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Ces petites phrases qui vous ont fait plaisir…


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Dommage, c'était très bien. "J'ai honte de mon pays, je conseille à mes enfants de se tirer de ce pays qui fait du stationnaire, où tout est devenu complètement ridicule" "C'est pas une question de fiscalité, c'est une question de liberté". La vidéo est toujours trouvable sur d'autres supports.

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L'entreprise privée, une valeur à la hausse chez les Français

Pour faire face aux difficultés économiques, 53 % des sondés pensent que l'Etat doit donner plus de liberté aux entreprises, soit un bond de 12 points en un an. Est-ce un effet non voulu de la présidence Hollande ? Pascal Perrineau, le directeur du Cevipof, ne l'exclut pas. D'autant que d'autres réponses vont dans le même sens. Les Français d'accord avec la phrase « pour établir la justice sociale, il faudrait prendre aux riches pour donner aux pauvres » sont en chute libre : 53 % contre 73 % il y a un an. Ceux qui veulent une réforme en profondeur du système capitaliste sont passés de 49 % à 41 %. Pendant ce temps-là, l'entreprise privée est la seule organisation qui progresse : 42 % lui font confiance, contre 35 % en 2011.

http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0202500273326-l-entreprise-privee-une-valeur-a-la-hausse-chez-les-francais-528910.php

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Je souscris entièrement à l'analyse de cet article et aux propositions de son auteur.

 

 

 

  Citation

 

http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130124trib000744539/l-innovation-en-france-un-probleme-culturel-et-structurel.html

 

L'innovation a du mal à trouver des investisseurs en France. Selon Hervé Azoulay, ce problème tient à plusieurs facteurs dont notre culture étatiste et la suprématie d'un Etat centralisateur, technocrate et bureaucratique. Il y existe pourtant des pistes pour tenter de faire bouger les choses.

 

 

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  Le 25/01/2013 à 09:22, Arturus a dit :

 

  Citation

Merkel soutient Cameron pour une Europe plus libérale

[...]

L'Europe sera libérale ou déclinera? Le débat est lancé. 

http://www.lefigaro.fr/international/2013/01/24/01003-20130124ARTFIG00694-merkel-soutient-cameronpour-une-europe-plus-liberale.php

 

 

 

  Le 25/01/2013 à 11:39, Melkion a dit :

Je souscris entièrement à l'analyse de cet article et aux propositions de son auteur.

 

C'ets vrai que ça fait plaisir de lire ça...

Posté
  Le 25/01/2013 à 13:02, NicolasB a dit :

C'ets vrai que ça fait plaisir de lire ça...

 

LOL commentaire : 

 

 

 

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Tous les économistes sont d'accord sur au moins un point: le libéralisme accroit les inégalités.

A lire certains commentaires, les défenseurs du libéralisme économique sont nombreux, mais sont-ils prêts à faire des sacrifices ou bien comptent-ils sur les autres pour serrer la ceinture ? Si vous admirez tant nos voisins, qu'attendez-vous pour vous expatrier ? Un tapis rouge vous attend . . .

 

 

:lecon:

Posté

Le problème, la tendance de fonds, c'est que les gouvernements ont multiplié des actions libérales (enfin, surtout les années 80, avec privatisations continues, et dérégulation financière - désintermédiation - sur lesquelles les gauchistes peuvent s'appuyer pour monter de longs articles appuyés de faits vérifiés et vérifiables. Tout en faisant la sourde oreille sur les prélèvements, l'Etat-providence, les impôts, la dette qui n'a pas gonflé par magie mais bien parce que des gouvernements ont décidé de reporter le paiements de leurs actions à une date ultérieure, toutes sortes de choses qu'on ne peut pas balayer d'un revers de la main pour décrire la situation actuelle. C'est aussi pour ça (merci Rincevent) qu'ils préparent méticuleusement leurs erreurs, parce qu'ils ont toute une rhétorique qu'ils justifient avec des faits, et des arguments qui semblent leur donner raison, alors qu'ils ignorent tout un tas d'indicateurs qui ne leur donnent pas raison bien au contraire. Sur une balance on peut rajouter des poids à droite et à gauche, mais au final, ce qui compte, c'est le solde. En étant libéral, le solde est toujours plus négatif, alors que les gauchistes ne regardent qu'une partie de la balance. C'est une erreur grossière :P

Posté
  Le 25/01/2013 à 13:10, DiabloSwing a dit :

. C'est aussi pour ça (merci Rincevent) qu'ils préparent méticuleusement leurs erreurs, parce qu'ils ont toute une rhétorique qu'ils justifient avec des faits, et des arguments qui semblent leur donner raison, alors qu'ils ignorent tout un tas d'indicateurs qui ne leur donnent pas raison bien au contraire.

 

parce que sérieusement ils préparent méticuleusement quelque chose au gouvernement? Je n'en suis pas si sûr...

Posté
  Le 25/01/2013 à 13:08, poney a dit :

LOL commentaire : 

 

 

 

 

 

:lecon:

 

Je lis les articles, plus les commentaires... Argument facilement démontable avec la charité privée aux USA vs notre solidarité nationale et fiscale..

Posté
  Le 29/01/2013 à 19:33, PJE a dit :

Gros débat aux experts aujourd'hui.

 

Très intéressant.

 

Le vieux Charles me chagrine néanmoins avec son aversion totale à l'or. Dans la seconde partie de l'émission, on va l'entendre affirmer que les banques centrales font n'importe quoi ces dernières années, et qu'elles continuent de plus belle lorsqu'elles achètent massivement du métal jaune. Qu'elles sont en substance des boussoles indiquant le Sud, et que si elles achètent, il faut vendre à tout prix.

Puis peu de temps avant la fin, il va louer l'action de la banque centrale de Chine qu'il juge parfaitement gérée... La PBC est pourtant la plus grosse acheteuse d'or du moment. Et de son propre aveu, la politique de celle-ci se fait de plus en plus "autrichienne". J'ai senti comme une grosse incohérence.

 

Mais en dehors de ce point de détail, le débat était bon et j'aurai aimé en bouffer une heure de plus pour que certains points trop rapidement survolés soient détaillés.

Posté
  Le 29/01/2013 à 19:33, PJE a dit :

Madelin / Gave / Petit.

 

Nicolas Doze invite souvent des libéraux à son émission, serait-il lui-même libéral ?

Posté
  Le 29/01/2013 à 23:49, Filthy John a dit :

Très intéressant.

 

Le vieux Charles me chagrine néanmoins avec son aversion totale à l'or. Dans la seconde partie de l'émission, on va l'entendre affirmer que les banques centrales font n'importe quoi ces dernières années, et qu'elles continuent de plus belle lorsqu'elles achètent massivement du métal jaune. Qu'elles sont en substance des boussoles indiquant le Sud, et que si elles achètent, il faut vendre à tout prix.

Puis peu de temps avant la fin, il va louer l'action de la banque centrale de Chine qu'il juge parfaitement gérée... La PBC est pourtant la plus grosse acheteuse d'or du moment. Et de son propre aveu, la politique de celle-ci se fait de plus en plus "autrichienne". J'ai senti comme une grosse incohérence.

 

Mais en dehors de ce point de détail, le débat était bon et j'aurai aimé en bouffer une heure de plus pour que certains points trop rapidement survolés soient détaillés.

 

Il est économiste de marché et comme beaucoup de financiers il est allergique aux métaux précieux.

Un actif qui ne dégage pas de revenu est un actif moins bien considéré qu'un actif qui dégage des revenus.

Dans un cas ton espérance de gain est plus value + revenu dans l'autre juste plus value.

Posté

C'est un monétariste, proche de Friedman, pour les taux de change flottants. Pour lui ils sont essentiels pour rééquilibrer les différentes dynamiques économiques d'une région a l'autre.

 

A partir de la plus les points de PJE, difficile de lui demander d'aimer l'or.

Posté

http://www.atlantico.fr/decryptage/que-trouveraient-multinationales-elles-faisaient-audits-activites-dans-pays-emergents-benedicte-manier-622381.html

 

J'aime beaucoup le commentaire suivant:

 

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Par Ben hayat - 01/02/2013 - 11:28 - Signaler un abus l'enfant à la pomme
On le voit sur la photo il est en train de tisser un imac.

 

 

Posté

D'autant plus idiot que Apple a récemment largué un fournisseur chinois pour cette raison. Des audits, ils en font.

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Le culte de la sécurité, cancer de l'économie

Par Hervé Pierre (président-fondateur d'Euronethic)

Que le besoin de sécurité à outrance soit un cancer pour la démocratie, on le sait depuis les études séminales de Foucault suivies de celles de Bauman, Hobsbawm et autres. En France le dernier livre de Frédéric Gros sur « Le Principe sécurité » (NRF Essais, chez Gallimard, analysé dans ) montre à quel point l'ubiquité de ce concept permet au politique de se légitimer dans un temps où la redistribution est en panne. On ne fait pas assez attention au danger indirect que cette tendance irréfléchie fait courir sur le secteur économique, victime indirecte de la peur maladive du risque.

Pour mieux saisir les enjeux, il faut revenir à la distinction, devenue floue aujourd'hui, entre sûreté et sécurité. La sûreté, notion imposée par les Lumières au XVIII e siècle, autorise la liberté d'entreprendre individuellement. Pour assurer cette liberté, il faut un Etat fort. Par des mesures de sécurité restrictives, celui-ci garantit le champ de la liberté individuelle. Tout ce qui ne m'est pas interdit m'est permis. Il y a là un paradoxe évident : la sécurité est en effet à la fois l'alliée de la sûreté-liberté, puisqu'elle l'autorise en définissant son périmètre, mais elle en est aussi son contraire, puisqu'elle est faite d'interdictions bridant les libertés.

Ce paradoxe induit la recherche d'un juste équilibre (c'est la définition même du mot sûreté) entre liberté et sécurité, variant d'une culture à l'autre. Quelles que soient les différences d'approche, force est de constater que la liberté a de moins en moins d'espace dans le monde réel, pour s'exprimer de plus en plus dans le monde virtuel, devenu dernier refuge des libertés. Les jeunes générations ne s'y trompent pas.

Le goût de la sécurité absolue a envahi nos contemporains. L'Etat s'y est engouffré, sentant bien que plus il pose des règles de sécurité, plus il s'autovalide : je vous protège contre les excès des autres et de vous-même pour que vous puissiez exercer votre liberté de recherche du bonheur (ou ce qu'il en reste et dans les domaines que je vous autorise).

En échange de cette protection, vous votez pour moi. Il faut donc à l'Etat sans cesse trouver de nouveaux risques, souvent en écoutant les plus extrêmes des groupes de pression, seuls capables de se faire entendre, pour édicter de nouvelles règles de sécurité, source moderne ultime de pouvoir.

Or dans cette recherche effrénée de nouveaux risques, l'Etat étend de plus en plus son bras vers l'économie. L'inscription du principe de précaution dans la Constitution n'est pas autre chose qu'un réservoir inépuisable de risques potentiels où l'Etat peut s'immiscer sans fin. D'où une interprétation très négative de ce principe. Ce n'est pas l'accompagnement des risques qu'il énonce, mais l'interdiction pure et simple d'en prendre.

Si l'on peut compter sur l'individualisme des Français pour défendre le peu de libertés publiques qu'il leur reste, l'économie en revanche ne pourra pas se défendre contre cette tendance. Les mesures de précaution iront en s'accumulant, plus en Europe, et en particulier en France, que dans d'autres pays. Le déclin commence par ce frein que l'on s'auto-impose. Il est là, dans les gaz de schiste interdits, dans les énergies, dans les mesures inutiles mais démagogiques, dans la volonté de faire plaisir à tous en interdisant tout sans chercher à vraiment appliquer les règles (trop nombreuses de toute façon) pour ne pas froisser les cendres de la liberté individuelle.

Le placement du curseur entre liberté et sécurité est donc essentiel pour les démocraties. Il faut une réflexion publique sur ce sujet de la sûreté pour savoir à un moment dire stop à l'inflation de la peur. Non pour tout laisser faire, mais pour mieux accompagner le changement et l'évolution, sans brider les entreprises. Car sans richesses, il n'est ni liberté ni sécurité.

 

http://www.lesechos.fr/opinions/points_vue/0202528481681-le-culte-de-la-securite-cancer-de-l-economie-532643.php

Posté
  Le 30/01/2013 à 10:58, PJE a dit :

Il est économiste de marché et comme beaucoup de financiers il est allergique aux métaux précieux.

Un actif qui ne dégage pas de revenu est un actif moins bien considéré qu'un actif qui dégage des revenus.

Dans un cas ton espérance de gain est plus value + revenu dans l'autre juste plus value.

 

Tout comme Warren Buffett d'ailleurs

 

  Citation

Gold gets dug out of the ground in Africa, or someplace. Then we melt it down, dig another hole, bury it again and pay people to stand around guarding it. It has no utility. Anyone watching from Mars would be scratching their head.

Posté

L'argument est connu depuis des décennies. Il est à peu près aussi significatif que "Tous les jours, des gens sortent de leur lit, se lavent, s'habillent, se déplacent d'un endroit à un autre, s'agitent pour un résultat pas souvent évident à part la saleté qui revient leur coller à la peau, puis reviennent à leur point de départ pour se déshabiller et se remettre au lit. Un Martien qui observerait tout ce manège serait bien perplexe."

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