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Lexane

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Messages postés par Lexane

  1. On pourrait avoir des soldes toute l'année.

    Là on a un argument frappant :D

     

    Ses parents surveillent sa consommation, il doit se priver de certains trucs pour pouvoir jouer, il paie plus cher pour avoir du matériel plus efficient...

     

    Il paie une écotaxe sur son ordi, en plus.

    3 centimes, certes.

    Mais c'est une taxe complètement injustifiée.

  2. Pour les gamins geek: le marché de l'électricité. Une installation pour un geek moyen ça fait rapidement 1000W et il y joue des heures.

    Pas mal !

     

    C'est vrai que perso, je pense surtout à ma soeur, 13 ans et archétype de la future-danseuse-étoile-habillée-comme-une-grande, du coup certaines idées comme celle-ci me semble complètement aberrantes sur le coup... et puis je réalise que non, j'aurais été bien plus intéressée par cet article que par un truc sur le travail des jeunes pour faire les soldes.

  3. Tout ce qui est espionnage, censure, internet devrait les intéresser.

     

    Les sujets comme les clopes et l'alcool pour les lycéens et les plus vieux (mais là faut voir avec les parents. Le prix des billets d'avion ou de train pour les autres. Les transports en commun.

     

    Le permis de conduire. Autant le prix que l'âge et la difficulté. Cascade en chaîne : le prix de l'essence et des voitures. 

    Effectivement, clopes, alcool, c'est risqué. Permis, transports en commun, prix du train (et absence de concurrence des bus, et règles de covoiturage stupides), ça pour le coup ça peut vraiment intéresser. 

     

    La propriété intellectuelle.

    Un petit article sur pourquoi Wikipédia est une source d'infos extraordinaire et pas un "machin sans sources" comme disent les profs, assorti d'un petit mode d'emploi (citer les sources de l'article, pas l'article lui-même...), ça peut pas mal servir en plus !

  4. Sinon perso quand je veux faire découvrir le libéralisme de manière simple, je donne les textes de Bastiat.

    Il avait du talent pour vulgariser des concepts complexes qui parlent vite aux gens.

     

    Le texte sur la sécurité sociale, celui sur les trains, celui sur la vitre cassé, sont court simple et permette une vraie approche qu'un gamin de 12-13 ans est largement capable de comprendre.

    Je regarderai de ce côté aussi, alors !

     

    Ouais

    De toute manière j'imagine qu'il y a essentiellement deux angles d'attaques: parler de sujet qui intéressé au premier plan les lycéens et collégiens, ou bien parler de sujets à travers des supports qu'ils connaissent déjà.

    D'où l'idée de chercher des analyses complètes d'épisodes de south park ou faire des florilège de sujets libéraux à travers les jeux comme fallout, red dead, ou bien les séries comme breaking bad.

    +1

     

    Merci.

     

    Une bonne partie des ados n'a aucune envie de voir son AS, je suis dans le sujet.

    Une bonne partie des ados n'a pas la moindre idée de ce que fait un AS, aussi.

     

    Je trouve pas mineur des conflits tels que:

    -Je veux faire pompier:

     

    -Tu seras médecin et tu la fermes.

     

     

     

    Nombre d'enfants, en tout cas pour ce que j'en ai vu dans mon entourage, font des études sur ce que leurs parents ont prévu pour eux et non sur ce qu'ils aiment ou sont bons.

    Je ne sais pas si c'est vraiment dans le sujet. J'ai un peu peur qu'en disant à des ados de 12-15 ans "le libéralisme, c'est être libre de ce que te disent tes parents", même en nuançant, on se retrouve seulement dans une logique "oué j'suis libéral donc je fais ce que je veux", un coup non seulement à ce qu'ils haïssent le libéralisme quand ils se rendent compte qu'on leur a "menti" et qu'ils doivent quand même se plier à certaines règles du système, mais aussi à dresser les parents en question complètement contre le libéralisme.

  5. Tu peux avoir le travail des jeunes et l'école obligatoire comme au Québec. Les deux ne sont pas forcément liés (si tu as moins d'heures de cours, si tu bosses le soir ou le weekend). Au Québec ça se gère très simplement :

     

     

    Les parents gardent l'autorité générale vu qu'ils sont responsables pour leurs enfants pour tout le reste. Ils peuvent facilement empêcher leurs enfants de travailler en leur interdisant de sortir. Il faut que les enfants aient la volonté de porter l'affaire devant la cour, qu'ils soient capables de montrer que la position de leurs parents est déraisonnable et que c'est mieux pour eux de bosser. Les conflits se règlent au cas par cas avec les coutumes et tout.

     

    Je pense que si on supprimait l'école obligatoire, on verrait plutôt des enfants aller en cours exiger que leurs parents leur paie la fac. Mais je ne pense pas que pour les mineurs, ils doivent avoir la liberté par défaut de ce choix (ou peut-être à partir de 16 ans). C'est plus à eux de prouver que c'est mieux pour eux de ne pas aller à l'école/suivre une instruction. 

     

    Par contre, si tu es principalement actif, je pense que tu prouves ton indépendance et donc que l'émancipation devrait se faire plus simplement.

     

    Il faut se souvenir aussi que les parents prennent des décisions pour l'enfant dans l'intérêt de celui-ci et qu'il est justifier à faire valoir ses droits s'il prouve que son intérêt n'est pas défendu. 

     

    Oui, ça typiquement je pense que ça pourrait faire un bon angle d'approche.

  6. Les collegiens et lyceens lisent?

    Rooh...

     

    Faudrait faire un jeu vidéo libéral.

    Entre autres, mais pas seulement. Un jeu vidéo "classique" ne parle pas à tous les jeunes ; après, y'a moyen de faire du mobile gaming, mais comment le rendre libéral, intéressant, prenant, pas long et pas gourmand en ressources ?

     

    +1

    Par contre, les adolescence détestent qu'on essaye de s'adresser à eux, ils veulent des articles pour adultes, et j'ai pas l'impression qu'ils aient moins de capacité de comprendre un texte difficile qu'un adulte lambda qui rentre du boulot. Par contre il faut des thèmes qui leur parlent, les impôts ils les paient pas, ils s'en foutent.

    +1

    Il s'agit plus du thème que de la façon d'écrire pour les plus grands, mais pour les plus jeunes, une réflexion (pas façon de parler, mais bien réflexion) plus simple pourrait être appréciée.

     

    L'école obligatoire et l'interdiction du travail des jeunes.

    Intéressant, ça !

     

    En insistant sur la responsabilité et le réfléchir avant d'agir.

     

     

    12-16 ?

    Pas mal, ça !

     

    Pas que ceux qui décrochent. Les horaire d'écoles trop chargés et l'interdiction du travail le soir et le dimanche vous empêchent de vous payer vos loisirs. Ou d'aider vos parents qui galèrent. Ou d'aller dans une bonne école. Ou de partir en Angleterre ou aux USA. 

    Oui, bien aussi, ça !

  7. Bonjour !

    Dans la lignée de la FAQ du libéralisme et des oeuvres accessibles aux débutants, je me demande si on ne pourrait pas lister des articles de Contrepoints, des ouvrages, etc. qui soient très faciles à lire, prennent peu de temps, et puissent intéresser des jeunes de 12 à 16 ans (en gros). Un rapide coup d'oeil au livre de SES de ma soeur, élève en seconde, m'a convaincue que ce serait une bonne idée... et les parents/grands frères-soeurs/amis/etc. de plus jeunes pourraient s'en inspirer aussi.

    Le but serait de recenser des articles/livres/etc. très courts, très abordables, qu'ils puissent lire sans trop se lasser.

    Des idées ?

    J'ai noté Pulp Libéralisme, déjà :D

  8. Pour relecture.

     

    Le capitalisme peut-il être durable ?

     

     

    L'activité humaine remodèle la Terre : elle transforme et pollue le paysage, réchauffe l'atmosphère et les océans, et cause l'extinction d'espèces. Le point de vue classique des écologistes est que la liberté humaine, et plus spécifiquement l'activité économique et le libre-échange, en est responsable. Par exemple, les célèbres activistes et biologistes Paul et Anne Ehrlich, de Stanford, ont récemment affirmé dans une revue scientifique britannique que les problèmes environnementaux que nous rencontrons sont causés par « la surpopulation, la surconsommation des ressources naturelles, et l'utilisation de technologies inutilement dangereuses pour l'environnement et d'arrangements socio-économico-politiques pour servir la consommation des Homo Sapiens ». Les Ehrlich insistent donc sur l'importance de la « réduction du culte des marchés 'libres' qui infeste la discipline » qu'est l'économie.
     
    Mais la notion que l'activité économique et le libre-échange sont opposés à l'épanouissement de la nature est compliquée par le fait que les pays avec les plus gros problèmes environnementaux aujourd'hui, et ceux qui montrent le moins d'intérêt et mettent en oeuvre le moins de moyens pour les régler, ne sont pas les pays libéraux à économie capitaliste développée, mais ceux avec une démocratie faible, voire inexistante, et des économies en voie de développement;
     
    La liberté et l'environnement sont-ils donc fondamentalement opposés ? La santé de l'un vient-elle nécessairement au détriment de celle de l'autre ? Ou la liberté et une nature florissante peuvent-elles cohabiter et se renforcer mutuellement, le bien de l'une venant soutenir le bien de l'autre ? L'activité économique d'un système fondé sur la liberté peut-elle être durable sur le long terme pour l'environnement ?
     
    Bien des chercheurs, mais pas tous, acceptent que les économies de marché ont, dans l'ensemble, grandement amélioré les conditions de vie de l'humanité ces derniers siècles, apportant des meilleurs niveaux de vie, d'éducation et de droits civils et politiques. Ils affirment cependant que le système libertaire produit des externalités négatives qui s'accumulent et finiront par mener la civilisation à s'auto-détruire. Soit l'humanité commence rapidement à restructurer la civilisation, selon les Ehrlich, soit « la nature restructurera la civilisation pour nous ».
     
    La réponse Lockéenne à ces questions académiques est que le marché libre capitalisme consiste à grandir de l'intérieur autant que vers l'extérieur, à apprendre à progressivement créer plus de valeur à partir de ressources naturelles en quantité finie, afin de ne pas avoir besoin de toujours consommer plus de ressources. Cette notion n'implique donc pas de contradiction entre répondre aux besoins matériels de l'Homme et préserver une large partie de l'environnement naturel.
     
    Nous avons donc ici deux points de vue généraux de la viabilité du système basé sur la liberté, et ils pourraient difficilement être plus opposés : l'un veut la croissance et un cercle vertueux créée par l'utilisation efficace des ressources naturelles, et l'autre estime que la croissance ne peut être soutenue que pour une fraction de l'histoire humaine, illusoirement pleine de richesses, avant qu'elle ne s'auto-détruise.
     
    Nous pouvons maintenant commencer à dégager une réponse à notre question initiale, qui était de savoir si la liberté et la nature sont nécessairement opposées. Au commencement du développement économique moderne, alors que la liberté arrive sans aucune structure, on transforme les ressources naturelles, relativement abondantes mais peu productives, en travail humain (c'est-à-dire en population plus importante) et en capital, qui existent en quantités plus limitées, mais produisent bien plus. Dans ces premières étapes, la liberté et l'environnement sont des biens de substitution, comme disent les économistes : plus de liberté implique moins de demande pour l'environnement à son état naturel. Dans ce type de sociétés, le taux de fertilité reste haut et la qualité de l'environnement se détériore. Mais plus tard dans le processus de développement économique, le capital et la main-d'oeuvre deviennent si efficaces, en particulier grâce au progrès technologique, que l'environnement peut retrouver un état plus naturel. Et comme ces sociétés sont plus prospères, elles peuvent mieux supporter les coûts des régulations environnementales jusqu'aux plus inefficaces.
     
    Les marchés libres sont le mécanisme le plus robuste créé par l'homme pour étudier rapidement les conséquences des décisions prises. Le profit et les pertes nous enseignent à apprendre de nos erreurs et de les corriger. En comparaison, la bureaucratisation a tendance à arrêter l'innovation et à rendre l'adaptation rapide aux conditions changeantes, qu'elles soient économiques ou écologiques, plus difficile pour la société comme pour l'individu. Les économies centralisées basées sur la planification échouent, et une planification centrale de l'écologie mondiale échouera aussi. Notre objectif doit être de trouver une façon de laisser la liberté et l'environnement s'épanouir ensemble, pas d'en sacrifier un dans le vain espoir de protéger l'autre.

     

  9. C'est parce que Amariz fait de gros effort pour accroitre sa clientèle française. Tous les dossiers, les infos sont en français. Les contrats sont calibrés pour les français: mieux que la sécu pour moins cher évidemment mais en outre, les infos sont agencées de telle sorte qu'il est facile de comparer.

    Merci ! :)

     

    Laurent C expliquait qu'Amariz ne couvre pas tout, il y a des clauses d'exclusions. Si tu fumes, tu ne sera pas couvert pour un cancer du poumon, itou pour les sports extrêmes, etc...

    Ils ne versent pas trop dans la sodomie de mouches innocentes sur les sports extrêmes ? Si t'as un accident pendant un hors-piste "gentil" au ski (les étendues de neige pas damée entre deux pistes sur 300m quoi), ils te couvrent ?

     

    C'est débile, ces exclusions de certaines maladies liées à des comportements à risques, fumer ne provoque pas seulement un cancer du poumon, encore que ce ne soit pas systématique, heureusement, mais peut "favoriser" d'autres pathologies, et quid des accidents de la route ou autres sans alcoolisation ni toxiques, ou des maladies cardio vasculaires liées à l'alimentation ? Payer une majoration, pourquoi pas, bien sûr. Quoique, je dubite

    C'est plus dur à calculer.. faire une exclusion même partielle comme ça leur permet de faire des économies et donc de mieux prendre soin de ceux qui rentrent dans les critères. IMO ça se tient.

  10. Je ne vois parler ici que d'une seule sécu pas nationale, Amariz.

    Du coup, quel est l'intérêt de quitter la Sécu pour aller dans un monopole, même s'il est privé ? C'est pour le principe anti-etat, ou parce que vous économisez quand même, ou pour une autre raison ? Question sans méchanceté hein, je me posais juste la question ce matin, parce que faire grossir une entreprise seule sur le marché, ça hausse les barrières d'entrée et ça fait perdre tout l'intérêt de la privatisation et du marché libre, j'ai l'impression..

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