NicolasB Posté 21 août 2012 Signaler Posté 21 août 2012 Euro : la sortie de l'Allemagne en Une de Handelsblatt : http://eureferendum….px?blogno=83060 Si personne ne l'a travailé, je veux bien la prendre pour demain soir.
Nick de Cusa Posté 21 août 2012 Auteur Signaler Posté 21 août 2012 Si personne ne l'a travailé, je veux bien la prendre pour demain soir. Regarde le blog avant pour voir s'il y en a une plus à même de capter l'attention du lecteur francophone.
NicolasB Posté 21 août 2012 Signaler Posté 21 août 2012 Regarde le blog avant pour voir s'il y en a une plus à même de capter l'attention du lecteur francophone. Ok je regarde ça ce soir à la maison.
Largo Winch Posté 21 août 2012 Signaler Posté 21 août 2012 NicolasB, j'ai traduit celui-ci, qui sera publié demain dans CP : Euro : la sortie de l'Allemagne en Une de Handelsblatt : http://eureferendum….px?blogno=83060 Tu peux peut-être regardé dans les suivant s'il n'y a pas quelque chose qui mérite d'être traduit à publier le lendemain sur CP. Comme Nick le dit, vu que les autres médias en parlent peu, ça peut valoir le coup que CP fasse un effort là-dessus.
NicolasB Posté 21 août 2012 Signaler Posté 21 août 2012 NicolasB, j'ai traduit celui-ci, qui sera publié demain dans CP : Tu peux peut-être regardé dans les suivant s'il n'y a pas quelque chose qui mérite d'être traduit à publier le lendemain sur CP. Comme Nick le dit, vu que les autres médias en parlent peu, ça peut valoir le coup que CP fasse un effort là-dessus. Ok… je fais ça ce soir…
NicolasB Posté 22 août 2012 Signaler Posté 22 août 2012 Désolé mais une panne de motivation hier soir : je viens de regarder le blog et je pense que cet article pourrait être pas mal du tout : http://eureferendum.com/blogview.aspx?blogno=83073. Avec votre confirmation, je commence la traduction à midi.
Nick de Cusa Posté 22 août 2012 Auteur Signaler Posté 22 août 2012 Très bien. Le titre pourraient être "Les spéculateurs parient sur un retour du deutsche mark". Go go go.
NicolasB Posté 22 août 2012 Signaler Posté 22 août 2012 Très bien. Le titre pourraient être "Les spéculateurs parient sur un retour du deutsche mark". Go go go. Je confirme avoir commencé : trois paragraphes. Je finis pour ce soir.
NicolasB Posté 22 août 2012 Signaler Posté 22 août 2012 (modifié) Je confirme avoir commencé : trois paragraphes. Je finis pour ce soir. Fini mais ça doit être relu! (je corrigerai demain dans la matinée mais je le poste ce soir si vous voulez le sortir rapidement!). Les spéculateurs parient sur un retour du Deutsch Mark cf plus bas Modifié 24 août 2012 par NicolasB
Largo Winch Posté 22 août 2012 Signaler Posté 22 août 2012 Merci NicolasB. Je le programme pour 10h : si jamais tu avais des corrections à signaler d'ici-là.
NicolasB Posté 23 août 2012 Signaler Posté 23 août 2012 Merci NicolasB. Je le programme pour 10h : si jamais tu avais des corrections à signaler d'ici-là. C'est beaucoup plus compréhensible ainsi. Parcontre, je veux bien une ultime relecture par un tierce… Les spéculateurs parient sur un retour du Deutsch Mark Un des vrais problèmes du suivi de la crise de la zone euro est que la couverture faite par les médias vient des journalistes économiques. Immanquablement, cela signifie que les questions politiques brûlantes sont rapportées par des gens qui sont parmi les moins compétents pour les comprendre. De toutes façons, ils montrent avoir peu de capacités à comprendre leur propre spécialité. J’en veux pour preuve la fréquente surinterprétation des mouvements de marché à moyen terme. Les commentateurs suggèrent régulièrement que ces mouvements de marché ont beaucoup plus d’importance qu’ils en ont réellement. Ainsi en a-t-il été pour l’article concernant l’augmentation de toutes les bourses, et la hausse de la valeur de l’euro par rapport au dollar hier – largement interprétées par les médias comme une réponse à l’attente sur le fait que la Banque Centrale Européenne va bientôt commencer à acheter des obligations espagnoles et italiennes. Il y a peut-être quelques opérateurs de marché qui y croient. Mais il faut bien garder en mémoire que la quasi-totalité des opérations de marchés sont dorénavant automatisées par ordinateur, sans aucune intervention humaine. Lors de la période estivale relativement calme, ils peuvent conduire le marché, réduisant toute tentative d’analyse à un avis insignifiant. Le marché est bien sûr une machine à faire des profits. Ainsi, il est stérile d’utiliser les fluctuations à court terme comme une source d’intelligence politique. Seulement une certaine crédulité et une propension à encourager les comportements délirants peuvent tirer des conclusions de la plupart de ces données. Pour une analyse plus mûrement réfléchie sur le long terme de l’euro, nous devrions nous référer à une étude menée par la Commerzbank, qui a conclu que l’euro est condamné à s’affaiblir. Un article récent du Spiegel explique aussi que des investisseurs se préparent un effondrement de l’Euro. De plus, un article important de Die Welt nous donne une bonne indication des sentiments réels du marché. Il y est écrit que les spéculateurs parient sur un retour du Deutsch Mark. C’est une interprétation de la volonté des investisseurs achetant des obligations allemandes, même si pour quelque temps il n’y a virtuellement pas de rendement. Plus récemment certaines obligations ont même eu un rendement négatif. Il faut donc payer le gouvernement allemand pour lui prêter de l’argent. En effet, les investisseurs s’attendent à être compensés [NdT : sur leurs pertes de rendement] par des gains massifs sur les opérations de change quand l’euro explosera. Avec les titres possédés suite aux appréciations du Deutschemark, tout pourrait s’acheter pour une bouchée de pain. Des difficultés à exporter pourraient toutefois compenser la possibilité d’acheter des actifs bradés à l’étranger. C’est peut-être pourquoi, une fois encore, nous entendons des discussions sur un “Plan Marshall” pour la Grèce, comme celui qui a été discuté en Février dernier. Essentiellement, nous allons voir que l’Allemagne va acheter tous les intérêts de la Grèce en euros. Une somme de 90 milliards d’euros a été mentionné – une petite somme comparée avec le millier de milliards d’euros que l’Allemagne devrait supporter autrement, et il ne faut pas oublier le potentiel de profit. Tout ce que le gouvernement a à faire, dit Handelsblatt, est de dire clairement qu’il refusera toute aide supplémentaire à la Grèce - ce qui voudrait en fait amener à la sortie d’Athènes de la zone euro – pas afin de poursuivre une stratégie de renationalisation de l’Europe mais pour sauver l’euro et pour rendre l’Europe crédible à nouveau. Avec cela, après le silence relatif des médias internationaux, nous atteignons le point de saturation pour la parution d’articles d’analyses. Même le Figaro nous en fait les honneurs et discute des perspectives pour l’Euro. Partout à travers l’Europe, et même en Allemagne, il se dit, qu’il y a “une confirmation implicite que l’Europe prépare un plan B dans le cas d’une sortie de la Grèce de la zone euro”. Les Italiens s’y mettent aussi, avec le commentaire du Corriere della Sera se réjouissant de la nouvelle suivante : l’agence de notation Moody’s pense que la crise sera en Italie d’ici à 2013. Les pays comme la Grèce et l’Irlande devrait prendre jusqu’en 2016 pour compléter leurs programmes d’assainissement budgétaire, disent les agences. Mais l’Italie, l’Espagne et le Portugal seraient capable de sortir de l’ornière après 2013, s’ils sont capables d’appliquer complètement les réformes adoptées jusqu’ici. La presse italienne est tout spécialement intéressante, puisque à la fois la Republica et la Stampa contredisent l’affirmation d'Ambrose que l’Allemagne a acheté tout un lot d’obligations de la BCE. La Stampa dit en fait qu’à la fois "Berlin et la Bundesbank" s’oppose à la BCE. Incidemment, nous apprenons que le Failygraph a offert deux versions de ces gros titres pour la déclaration d’Ambrose. Sur le Web, c’était : "L’Allemagne soutient le plan de Draghi sur les obligations contre la Bundesbank", mais la version papier est devenue : ‘’l’homme de l’Allemagne à la BCE soutient le plan sur les obligations’’. Pour rajouter à la confusion, Faz a intitulé : "La BCE et la Bundesbank s’éloignent graduellement l’une de l’autre." Toutefois, Lüder Gerken, président du Centre de Fribourg pour la Politique Européenne, est peut-être le plus franc à propos de la BCE. Le plan est aucun cas pour sortir de la crise de la dette, dit-il. Il ne peut pas résoudre les problèmes ayant amené à la crise de l’Euro, ou rééquilibrer la crise des balances de paiement. La BCE est maintenant dans une impasse, ajoute-t-il. Nous avons évoqués tous les points de vue, et pourtant la quantité des commentaires ne diminue pas. Les autres commentateurs comme Martin Walser – qui voit l’explosion de l’euro comme un ‘scénario cauchemardesque’ – ont très peu de chose de neuf à offrir. Effectivement, nous sommes de retour là où nous en étions avec l’article de Booker, avec Handelsblatt nous expliquant: "La Grèce est à la merci des politiciens allemands", ensuite décrivant l’ "automne chaud" du sauveur de l’euro. Ce dont nous avons réellement besoin nous dit Frank Schäffler, ce sont des règles pour les retraits et les expulsions de la zone euro. Beaucoup de gens sont d’accord avec lui. Si ces règles étaient déjà en place, la Grèce serait déjà en train de vendre ses séjours vacances en drachmes.
NicolasB Posté 24 août 2012 Signaler Posté 24 août 2012 Nick/Largo que pensez vous de celui-ci pour 14H00 (pour faire dans la continuité d'hier)? http://eureferendum.com/blogview.aspx?blogno=83077 J'hésite beaucoup avec celui là : http://eureferendum.com/blogview.aspx?blogno=83081 mais je ne pourrais pas le traiter aussi vite (il est un peu plus long et du coup, je pourrais le finir pour demain).
Nick de Cusa Posté 24 août 2012 Auteur Signaler Posté 24 août 2012 Vas-y, fais le court. Danke schön.
Largo Winch Posté 24 août 2012 Signaler Posté 24 août 2012 Oui, ce sera parfait. Pour info, "Les spéculateurs parient sur un retour du Deutsch Mark" était en tête des articles les plus visités hier.
NicolasB Posté 24 août 2012 Signaler Posté 24 août 2012 Oui, ce sera parfait. Pour info, "Les spéculateurs parient sur un retour du Deutsch Mark" était en tête des articles les plus visités hier. Ah ça fait plaisir à savoir…
NicolasB Posté 24 août 2012 Signaler Posté 24 août 2012 (modifié) Bitte sehr Nick… (mais mes souvenirs d'allemand s'arrêteront ici).) Je traduis donc le gros pour demain matin (post dans la nuit). Les allemands seront remboursés. Nous avons commencé hier matin avec la plus grande partie des médias plagiant le Bild, à propos du courageux Samaras voulant du temps supplémentaire, et ne voulant pas quitter l’euro. Ensuite nous avons terminé la journée avec la plus grande partie des medias plagiant le Süddeutsche Zeitung, à propos du courageux Samaras… donnant cette fois sa garantie personnelle que les Huns récupéreraient leurs euros. La « garantie de remboursement » était le choix de citation faite par le Spiegel. Je vous avais prévenu hier que vous ne verriez rien d’autre que du théâtre. Et vous devez réellement vous demander à quoi hier a bien pu servir. Depuis le début, il était évident que rien n’allait se passer avant que le rapport de la Troïka soit terminé en Septembre. Ainsi, ni Merkel ni Samaras avait quelque chose de consistant à proposer. Et voilà ! Après toute cette action, le Guardian a fini la journée avec un reportage nous expliquant que les espoirs de la Grèce de recevoir un peu plus de temps « ont subi un revers quand les leaders européens ont refusé de prendre leur décision avant le mois prochain. » Merkel et Junker, nous explique-t-on sérieusement, « ont prévenu tous les deux que le futur de la Grèce dépend du verdict de la Troika des prêteurs, qui annoncera en Septembre si Athènes tient les objectifs de son plan de sauvetage en cours. » Cela provient d’un journal qui a perdu 16% de son tirage en un an, et a perdu dans le même temps 76,6 millions de livres sterlings. Vous comprendrez pourquoi. Et maintenant,, allons observer le spectacle de Merkel et Hollande – ou devrions nous l’appeler le spectacle Merlande ? Cela va être encore plus théatrale – Le Monde le décrit comme « au centre d’un ballet diplomatique ». Alors, attendons un peu avant de nous amuser. Vous allez surement vous battre pour être mieux informés. Modifié 24 août 2012 par NicolasB
Nick de Cusa Posté 26 août 2012 Auteur Signaler Posté 26 août 2012 La crise de l'euro ne se limite pas à la Grèce. http://openeuropeblog.blogspot.be/2012/08/while-everyone-is-talking-about-greece.html
YouplaBoum Posté 26 août 2012 Signaler Posté 26 août 2012 La crise de l'euro ne se limite pas à la Grèce. http://openeuropeblo…out-greece.html Je m'en charge.
YouplaBoum Posté 26 août 2012 Signaler Posté 26 août 2012 Voici (je n'ai pas inclus les multiples liens, mais voudrez-vous que je le fasse par la suite ?) Pendant que tout le monde parle de la Grèce … Cela peut sembler totalement évident, mais la crise de l'eurozone n'est pas seulement centrée sur la Grèce. Oui, Athènes fait peut-être face à sa "dernière chance" (Dixit Juncker) de conserver l'appartenance à l'euro. Et oui, l'offensive diplomatique lancée par Antonis Samaras pour obtenir une extension de deux ans du programme d'ajustement UE-FMI mérite attention. Cependant, pendant que tout le monde parle de la Grèce, des informations plutôt importantes émergent d'autres pays de l'eurozone; desquels, comme toujours, nous vous offrons une revue réfléchie dans notre daily press summary. En particulier - Selon certaines sources recueillies par Reuters, le gouvernement espagnol est en discussion avec ses partenaires de l'eurozone à propos de l'EFSF, le fonds temporaire de renflouement, qui pourrait acheter des bons espagnols - mais n'a pas encore décidé s'il allait demander cette assistance. Sans surprise, la commission européenne a déclaré qu'aucune négociation n'était en cours, et qu'une demande de renflouement de l'Espagne n'était pas à attendre "sous peu". Très bien … - Selon un responsable très haut-placé du ministère des finances portugais, cité par le Jornal de Negocios, le Portugal ("l'homme oublié" de la crise de l'euro) ne sera pas en mesure de coller à l'objectif d'un déficit de 4,5% du PIB réclamé par l'Union Européenne cette année à moins que de nouvelles mesures d'austérité ne soient adoptées. La principale raison à cet état de fait est surtout le déclin prononcé des revenus fiscaux : - 3,6% pendant les 7 premiers mois de cette année, contre les 2,6% de hausse que le gouvernement comptait atteindre en 2012. L'alternative, suggère la presse portugaise, serait de demander à la Troïka (UE-FMI-BCE) de réduire cet objectif. Boa sorte (NDT : Bonne chance) pour ça, surtout étant donné que le Portugal sera en septembre à moins d'un an de revenir sur les marchés. Or, rappellez vous ce qu'est devenue l'exigence du FMI (un pays devrait être prêt à rejoindre les marchés en moins de douze mois) en Grèce … - Un porte-parole du gouvernement chypriote avoua aux à la presse hier que le déficit public de l'île atteindra les environs de 4,5% du PIB cette année ; bien plus élevé, donc, que les 3,5% prévus initialement. Certainement pas de bonnes nouvelles, dans la mesure où cela va presque certainement accroître le renflouement que Chypre est actuellement en train de négocier avec l'UE et le FMI. Un autre mal de tête, donc, pour la Troïka, qui est censée se rendre sur l'île à nouveau sous peu (sans qu'une date précise n'ait pour l'instant été spécifiée). - De nouvelles données publiées par la Banque Centrale Irlandaise ont montré que 30,5 milliards ou 27,2% des 112 milliards de prêts immobiliers actuels des banques irlandaises étaient en arriérés ou avaient été restructurés à la fin du moins de Juin, soit plus que les 29,5 milliards (26%) déjà atteints au mois de Mars. De plus, le ministre des finances allemand Wolfgang Schäuble confia a l'Irish Times qu'il s'opposerait à tout plan de soutien à l'Irlande qui "générerait de nouvelles incertitudes sur les marchés financiers et ferait perdre à l'Irlande la confiance qu'elle est juste sur le point de regagner". Ajoutons à cela les décisions de la cour Constitutionnelle Allemande sur le traité simplifié et les élections générales néerlandaises (où le parti socialiste mené par Emile Roemer, critique de l'UE, mène dans les sondages) et on commence vraiment à réaliser qu'il y aura peu de temps pour le répit en septembre. Juste un point : le "ESM treaty", c'est bien ce qu'on appelle le Traité simplifié en France ? Je suis vraiment très peu l'actualité française depuis que je suis à l'autre bout du monde (c'était d'ailleurs la raison de mon départ), donc je ne suis pas sûr du tout.
Nick de Cusa Posté 26 août 2012 Auteur Signaler Posté 26 août 2012 Oh c'est bon ça : Ron Paul n'apporte pas son soutien à Mitt Romney. http://iroots.org/20…ng-mitt-romney/
NicolasB Posté 26 août 2012 Signaler Posté 26 août 2012 Bitte sehr Nick… (mais mes souvenirs d'allemand s'arrêteront ici).) Je traduis donc le gros pour demain matin (post dans la nuit). Le WE est passé plus vite que je ne le pensais et je n'ai quasi pas touché le pc… Je m'y mets ce soir.
Nick de Cusa Posté 26 août 2012 Auteur Signaler Posté 26 août 2012 Le WE est passé plus vite que je ne le pensais et je n'ai quasi pas touché le pc… Je m'y mets ce soir. Si tu fais un North, jette un coup d'oeil à ses derniers et prends celui qui te semble le plus parlant pour nos lecteurs.
NicolasB Posté 26 août 2012 Signaler Posté 26 août 2012 Si tu fais un North, jette un coup d'oeil à ses derniers et prends celui qui te semble le plus parlant pour nos lecteurs. Too late… Je regarde demain et j'en prend un intéressant pour dans la journée. Explosion de l’euro: ne vous attendez pas à quelque chose de convaincant Richard North, 24/08/2012 217 file:///C:/Users/CHRIST~1/AppData/Local/Temp/msohtmlclip1/01/clip_image001.jpg Comme ils se sont câlinés en guise de bonjour à l’entrée de la Chancellerie, saluant ensemble les photographes alors qu’il se tenait dans la lumière du soir au septième étage du quartier général du gouvernement à Berlin, ils ont souligné l’importance de l’amitié franco-allemande. “Nous sommes unis” a dit François Hollande. Angela Merkel opine enthousiaste du chef. "Je veux que la Grèce reste dans la zone euro ", dit le Président français. Néanmoins, il appelle la Grèce à "faire des efforts qui sont essentiels pour atteindre son objectif". Merkel pense qu’il était "important que la Grèce tienne ses promesses ". Mais elle a ajouté qu’elle souhaitait "encourager le pays à poursuivre ses réformes". Ensuite, le couple est allé dîner avec l’avertissement que nous ne devions pas nous attendre à quelque chose de convaincant. "C’est une réunion de travail pour discuter de la situation en Europe et de s’assurer de l’application des mesures décidées le 29 Juin lors du Conseil Européen," ont-ils dit à Paris. Aucune décision n’est attendue pour la Grèce. C’est tout ce que vous allez avoir. Le communiqué court, sans réponse aux questions, était à la demande d’Angela Merkel. Dans la course à l’élection, elle veut éviter les anicroches et avoir à en dire trop à propos du dossier européen. Hollande n’aurait pas dit non à une couverture media un peu plus large, mais vous voyez bien. Il est seulement le Président français et pas un très populaire. Sa côte de confiance dans les sondages vient juste de baisser sous les 50 %. Mais, comme l’explique Le Figaro, Hollande peut toujours attendre d’être à Paris pour faire fuiter tous les détails de la réunion, juste pour ennuyer les Allemands. Mais, pour le moment, les affaires se traitent les derrières des portes fermées. Le reste est du théâtre – le ballet diplomatique. Et vous n’êtes pas les seuls à en avoir marre. Samaras, dont sa rencontre avec Merkel était prévue plus tard dans la journée, est sérieusement vexé. Comment pouvons-nous privatiser quand, se plaint-il, tous les jours, les officiels européens spéculent publiquement sur "une sortie potentielle de la Grèce de la monnaie commune "? Ceci doit cesser. Si nous faisons notre travail, la Grèce peut être sauvée. Tout le monde a quelque chose à gagner d’une "success story" grecque. Pendant ce temps-là, "Du temps supplémentaire n’est pas la solution aux problèmes", explique Schäuble. Il n’a pas tort, mais le ballet diplomatique ne peut pas accélérer. D’une certaine manière, les médias doivent combler les vides entre deux publicités.
NicolasB Posté 26 août 2012 Signaler Posté 26 août 2012 Oh c'est bon ça : Ron Paul n'apporte pas son soutien à Mitt Romney. http://iroots.org/20…ng-mitt-romney/ Quelqu'un l'a pris?
YouplaBoum Posté 26 août 2012 Signaler Posté 26 août 2012 Quelqu'un l'a pris? Je veux bien m'en charger si ça t'arrange.
NicolasB Posté 27 août 2012 Signaler Posté 27 août 2012 Je veux bien m'en charger si ça t'arrange. Si tu veux, moi je referrai un sur la crise de l'euro.
YouplaBoum Posté 27 août 2012 Signaler Posté 27 août 2012 M Paul, dans une interview, avoua que les organisateurs de la convention lui avaient offert une opportunité de discourir à deux conditions : que ses remarques soient d'abord vérifiées par l'équipe de campagne de Romney, et qu'il apporte son soutien inconditionnel à ce dernier. Il refusa. "Ce n'aurait pas été mon discours", dit M. Paul, "cela aurait annulé tout ce que j'ai fait lors des 30 dernières années. Je ne le supporte pas complètement comme candidat à la présidentielle." Le chef de campagne de M. Paul, Jesse Benton, avoua les frustrations que l'équipe de Paul a dû gérer. Quelques fans acharnés veulent "s'habiller en noir, se lever et crier "A bas l'Etat", dit M. Benton, qui est marié à l'une des petites-filles de M. Paul. Mais "on ne veut pas avoir de telles scènes. Cela nous coûterait bien plus que ce que ça nous apporterait." (Pour être juste, Ron Paul ne soutient pas complètement Romney)
Chitah Posté 27 août 2012 Signaler Posté 27 août 2012 Si je puis me permettre quelques retouches : M Paul, dans une interview, dit affirme que les organisateurs de la convention lui avaient offert une l'opportunité de discourir à deux conditions d'intervenir à la tribune sous deux conditions : que ses remarques soient d'abord vérifiées son discours soit validé par l'équipe de campagne de Romney, et qu'il apporte son soutien inconditionnel à ce dernier. Il refusa."Ce n'aurait pas été mon discours", dit M. Paul, "cela aurait annulé trahi tout ce que j'ai fait lors des 30 dernières années. Je ne le supporte pas complètement Je ne lui apporte pas mon soutien inconditionnel comme candidat à la présidentielle." Le chef de campagne de M. Paul, Jesse Benton, avoua les frustrations que l'équipe de Paul a dû gérer. Quelques fans acharnés veulent "s'habiller en noir, se lever et crier "A bas l'Etat", dit M. Benton, qui est marié à l'une des petites-filles de M. Paul. Mais "on ne veut pas avoir de telles scènes. Cela nous coûterait bien plus que ce que ça nous apporterait." (Pour être juste, Ron Paul ne soutient pas complètement Romney) En fait mes corrections sont incomplètes, c'est juste pour montrer comment éventuellement un texte peut être francisé un peu plus qu'une simple transcription de l'anglais. Mais sinon bravo!
YouplaBoum Posté 27 août 2012 Signaler Posté 27 août 2012 Merci Chitah ! Je retiens, et je tâcherai de franciser plus en avant le texte la prochaine fois (en fait je me retiens de le faire actuellement, car j'ai peur d'aller trop loin).
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