DiabloSwing Posté 25 octobre 2014 Signaler Posté 25 octobre 2014 La pédagogie c'est un outil pour sensibiliser les gens.
Cugieran Posté 25 octobre 2014 Signaler Posté 25 octobre 2014 La pédagogie c'est un outil pour sensibiliser les gens. Les conscientiser même.
Rübezahl Posté 25 octobre 2014 Signaler Posté 25 octobre 2014 L'éduquer bien , en fait repasser une nouvelle couche d'éducation. Et si nécessaire faire ça de manière groupée, dans des endroits exprès faits pour.
Cugieran Posté 25 octobre 2014 Signaler Posté 25 octobre 2014 Des camps de la mort de tolérance? Ou simplement des musées : https://www.youtube.com/watch?v=FvUxrc67rz0
Nick de Cusa Posté 25 octobre 2014 Signaler Posté 25 octobre 2014 Le retour de la confiance c'est maintenant. http://www.leparisien.fr/economie/emploi/croyez-vous-encore-a-une-inversion-de-la-courbe-du-chomage-24-10-2014-4239033.php Les français sont assez intelligents pour comprendre que oui, laisser courir le déficit va tout résoudre.
Gilles Posté 25 octobre 2014 Signaler Posté 25 octobre 2014 http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/10/24/97002-20141024FILWWW00370-chomage-nous-sommes-en-echec-rebsamen.php Et voilà, le mot pédagogie est lâché une fois de plus. Étymologiquement, ça place tout de suite les gens à leur place... C'est quand même assez magnifique, comme position: "on a créé les bons outils, c'est juste qu'ils sont pas encore assez utilisés". A demi-mots: "du coup on va plus rien faire du reste du mandat, y'a plus qu'à attendre, on a fait ce qu'il fallait".
Arto Posté 25 octobre 2014 Signaler Posté 25 octobre 2014 http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/10/24/97002-20141024FILWWW00370-chomage-nous-sommes-en-echec-rebsamen.php Et voilà, le mot pédagogie est lâché une fois de plus. Étymologiquement, ça place tout de suite les gens à leur place... Faudrait peut-être expliquer les raisons profondes de cette situation: Je pense qu'on peut citer ici la fait que par exemple en Angleterre, où le taux de chômage est à peu près de 6%, l'héritage politique est tout autre. L'Angleterre a connu M. Tchatcher alors que la France a connu sur la même période F.Mitterrand. Sans doute les choix politiques de l'époque ont une influence sur les résultats économiques de ces 2 pays aujourd'hui. L'Etat français essaye aujourd'hui d'atténuer les effets de la crise en créant des emplois aidés. Or ceci implique plus d'interventionnisme. En quelque sorte il me semble que l'Etat veut se substituer à un véritable marché du travail...
Moustachu Posté 25 octobre 2014 Signaler Posté 25 octobre 2014 Faudrait peut-être expliquer les raisons profondes de cette situation: Je pense qu'on peut citer ici la fait que par exemple en Angleterre, où le taux de chômage est à peu près de 6%, l'héritage politique est tout autre. L'Angleterre a connu M. Tchatcher alors que la France a connu sur la même période F.Mitterrand. Sans doute les choix politiques de l'époque ont une influence sur les résultats économiques de ces 2 pays aujourd'hui. L'Etat français essaye aujourd'hui d'atténuer les effets de la crise en créant des emplois aidés. Or ceci implique plus d'interventionnisme. En quelque sorte il me semble que l'Etat veut se substituer à un véritable marché du travail... Et on finance comment ces emplois assistés ??
Brock Posté 25 octobre 2014 Signaler Posté 25 octobre 2014 Et on finance comment ces emplois assistés ?? attention a ne pas entrer dans une logique comptable qui est le mal absolu
DiabloSwing Posté 25 octobre 2014 Signaler Posté 25 octobre 2014 La rentabilité ne doit pas guider la politique publique.
Hayek's plosive Posté 25 octobre 2014 Signaler Posté 25 octobre 2014 Cette crise de l'argent-roi à assez duré. Il faut remettre l'humain au centre des préoccupations.
Gilles Posté 25 octobre 2014 Signaler Posté 25 octobre 2014 Mais arrêtez un peu ! Céder aux réflexes passéistes de l'utopie des 30 glorieuses ne sert à rien. Le gouvernement a déjà fait tout ce qu'il fallait, c'est juste que les Français-e-s ne l'ont pas encore compris. Laissez un peu de temps passer, quand les entreprises se seront mises au boulot grâce aux réformes courageuses déjà faites, alors la croissance reviendra. Nous devons uniquement nous préoccuper de soutenir les français-e-s pendant cette attente difficile.
PJE Posté 26 octobre 2014 Signaler Posté 26 octobre 2014 Lagarde (UDI) pour la démission de HollandeJean-Christophe Lagarde, candidat à la présidence de l'UDI, a souhaité dimanche la démission de François Hollande, mais s'est dit prêt à voter certaines réformes constitutionnelles proposées par le chef de l'Etat. "François Hollande est ligoté, paralysé, abandonné par ses propres amis; En quoi influe-t-il sur le réel, la vie réelle des Français ? Pratiquement plus en rien. Quand on est en échec et mat, il faut quitter l'échiquier, c'est le plus grand service qu'il pourrait rendre à la France", a-t-il déclaré sur le Forum de Radio J. Interrogé sur les déclarations de François Bayrou sur une éventuelle dissolution, M. Lagarde a répondu avoir "du mal à penser que nous pourrons encore tenir trente mois comme ça. La situation économique et la situation sociale risquent d'exploser à la figure des gouvernants. Il faudra que le peuple français reprenne la parole. Si François Hollande souhaite dissoudre l'Assemblée nationale - j'en doute -, pourquoi pas?" Une éventuelle cohabitation entre le président François Hollande président et Nicolas Sarkozy "montrerait l'incapacité de la vie politique française à se renouveler", a ajouté le député-maire de Drancy (Seine-Saint-Denis). Appelant de ses voeux, des "réformes institutionnelles", M. Lagarde a dit que "si François Hollande se met à proposer des réformes que nous proposions depuis des années, nous sommes une opposition constructive, et nous les voterons évidemment". Parmi des réformes déjà discutées au Parlement, il a cité le changement du statut pénal du chef de l'Etat, la réforme du Conseil supérieur de la magistrature et la reconnaissance des langues régionales. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/10/26/97001-20141026FILWWW00094-lagarde-udi-pour-la-demission-de-hollande.php
Loi Posté 27 octobre 2014 Signaler Posté 27 octobre 2014 16:38 Budget : la France annonce des économies supplémentaires : Mise sous pression par Bruxelles, la France a présenté à la Commission européenne un budget pour 2015 qui devrait permettre de réduire le déficit public de 3,6 milliards d'euros de plus que prévu, a annoncé le ministre des finances, Michel Sapin.
Cthulhu Posté 27 octobre 2014 Signaler Posté 27 octobre 2014 Ça, c'est de l'austérité qui va tuer des chatons mignons.
alex6 Posté 27 octobre 2014 Signaler Posté 27 octobre 2014 C'est bien une bande de branques. Et malhonnetes en plus.
Nihiliste frustré Posté 27 octobre 2014 Signaler Posté 27 octobre 2014 Présenté comme économies structurelles : baisse des taux sur la dette (pas de leur fait), intensification de la lutte contre la fraude fiscale, baisse de la contribution française au budget européen (pas de leur fait), certains impôts ne seront plus déductible de l'IS, hausse des taxes dans les collectivités territoriales et 350 millions mystère (probablement rien, ou des taxes puisqu'il insiste sur la partie recette). Sapin : «Je ne doute pas que les éléments que nous précisons aujourd'hui permettront à la Commission d'apprécier l'effort réalisé par la France en 2015.» En somme, il les envoie se faire voir ailleurs en espérant qu'ils prendront ses foutaises comme excuse pour garder la face. Ça fait un moment que je soupçonne le gouvernement d'envoyer chier Bruxelles à base de "si on coule vous êtes mort aussi !" et "vous ne voulez pas faire monter les partis anti-euro tout de même ?!", les dernières passes d'armes rentrent bien dans ce cadre.
Tramp Posté 27 octobre 2014 Signaler Posté 27 octobre 2014 Pour que tout ça s'arrête, il faut que la BCE continue d'imprimer, que la bulle immobilière allemande continue de gonfler, qu'elle explose violemment et que les Allemands se cassent de l'euro-système.
Cugieran Posté 28 octobre 2014 Signaler Posté 28 octobre 2014 Plus on regarde tout ça, moins on se demande si ça va arriver mais quand. Foutage de gueule combiné des italiens et des français. Rien de structurel. Doit y'avoir l'ambiance aux sommets...
Elphyr Posté 28 octobre 2014 Signaler Posté 28 octobre 2014 Foutage de gueule combiné des italiens et des français. Rien de structurel. Doit y'avoir l'ambiance aux sommets...J'ai vraiment l'impression que ces sommets justement ressemble à des camps de vacances pour écoliers. C'est pas ma faute c'est le voisin, je promet d'arrêter ceci cela, je vous jure madmoizelle c'est pas moi qui ait augmenté le déficit...
Tremendo Posté 28 octobre 2014 Signaler Posté 28 octobre 2014 Présenté comme économies structurelles : baisse des taux sur la dette (pas de leur fait), intensification de la lutte contre la fraude fiscale, baisse de la contribution française au budget européen (pas de leur fait), certains impôts ne seront plus déductible de l'IS, hausse des taxes dans les collectivités territoriales et 350 millions mystère (probablement rien, ou des taxes puisqu'il insiste sur la partie recette). Sapin : «Je ne doute pas que les éléments que nous précisons aujourd'hui permettront à la Commission d'apprécier l'effort réalisé par la France en 2015.» En somme, il les envoie se faire voir ailleurs en espérant qu'ils prendront ses foutaises comme excuse pour garder la face. Ça fait un moment que je soupçonne le gouvernement d'envoyer chier Bruxelles à base de "si on coule vous êtes mort aussi !" et "vous ne voulez pas faire monter les partis anti-euro tout de même ?!", les dernières passes d'armes rentrent bien dans ce cadre. Quelle escroquerie!
FabriceM Posté 28 octobre 2014 Signaler Posté 28 octobre 2014 Pour que tout ça s'arrête, il faut que la BCE continue d'imprimer, que la bulle immobilière allemande continue de gonfler, qu'elle explose violemment et que les Allemands se cassent de l'euro-système. Les Allemands sont tout aussi piégés que les autres dans le système. La politique mercantiliste allemande et le cadre européen ont fait que les allemands ont hyper investis pour alimenter le marché européen en biens et services divers. Des montagnes de surplus financiers, en euros, hérités de cette politique, sont parqués dans les banques allemandes. Si l'Allemagne sort du système, une bonne portion de l'épargne d'un pays vieillissant par en fumée, et le capital productif qui reste est rendu à moitié obsolète en un clin d'oeil. Les (dirigeants) allemands ne lâcheront pas. Ils ont tenté et tenteront encore de satelliser les pays en difficulté, quitte à mettre en place des régimes quasi dictatoriaux si ça leur permet de sécuriser les investissement et capitaux allemands. L'éclatement éventuel d'une bulle immobilière allemande se fera après la sortie de l'euro système, pas avant.
Tramp Posté 28 octobre 2014 Signaler Posté 28 octobre 2014 Je vais le redemander : de quelle manière l'Allemagne subventionne ses exportations et restreint ses importations pour être ainsi dénoncée comme mercantiliste ?
PJE Posté 28 octobre 2014 Signaler Posté 28 octobre 2014 Les impôts et cotisations sociales des salariés en Allemagne sont très lourds. Elle limite donc la demande interne et pousse les entreprises à chercher des débouchés à l'extérieur du pays. On en parle rarement mais le hors-bilan de l'état allemand me semble peut-être plus moche que le français (à cause des retraites).
Tramp Posté 28 octobre 2014 Signaler Posté 28 octobre 2014 Les impôts et cotisations sociales des salariés en Allemagne sont très lourds. Elle limite donc la demande interne et pousse les entreprises à chercher des débouchés à l'extérieur du pays. On en parle rarement mais le hors-bilan de l'état allemand me semble peut-être plus moche que le français (à cause des retraites). Dans ce cas là, on ne fait pas plus mercantiliste que la France. Mais même si c'est ça, ça ne fait pas une politique mercantiliste. Il n'y a pas de subventions aux exportations et les importations ne sont pas limitées. En fait, sans l'Allemagne, la zone euro aurait du mal à importer des produits. C'est le moteur des importations européennes.
PJE Posté 28 octobre 2014 Signaler Posté 28 octobre 2014 Dans ce cas là, on ne fait pas plus mercantiliste que la France. Non puisque la France gonfle sa demande interne en redistribuant un max d'allocation et le finance par un plan de relance permanent à coup de déficit financé par un emprunt.
Tramp Posté 28 octobre 2014 Signaler Posté 28 octobre 2014 Ok. Je ne suis toujours pas convaincu du mercantilisme allemand. Ce qui se passe en Allemagne me semble être quelque chose de tout à fait normal. Le déficit budgétaire est inexistant donc la consommation n'est pas hypertrophiée. Le pays vieillit et donc épargne. Il épargne, donc il investit. Et tant qu'il ne se retrouve pas à la retraite et qu'il ne désépargne pas, alors forcément, les débouchées de la production se trouvent à l'étranger. D'ou la balance commerciale excédentaire.
PJE Posté 28 octobre 2014 Signaler Posté 28 octobre 2014 Après on peut aussi voir qu'en Allemagne, les entreprises ont un taux d'IS faible comparé au reste de la zone euro. C'est un choix fiscal délibéré de faire peser les impôts et les cotisations sur les ménages. J'accuse personne de mercantilisme, j'essaye juste de décrire la réalité comme je la perçois. Le fond de ma pensée est que c'est débile d'accuser les allemands et qu'il vaut mieux adapter son modèle étatique et social obsolète pour éviter de se faire laminer plutôt que de crier au loup. Changer les mentalités étatistes c'est pas gagné dans certains pays...
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