Aller au contenu

Miss Liberty

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    10 301
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    8

Tout ce qui a été posté par Miss Liberty

  1. Ah pardon, je note que "Je raconte my life" veut dire "Je discute de mes conquêtes sexuelles et de leurs positions préférées". Au temps pour moi, excusez moi.
  2. Rapport??? Ca va, on vous dérange pas trop?
  3. Réussir son permis != savoir conduire
  4. Non mais ils sont sérieux, là? Le Drian? Ce mec a un charisme d'huître. Son seul avantage c'est que c'est un socialiste comme les aiment les petits militants (j'entends par là les professeurs du secondaire et les fonctionnaires de catégorie C). Donc ça pourrait permettre au PS de retrouver une partie de son électorat. Mais franchement, premier ministre?
  5. +1, j'ai fait ça avec mon père, c'est top. C'est comme ça que j'ai enfin pu apprendre à rouler sur autoroute (parce que bon, espérer rouler sur autoroute quand on est inscrit à Paris... la première fois que j'ai passé le permis, j'avais dû passer la troisième cinq fois dans ma vie).Tu me diras, ça aurait été plus simple s' il avait accepté de faire de la conduite accompagnée dès le départ.
  6. Non mais je suis sérieuse : un pays montagneux, avec une nature propice aux cachettes et chaque habitant armé, ça n'est pas le plus simple à envahir. Il y en a qui ont essayé, ils ont eu des problèmes.
  7. Dans le genre monopole à la con, les inspecteurs du permis se posent là aussi : 9 mois d'attente pour mon troisième passage, dont 2 mois de grève de ces enfoirés.
  8. Accessoirement, on peut arriver par les airs maintenant.
  9. La Suisse a le troisième taux d'armes par habitants le plus élevé après les États-Unis et le Yémen. Près d'une arme pour deux habitants, si tu exclus les gamins, ça fait quand même un paquet de chances de te faire accueillir à coups de fusil en rentrant chez quelqu'un.
  10. Mauvaise idée. Si tu comptes envahir la Suisse, ça n'est pas des fonctionnaires et de son armée que tu devras te protéger. Pourquoi crois-tu que personne ne s'y est jamais risqué?
  11. Eh bien moi si, je dis toujours bonne chance, parce que je ne suis pas superstitieuse. Et puis comme ça s' il le rate il n'aura qu'à dire que c'est de ma faute
  12. Bonne chance Adrian! De la part de quelqu'un qui l'a passé (et raté) trois fois en région parisienne, qui a déjà déboursé 3000e pour ça, et qui se reconnaît bien dans cet article.
  13. Ok, disons que c'est plutôt le deuxième ou le troisième alors, j'en sais rien moi je suis retirée du marché. Mais ce qui est sûr, c'est que c'est vu bizarrement de sortir avec quelqu'un sans coucher rapidement, et que le message "si on se plaît l'un l'autre, qu'on est consentant et qu'on a une capote, pourquoi se priver? " est omniprésent. Bref. Moins de bla bla, plus d'images fun.
  14. Ça existe, et c'est logiquement de plus en plus courant dans un monde où tout le monde est tenu d'être bourré à 23h et où il est considéré comme "bizarre" de ne pas coucher avec quelqu'un rencontré le soir même alors qu'il te plaît. Quand on ne sait plus se dire non à soi-même, comment comprendre le non de quelqu'un d'autre, ou comprendre que son absence de protestation est dû à la dissolution de son cerveau dans l'alcool? Mais il n'empêche qu'il y a aussi de plus en plus de salopes qui ont intégré que c'était un moyen de chantage pour elles et qui s'en servent (c'est à ce sens que je les traite de salopes, pas au sens de filles faciles)
  15. Ah mais justement, c'est la conclusion de Reason : ça devient impossible d'avoir ne serait ce qu'une copine ou de flirter parce que le danger de se faire accuser est tout le temps là. C'est un campus, mais comme il y a trois tonnes d'alcool et de fêtes, il y aura toujours des flirts et des rapprochements Et ces accusations commencent à rendre n'importe quelle fête dangereuse.
  16. Reason a fait un dossier là dessus il y a quelques mois : sur les campus des grandes facs américaines ça devient automatique de virer et condamner (au moins par la "police du campus") les étudiants accusés de viol. Sauf qu'il y a de nombreux abus et ça devient une épée de Damoclès pour quiconque va en soirée. :-(
  17. C'est des ingénieurs, ils ne "s'informent" pas. Ils s'en foutent en fait, tout ce qui leur semble se rapprocher de politique ou d'actualité ne les intéresse pas. L'économie, à la rigueur. Et je pense que quand ils ont besoin d'une information, ils font comme nous tous, ils cherchent sur internet.
  18. Ca ne vaut pas forcément dire qu'ils y prêtent encore attention. Chez mes grands-parents, la radio était en marche en permanence pendant les repas, mais personne n'écoutait (j'ai fait le test de réagir sur ce que disaient les journalistes, mon grand-père ne savait même pas quel était le sujet de l'émission). Et chez mes beaux-parents, la télé fonctionne pendant les repas, mais idem personne ne suit et c'est juste un fond sonore.
  19. +1 Chitah, si tu veux tout savoir,la plupart de mes collègues, une bonne partie de mon échantillon de mesure donc, n'allument pas la télé ou ne l'ont tout simplement pas. Et s'en vantent. Tu n'as pas idée du niveau de mépris des Français pour les media. Donc je ne suis pas sûre que les media les influencent en quoi que ce soit.
  20. Chitah, on ne se base pas forcément sur les media pour notre analyse : personnellement je me base plus sur les discussions de la machine à café, avec les voisins de bus, les commerçants du marché, les commentaires sur réseaux sociaux, etc. Et quelque chose a changé. Les gens sont moins blasés et résignés, et plus dans l'esprit "on se fout de notre gueule et ça commence à bien faire".
  21. C'est dommage. Certes, 90% de mes amis, je me les suis fait en politique ou via des amis politiques, parce qu'on avait des intérêts communs dès le départ. Mais j'ai deux ou trois amis que je me suis faits parmi des collègues ou camarades de classe, dont la seule des filles que je fréquente à être vraiment une amie proche. On a énormément de choses en commun, beaucoup d'opinions compatibles, etc... mais tout a commencé par du small talk de pause café et des discussions sur le tchat du bureau sur un tel ou un tel . Ces conversations n'étaient pas intéressantes en soi mais elles m'ont permis quand même de détecter notre compatibilité et d'embrayer sur les discussions qui ont démarré notre amitié.
  22. Et comment tu fais pour rencontrer des gens que tu apprécies alors si tu ne peux pas engager une conversation avec un inconnu? Tu distribues des questionnaires de compatibilité et tu dépouilles avant de décider si tu peux engager la conversation? Tu fais du speed dating pour amis?
  23. Tu as vu mon post au-dessus?Je crois qu'on n'a pas la même définition d'ami non plus. Je ne considère pas comme un "ami" quelqu'un avec qui je discute avec plaisir une heure par semaine en cours et que je croise occasionnellement avec plaisir dans une soirée ou à la cantine.
  24. Ah voilà, on n'est pas d'accord sur la définition. Je ne sais quelle est la définition classique, mais pour moi c'est aussi savoir garder un bon contact avec les gens que tu dois fréquenter régulièrement sans effort (collègues, services publics, secrétaires, commerçants, etc.) Avec la société qui t'entoure dans son ensemble quoi.
  25. Ok, mais est-ce qu'elle garde ce bon rapport avec tout le monde ou est-ce que certains la trouvent gonflante? Je connais beaucoup de gens qui socialisent en un rien de temps, mais qui cristallisent les agacements de certaines de leurs fréquentations quotidiennes.Je ne parle pas de son rapport avec toi, bien sûr : je suppose que vous avez quelque chose de complémentaire pour être meilleurs amis, et que donc toi tu ne la trouves pas insupportable.
×
×
  • Créer...