Miss Liberty

J'en fait très régulièrement avec blablacar. Automatiquement lorsque le trajet existe et dure un temps raisonnable en fait. C'est beaucoup beaucoup moins cher que le train.Je l'ai déjà fait sur Paris-Lille, trouvé en une heure pour cause de changement d'horaires de train. Mais jamais sur Paris-Bruxelles.

Non mais écoute, je veux bien relire tout ce que tu veux, la définition de "polygamie", c'est plusieurs relations officielles en même temps. Stricto sensu c'est même plusieurs mariages simultanés.

Je ne dénigre pas les autres définitions d'amour dans cette phrase. Je prends la définition la plus communément admise et explique en quoi il faut l'oublier pour comprendre un polygame. Mais de toute façon PJE ne parlait pas vraiment de polygamie. Il parlait de prendre des amants.

Ah ok. "Avoir des amantes", ça n'est pas de la polygamie, qui par définition est avoir plusieurs femmes officielles. On est d'accord que quand on est dans un mariage monogame et affiché comme tel et qu'on s'autorise à laisser se développer des sentiments pour d'autres, ça déconne franchement. Simplement, à titre personnel, lorsqu'il ne s'agit pas de sentiments mais de sexe , je trouve le coup d'un soir par erreur moins glauque et hypocrite que la prostituée planifiée et payée avec les sous du ménage.

Mais qu'est-ce que tu appelles la polygamie? Un polygame est franc et sincère, ses différentes femmes savent dans quoi elles s'embarquent. Tu es sûr que tu ne parles pas plutôt de double vie avec une famille cachée? Pour moi la prostitution dans le cadre d'un mariage est justement une hypocrisie sans nom.

Immonde, n'exagérons rien. Disons que c'est possible d'avoir "des sentiments" pour plusieurs personnes tout en étant sincère... Mais aucun de ces "sentiments" ne sont de l'amour, c'est tout. Et par amour, j'entends la version exigeante du total don de soi, sans partage.La prostitution, c'est différent : si elle est fréquente et qu'en parallèle on crie sur tous les toits être dans un mariage gouverné par "l'amour" (cf sens ci-dessus), c'est moche et hypocrite.

Je ne peux pas prendre l'avion avec une flasque de whisky sur moi voyons. Moins de 100mL, qui tient dans un sac de x cm etc.etc. Le monde est mal fait.

Bon, ce soir j'ai été prise dans un traquenard : sous prétexte de dîner professionnel, j'ai dû subir une heure de discussion sur le cyclisme entre mes trois voisins (allemand, hollandais, suédois) : type de cadre, rythme de courses, comparaison des vélos d'appartement. Il m'ont achevée. En plus il n'y a pas de flasque de whisky dans mon mini bar pour m'en remettre

+ 1, il est super le Thalys Paris-Bruxelles. Régulier, propre, je me suis crue en première classe.

Il n'y en a pas non plus dans la nuit de Filthy John à proprement parler :- les putes, il s'est enfui sans payer ni profiter, et pour moi c'est de l'ordre du glauque, pas du sexe - les filles qui l'ont sauvé, il était drogué et totalement inconscient, il ne sait même pas ce qui s'est passé ; je n'appelle pas ça du sexe non plus. C'est aussi glauque que de lever une nana quelconque un soir, de coucher avec sans trop savoir ce qui se passe ni quelle gueule elle a, et de n'avoir que la gueule de bois comme souvenir le lendemain. Bref, du glauque, ni sexe, ni amour. Ni relations humaines non plus d'ailleurs, juste des gens qui l'ont pris pour un portefeuille ambulant.

Je trouve la nuit de Poney plus intéressante, plus fun et moins glauque que celle de Filthy John.

Moi non plus je ne vois à quel moment c'était "fun". Craindre pour sa vie et son portefeuille, se faire violence pour trouver des solutions de survie, c'est fun?

Non non, Kosher, ne t'inquiète pas, c'est très clair et très sensé. D, c'est le début des gros seins, pas forcément associé à une morphologie plus épaisse, et plutôt ferme. F, ça commence à pendre un peu tout en étant encore harmonieux dans la plupart des positions, et c'est souvent associé à une morphologie un peu plus "ronde". C'est très clair. Et je souscris à ton analyse.

Non mais l'autre, "tout le monde est gentil", tu veux pas faire une partouze géante pendant que tu y es? Ici c'est la guerre! Compris les nouveaux? Bienvenue ShamanFou!

En même temps tu les as vues nues les filles en question? Parce c'est seulement une fois nues que le problème se pose, un bon sous-tif bien adapté à la taille pour pas que ça pendouille, c'est un minimum.

Je me joins à vous. Je dois avoir l'esprit mal tourné.

Ça sera les deux, mon général.

En même temps je doute que la future région "Picardie + Champagne Ardenne" soit à gauche.

Does not compute.Tu es sûr d'avoir écouté le clown qui nous sert de président? "Limiter le pouvoir énorme des régions", ça n'est pas franchement le programme!

C'est justement ce qui fait la force de la France et la richesse de son histoire : la diversité de ses régions, des traditions, des particularismes locaux... et la méfiance naturelle envers ce qui vient de Paris pour bouleverser tout ça. Faut tout leur expliquer à ces Belges.

Oh! Librekom, tu raisonnes comme moi. Tu serais pas un peu un néo-libéral populiste désabusé ennemi du vivre-ensemble et de la démocratie?

C'est bien beau les économies d'échelle, mais ça ne justifie pas tout. Si je suis libérale, c'est bien parce que je n'estime pas que je peux remettre toute ma liberté dans les mains d'une immense machine censée être plus efficace que moi pour prendre des décisions à ma place avec des "économies d'échelle".

C'est un peu pour ça que je ne pige pas le coup de "Picardie + Champagne-Ardennes". C'est moyen comme désenclavement je trouve.

Il y certains des regroupements qui m'ont l'air bien trouvés, oui.

De toute façon moi à la base je n'aime pas cette idée de faire des régions immenses avec un unique centre à la tête de la région, alors qu'il y aura forcément plusieurs villes importantes et avec leurs influences respectives. Même pour les régions "historiques", la question va se poser : qui met-on à la tête de la Normandie? C'est beaucoup trop grand comme échelon pour moi, et beaucoup trop de pouvoir concentré en un seul endroit pour un si grand échelon (gestion des collèges, lycées, etc.). Je n'aime pas ça.