jabial Posté 6 avril 2012 Auteur Signaler Posté 6 avril 2012 M. Jabial défend souvent ses ennemis. C'est une question de principe.
jubal Posté 6 avril 2012 Signaler Posté 6 avril 2012 C'est sûr que tous ceux que les libéraux ont défendu contre l'arbitraire (Zemmour, Faurrisson, Dieudonné, etc.) sont remplis de gratitude à notre égard. Tu cherche a avoir la gratitude de Zemmour, Faurisson ou de Dieudonne ? C'est pas le but du tout.
Chitah Posté 6 avril 2012 Signaler Posté 6 avril 2012 Tu cherche a avoir la gratitude de Zemmour, Faurisson ou de Dieudonne ? Non, ce n'est pas du tout ce que j'entendais en écrivant cela.
John Connor Posté 6 avril 2012 Signaler Posté 6 avril 2012 M. Jabial défend souvent ses ennemis. C'est une question de principe. Mué anarcho-cheminadiste va .
Apollon Posté 6 avril 2012 Signaler Posté 6 avril 2012 "En cas de danger imminent pour la sûreté des personnes"
Invité Posté 12 avril 2012 Signaler Posté 12 avril 2012 Le goulag du futur contemporain s'apelle Hopital Psychatrique. Encore plus flippant. Je préférais encore couper des arbres au fin fond de la Sibérie plutôt que de supporter des psy toute la journée et de me farcir leurs seringues et autres pillules jour et nuit jusqu'à devenir un légume.
E.T. bleu Posté 12 avril 2012 Signaler Posté 12 avril 2012 M. Jabial défend souvent ses ennemis. C'est une question de principe. Heu … tu me choque là (avec accent luxembourgeois sur le "là"), le FN et Le Pen n'ont jamais été tes ennemis ? tu ne les as jamais defendus
Rincevent Posté 12 avril 2012 Signaler Posté 12 avril 2012 Le goulag du futur contemporain s'apelle Hopital Psychatrique. Encore plus flippant. Je préférais encore couper des arbres au fin fond de la Sibérie plutôt que de supporter des psy toute la journée et de me farcir leurs seringues et autres pillules jour et nuit jusqu'à devenir un légume. Hmmm… Laisse-moi deviner : tu préfères choisir toi-même tes seringues et tes propres pilules ?
jabial Posté 13 avril 2012 Auteur Signaler Posté 13 avril 2012 Heu … tu me choque là (avec accent luxembourgeois sur le "là"), le FN et Le Pen n'ont jamais été tes ennemis ? tu ne les as jamais defendus Si, très régulièrement, et notamment à chaque fois qu'ils sont victimes d'une loi violant la liberté d'expression. Je te laisse revoir les fils liés à ces sujets, ainsi que celui de l'apéro saucisson-pinard.
Bisounours Posté 23 avril 2012 Signaler Posté 23 avril 2012 Hospitalisation demandée par un tiers (HDT) : pr malade non consentant ou n'ayant pas la capacité à y consentir (c'est l'exemple du type qui pique une crise de démence) le tiers peut être un membre de la famille, un proche ou une personne agissant ds son intérêt (genre assistante sociale bisounours comme moi…. hihihi), valable 15 jours et validée par 2 médecins, le chef d'établissement décide avec ces 2 certif et exceptionnllement avec 1 seul, si y a danger grave Hospitalisation d'office (HO) : pr malade mental compromettant l'ordre public et la sécurité des personnes, mesure administrative prise par le préfet du département, via un certificat médical dont il prend connaissance, ou bien le toub fait le certif et le maire prononce l'admission en urgence avec le soutien de la force publique. Dans ce dernier cas, le préfet a 24h pr statuer, autrement, c'est caduc au bout de 48h, puis le toub de l'établissement prend le relai Grosso merdo
jabial Posté 23 avril 2012 Auteur Signaler Posté 23 avril 2012 Utilisé massivement par toutes les dictatures du monde, de gauche comme de droite. Avantage : généralement, aucun juge n'intervient a priori puisque c'est une mesure "d'urgence" "dans l'intérêt du malade". Voir les études qui ont été faites sur le sujet : une fois qu'une personne est présentée comme folle, tout, même les éléments les plus anodins, est perçu comme une confirmation de sa folie. Si on en arrive là c'est vraiment qu'il y a un gros, gros souci. Bien sûr pour le militant un peu concon il y a pas mort d'homme, mais on est vraiment sur la pente savonneuse. J'espère qu'il y aura des suites pénales si abus il y a eu.
Bisounours Posté 23 avril 2012 Signaler Posté 23 avril 2012 C'est sûr qu'une fois un pied dans le monde psychiatrique… ça doit pas être facile de s'évader ! Maintenant, j'ai en tête des cas précis où le gars était vraiment pas en pleine possession de ses moyens, et dangereux et menacant, mais doit y avoir une autre solution moins pire
jabial Posté 23 avril 2012 Auteur Signaler Posté 23 avril 2012 Dans la réalité, on libère les fous, hein. Les vrais fous, et les faux. Il y a pas assez de place. Le vrai problème c'est que, même dans un cas très ponctuel et sans aucun complot organisé, on ait peut-être abusé de la facilité psychiatrique, en pleine démocratie, pour régler un problème d'ordre public et de militantisme outrancier qui n'a rien de médical.
Bisounours Posté 23 avril 2012 Signaler Posté 23 avril 2012 Dans la réalité, on libère les fous, hein. Les vrais fous, et les faux. Il y a pas assez de place. Le vrai problème c'est que, même dans un cas très ponctuel et sans aucun complot organisé, on ait peut-être abusé de la facilité psychiatrique, en pleine démocratie, pour régler un problème d'ordre public et de militantisme outrancier qui n'a rien de médical. Oui, je suis d'accord, simplement, j'énoncais le contenu des 2 distinctions qui sont faites autour de l'hospitalisation "forcée". Faut pas psychiatriser à outrance, bien sûr.Et mon métier m'autorise à le confirmer, ça psychote souvent bien trop
Chitah Posté 24 avril 2012 Signaler Posté 24 avril 2012 Utilisé massivement par toutes les dictatures du monde, de gauche comme de droite. Avantage : généralement, aucun juge n'intervient a priori puisque c'est une mesure "d'urgence" "dans l'intérêt du malade". Voir les études qui ont été faites sur le sujet : une fois qu'une personne est présentée comme folle, tout, même les éléments les plus anodins, est perçu comme une confirmation de sa folie. Si on en arrive là c'est vraiment qu'il y a un gros, gros souci. Bien sûr pour le militant un peu concon il y a pas mort d'homme, mais on est vraiment sur la pente savonneuse. J'espère qu'il y aura des suites pénales si abus il y a eu. Dans un des livres de Sophie Coignard, la Vendetta française, le premier chapitre est consacré à l'internement d'un juge qui enquêtait sur des trucs gênants.
Apollon Posté 24 avril 2012 Signaler Posté 24 avril 2012 Pas tant utilisé que ça en fait. Même en URSS ça tournait autour de la centaine.
Bens Posté 1 mai 2012 Signaler Posté 1 mai 2012 Il est vraiment marrant celui-là, même si j'ai une petite préférence pour Morsay
Pandi Posté 16 juillet 2013 Signaler Posté 16 juillet 2013 http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion1223.asp La loi va plutôt dans le bon sens. Cela renforce la place de la Justice dans les soins sous contrainte.
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