Nulle part ailleurs le revirement de la tendance haussière de la liberté économique n’a été aussi manifeste qu’aux Etats-Unis. »

 

Quel facteur en particulier conforte le plus ce constat ? C’est avant tout la sécurité de la propriété. La guerre contre les drogues, les renflouements, l’augmentation des transferts forcés vers les élites politiques, le droit de préemption, la confiscation des actifs y contribuent largement. Il y a bien sûr d’autres problèmes de réglementation et de taxation, mais le manque de sécurité de nos propriétés a été décisif. Cela tue l’investissement,  la confiance dans le futur et la capacité à accumuler du capital, qui sont des paramètres essentiels pour la prospérité.

 

L’étrange silence de la part de l’opinion publique me frappe lorsque je regarde toutes ces données, et les conclusions associées, claires comme de l’eau de roche. Les gens se débattent pour trouver des réponses. Où est la croissance ? Qui vole le futur ? C’est peut-être les migrants, les pays étrangers et l’augmentation des inégalités. C’est peut-être aussi la technologie qui cause des suppressions d’emploi. Ou c’est peut-être les gens qui sont paresseux et incompétents.

 

Ou alors, nous devrions regarder les chiffres. Tout tourne autour de la liberté.

 

http://fee.org/anythingpeaceful/what-killed-economic-growth/

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Bon c'est pas du service rapide, mais c'est fait.

 

 

Oxfam et ses chiffres trompeurs sur les inégalités : 6 raisons d’être sceptique 

 

Cette organisation fait le même coup de pub chaque année.

 

Les statistiques annuelles « choquantes »  d’Oxfam sur la répartition des richesses occupent actuellement les médias. Cette année « 62 personnes possèdent autant que la moitié la plus pauvre de la population mondiale ».

 

Mais tout n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît:

 

1) La méthodologie utilisée par Oxfam implique qu’il y aurait plus de pauvres en Amérique du Nord qu’en Chine.

 

Ça semble contre-intuitif, pas vrai? L’étude d’Oxfam repose sur les estimations de patrimoine net du Crédit Suisse - qui somme les actifs individuels avant de soustraire les dettes. Ainsi, faudrait-il compter parmi les personnes les plus déshéritées au monde ces malheureux tout juste sortis d’Harvard avec un diplôme de droit en poche et de gros crédits à rembourser.

 

C’est peut-être vrai dans un sens purement statistique, où la pauvreté est mesurée matériellement par le patrimoine net - mais ce n’est certainement pas la compréhension que la plupart des gens normaux ont de la pauvreté. Le propre tableau d’Oxfam indique, par exemple, que plus de 10% des membres du dernier décile en termes de richesse mondiale vivent en Amérique du Nord.

 

2) Cette méthodologie génère presque par construction des statistiques d’ensemble effrayantes.

 

Ce point renvoie à une vérité plus large. Pas besoin d’être un matheux pour se rendre compte que l’addition d’une multitude de patrimoines comptés comme négatifs ou nuls (après tout pas mal d’entre nous, spécialement dans ma génération, possédons encore peu d’actifs) dans la partie basse de la distribution exagère toute comparaison avec ceux qui possèdent un patrimoine net positif élevé dans le haut de la distribution - d’où les statistiques alarmantes.

 

Oxfam apporte des corrections en calculant les ratios hors dettes, et affirme que cela ne change guère ses résultats. Mais demeure toujours le problème des gens comme moi, avec peu de capital mais vivant dans un pays riche, qui seront comptés parmi les plus pauvres au niveau mondial. Cela montre que ce qui importe vraiment pour notre compréhension de la pauvreté matérielle ce sont les revenus. Or il se trouve (ce qu’Oxfam mentionne rarement) que les inégalités mondiales de revenus ont chuté au cours des trente dernières années.

 

3) L’âge médian de la population mondiale se situe entre 35 et 39 ans.

 

Oxfam aime bien citer une autre statistique, qui est que le 1 pour cent le plus riche possède plus que toute la moitié inférieure de la distribution. Mais nous savons par le cycle de vie et de formation du patrimoine net que les les gens progressent d’abord très lentement sur le chemin de l’accumulation jusqu’à l’âge où ils sont bien établis dans leurs situations professionnelles. Nous savons aussi que les personnes âgées sont surreprésentées dans les pays les plus riches et qu’elles ont de très gros patrimoines. Dès lors, il n’est pas surprenant que la distribution de la richesse nette mondiale soit si distordue - à elle seule la démographie en est largement responsable.

 

4) Oxfam est incohérent dans l’utilisation de ces statistiques.

 

Au niveau mondial, Oxfam souligne le niveau d’inégalité des patrimoines. Chaque fois qu’il utilise les mêmes données du Crédit Suisse pour apprécier la situation au Royaume-Uni, il discute de la tendance, c’est à dire des changements de niveaux.

 

Pourquoi n’est-il pas cohérent et ne discute-t-il pas du niveau d'inégalité de la richesse nette au Royaume-Uni? Serait-ce parce que les mêmes données montrent que la plupart des pays ont des inégalités de patrimoine plus élevées qu'au Royaume-Uni (relativement au coefficient de Gini, en considérant les premiers 1 % et 10 %) qui ne cadreraient pas avec le récit d’Oxfam au plan national? Pourrait-il révéler le fait que certains des pays qui ont des États providence plus développés et une plus forte redistribution ont une plus grande inégalité de richesse, car les pauvres y ont moins d’incitations à épargner et à accumuler des actifs?

 

5) Oxfam - une organisation caritative de développement - désormais obsédée par les riches plutôt que par les pauvres.

 

On pourrait penser qu’en tant qu’organisation caritative de lutte contre la pauvreté, Oxfam concentrerait son énergie sur la vaste littérature qui a fait connaître les conditions nécessaires à l'éradication de la pauvreté et au rôle que peuvent jouer en ce sens les marchés et les institutions capitalistes. 

 

Au lieu de cela, Oxfam est obsédé par les grandes fortunes - ce qui laisse à penser que la richesse des riches est la cause de la pauvreté des pauvres. C’est possible dans certains cas - du fait du népotisme ou de la corruption politique. Mais il n’y a guère de preuves qu’il s’agisse d’une force significative de la distribution actuelle. Ce que laisse entendre Oxfam, tout en perpétuant le mythe de la richesse comme gâteau de taille fixe qu’il faudrait se partager, est consternant pour une organisation supposée vouée au développement.

 

6) Au plan national et international, Oxfam est comme un golfeur qui ne jouerait plus qu’avec un seul club: toujours plus d’Etat pour toute réponse.

 

Ce nouveau rapport préconise le salaire minimum vital, la baisse de rémunérations des cadres dirigeants et de nombreux autres outils de politiques «progressistes». Par le passé Oxfam a plaidé pour des taxes sur les transactions financières et sur le patrimoine. Tout cela est répété sans nuances susceptibles de présenter les défis économiques auxquels sont confrontés de par le monde les différents pays en voie de développement. Peut-être Oxfam pourrait-il consentir à nous dévoiler la liste de tous les pays qui ont avec ce genre de programme réussi à améliorer les conditions de vie réelles des pauvres ?

 

 

 

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Ma traduction est peut-être un peu expéditive, mais quand même j'ai pas mérité ça...

 

PS Ce brave Gilles s'améliore avec l'âge, enfin si l'on peut dire

  • Yea 1
Posté

Gilles Langoureau, comme par exemple Jean-Pierre Sauser, fait partie des chanteurs amateurs que la convention de Genève devrait avoir interdit depuis longtemps, et qui me sert de temps en temps pour créer de l'anxiété sociale et rajouter du malheur au monde.

  • Yea 2

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