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Gidmoz

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Tout ce qui a été posté par Gidmoz

  1. Je m’intéresse uniquement aux rayons infrarouges captés et émis par le CO2. Je m’intéresse à la transmission d’énergie par ce "rayonnement CO2". J'isole ainsi, par la pensée, un seul des facteurs d'émission thermique vers l'espace. J'ignore si ce facteur serait le plus important. J'ignore ici la question de savoir si la transmission d'énergie par convection thermique serait plus ou forte selon la proportion de CO2 dans l'air. Faisons varier la proportion de CO2 depuis 0% jusqu'à 100%. C'est une expérience qu'on pourrait faire soit en laboratoire sur des longueurs de qq dizaines de mètres dans un tuyau. Mais la vraie expérience est une expérience de la pensée avec un tuyau imaginaire vertical qui va du sol jusqu'à la stratosphère. On interdit ainsi le phénomène de convection thermique dans l'air. Ce qui est le but recherché puisqu'on ne veut isoler un seul facteur en neutralisant la convection. On dispose ici de toutes les informations théoriques pour prévoir le résultat par le seul calcul. Le rayonnement du CO2 provient uniquement de la température du CO2, donc de la température du gaz. On suppose que ce tuyau imaginaire contient du CO2 dans une certaine proportion. Il parait que cette proportion de CO2 varie avec l'altitude et que le CO2 est moins dense en haute altitude, car plus lourd. On suppose connue la température du tuyau depuis le sol jusqu’à la stratosphère. Il y a donc un gradient de température du tuyau entre le sol à 15° Celsius et la stratosphère à une température très basse. On a ainsi qq facteurs à faire varier pour calculer le transfert de CO2 par rayonnement depuis le sol jusqu'en haut de ce tuyau imaginaire. Un tel calcul a surement été déjà fait dans les diverses modélisations du GIEC. Mais j'aimerai bien connaitre ce résultat pour me faire mon idée personnelle sur cette transmission d'énergie par le CO2. qqun aurait-il des infos? Je pense que les circulations d'air par convection sont indifférentes à la nature des gaz(ou presque). Je suppose donc que la proportion de CO2 dans l'air ne modifie pas les échanges thermiques qui proviennent de la circulation des grandes masses d'air. Voilà où j'en suis de mes questions sur le réchauffement par le CO2.
  2. Oui, c'est cela. le createur du jeu peut créer des jetons mais les joueurs ne le peuvent pas. Ensuite chaque joueur peut échanger ses jetons. Cela ressemble à bitcoin. existe-t-il un code open source qui permette à un créateur de jeu de faire de tels jetons?
  3. Oui, en effet, le terme "énergie cinétique" est maladroit. La chaleur ce sont des vibrations de la molécule. Et ces vibrations de chaleur se transmettent par les collisions entre molécules. Si vous avez qq critiques sur le papier que je viens de sortir, je les lirai avec grand intérêt. http://gidmoz.wordpress.com/2013/10/24/saturation-de-leffet-de-serre-du-co2/
  4. Je viens de rédiger un papier pour expliquer cette thèse de la saturation de l'effet de serre du CO2. Toute critique sera la bienvenue. http://gidmoz.wordpress.com/2013/10/24/saturation-de-leffet-de-serre-du-co2/
  5. C'est encore un peu trop tôt. Le texte n'est pas encore prêt. je suis convaincu de Gervais a raison et que le carbone n'a strictement aucune influence mesurable sur la température. Mais je me contrains à l'obligation de douter encore. Et c'est pas facile de douter après avoir lu Gervais et son livre "l'innocence du carbone" ! Pour moi, le débat scientifique est presque clos. Il reste le débat sociologique et politique. J'ai envoyé mon texte à un ami chercheur en physique quantique. Je voudrais avoir son avis car j'aurai peut-être fait qq contre-sens. Mais après la vérification par cet ami physicien, oui, pourquoi pas informer les lecteurs de contrepoints. ce serait une bonne idée.
  6. Au dessus de 10 metres d'air de l’atmosphère, le CO2 est "saturé". C'est dire qu'on peut ajouter autant de CO2 qu'on veut cet ajout ne changera rien à l'effet de serre du CO2. J'ai lu le livre du professeur François Gervais "l'innocence du carbone". C'est un livre de 300 pages. La partie qui m'intéressait a seulement quatre pages sur les 300. C'est la partie qui concerne ce phénomène de "saturation". Ce mot "saturation" permet au grand public de comprendre. Mais ce mot "saturation" ne décrit pas du tout la réalité d'un phénomène physique. Gervais n'est peut-être pas chercheur en climatologie, mais il a rassemblé la somme des critiques au GIEC, critiques de méthode scientifique pour la plupart. Gervais relate les mesures faites par le Dr Heinz Hug, mais ne relate pas entièrement l'explication du phénomène physique qui se produit sur chaque molécule de CO2. J'ai donc tenté de me reconstituer, pour moi, la bonne explication avec les morceaux que j'ai lu, du moins telle que je crois la comprendre. Avec les morceaux lus dans le livre j'ai tenté de recoller les morceaux pour ajouter ce que Gervais a négligé d'expliquer, sûrement pour ne pas trop fatiguer son lecteur "grand public". Tout d'abord, les scientifique qui critiquent Heinz Hug, ne lui contestent pas que la radiation verticale est devenue nulle au delà d'une couche de 10 mètres. En fait il ne reste que 0,017% de l'énergie IR sur les longueurs d'onde du CO2. Il m'a semblé que le débat entre scientifiques était plutôt l'interprétation de cette expérience. Dans ce qui suit, lorsque je parle d'irradiation, je ne parle que des rayons infrarouges, captés et ré-émis, par une molécule de CO2, et avec la même longueur d'onde(loi de Kirschof). Je ne parle pas des autres fréquences qui sont soit captées par H2O, soit traversent l’atmosphère pour se perdre dans l'espace, car O2 et N2 laissent passer ces radiation IR di CO2. Seules les molécules formées de deux atomes différents captent les radiations IR. Une molécule CO2 reçoit une radiation IR. Une partie est transformée en énergie cinétique et une autre partie sera ré-émise dans toutes les directions. J'ignore la proportion de ces deux énergies. La thèse de Gervais est tout sera convertit en énergie cinétique, donc dans un mouvement des masses d'air. La fine couche supérieure de la stratosphère va irradier vers l'espace et donc refroidir la Terre. Voyons la ré-émission des fréquences par une molécule de CO2. Elle va ré-émettre autant d'énergie de radiation vers le sol que vers le haut. A chaque échange d'énergie, une partie sera transformée en énergie cinétique. Apres un certains nombre de "rencontre rayon IR" et CO2, presque toute l'énergie de rayonnement IR du CO2 sera transformé en énergie cinétique. Gervais ne le dit pas comme cela, mais c'est ce que j'ai cru comprendre. La démonstration scientifique, exposée par Gervais, me semble irréfutable. Je ne comprend pas qu'il existe des gens pour la contester. Gervais se pose cette même question politique et se répand en chapitres d'analyse sociologique et politique, dans les derniers chapitres. Il y a beaucoup vrai dans ses réactions de citoyen, mais son analyse politique me semble timide, ou insuffisante. Le livre "l'innocence du carbone" est intéressant. Il me parait sur-réaliste qu'on puisse contester un processus aussi simple dans son principe. C'est peut-être que certains scientifiques refusent les modèles simples et se réfugient derrière une apparente complexité. Les enjeux de société, les probables erreurs politiques, se chiffrent en centaines de milliards. Et pour une démonstration ne nécessitant qu'une heure d'attention pour un étudiant en thermodynamique/mécanique quantique. J'ai besoin de comprendre tout seul pour croire totalement ce phénomène de "saturation". J'ai besoin de mieux comprendre les phénomènes physique en détail pour y croire totalement. J'avais bien étudié ces domaines, mais j'ai presque tout oublié. Il m'en reste un peu quand même.
  7. Réchauffement climatique : l'innocence du carbone - François Gervais sur RTL. http://www.youtube.com/watch?v=JNAoG_E7eyk
  8. Une société est un contrat ordinaire entre deux ou plusieurs individus. Ce contrat est appelé "les statuts". Les associés mettent en commun des moyens pour produire certaines choses et conviennent d'une règle de répartition des bénéfices. Les associé stipulent que le directeur agira en leur nom en utilisant l'argent qui a été confié à ce directeur. Toute personne souhaitant établir des relations commerciales est réputée avoir pris connaissance des statuts. En particulier, en lisant les statuts, les tiers savent les limites de la responsabilité de chaque acte du directeur, et des associés. Si la loi ne le prévoyait pas, tout tiers serait invité à prendre connaissance et à accepter les statuts avant toute relation d'affaire avec cette société. Une telle acceptation ressemblerait aux avertissements que nous devons lire et accepter pour avoir le droit d'utiliser un logiciel. Une société n'a pas besoin d'un Etat pour exister. Pour des raisons étranges, l'Etat limite la liberté du contrat de société. Souvent pour des raisons purement fiscales.
  9. En freebanking, chaque banque, chaque producteur de monnaie choisit la règle commerciale qui définira les caractéristique de sa monnaie. Cette règle est le "contrat d'émission monétaire", ou encore "contrat de monnaie". S'il existe une règle provenant de l'Etat, c'est alors un freebanking limité. Un tout autre débat est de savoir s'il existerait, en freebanking, des règles nécessaire d'émission monétaire, et que le banquier découvrirait dans l'exercice de son activité.
  10. @Lameador Je suis d'accord avec votre commentaire, à l'exception de l'emploi du mot "convention". Sauf à dénaturer le sens du mot "convention", une convention est un contrat, ou un accord explicite ou implicite entre plusieurs personnes. A mon avis, l'usage du mot "convention" est incorrect pour qualifier une monnaie. Certes, chacun pense que l'or a de la valeur. Mais cette croyance commune ne provient pas d'un quelconque accord d'une personne avec une autre. Cette croyance commune provient uniquement du sentiment de valeur que ressent chacun à la vue de l'or. Une croyance commune à plusieurs personnes n'est pas nécessairement une "convention". Je ne suis pas pas opposé au terme de "convention sociale" pour certaines habitudes communes d'une société, et acceptées par tous. Mais, amha, la monnaie n'est pas une convention sociale. Aujourdhui, la monnaie de l'Etat est une obligation pour tous. C'est une interdiction légale d'utiliser une autre monnaie sous peine de prison. Ce n'est pas un accord entre tous.
  11. @frigouret Je suis d'accord. J'ajoute que le besoin d'échange est un besoin de s'enrichir, besoin de satisfaire ses besoins, d'obtenir une satisfaction. En conséquence, le vendeur voudra recevoir en échange un autre bien économique qui possédera, lui aussi, de la valeur à ses yeux. Sinon il ne vendra pas sa marchandise. Vous dites très justement "C'est sur ce besoin d'échange qu'est basée la valeur d'une monnaie". Oui, la possibilité d'échanger avec ce bien là, donne une valeur supplémentaire à ce bien, à cette monnaie, mais rarement toute sa valeur. Cependant il existe un cas particulier intéressant lorsque l'Etat interdit tout autre monnaie que la sienne dans un pays. Le "besoin d'échanger" est alors tel que ce "besoin d'échanger" peut suffire à donner toute sa valeur à la monnaie étatique. Vous dites "la valeur d'une monnaie telle que je la decris plus haut". Où la décrivez vous?
  12. Le vendeur vend son bien car ce bien a de la valeur. Le vendeur accepte la monnaie qu'il reçoit en paiement parce que cette monnaie a de la valeur. Le vendeur refuserait de vendre si cette monnaie reçue avait une valeur inférieure au bien vendu. La cigarette a de la valeur, a une certaine valeur, a une valeur certaine. La cigarette est donc une monnaie pour ceux qui pensent que la cigarette a de la valeur. Vous parlez d'une "cigarette virtuelle". Pour que votre concept existe, il faut le définir en terme de droits de propriété, en termes de valeur pour celui qui la possède. La promesse d'une cigarette peut être matérialisée, prouvée, par un papier. Ce papier est signé par le promettant d'une cigarette. Le bénéficiaire est alors le possesseur du papier. Un tel papier a de la valeur si le promettant est suffisamment fiable. Sinon, la valeur de ce papier est insuffisante, voire nulle. Ce papier ne peut pas alors être utilisé comme monnaie puisque sa valeur est nulle. Vous dites que la monnaie serait alors une convention. La monnaie n'est jamais une convention sociale. La monnaie est une chose, est un bien qui a de la valeur parce que chacun croit que cette chose a de la valeur.
  13. Une communauté humaine trouve en quelques jours une marchandise qui jouera le rôle de monnaie. C'est ainsi qu'un camp de prisonniers de guerre adopte très vite la cigarette comme monnaie. L'émergence rapide d'une monnaie est ainsi un phénomène spontané qui provient de l'intelligence de l'homme. J'imagine que, même dans les temps primitifs, le troc n'a jamais existé durablement comme moyen principal d'échange.
  14. Il est toujours intéressant de séparer, par la pensée, l'usage monétaire et l'usage non-monétaire d'un bien servant de monnaie. L'usage non monétaire d'un bitcoin est une amusante curiosité qui plait à certains geeks. Un bien servant de monnaie a plus de valeur que ce même bien n'en avait lorsqu'il ne servait pas de monnaie. En effet, ce bien est demandé non seulement pour sa nature non-monétaire, mais encore pour ses qualités de transaction plus facile. Ensuite, la demande monétaire augmente la valeur de cette monnaie à cause des besoins monétaires de ses utilisateurs. Du moins dans la mesure où cette monnaie est de nature à répondre à ces besoins spécifiques. Mais, il existe de grandes différence entre l'or et le bitcoin. La valeur non-monétaire de l'or est la fabrication des bijoux. Cette valeur non-monétaire de l'or est le fondement de la valeur monétaire de l'or. Les investisseurs investiront d'autant plus dans les mines d'or que le coût de production sera inférieur au cours de l'or.
  15. Les "capitalistes" ne "contrôlent" pas "le" marché, puisque chacun peut librement produire des biens, ou vendre ce qui lui appartient, ou acheter avec son argent. Seul l'Etat, s'il le décide, peut interdire des transactions, restreindre les libertés de produire, de vendre, d'acheter. La monnaie actuelle est un monopole d'Etat. En effet, il est interdit d'émettre ou de faire circuler une autre devise que la devise légale. Il est ainsi paradoxal d'imaginer que l'Etat soutiendrait les monnaies libres. Sauf à imaginer que l'Etat rechercherait le bien-être du peuple, et non pas le bien-être de ses élus et de ses fonctionnaires.
  16. Oui, l'utilisation d'un bien comme monnaie complique l'affaire, comme vous dites. L'utilisation de ce bien comme monnaie augment sa valeur initiale. La valeur d'un bien dépend de l'offre et de la demande de ce bien. Lorsque ce bien devient une monnaie, la demande initiale est augmentée d'une demande monétaire. En effet, son usage comme monnaie augmente sa demande. Un bien utilisé comme monnaie aura ainsi une demande non-monétaire et une demande monétaire. Ainsi l'or permet de faire des beaux bijoux, c'est ce qui lui donne sa valeur initiale. Les deux tiers de l'usage de l'or existant serait la fabrication de bijoux, selon une statistique que j'avais lue. Le troisième tiers de l'or servirait uniquement à des usages monétaires. J'ignore si cette statistique est fiable ou non. Mais le principe des deux demandes induit que la valeur d'un bien augmente lorsque ce bien sert de monnaie. La force du marché est que nul accord général n'est nécessaire pour la coopération de tous. Il n'est pas nécessaire que chacun souscrive à une association commune pour qu'une monnaie fonctionne. Certes, la monnaie "wir" fonctionne en Suisse par un accord de tous les adhérents à cette formule. Mais, ce n'est pas une obligation pour une monnaie.
  17. La monnaie marchandise que vous proposez serait une des formules pour une monnaie commune. Une autre formule serait qu'une promesse de livrer cette marchandise soit une monnaie. Ainsi gidmoz écrit sur un morceau de papier "contre ce papier gidmoz donne 1 gramme d'or". De tels papiers sont alors des gidmoz-or et constituent une monnaie pour ceux qui font confiance à gidmoz.
  18. Parmi les critères de qualité d'une monnaie, il y a une certaine stabilité de sa valeur. De ce point de vue, bitcoin est structurellement faible. La monétarité de bitcoin est faible. Cette faiblesse serait encore plus évidente si des sortes de "bitcoin-or", émis par certaines banques, et échangeables en vrai or-métal, circulaient sur Internet. C'est l'interdiction étatique de monnaies meilleures que bitcoin, qui donne sa valeur à bitcoin. L’intérêt populaire porté à bitcoin témoigne d'un certain besoin monétaire que la monnaie légale ne satisfait pas.
  19. La seule raison pour laquelle bitcoin survit malgré ses insuffisances et sa médiocrité est que l'Etat interdit toute vraie monnaie qui serait concurrente de la monnaie étatique.
  20. Pour répondre plus rapidement au sondage dans le sens d'une libéralisation du port d'armes, répondre 1 à toutes les questions obligatoires et ne rien répondre aux questions facultatives.
  21. Je suis entièrement d'accord avec votre commentaire. Bitcoin propose des fonctionnalités qui sont aujourdhui interdites par l'Etat. Non, que ce serait difficile de les installer sur un réseau de monnaie classique. Mais, la loi étatique l'interdit. Ainsi, un acheteur achète des bitcoins qu'il verse au vendeur, et que le vendeur revend aussitôt. Ce qui permet, in fine, une transaction plus rapide et anonyme. L'acheteur et le vendeur doivent néanmoins espérer que le cours du bitcoin reste stable pendant les qq minutes de la transaction.
  22. Je me suis essayé à déterminer d'ou provient la valeur d'un bien servant de monnaie. http://gidmoz.wordpress.com/2013/04/09/valeur-dun-bien-servant-de-monnaie/ en gros, je dis que bitcoin a de la valeur à cause du nombre de gens qui veulent transférer anonymement.
  23. Désolé! J'avais répondu à coté de votre question. Je suis convaincu que bitcoin est un enfumage. Pour moi, la raison est évidente. Mais j'ai du mal à vous faire passer ma conviction. L'argument de l'impossibilité d'une valeur stable devrait vous suffire à discréditer définitivement bitcoin d’être utilisé comme monnaie sérieuse. Les raisons pour lesquelles le cours d'un bitcoin est instable a maintes fois été mentionné ci-dessus par plusieurs intervenants. C'est l'utilisation non monétaire d'une monnaie qui fonde sa valeur monétaire. La demande monétaire augmente la valeur de ce bien. Et les non utilisateurs spéculent sur la valeur que les utilisateurs non monétaire de ce bien donnent à ce bien. Dans le cas de bitcoin, l'utilisation non monétaire s'apparente à un jeu internet. bitcoin est un scénario de séduction ludique astucieusement monté. Les utilisateurs spéculent sur le gout des amateurs de bitcoin à jouer avec des échanges utilisant bitcoin. Pour l'or aussi, les possesseurs d'or spéculent sur le gout des amateurs d'or à aimer les bijoux en or. C'est un point commun, une ressemblance entre les deux monnaies. C'est le point commun entre toutes les monnaies. Y compris en freebanking. Mais la différence entre bitcoin et l'or est que l'or est beau et rare. Un bitcoin est beau, certes, mais on peut fabriquer des bitcoins, ou des êtres mathématiques analogues à bitcoin en quantité infinie. Un bien comme un bitcoin n'est pas une chose rare. On peut inventer d'autres systèmes mathématiques ressemblant à bitcoin. ce que je nomme ici bitcoin1, bitcoin2. De ce fait, un bitcoin n'est pas aussi convoité qu'une pièce d'or.
  24. A l'heure actuelle, il existe un monopole monétaire étatique. Il n'y a donc aucun choix, sauf utiliser la seule monnaie autorisée par l'Etat. Il n'y a donc pas d'alternative. /* freebanking on Une bonne monnaie n'existe pas, à l'heure actuelle. Une "bonne monnaie" ne pourrait émerger que dans un contexte de freebanking. La "bonne monnaie" de l'un ne serait nécessairement la "bonne monnaie" de l'autre. La monnaie est un service rendu par une banque, par une société commerciale. Une monnaie est un bien facilement échangeable, et dont la valeur est stable et prévisible à long terme. Chaque unité de monnaie est un bien produit par une banque commerciale. freebanking off */
  25. Alors, selon vous, quel paramètre faudrait-il modifier dans le logiciel bitcoin pour produire des bitcoin1 en sorte que la collection de bitcoin1 soit différente de la collection de bitcoin?
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