je trouve que si, par dédain, le citadin un peu pété de thunes vit dans son monde artificiel urbanisé, et fait exprès d'imposer des règles, des institutions, des gens, dont on ne veut pas, et ils le savent bien.
J'observe la meme chose chez mes copains polonais, ce sont les bourges des villes qui imposent le progrès et l'UE aux gens des campagnes.
Et le bourge de la campagne va vouloir imiter, pour son intégration et sa reconnaissance sociale, le bourge de capitale, avec leurs microcosmes fermés (qui pronent l'ouverture) de magistrats, de journalistes, d'élus, qui nous sacrifient pour leur 10 plaques mensuelles.