Tramp

Je ne comprends pas : le bourgmestre est capable d’utiliser la police pour empêcher les gens d’entrer en ville mais il y a une carence de l’Etat et de la justice parce qu’il n’est pas capable de l’utiliser pour assurer la sécurité des locaux.

La gentrification ce n’est pas le fait que des personnes déménagent d’un quartier à un autre. C’est le fait pour un quartier populaire de devenir un quartier cible pour des classes moyennes. Quand des pauvres bougent d’un quartier populaire à un autre, il n’y a pas de gentrification. C’est pareil quand les bourgeois du 16e s’installent Île St Louis. Ce que disent les auteurs c’est qu’il y a déjà beaucoup de mobilité au sein des quartiers populaires et le fait que ce soit des classes moyennes qui s’y installent plutôt que des pauvres n’augmente pas beaucoup cette mobilité.

Quand c’est Hidalgo qui fait pareil avec les bus de touristes chinois, on hurle à la mort.

Il y a qui qui habite à Paris alors vu qu’apparemment les Parisiens ont fui en province pour voter socialiste ? Je ne vois pas le rapport entre dire qu’on habite dans la plus belle ville du monde et imposer sa volonté partout. Et puis ce ne sont pas les parisiens qui ont ravagé les centre villes de France et de Navarre et les gares de péage tous les weekend pendant des semaines. Bientôt on va vouloir nous faire croire que les punk à chiens rennais sont des parisiens.

Et les provinciaux qui montent à Paris ? C’est à eux qu’on doit Hidalgo ?

http://cityobservatory.org/how-gentrification-benefits-long-time-residents-of-low-income-neighborhoods/

C’est déjà énorme relativement à la taille de l’humanité et du potentiel de division du travail. Pour pouvoir nourrir des esclaves et dégager du temps libre, il faut avoir accumuler suffisamment de capital pour le faire.

Parce que c’est difficile à transporter. Nope : nourrir des intellectuels qui ne produisent rien de tangible nécessite d’avoir un certain niveau de développement (ie d’accumulation du capital). Nourrir un débat intellectuel (des écoles, des livres etc) encore plus. Les philosophes grecs n’habitaient pas à petaoushnok mais dans des métropoles. Parce que 200 ans plus tard les US sont le centre du monde et on a oublié nos références.

L’important ce n’est pas de sociabiliser, c’est avec qui tu le fais. Et les gens dans les quartiers pourris qui n’ont pas commencé à être gentrifié ont un choix assez restreint.

C’est sur que le chômage dans dans le hall de sa tour à glander avec d’autres glandeurs c’est mieux.

Qui c’est qui travail à casino ?

Trump usurpe une fois de plus les pouvoirs du Congrès pour distribuer des allocs : Trump signs coronavirus relief orders after talks with Congress break down https://reut.rs/2XYd3Hh Il devrait se faire impeach

Oui mais ton erreur ici c’est d’oublier que les US en 1775 c’est un bout de campagne sous industrialisé et sans grande importance. La révolution libérale, c’est en Angleterre. L’aristocratie a la terre et les bourgeois développent les manufactures. Sur le sujet du nomadisme et du libéralisme, c’est surtout que le nomadisme empêche l’accumulation de capital et par conséquent empêche de développer les activités intellectuelles. C’est quand même pas pratique à trimballer une bibliothèque et une presse de type gutenberg.

C’est relatif : être propriétaire est un mauvais choix pour la majorité des gens, en particulier quand tu habites dans un endroit pourri où personne ne veut habiter. Ou pas. La gentrification c’est pas le grand remplacement. C’est aussi l’occasion de mettre de l’argent de côté pour partir dans un endroit mieux que le quartier avant qu’il ne se soit gentrifié. Capital humain toussa... Quand tu gardes les momes des bobos tu te fais des relations. Ou quand tu fais des ménages. Mieux vaut aussi être gardien d’un immeuble de bobo que de racailles etc Et pour un tas d’autres gens.

La propriété foncière est la richesse de la société pré-libérale. Le libéral de 1775, il a une filature de laine à Leeds.

Non : ils le sont trop peu quand leur quartier se fait gentrifier. Quand leur quartier est considéré comme invivable, ils sont bien trop nombreux propriétaires d’un boulet qui ne vaut rien. Toujours plus qu’avant la gentrification Les bobos habitent dans des immeubles avec d’autre gens, vont à l’arabe du coin avec d’autres gens etc. Tu habites en ville ? Ce qui n’empêche pas la situation de s’améliorer Essaie de faire un effort de compréhension, j’essaie de rester niveau lycée 2000-2010

Justement : quand tu dois mettre de côté pour ta retraite, tu n’as pas intérêt à lâcher 5% dans un gars qui va te faire ensuite encore perdre de l’argent avec ses mauvaises analyses (qui sont 90% du temps une compilation d’analyse d’autres gérants, faut être réaliste).

Oui, c’est flagrant. New York et Washington DC sont presque caricaturales tellement c’est flagrant.

Certains le sont Les entreprises qui ouvrent dans les quartiers gentrifiés c’est pas IBM. Ce sont des restos et autre retail. Des emplois pour des gens pas trop qualifiés. On ne fréquente pas les gens que dans des bars. Pas tous.

De revendre son logement plus cher, de trouver de meilleurs emplois, d’acquérir de meilleurs codes, d’avoir moins d’insécurité, d’envoyer ses enfants à une meilleure école...

La gentrification est source d’opportunités pour les populations pauvres...

Le fait qu’il y ait besoin d’analystes financiers ne veut pas dire qu’il est rentable pour tout le monde d’en avoir. Les petits porteurs peuvent tout à fait free rider sur les banques, les firmes de private equity, les hedges funds, etc qui eux ont intérêt à faire de l’analyse financière approfondie en vue des montants jeu. Pour un petit porteur suffisamment diversifié, il n’a pas besoin d’autre information que « la banque a fait un crédit »

C’est aussi ce que conseille la théorie, surtout depuis l’avenement des ETF

J’adore les commerces juifs

Remarque : en tout temps, la meilleure stratégie c’est d’etre exposé aux equities world.