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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres


Nick de Cusa

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La situation est bien résumée.

Il faut reconnaître que la traduction est quand même très bien avancée (je pense que l'article est traduit à plus de 80%) … quelques points restent encore mal traduits pour ma part (ou non traduits …)

Il faudrait donc harmoniser nos deux traductions, vérifier la concordance des temps qui nous a posé souci et finir les traductions non terminées.

Posté

Surveillance du web, le rôle de l'UE. http://openeuropeblo…u-shouldnt.html

Traduction jointe.

J'ai modifié les liens vers les textes législatifs pour pointer vers ceux en français (autant profiter du boulot des traducteurs de l'UE). Idem pour le passage cité, j'ai repris le texte des traducteurs de l'UE, nettement meilleur que ce que j'aurais pu écrire.

Remarque sur le fond de l'article : l'auteur semble prendre pour acquis qu'une directive de l'UE doive être appliqué dans chacun des Etats membres alors qu'il donne lui-même l'exemple de l'Allemagne qui ne l'a pas fait sur la directive en question dans l'article. Je ne connais pas suffisamment la législation européenne pour savoir dans quels cas c'est possible toutefois.

Posté

Ma traduction de l'article de Dannian Hannan :

http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100150853/if-nicolas-sarkozy-thinks-the-ft-is-a-free-market-newspaper-hes-even-more-extreme-than-we-realised/

Pour le pseudo sur CP, c'est Jacques Roberts.

Si Nicolas Sarkozy pense que le Financial Times est un journal pour le marché libre, que Dieu aide la France !

« Mon centre, ma droite recule, situation excellente, j’attaque ». Plus il chute dans les sondages, plus Nicolas Sarkozy devient pugnace. Sa cible favorite est le Royaume-Uni, en particulier, le capitalisme libéral comme il imagine qu’il est pratiqué au Royaume-Uni.

Plus tôt dans la journée, il s’en est pris au Financial Times dans un accès soudain et assez étrange. « Le FT, comme on dit dans les milieux informés, a toujours défendu le modèle anglo-saxon, considérant que les Français étaient incorrigibles et que nous ferions bien mieux de nous aligner sur le modèle anglo-saxon », dit-il dans un débat télévisé. « Le FT estime depuis des années que la solution pour le monde, c’est qu’il n’y ait pas de lois […], je pense exactement le contraire. »

Il n’y a pas de mal à utiliser les stéréotypes nationaux, Sarko, mais utilisez les bien, parbleu ! La notion selon laquelle le FT serait un journal doctrinairement capitaliste est tellement à côté de la plaque qu’il est difficile de savoir où commencer à la critiquer. Depuis au moins le début des années 1980, le FT est un journal corporatiste de centre-gauche, occasionnellement pro-entreprises, mais jamais pro-marché. Il s’est opposé aux réformes économiques de Margaret Thatcher, poussant l’hostilité jusqu’à être, dans les faits, le seul journal britannique à regretter ouvertement sa victoire dans la guerre des Malouines. Ne parlons même pas de Tony Blair ; le journal soutint Neil Kinnock (emblématique du « vieux » parti travailliste avant Anthony Blair, ndlr) en 1992. Il fut le soutien le plus fort pour l’adhésion au MCE (mécanisme de change européen). Il applaudît à tout rompre l’orgie monétaire qui suivit le credit crunch.

C’est le plus européiste des quotidiens du pays. On pourrait faire tout un livre de ses déclarations ridicules sur le succès de la monnaie unique. En fait, ils en ont effectivement fait un livre : Guilty Men (traduction : les hommes coupables) de Peter Oborne. Voici l’un de mes préférés : « Maintenant que la Grèce est passée à l’euro, peu de gens pleureront la mort de la drachme. L’adhésion à l’eurozone offre la perspective d’une stabilité économique de long terme. » Le journal chantait encore les louanges de l’euro pendant la seconde moitié de 2008, tout à fait inconscient de la manière dont les choses tournaient. Son hostilité aux eurosceptiques et aux partisans du marché libre a empiré au fur et à mesure que ceux-ci se sont avérés avoir raison (lire par exemple, ces commentaires de Norman Davies). Bien entendu, tous les journaux sont partiaux. Tout le monde a un point de vue. Cependant, le FT est unique en cela qu’il combine un ton d’autorité olympienne avec un parti pris ouvert. Un de mes articles précédents sur ce blog portait sur un exemple particulièrement flagrant de son double standard sur l’UE.

En bref, la position du FT est l’exact opposé de ce que Sarko pense qu’elle est. Loin de faire que le continent ressemble plus au Royaume-Uni, il souhaite que le Royaume-Uni ressemble plus au continent, où évidemment la plupart de ses lecteurs vivent et travaillent.

Que Sarko considère le journal rose (couleur du papier dans le FT, ndlr) comme véhémentement droitiste nous montre clairement à quel point Sarkozy est éloigné du consensus européen. La vérité est que la France se trouve face à un choix entre deux socialistes. Les deux candidats sont pour une économie dirigée, une dose de protectionnisme et des droits sociaux fermement enracinés (les acquis sociaux), une intégration européenne plus en profondeur et un Etat dirigiste. Il n’est pas surprenant qu’ils se disputent si férocement au sujet de l’immigration : c’est probablement le seul point sur lequel ils ne sont pas d’accord. Bonnet blanc et blanc bonnet, comme ils disent en France.

Posté

The Economist a publié un papier très intéressant sur la troisième révolution industrielle et ses conséquences ici : http://www.economist.com/node/21553017

J'ai pris la liberté de le traduire, désolé si la mise en page n'est pas top mais soit je suis une triple buse ou soit l'éditeur de texte est ignoblement ignoble.

La troisième Révolution Industrielle

La première Révolution Industrielle commença en Grande-Bretagne vers la fin du XVIIIème siècle avec la mécanisation de l'industrie du textile. Des tâches qui étaient effectuées de manière laborieuse, à la main, dans des centaines de maisons de tisserands furent regroupées dans une seule filature de coton. Et ainsi est née l'usine. La deuxième Révolution Industrielle est arrivée au début du XXème siècle, lorsqu’Henry Ford maîtrisa le concept de chaîne de montage et introduisit ainsi l'ère de la production de masse. Les deux premières Révolutions Industrielles eurent pour effet d'enrichir et d'urbaniser davantage les populations. Maintenant, une troisième révolution est en cours. L'industrie se digitalise. Notre rapport spécial (lien vers http://www.economist.com/node/21552901) de cette semaine tente de montrer que cela pourrait affecter bien plus que le monde des affaires.

Plusieurs technologies remarquables sont en train de converger : des logiciels intelligents, des matériaux nouveaux, des robots plus habiles, de nouveaux procédés (en particulier l'impression 3D) et toute une gamme de services en ligne. L'usine de jadis était basée sur la production de masse d'un nombre incalculable de produits identiques. Ford avait fait la remarque célèbre que "les acheteurs d'automobiles pouvait avoir la couleur qu'ils souhaitaient, à condition que celle-ci soit noire". Mais le coût de production de plus petits lots de produits plus variés, chaque produit étant calibré exactement selon les désirs du client, est en train de s'effondrer. L'usine du futur se concentrera sur la personnalisation de masse, et pourrait avoir plus en commun avec les tisserands à domicile qu'avec la chaîne d'assemblage fordiste.

Vers une troisième dimension

Jadis, fabriquer un produit impliquait de prendre tout un tas de pièces et de les visser ou de les souder ensemble. Désormais, un produit peut être conçu sur un ordinateur et "imprimé" avec une imprimante 3D, qui créé un objet solide en accumulant des couches successives de matériaux. Le modèle digital peut être modifié en quelques clics de souris. L'imprimante 3D peut fonctionner sans supervision humaine et concevoir de nombreux objets dont la production est trop complexe pour une usine traditionnelle. Un jour, ces machines formidables pourraient bien fabriquer pratiquement n'importe quoi, n'importe où : de votre garage jusqu'à un village en Afrique.

Les applications de l'impression en 3D sont particulièrement bluffantes. Des appareils auditifs et des pièces de technologie de pointe pour avions de chasse sont déjà imprimés dans des formes personnalisées. Les considérations géographiques liées à la chaîne d'approvisionnement évolueront. Un ingénieur travaillant au beau milieu du désert, découvrant qu'il lui manque un outil spécifique, n'aura plus à se le faire livrer depuis la ville la plus proche. Il pourra simplement télécharger le plan et l'imprimer. L'époque où des projets pouvaient s'immobiliser à cause d'une pièce manquante et où des consommateurs se plaignaient de ne plus pouvoir trouver des pièces de remplacement pour leurs produits nous semblera un jour ringarde.

D'autres changements sont pratiquement aussi importants. Les matériaux nouveaux sont plus légers, plus forts et plus durables que leurs prédécesseurs. La fibre de carbone est en train de remplacer l'acier et l'aluminium pour toute une gamme de produits allant de l'avion au VTT. De nouvelles techniques permettent aux ingénieurs de façonner des objets à une échelle minuscule. La nanotechnologie perfectionne des produits, tels que des pansements qui aident à cicatriser une coupure, des moteurs qui tournent plus efficacement ou encore de la vaisselle qui se nettoie plus facilement. Des virus modifiés génétiquement sont en voie de développement pour faire des objets tels que des piles ou des batteries. Et puisqu'Internet n'a jamais permis à autant de créateurs de collaborer sur de nouveaux produits, les barrières à l'entrée sont en train de tomber. Henry Ford avait eu besoin de tonnes de capitaux pour mettre en place l'usine colossale de River Rouge. Son homologue contemporain peut débuter avec pour ainsi dire rien d'autre qu'un ordinateur portable et une soif d'invention.

Comme toutes les révolutions, celle-ci ne manquera pas de déranger. Les technologies digitales ont déjà ébranlé les secteurs des médias et de la vente au détail, de la même façon que les filatures de coton avaient mis à mal le métier à tisser ou que le Model T de Ford avait mis les maréchaux-ferrants au chômage. Bien des personnes frémiront lorsqu'ils jetteront un coup d’œil aux usines du futur. Celles-ci ne seront pas bourrées de machines sinistres et d'ouvriers en bleus de travail sales. Nombre d'entre elles seront impeccablement propres et quasiment désertes. Certains producteurs automobiles fabriquent déjà deux fois plus de véhicules par employé qu'il y'a une dizaine d'années de cela. La plupart des emplois seront non pas dans l'usine de production mais dans les bureaux avoisinant. Ces bureaux seront remplis de modélistes, d'ingénieurs, d'informaticiens spécialistes, d'experts en logistique, de personnel du marketing et autres professionnels. A l'avenir, les emplois dans la production exigeront davantage de compétences. De nombreuses tâches ennuyeuses et répétitives seront devenues obsolètes : il n'y a nul besoin de poseurs de rivets si le produit n'en a pas.

La Révolution n'affectera pas seulement la manière dont les objets sont produits, mais aussi l'endroit où ils sont produits. Les usines délocalisaient vers des pays à bas salaire pour réduire le coût de la main d’œuvre. Mais ces derniers sont de moins en moins importants : sur un iPad de première génération vendu à 499$ (377€), la main d’œuvre ne représentait que 33$ (25€) et l'assemblage final en Chine ne comptait pour 8$ (6€). Si la production est de plus en plus relocalisée vers les pays riches, ce n'est pas parce que les salaires chinois augmentent mais parce que les entreprises veulent désormais être plus proches de leurs clients. Elles peuvent ainsi être plus réactives face aux changements de demande. De plus, certains produits sont si sophistiqués qu'il est utile d'avoir leurs créateurs et leurs producteurs au même endroit. Le Boston Consulting Group estime que dans des domaines tels que les transports, les ordinateurs, la transformation de métaux et la machinerie, 10 à 30% des biens que l'Amérique importe actuellement depuis la Chine pourrait être produits dans le pays d'ici 2020. Cela stimulerait de 20 à 55 milliards de dollars (de 15 à 41 milliards d'euro) supplémentaires la croissance annuelle américaine.

Le choc de la nouveauté

Les consommateurs n'éprouveront que peu de difficulté à s'adapter à cette nouvelle ère de meilleurs produits qui sont livrés rapidement. Cependant, les états pourrait trouver ce processus plus difficile. Leur instinct est de protéger les secteurs et les entreprises qui existent déjà, pas de protéger les petits nouveaux qui veulent les détruire. Ils arrosent les vieilles usines avec des subventions et des patrons voyous qui souhaitent délocaliser la production. Ils dépensent des milliards pour soutenir des nouvelles technologies dont ils estiment, avec toute leur sagesse, qu'elles l'emporteront. Les états s'accrochent à la croyance romantique que l'industrie est supérieure aux services, sans même parler de la finance.

Tout cela n'a aucun sens. La frontière entre l'industrie et les services s'estompe. Rolls-Royce ne vend plus de réacteurs d'avion, l'entreprise vend le temps que chaque réacteur permet de propulser un avion dans le ciel. Les états ont toujours été nuls quand il a s'agit de sélectionner les gagnants. Il est probable qu'ils empireront encore dans ce domaine lorsque des armées d'entrepreneurs et de bricoleurs s'échangeront des modèles en ligne, les transformeront en produits depuis leur maison et les commercialiseront depuis leur garage. Lorsque la Révolution fera rage, les états feront mieux de s'en tenir aux fondamentaux : de meilleures écoles pour une main d’œuvre qualifiée, des lois plus claires et un cadre favorisant une concurrence équitable pour toutes sortes d'entreprises. Il faudra laisser tout le reste aux révolutionnaires.

Article paru dans l'édition papier de The Economist, daté du 21 avril 2012. Traduit de l'anglais par Steven S.

Posté

I love you :) J'allais faire un renvoi vers le site mais c'est encore mieux si c'est traduit.

Suggestion d'article à traduire, buzz assuré! http://danieljmitche…ll-endorsement/ Dan Mitchel du Cato Institute appelle à voter Hollande

On a son accord, il faut bien garder les liens originels et le lien vers l'article sur son blog.

Posté

Voilà.

Je reçois régulièrement des emails me demandant quel candidat à la présidentielle je supporte. La plupart se plaignent que je critique Romney, Santorum, Gingrich, etc, et se demandent si j'aime quelqu'un.

En règle générale, je ne réponds pas parce que je travaille dans un think-tank et que nous ne sommes pas supposés nous impliquer en politique, en vertu des règlements du fisc. Mais j'ai trouvé une échappatoire et le temps est venu pour moi d'annoncer mon candidat préféré pour les élections présidentielles 2012. Et je fais cette annonce tant attendue alors même que je ne voterai pas.

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Je veux que le peuple choisisse François Hollande.

Qui est Mister Hollande, me demanderez-vous ? Eh bien, en fait, il s'agit de Monsieur Hollande (en français dans le texte, NdT), car je soutiens ici un candidat à l'élection présidentielle française.

Pour ceux d'entre vous qui suivent cette histoire, vous pouvez vous demander pourquoi je préfère Monsieur Hollande. Après tout, c'est le candidat du Parti Socialiste Français.

Lisez ces extraits de la page éditoriale du Wall Street Journal et vous commencerez à comprendre pourquoi. Commençons par un rapide coup d'oeil à la situation française :

Les Français vont voter dimanche pour le premier tour des Présidentielles, mais vous ne savez sans doute pas que les candidats sont en lice pour l'élection la plus importante en Europe depuis le début de la crise économique. … les postulants à l'Elysée — incluant M. Sarkozy — se racontent d'une façon ou l'autre des contes de fées. …L'économie française est dans une crise grave sinon aigüe. …La croissance française stagne depuis cinq ans. Les coûts du travail ont constamment grimpé depuis plus de dix ans, et les taux de chômage forts sont devenus chroniques. Un quart des jeunes français sont sans emploi.

Et voici ce que nous savons du président sortant, supposément centre-droit, Nicolas Sarkozy :

Nicolas Sarkozy, le président sortant de centre droit, propose de réduire de déficit budgétaire en augmentant les taxes et impôts au nom de la “solidarité.” En plus des augmentations de taxes sur les impôts des sociétés et sur le revenu, déjà passées, et de la surcharge de 4% sur les hauts revenus, M. Sarkozy a aussi promis une “exit tax” sur les citoyens français qui s'expatrient, censément pour compenser la perte de taxes lorsque ces hauts revenus quittent le pays. …M. Sarkozy propose de réduire les charges patronales mais compenserait en augmentant la TVA et les impôts sur les investissements. Ceci en supposant qu'il reste des investissements en France après la taxe sur les transactions que M. Sarkozy’s compte mettre en place en Août.

En d'autres mots, Sarkozy est un étatiste. Mais vous le saviez déjà si vous avez lu ceci, ceci, ceci,ceci, ou cela.

Bien. Quelle est l'alternative ? Eh bien il n'y en a pas :

Le rival socialiste du président est une autre sorte de retour en arrière. La campagne que François Hollande a adoptée illustre un vieux style de gauche que la plupart aurait déclaré mort après la défaite des Socialistes en 2007. Tout, dans la politique économique de M. Hollande, prend racine dans un populisme punitif qui ferait rougir les tenants de la lutte des classes au Congrès américain. …M. Hollande explique aux riches qu'il n'est "pas dangereux" — il veut simplement confisquer 75% de leur revenu au delà d'1 million d'euros, et 45% au delà de 150,000€. Cependant, il est, de son propre aveu l' “enemi” de l'industrie financière, et il projète des sanctions supplémentaires sur les compagnies pétrolières et les sociétés financières. Il veut aussi augmenter les impôts sur les dividendes et imposer un nouveau taux de TVA sur les biens de luxe.

Le pauvre peuple de France, pour être franc, est baisé peu importe le candidat choisi. Le gouvernement va encore grossir, les impôts vont grimper, le chômage va augmenter et le niveau de vie va continuer à stagner.

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Compte-tenu de cette triste perspective, je préfèrerai malgré tout que le parti de gauche remporte les élections.

Mon raisonnement est simple et j'ai même décidé de créer une nouvelle règle pour commémorer cette analyse : la “Règle 'Richard Nixon' de Désinfection” qui veut qu'il est préférable de laisser le parti de gauche gagner lorsque le parti supposément de droite n'a qu'un candidat étatiste.

J'ai nommé cette règle d'après Nixon pour la raison évidente que c'était l'un des pires présidents dans l'histoire de l'Amérique. Et je ne compte même pas le scandale du Watergate et sa démission ultérieure. Je fais référence aux dépenses, aux impôts, régulations, et interventionnisme. Il n'y a pas besoin d'expliquer en quoi Sarkozy est une version française de Nixon. Ou de Bush.

En conséquence, si les Français doivent être dirigés par un étatiste, autant que ce soit Hollande. De cette façon, il y a au moins une petite chance que le parti qui se prétend de centre-droit revienne sur Terre et offre une vraie alternative à la prochaine élection.

D'ailleurs, c'était mon état d'esprit lorsque, plus jeune, je voulus que Jimmy Carter batte Gerald Ford. J'avais imaginé que c'était le meilleur moyen d'avoir ensuite Ronald Reagan.

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