NicolasB Posté 9 août 2012 Signaler Posté 9 août 2012 si personne ne l'a pris, je veux bien le faire pour dans deux jours. (réellement) J'en ai fait une bonne moitié… Je vais pouvoir tenir mon délai.
Citronne Posté 10 août 2012 Signaler Posté 10 août 2012 Grexit : pour quand, la sortie de la Grèce de l'euro ? http://eureferendum….px?blogno=83025 Taken, je galere avec mon clavier mais gambaru… Fait, en revanche j'ai ete deconnectee deux fois pour je ne sais quelle raison, c'etait bien relou… Si j'ai le temps, je vous fais aussi celui sur l'Espagne et l'immigration
Nick de Cusa Posté 10 août 2012 Auteur Signaler Posté 10 août 2012 Rafraischissant (et court) petit billet musical d'août de Hannan. Pil poil pour le week-end. http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100175912/stumbling-across-exquisite-music/
ChocolateCookie Posté 10 août 2012 Signaler Posté 10 août 2012 Vous êtes intéressés par ça ? http://www.lp.org/platform je ne sais plus qui avait posté le lien. Comme c'est pas de la news, je veux bien le prendre comme travail de fond, sans ETA (bon je le rendrais sous max 3 semaines à priori). Mais comme c'est plutôt dense, je préférerais m'y mettre que si ça présente un véritable intérêt.
Turtles Posté 11 août 2012 Signaler Posté 11 août 2012 Pour info, si un jour Contrepoints a trop d'argent et pas assez de traducteurs, souvenez-vous de cette idée : WPML pour Wordpress est un plugin de traduction (80$) pour sites multilingues. La partie multilingue ne vous intéresse pas ici. En revanche, une fois installé, vous pouvez envoyer des articles à traduire à des traducteurs pro au sein même de Wordpress. Donc vous copiez-collez l'article anglais à traduire, l'envoyez en traduction, et il revient automatiquement dans Wordpress. Ca coûte donc 80$ à l'achat puis quelques dollars à chaque traduction j'imagine (j'ai pas regardé plus en détail). De la même manière les articles anglais peuvent être assignés à des rédacteurs internes. Une fois le rédacteur/traducteur passé par là, l'article est publié automatiquement par exemple. C'est pour info, j'ignore si votre fonctionnement actuel vous convient. Sans être intégré dans Wordpress il y a aussi des sites de traduction comme TextMaster où tu payes en fonction du niveau du traducteur. Chaque traducteur a également son/ses domaine(s) de prédilection histoire qu'un mec spécialisé en politique ne traduise pas des articles sur la conquête spatiale.
NicolasB Posté 11 août 2012 Signaler Posté 11 août 2012 Je croyais avoir posté la traduction… L'avez vous bien reçu?
Largo Winch Posté 11 août 2012 Signaler Posté 11 août 2012 Oui, publiée ce matin : http://www.contrepoi…uction-a-revoir Merci NicolasB !
Nick de Cusa Posté 12 août 2012 Auteur Signaler Posté 12 août 2012 La grande illusion éolienne. http://www.eureferendum.com/blogview.aspx?blogno=83033 Les républicains viennent de se donner beaucoup plus de chances d'être élus. http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100176318/the-republicans-just-made-themselves-a-whole-lot-more-electable/
eDoK Posté 12 août 2012 Signaler Posté 12 août 2012 Les républicains viennent de se rendre bien plus éligibles Par Daniel Hannan Il y a trois ans, quand on leur a demandé quelle était la plus grande menace qui pesait sur les Etats-Unis, le Comité des chefs d’états-majors interarmées américain (« Joint Chiefs of Staff ») a répondu « le niveau de la dette ». Vrai alors, encore plus vrai aujourd’hui. Les gaspilleurs de l’actuelle administration ont dilapidé des milliers de milliards de dollars alors que le Trésor était déjà aussi nu que le Roy. La crise de la dette n’est plus seulement une affaire américaine : la banqueroute des plus grandes démocraties libérales du monde est une menace pour tout défenseur de la liberté. Laissez-moi partagez une petit rétrospective britannique avec les lecteurs américains. En 1945, nous avions vidé notre Trésor et épuisé notre crédit. Malheureusement, c’est à cette période que le gouvernement Attlee (Premier Ministre britannique de 1945 à 1951) décida d’entreprendre un programme ruineux d’expansion étatique. En guise de résultat, la Grande-Bretagne est passé en 30 ans du statut de première puissance mondiale à celui d’un pays tellement misérable qu’il cherchait le salut en Europe. Vous avez à peine besoin de moi pour faire le parallèle. Les programmes fédéraux de l’administration Obama et les plans sur la Santé auraient été un fardeau peu importe l’époque, mais dans les circonstances économiques actuelles ils menacent de provoquer une catastrophe. A côté de la crise des dépenses [publiques], aucun autre problème n’est important. Que les candidats prennent position sur le droit du port d’armes ou le mariage homosexuel est, honnêtement, aussi important que leur position sur l’identité de Jack l’Eventreur. La seule question que les américains devraient se poser jusqu’aux élections est celle-ci : « qui va restaurer le bon sens dans les dépenses fédérales ? » Comme beaucoup d’américains, je blâme les deux partis pour le désordre. Les packages pourris d’Obama suivent ceux de Bush, et les membres du Congrès des deux partis sont responsables. (Pour être honnête, les électeurs républicains ont viré certains de leurs coupables pour les remplacer par des « conservateurs fiscaux »). Il existe toutefois un membre du Congrès qui comprend non seulement la gravité de la situation de son pays, mais aussi du besoin d’un plan de relance plausible. Cet homme s’appelle Paul Ryan, du Wisconsin, et la bonne nouvelle est qu’il est nominé en tant que vice-présidentiable républicain. J’ai déjà posté la vidéo au dessus de l’article, mais elle mérite bien un nouveau visionnage. Ryan est dans la vie tout autant qu’il paraît dans cette vidéo : sincère, charmant, intelligent. Il est vrai que le Congrès fixe le budget, et je reste de ceux qui croient que les élections législatives de novembre prochain sont celles qui comptent le plus. Mais avoir un responsable politique qui voit dans la dépense fédérale un problème plutôt que la solution ne peut pas faire de mal.
eDoK Posté 12 août 2012 Signaler Posté 12 août 2012 La grande illusion du vent (si quelqu'un a un jeu de mot sur le parallèle illusion/vent c'est le moment) La cacophonie de notre politique énergétique nationale fait l’objet de la colonne de Booker (journaliste au Telegraph, Ndt) cette semaine. C’est celle à propos de laquelle notre Gouvernement se repose entièrement sur la croyance que nous pouvons, d’une façon ou d’une autre, laisser nos lumières allumées en construisant des dizaines de milliers d’éoliennes supplémentaires dans les huit ans à venir. Nous n’étions évidemment pas censés nous rendre compte qu’à un moment donné de la semaine dernière, les 3500 éoliennes britanniques ont contribué à hauteur de 12 mégawatts (MW) sur les 38000MW que nous étions en train d’utiliser. (le site Neta, qui prend en charge les statistiques officielles sur l’énergie, a enregistré une contribution de 0,0%). Et malgré le fait que l’immense bêtise de la nouvelle « course vers l’énergie éolienne » soit aujourd’hui bien connue, cela fait aujourd’hui quelques 10 ans que Booker a pour la première fois pointé la folie de tout ça. C’était se bercer d’illusion à l’époque et ça l’est encore plus aujourd’hui, alors que le gouvernement, dans son dernier rapport sur l’énergie, parle de fournir en moyenne 12300MW provenant d’énergies « renouvelables » d’ici 2020. Le côté illusoire de la chose ne peut être assez souligné. Nous avons un gouvernement qui déclare quelque chose qui ne peut être fait en tant que politique. Il est absolument impossible qu’ils puissent meme espérer construire une fraction des 30000 éoliennes requises pour atteindre cet objectif tordu. Et alors, comme nous l’ont montré les jours sans vent de la semaine dernière, nous devrons aussi construire des dizaines de centrales à gaz juste pour fournir un soutien pour toutes les fois où le vent ne soufflera pas à la bonne vitesse. Mais, déclare Booker, comme de plus en plus d’informateurs avisés l’ont fait remarqué, les ministres et les politiques du Département de l’Energie et du Climat (Department of Energy and Climate Change, DECC) semblent vivre dans une bulle irréelle sans aucune connaissance même basique de la façon dont l’énergie est produite. Ils sont imperméables aux arguments rationnels et guidés par une obsession qui ne peut finir qu’en arrêt progressif de notre économie basée sur l’informatique. La dernière tentative en date pour les faire se rendre compte de la réalité est signée du Pr Gordon Hughes, un ancient conseiller expérimenté sur l’énergie à la Banque Mondiale, aujourd’hui professeur d’économie à Edimbourg, qui a récemment témoigné sur l’énergie et le changement climatique devant le comité parlementaire sur l’énergie (‘Commons committee on energy’). Sa découverte la plus marquante nous prouve que dans notre poursuite de l’objectif de notre loi sur le changement climatique (‘Climate Change Act’), qui vise à réduire les émissions britanniques de CO2 de 80% d’ici 2050, nous coûterait 124 milliards de Livres d’ici 2020, soit 5000 Livres pour chaque foyer: pas seulement pour construire des dizaines de milliers d’éoliennes subventionnées jusqu’à l’absurde, mais aussi pour des centrales à gaz pour fournir du soutien. Alors que garantir le même montant d’énergie avec des centrales électriques à cycle combiné gaz (CCCG) coûterait 13 milliards de Livres, à peine un dizième de cette somme. De plus, comme l’explique le Pr Hughes, faire varier sans cesse l’intensité de production des centrales électriques de soutien à gaz impliquerait une utilisation très inefficace, et rejeterait tant de CO2 que nous finirions par augmenter notre niveau general d’émissions au lieu de le réduire. Et qui doit les construire ou les payer ? A noter toutefois pour casser l’ambiance que la probabilité pour qu’un seul de ces points ne soient compris par ceux en charge de notre politique énergétique peut être mesurée au fait que ce comité parlementaire soit dirigé par Tim Yeo, dont les intérêts commerciaux montrent que celui-ci a gagné, en plus de son revenu de député, plus de 100 000 Livres en travaillant (à 800 Livres de l’heure) pour des firmes qui tirent des bénéfices à partir des énergies renouvelables. Quand le député Peter Lilley a montré les chiffres du Pr Hughes à la chambre basse, il a été écarté avec mépris par le ministre de l’Energie et du Climat Charles Hendry, qui a déclaré ne pas être d’accord avec le Pr Hughes (sur des faits qui montrent qu’il n’avait pas compris du tout l’objet du débat), en ajoutant « tout comme le comité sur le changement climatique ». Le nouveau président de ce comité, nommé par la loi sur le changement climatique (Climate Change Act), est Lord Deben (succédant à John Gummer), dont les activités lucratives variées incluent son poste de président de Forewind, un consortium international visant à la construction de la ferme à éoliennes offshore la plus étendue au monde, avec des milliers de turbines sur la Dogger Bank (immense banc de sable de la Mer du Nord, NdT). Ainsi donc, les promoteurs du business du vent ont réussi à occuper tous les postes de commandement de notre politique énergétique, et le seul retour possible à la réalité concevable passe par une attaque avisée et bien informée par un grand nombre de ceux élus pour nous représenter au Parlement. Mais comme les lettres du la loi sur le changement climatique récemment transmises à Brooker par ses lecteurs et rédigées par plus de 70 députés nous l’enseignent, ils semblent tout autant enfermés dans cette bulle de simulation de croyance que ceux qui ont visé ces politiques illusoires en premier lieu. Un point intéressant, une académicienne d'Oxford,spécialiste de l’interaction entre les sciences et la politiques, a demandé à Booker si elle pouvait entreprendre une analyse détaillée de ces lettres, pour voir ce qu’elles nous montrent du degré de compréhension des députés sur un des points les plus essentiels que notre pays doit affronter. En temps voulu, Booker espère publier un rapport sur les résultats mais, déjà, nous craignons qu’ils ne soient pas très encourageants. Nous savons déjà que ce Parlement à complètement échoué à faire son travail ici, fournissant une des raisons pour ne plus faire confiance aux députés. S’ils ne sont pas dignes de confiance sur cette question complètement folle, comment pourraient-ils l’être sur quoi que ce soit d’autre ? PS : j’ai cherché l’identité de « Booker » sur le net et n’ai trouvé qu’un journaliste masculin du Telegraph, mais l’auteur écrit « she » à son propos. J’ai esquivé le problème dans l’article sauf au moment de donner son identité au tout début, et pour des raisons de condtions physiques perso pour tourner ça joliment je me sens pas le courage de me lancer dans une recherche. Faudrait peut-être aussi un relecteur généreux pour cet article, même raison que précédemment. Egalement un lien présent dans l’article au tt début sur « la semaine dernière », mais le postage de lien étant impossible pour moi sur ce forum je laisse faire une âme généreuse. PS²: Brooker est bel et bien le journaliste du Telegraph, j'avais mal lu une phrase et mal compris le sens. Quand j'vous dis que je suis pas en forme… Relecture svp =X (article corrigé bien sûr)
ChocolateCookie Posté 12 août 2012 Signaler Posté 12 août 2012 Joli boulot La grande illusion du vent (si quelqu'un a un jeu de mot sur le parallèle illusion/vent c'est le moment) Hmmm L'éolien, autant en emporte le vent ?
Largo Winch Posté 12 août 2012 Signaler Posté 12 août 2012 Merci beaucoup eDoK ! Publication du Richard North demain matin et du Daniel Hannan après-demain. J'ai mis : "L'éolien, c'est du vent !"
John Loque Posté 13 août 2012 Signaler Posté 13 août 2012 Je viens de lire la "Platform" du parti libertarien américain et je constate qu'elle n'a jamais été traduite en français. C'est pourtant une exposition très claire et très synthétique de nos idées. Ca tenterait un traducteur d'ici ? Les subdivisions permettraient une publication en série sur Contrepoints. http://www.lp.org/platform S'il n'est pas pris d'ici là, je m'en ferais un plaisir pendant mes vacances (semaine prochaine.) Ca tient toujours ?
José Posté 13 août 2012 Signaler Posté 13 août 2012 Proposition d'article à traduire : Olympics Put Value of Competition on Display.
eDoK Posté 13 août 2012 Signaler Posté 13 août 2012 Je viens de lire l'article publié, "L'éolien c'est du vent". Les corrections sont bonnes (merci) mais j'ai juste deux remarques: « Il s'agit de celle que notre gouvernement a entièrement focalisée sur la conviction que nous pouvons » - cette correction n'a pas de sens =X - edit histoire de préciser un peu, le verbe "focaliser" me semble un peu malheureux en français ici, pas du tout la même utilisation qu'en anglais. En français on dirait plus "baser sur" pour une idée ou une politique. Juste après, vous avez remplacé "d'une façon ou d'une autre" par "en quelque sorte". L'original étant "somehow", je maintiens ma trad ! Nanmé
Largo Winch Posté 13 août 2012 Signaler Posté 13 août 2012 Je viens de lire l'article publié, "L'éolien c'est du vent". Les corrections sont bonnes (merci) mais j'ai juste deux remarques: « Il s'agit de celle que notre gouvernement a entièrement focalisée sur la conviction que nous pouvons » - cette correction n'a pas de sens =X - edit histoire de préciser un peu, le verbe "focaliser" me semble un peu malheureux en français ici, pas du tout la même utilisation qu'en anglais. En français on dirait plus "baser sur" pour une idée ou une politique. Juste après, vous avez remplacé "d'une façon ou d'une autre" par "en quelque sorte". L'original étant "somehow", je maintiens ma trad ! Nanmé "Baser sur" n'est pas français… Je mets "axer". Le "d'une façon ou d'une autre" alourdissait considérablement la phrase. Et cette traduction littérale ne fait pas grand sens en français, je trouve. Du coup j'ai fait de nouvelles modifs (j'ai remplacé le "celle" pas clair, et carrément viré le "quelque sorte") : "La cacophonie de notre politique énergétique nationale fait l’objet d'une chronique de Booker (journaliste au Telegraph, NdT) cette semaine. Il s'agit de la politique que notre gouvernement a entièrement axée sur la conviction que nous pourrions laisser nos lumières allumées en construisant des dizaines de milliers d’éoliennes supplémentaires dans les huit ans à venir."
eDoK Posté 13 août 2012 Signaler Posté 13 août 2012 "Baser sur" n'est pas français… Je mets "axer". Le "d'une façon ou d'une autre" alourdissait considérablement la phrase. Et cette traduction littérale ne fait pas grand sens en français, je trouve. Du coup j'ai fait de nouvelles modifs (j'ai remplacé le "celle" pas clair, et carrément viré le "quelque sorte") : "La cacophonie de notre politique énergétique nationale fait l’objet d'une chronique de Booker (journaliste au Telegraph, NdT) cette semaine. Il s'agit de la politique que notre gouvernement a entièrement axée sur la conviction que nous pourrions laisser nos lumières allumées en construisant des dizaines de milliers d’éoliennes supplémentaires dans les huit ans à venir." Vendue =) c'est vrai que ça passe bien comme ça. Par contre tu es sûr pour le "basé sûr" ? =X Je n'ai jamais eu aucune remarque à ce sujet
Nick de Cusa Posté 13 août 2012 Auteur Signaler Posté 13 août 2012 Je viens de lire l'article publié, "L'éolien c'est du vent". Les corrections sont bonnes (merci) mais j'ai juste deux remarques: « Il s'agit de celle que notre gouvernement a entièrement focalisée sur la conviction que nous pouvons » - cette correction n'a pas de sens =X - edit histoire de préciser un peu, le verbe "focaliser" me semble un peu malheureux en français ici, pas du tout la même utilisation qu'en anglais. En français on dirait plus "baser sur" pour une idée ou une politique. Juste après, vous avez remplacé "d'une façon ou d'une autre" par "en quelque sorte". L'original étant "somehow", je maintiens ma trad ! Nanmé Avec toute notre reconnaissance, mon impression à la lecture était un texte un poil "gauche", et ma suggestion serait de laisser reposer la traduction une fois faite, de passer (et penser) à autre chose, et d'y revenir plus tard en voyant si c'est un texte naturel en Français.
eDoK Posté 13 août 2012 Signaler Posté 13 août 2012 Avec toute notre reconnaissance, mon impression à la lecture était un texte un poil "gauche", et ma suggestion serait de laisser reposer la traduction une fois faite, de passer (et penser) à autre chose, et d'y revenir plus tard en voyant si c'est un texte naturel en Français. Bien possible j'étais dans les vaps, ce matin le texte ne m'a pas du tout fait la même impression que hier soir. Je laisse les gérants gérer =)
Largo Winch Posté 13 août 2012 Signaler Posté 13 août 2012 Vendue =) c'est vrai que ça passe bien comme ça. Par contre tu es sûr pour le "basé sûr" ? =X Je n'ai jamais eu aucune remarque à ce sujet A priori, ce serait un contresens : une "base" ne peut être sur quelque chose puisque c'est une base. L'académie dit : BASER v. tr. XVe siècle, bassée, « fondée sur », en architecture ; rare avant le XVIIIe siècle. Dérivé de base. MILIT. Installer dans une ou plusieurs bases. Baser des troupes sur divers points du territoire. La flotte basée dans le Pacifique, les unités basées aux frontières orientales.Ce verbe ne doit pas être employé au sens figuré. Il faut lui préférerFonder, établir. Mais je jouais au puriste puisque le Grévisse dit de son côté que c'est entré dans les usages…
Nick de Cusa Posté 13 août 2012 Auteur Signaler Posté 13 août 2012 Bien possible j'étais dans les vaps, ce matin le texte ne m'a pas du tout fait la même impression que hier soir. Je laisse les gérants gérer =) Eh bien, joli score, et 2ème article du jour.
YouplaBoum Posté 14 août 2012 Signaler Posté 14 août 2012 Proposition d'article à traduire : Olympics Put Value of Competition on Display. Je me déclare dispo pour vous aider dans votre tâche de traduction ! Ayant 10h de décalage horaire avec vous, vous postez le soir et j'essaye de finir ça dans la journée pour que vous l'ayez le matin. Là par exemple, j'ai fait ça. Dites moi si cela suffit ou si j'ai pris trop de libertés par rapport au texte, si ça manque de naturel, etc. Ce week-end, l'équipe US de basket masculin est fortement pressentie pour gagner une médaille d'or. Fortement pressentie, mais non pas assurée. Les américains ont du se battre durement contre l'Argentine lundi (devant d'un point seulement à la mi-temps) et dépassaient la Lituanie de juste 5 point la semaine dernière. Cette équipe peut donc perdre. Ce qui diffère fortement de la situation il y a encore 20 ans de cela. Dans son excellent livre, The Dream Team, Jack McCallum raconte l'histoire de l'équipe de Basketball des USA aux Jeux de 1992. Ce furent les premiers jeux à autoriser les joueurs professionels américains d'y participer (les autres athlètes avaient été semi-professionnels pendant longtemps. Rappellez-vous les mêmes joueurs de l'équipe soviétique de hockey que l'on revoyait aux jeux tous les quatre ans). La liste des joueurs, composée des meilleurs de la NBA, fit des Jeux de 92 plus un couronnement qu'une compétition. La Dream Team empila une série de victoires sur scores à deux chiffres. Les autre joueurs, se sachant surclassés, venaient souvent réclamer aux membres de la Dream Team des autographes après le match. La compétition semblait donc injuste en ce temps. Tout ce qu'il y avait à commenter était l'importance de la différence de niveau entre les joueurs américains et les meilleurs joueurs des autres pays. Cependant, une telle forme de compétition permit au reste du monde d'améliorer son jeu. "Jouer contre eux semblait une Mission Impossible"', se rappelle l'un des joueurs de l'équipe espagnole de 1992, désormais coach de son équipe nationale. "Mais c'était une bonne mission. Tout le monde voulait y participer car les joueurs sérieux veulent jouer contre les meilleurs, peu importe le résultat. Car c'est seulement en jouant contre les meilleurs que l'on peut devenir meilleur." De plus, beaucoup des stars actuelles de la NBA - en incluant les étrangers Dirk Nowitzki, Tim Duncan et Steve Nash - ont marqué leurs premiers paniers inspirés par cette Dream Team. L'économie fonctionne de la même façon. La compétition tend à rendre tout le monde meilleur. Et aucune compagnie ni aucun pays ne peuvent maintenir un avantage indéfiniment. Le marché libre et la compétition ouverte aident les pays les plus pauvres à se focaliser sur les activités en lesquelles ils réussissent le mieux, et ainsi élever leur niveau de vie. Et c'est exactement ce qui s'est passé pendant des dizaines d'années sous l'exemple des Etats-Unis. Dans son livre The World America Made, Robet Kagan écrit que dans les années 1950, il y avait à peu près un milliard de personnes riches et 5 milliards de pauvres. "Dès le début du XXI siècle, 4 milliard de ces pauvres ont commencé à sortir de la pauvreté", écrit-il. "Cette période de prospérité globale a bénéficié à un grand nombre de pauvres et a permis l'émergence de puissances économiques comme la Chine, le Brésil, la Turquie, l'Inde ou l'Afrique du Sud dans des parties du monde qui avant cela ne connaissaient surtout que la pauvreté." Dit autrement, le reste du monde nous rattrape économiquement, et cela améliore les vies de milliards d'invididus.
Largo Winch Posté 14 août 2012 Signaler Posté 14 août 2012 Merci YouplaBoum. Tu es le bienvenu dans l'équipe de traduction ! C'est parfait. J'ai retouché en prenant encore plus de libertés avec le texte d'origine pour tenir compte du fait que l'on connait maintenant le résultat de la final. Publication demain matin.
Nick de Cusa Posté 15 août 2012 Auteur Signaler Posté 15 août 2012 Le retour de la lire (pour un week-end) http://openeuropeblog.blogspot.be/2012/08/the-lira-is-back-for-weekend.html
Largo Winch Posté 17 août 2012 Signaler Posté 17 août 2012 Les racines libertariennes du Tea Party : http://www.cato.org/publications/commentary/more-data-libertarian-roots-tea-party
YouplaBoum Posté 18 août 2012 Signaler Posté 18 août 2012 Les racines libertariennes du Tea Party : http://www.cato.org/…roots-tea-party Done : Beaucoup d'analystes ont vu dans le choix de Mitt Romney's de prendre Paul Ryan comme vice-présent une concession au Tea Party. Et c'est peut-être le cas. Cependant on peut se demander si ces analystes ont conscience de quelle facette du Tea Party il s'agit là. La semaine dernière, Emily Ekins and moi-même publièrent une nouvelle étude du Cato Institute intitulée "Les racines libertariennes du Tea Party", en même temps qu'un article d'opinion dans Politico. Nous y disions : "La plupart des gens de gauche classent le Tea Party dans la même catégorie que la vieille droite religieuse, mais les données tendent à prouver qu'ils ont tort. Le Tea Party a de solides racines libertariennes, et est une influence libertarienne sur le Parti républicain. Rassemblant des données de sondages locaux et nationaux, ainsi que des douzaines d'interviews avec des membres et leaders du Tea Party, nous avons découvert que celui-ci est uni sur le plan économique, mais plus déchiré sur les questions sociales qu'il tente d'éviter. En gros, une moitié du Tea Party est conservatrice, l'autre moitié libertarienne - ou plutôt fiscalement conservatrice, mais modérée sur le plan sociétal. Le Tea Party renverse l'opinion commune que les condidats républicains doivent rassembler les voteurs socialement conservateurs pour gagner les primaires. De plus en plus, les candidats républicains doivent remporter les votes du Tea Party en insistant sur une position libertarienne en économie." Hier, une étude séparée sur le Tea Party apporta plus de détails. Le spécialiste en sciences politiques Ron Rapoport de William and Mary College délivra un rapport qui résume les conclusions d'un sondage auprès de 12 000 supporters de FreedomsWorks (dont je suis vice-président), mené de Décembre 2011 à Janvier 2012. Etant donné que "99% des membres de Freedom Works s'identifient au TEa Party, et que 13% des membres du Tea Party sont membres de FreedomWorks - la plus grande proporion pour un groupe relié au Tea Party au plan national. Par conséquent, afin de comprendre le mouvement Tea Party, ses dynamiques, ses positions, son activité et son comportement politique, étudier les supporters de FreedomWorks est un bon point de départ." Le rapport conclut notamment - Les libertariens sont une partie importante des supporters de FeedomWorks, composant près de 30% du groupe. Sur l'immigration et l'avortement, les libertariens (comme on le voit dans la plate-forme du parti sur les trois dernières élections) ont des positions distinctes du Parti Républicain et de beaucoup d'autres membres du Tea Party. SUr l'avortement, les libertariens sont 20 moins susceptibles d'être en faveur d'un amendement constitutionnel bannissant l'avortement, et près de 12% moins enclin à supporter des limites plus strictes sur l'immigration. - Le facteur le plus important pour prédire le support à un candidat est l'identification libertarienne. Parmi les libertariens (qui composent un tiers des supporters de FreedomWorks), Ron Paul était le choix principal, alors que parmi les autres supporters il était en retard en termes d'intention de vote. - Les supporters de Paul en 2008 parmi les sympathisants de Freedom Works sont aussi distincts des autres. Seuls 40% d'entre eux ont participé d'une façon ou d'une autre à la campagne McCain-Palin, comparé à 70% des autres sympathisants. Ces résultats rejoignent les notres. Les libertariens composent une part importante de l'histoire du Tea Party, et tiennent des opinions différentes sur un certain nombre de questions et de candidats. Cependant Rapoport sous-estime peut-être le nombre de libertariens à FreedomWorks, et par inférence au Tea Party plus généralement. En effet, pour identifier les libertariens, le sondage de Rapoport demanda aux sondés s'ils étaient libertariens de façon stricte (Oui ou Non). Cette méthode montre quelques 13% de libertariens au niveau national. Cependant, comme David Boaz et moi-même avons montré dans des études précédentes sur les votants libertariens, beaucoup de personnes qui ont des convictions libertariennes ne sont pas familières de ce mot. En utilisant des questions plus larges à propos des convictions fondamentales, nous estimons que les libertariens composent entre 15 et 24% de l'électorat (selon le nombre et le degré de précision des questions). S'il avait utilisé de telles méthodes, les données de Rapoport montreraient sûrement la même division 50-50 qu'établissent nos sources. Peut-être la nomination de Paul Ryan enthousiasme plus les libertariens du Tea Party que les conservateurs. Sans aucun doute, la campagne de Romney connue pour se baser fortement sur l'étude de données a testé l'impact de cette nomination sur divers segments de l'électorat. Si le facteur clef de l'élection de 2012 est le taux de participation, les résultats de Rapoports suggèrent que les libertariens du Tea Party et les supporters de Ron Paul seront cependant moins enclins à aller voter et participer à la victoire que les conservateurs du Tea Party. Ryan est donc sûrement l'expression politique d'un "libertarien fonctionnel" dans cette campagne présidentielle. Même s'il sûr qu'il n'est pas libertarien lui-même. Mais en mettant l'accent sur des questions fiscales plus que sociétales, il peut unir les membres du Tea Party, attirer les libertariens, et plus généralement tous les voteurs concernés par l'économie.
Chitah Posté 18 août 2012 Signaler Posté 18 août 2012 Je traite l'article de YouplaBoum, merci à toi jeune homme!
Nick de Cusa Posté 19 août 2012 Auteur Signaler Posté 19 août 2012 Euro : la sortie de l'Allemagne en Une de Handelsblatt : http://eureferendum.com/blogview.aspx?blogno=83060
Nick de Cusa Posté 21 août 2012 Auteur Signaler Posté 21 août 2012 Richard North fait un fantastique travail, chaque jour, pour dévoiler le débat politique explosif en Allemagne sur la question européenne. N'y allons pas par quatre chemin : c'est la question d'actualité la plus importante du moment, point à la ligne (sauf si quelqu'un va faire quelque chose de stupide contre l'Iran, mais ne parlons pas de malheur). Ca serait donc bien que ça soit en haut de notre liste de priorité en traductions (la raisons pour laquelle North s'y colle, c'est que les médias UK sont nuls sur cette question. Et vous savez quoi ? Les nôtres aussi. Gros apport info potentiel de Contrepoints par rapport à tout le reste de la concurrence). http://eureferendum.com/
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