Loi Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Je dirai que c'est l'inverse Ray. C'est à toi de monter ton programme, tu dois choisir quels exercices associés (A,B,C) pour quels modes (1,2,3)... Alors que dans une salle tu peux bénéficier de l'xp et des conseils de pros. Et puis la salle permet une certaine émulation. Lorsque j'y suis j'ai envie de me dépasser, je suis motivé...
Gio Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Je dirai que c'est l'inverse Ray. C'est à toi de monter ton programme, tu dois choisir quels exercices associés (A,B,C) pour quels modes (1,2,3)... Non, c'est pas ça du tout la méthode Lafay. Et effectivement, faire mieux sans matos c'est ça la "révolution" Lafay depuis quelques années. Deux gars qui se sont entièrement fait en Lafay : http://www.youtube.com/watch?v=ZrFmIUFlEs0 Enfin, on en reparlera dans deux mois. Que ce soit en salle ou en Lafay, il faut pas s'attendre à des résultats visibles avant 3 mois. La muscu c'est du long terme, il n'y a aucun raccourci.
jlouis Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Que ce soit en salle ou en Lafay, il faut pas s'attendre à des résultats visibles avant 3 mois. La muscu c'est du long terme, il n'y a aucun raccourci. D'ailleurs vouloir aller plus vite que la croissance normal du muscle qui s'accompagne de l'adaptation des tendons et des os est très dangereux. J'ai déjà entendu des histoires de rupture de tendons d'abrutis qui faisaient de la gonflète à l'aide d'anabolisants. Leurs tendons n'avaient tout simplement pas supporté la prise de masse musculaire trop rapide.
Johnnieboy Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Qu'est-ce que tu vas faire comme exercices? Là, je vais me focaliser sur le haut du corps puisque les jambes, je les travaille déjà pas mal en marchant beaucoup et en jouant au foot plusieurs heures par semaines. Mais bon, je viens à peine de commencer et rien que d'assimiler tous les échauffements/étirements, c'est du boulot !
Johnnieboy Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Que ce soit en salle ou en Lafay, il faut pas s'attendre à des résultats visibles avant 3 mois. La muscu c'est du long terme, il n'y a aucun raccourci. Ça dépend de chacun. Honnêtement, après deux ou trois semaines d'exercice, mon corps change déjà.
Loi Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Non, c'est pas ça du tout la méthode Lafay. Je l'ai pratiqué pendant 3 mois et je me souviens encore comme ça fonctionne... Si tu trouves que tu ne peines pas assez tu peux changer de mode etc, mais moi je me sentais carrément pas motivé à calculer tout ce que je faisais, voir ma progression au niveau des rep, et donc chercher de nouveaux modes de réalisations d'exo, ou rajouter encore des exos... A la fin t'es perdu. Et puis d'un point de vue purement psychologique je trouve que les exercices au PDC sont plus compliqués à réaliser. C'est vraiment épuisant, tu sens ton cardio taffer. Que ce soit quand je fais des tractions, ou des dips (moins marqué pour les pompes). Alors que au DC, personnellement je me sens super bien (par exemple).
Brock Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Deux gars qui se sont entièrement fait en Lafay : celui de gauche aurait mieux fait de travailler son look perso je ne suis aucune methode autre que de s'ecouter, je ne compte pas mes reps, je ne sais pas ce qu'est un mode.
Kevinz Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Je viens de recevoir une spec avec un font Comic Sans MS Sacrés clients ^-^
h16 Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Ça dépend de chacun. Honnêtement, après deux ou trois semaines d'exercice, mon corps change déjà.Ah non, ça, c'est la puberté.
Ray Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Je l'ai pratiqué pendant 3 mois et je me souviens encore comme ça fonctionne... Si tu trouves que tu ne peines pas assez tu peux changer de mode etc, mais moi je me sentais carrément pas motivé à calculer tout ce que je faisais, voir ma progression au niveau des rep, et donc chercher de nouveaux modes de réalisations d'exo, ou rajouter encore des exos... A la fin t'es perdu. Et puis d'un point de vue purement psychologique je trouve que les exercices au PDC sont plus compliqués à réaliser. C'est vraiment épuisant, tu sens ton cardio taffer. Que ce soit quand je fais des tractions, ou des dips (moins marqué pour les pompes). Alors que au DC, personnellement je me sens super bien (par exemple). Les seuls degrés de liberté, ce sont des trucs du genre : - si vous arrivez à faire 6 répétitions de 5, essayez de faire 6 répétitions de 6 la fois suivante - si A3 est trop facile pour vous, diminuez le support de 10 cm Rien qui demande un gros investissement intellectuel !
poney Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 http://www.youtube.com/watch?v=ZrFmIUFlEs0 Lol. Des bras de Rambo et des jambes d'adolescents mal développés. Quelle belle harmonie. Je parie ma selle et mes bottes qu'ils ne sont pas foutus de courir 10km ou de tenir un match de foot/hockey/volley/... complet.
Elphyr Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Ce genre de discussion me met encore plus mal à l'aise que d'écouter des femelles parler mascara et produits de beauté.
NoName Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Moi ce qui me surprends c'est le sérieux avec lequel ils en parlent. Moi je fais pas de muscu et ça va très bien.
Elphyr Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Moi ce qui me surprends c'est le sérieux avec lequel ils en parlent. C'est comme quand ils parlent de régime (carbo, etc...). Ce seraient des employés du mangerbougisme qu'ils feraient pas mieux.
Brock Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Lol. Des bras de Rambo et des jambes d'adolescents mal développés.
Malky Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Je reviens d'un futsal et putain c'est crevant. Un fut' sale ?
Filthy John Posté 3 juin 2014 Signaler Posté 3 juin 2014 Kabukicho 2-chome. Dans les ruelles, un cow-boy erre, saoul à en faire pâlir un Polonais, naviguant nonchalamment entre les bars à hôtesses et hôtels de passe, tandis qu'un rabatteur nigérian de deux mètres au carré tente de l'aiguiller vers un bouge local.Bien que totalement rincé, il reste assoiffé. Alors, las, il se laisse tenter : "Vas-y Bobby, montre le moi, ton rade". Et l'instant d'après, affalé sur un canapé, les pieds sous la table et une main dans le slip qui n'est même pas la sienne, le bonhomme déguste un whisky en tirant de longue inspiration sur un de ses mégots. Il sourit. C'est marrant ce genre d'endroit. Sauf les meufs. Laides comme des poux. Et les prix. Le gros Black annonce 20K pour le putain de blend servi avec de la glace que l'on venait de lui apporter. Et qu'il faut que je paie les filles. Ca va pas le faire, Bobby. Et c'est là que je reprends mes esprits. Comme si tout ce qui précédait n'avait été qu'un rêve. Mon instinct de survie vient d'embrayer et ce soudain accès de lucidité me fait réaliser dans quelle situation délirante je me suis collé. Instant bordel-de-merde-j'ai-déconné-là : le cow-boy qui sommeille en moi s'est encore cru dans son putain de Far-West. Je suis dans le quartier le plus mal famé de la capitale, seul, complètement torché, et je viens sûrement d'avaler un verre enrichi en GHB dans un bar à putes où tout le monde semble attendre que je sois complètement raide pour me détrousser. Car l'histoire que je suis en train de vivre, je l'ai déjà entendue 100 fois de la bouche d'expatriés qui m'ont toujours défié d'aller me promener seul dans ce genre d'endroit. Parce que c'est un coup à se faire dépouiller. Et ça ne manque pas d'ailleurs : comme dans toutes ces histoires qui ont mal finie, en face de moi se tient un type qui fait 4 fois mon poids et qui me demande du fric. Par chance, je suis à sec : je dois pas avoir plus de 50 balles en liquide. J'essaie de la jouer fin. Je sais déjà comment ça va se passer : une fois que la came va faire effet, je vais me faire traîner, inconscient et obéissant, jusqu'au distributeur le plus proche ou mon compte va se prendre la claque la plus sévère qu'il ait jamais encaissée. Alors j'anticipe : faut que je dégage avant d'avoir le cerveau qui frit. J'explique que je pensais pas que ça allait être aussi chérot ce tripot, je glisse les quelques billets qu'ils me reste sur la table en gage de bonne foi, et demande au rabatteur de m'accompagner au combini pour que je puisse retirer le reste. Parce que la nuit va pas se terminer comme ça, hein ?Et là, je gruge. Je rentre dans un Lawson, où je sais pertinemment que ma carte ne va pas marcher. Je passe par les toilettes, me fait vomir pour vider un maximum mon estomac, essaie de me ressaisir, me rince la gueule. Je commence à être tout fuzzy, mais j'arrive à rester conscient. Et je vais retirer, ce qui, comme prévu, se transforme en échec.Je ressors. Donne le ticket de caisse au Nigérian qui m'attendait à quelques pas de là, dissimulé des caméras, lui demandant de traduire ce qui est noté. Je joue les types étonnés et je lui dis qu'il me faut un 7-Eleven parce que ma carte elle va forcément y marcher, et commence à tracer à travers les rues. J'essaie de remonter vers Okubo. J’accélère le pas. Quelle idée de commencer à courir alors que je suis totalement défoncé. Mais il faut que je m'arrache de là avant que le roofie qu'on a collé dans ma boisson ne me transforme en un légume qui ne demandera qu'à ce que l'on se baisse pour se faire cueillir. Je sais que juste en face, il y a un Don Quixote, un grand magasin où les rayonnages sont une telle anarchie que même Maïté trouverait facile de s'y planquer. Là-dedans, je serai en sécurité. Je traverse la rue comme une fusée, et y pénètre. Le rabatteur ne m'y suis pas... mais il reste sur le trottoir d'en face, prêt à m'attraper au tournant. Et là, les enfants, la Sainte Providence : deux demoiselles, qui ont bien remarqué que j'étais totalement arraché, m'accostent entre les rayons paquets de chips et ceux des parfums Hello Kitty. Et heureusement : car là, c'est le black-out. D'obscurs flashs où l'on se tripote dans le magasin tout en choisissant des trucs à bouffer. Ou l'on discute. Un coup avec la marrante à lunettes, dont les cheveux ondulés sentent la vanille, un coup avec sa copine aux airs austères mais au jeu bien caché. J'imagine que j'ai du leur raconter mes déboires et qu'elles ont du proposer de me tenir compagnie le temps que mon gros Black se fasse la malle. Et puis plus rien. Lorsque je reprends conscience, je suis allongé entre les deux donzelles. Nu. Elles m'avaient traîné dans un hôtel. Et visiblement, on s'était bien amusé tous les trois. Des capotes mortes, paquets de chips éventrés et canettes achetés au Donki jonchaient le sol à côté de mes vêtements et d'une paire de peignoirs en coton blanc. Mais je ne me souvenais de rien... Tout ce que je sais, c'est qu'au final, elles n'étaient pas très contentes : la veille, j'avais lâché le peu d'argent qu'il me restait au Nigérian pour négocier mon extraction du bar. Et du coup, je n'avais plus un sou pour régler l'hôtel, qu'elles ont dû payer pour moi. Pas très classe. Mais malgré ça, j'aurai quand même réussi à aller picoler dans un bar à putes, à m'en échapper en ne réglant qu'une toute petite fraction de la note, risquer de me faire tabasser par Mike Tyson, et finir au lit avec deux inconnues. Je crois que j'ai battu tous mes records. Par contre, je pense que pendant une semaine ou deux, je vais la jouer calme et éviter d'aller me cuiter tout seul dans les coins chauds. Parce qu'avec le recul, je crois que j'ai un tout petit peu déconné, ce soir-là...
Noob Posté 4 juin 2014 Signaler Posté 4 juin 2014 Mais malgré ça, j'aurai quand même réussi à aller picoler dans un bar à putes, à m'en échapper en ne réglant qu'une toute petite fraction de la note, risquer de me faire tabasser par Mike Tyson, et finir au lit avec deux inconnues. Je crois que j'ai battu tous mes records. Par contre, je pense que pendant une semaine ou deux, je vais la jouer calme et éviter d'aller me cuiter tout seul dans les coins chauds. Parce qu'avec le recul, je crois que j'ai un tout petit peu déconné, ce soir-là... Understatment of zeu year. Je reviens d'un futsal et putain c'est crevant. Moins que de courir comme un con sur 110 mètres de gazons pendant 90 minutes quand t'as pas la condition. Franchement j'ai fait pas mal de foot en salle et quand un jour j'ai dû jouer sur un grand terrain, j'ai bien cru que je perdais mes poumons dans l'affaire. Et c'est la que je me suis rendu compte que j'avais aucune force dans les tirs. Autant en salle c'était caché par la petite taille de la salle, autant sur le terrain c'est ridicule.
Tramp Posté 4 juin 2014 Signaler Posté 4 juin 2014 J'ai un nouvel entretien jeudi, pour une banque ce coup là.
MisesEnForce Posté 4 juin 2014 Signaler Posté 4 juin 2014 J'ai un nouvel entretien jeudi, pour une banque ce coup là. Pour quel genre de poste ?
jubal Posté 4 juin 2014 Signaler Posté 4 juin 2014 Parce qu'avec le recul, je crois que j'ai un tout petit peu déconné, ce soir-là... Avec encore plus de recul tu verra qu'au contraire tu n'as pas déconné du tout. Il n'y avait quasi aucun risque majeur, au pire tu te faisais un peu tabasser (mais même ça c'est improbable), et au final tu as passé une bonne soirée. Prendre le risque de ne jamais passer ce genre de soirée, sachant qu'une vie c'est assez court, ça par contre c'est déconner.
Brock Posté 4 juin 2014 Signaler Posté 4 juin 2014 je vois pas ce qu'il y a de fun honnetement, a la limite pas se droguer et se battre c'est plus marrant
Miss Liberty Posté 4 juin 2014 Signaler Posté 4 juin 2014 Moi non plus je ne vois à quel moment c'était "fun". Craindre pour sa vie et son portefeuille, se faire violence pour trouver des solutions de survie, c'est fun?
poney Posté 4 juin 2014 Signaler Posté 4 juin 2014 C'est fun le lendemain. Je connais ce genre de sentiment (j'ai provoqué par mes conneries une course poursuite avec un gitan en Espagne qui a fini en accrochage puis délit de fuite).
Corned beef Posté 4 juin 2014 Signaler Posté 4 juin 2014 Je connais ce genre de sentiment (j'ai provoqué par mes conneries une course poursuite avec un gitan en Espagne qui a fini en accrochage puis délit de fuite). Raconte !
Tramp Posté 4 juin 2014 Signaler Posté 4 juin 2014 Pour quel genre de poste ? Analyste de coût de revient pour l'été.
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