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Tout ce qui a été posté par Ultimex

  1. Ça ne pourra pas être pire qu'Asterix - Le ciel lui tombe sur la tête.
  2. Non... Mais je n'ai, à vrai dire, pas encore eu trop le temps de chercher.
  3. Ultimex

    Baccalauréat 2016

    Félicitations !
  4. Merci.
  5. Aller, je me dévoue, quel est son nom ? Bienvenue en tout cas !
  6. Ultimex

    Supa Playlist!

    Wire toujours :
  7. Ultimex

    Supa Playlist!

    Wire :
  8. Contrairement au Voyage, j'avais trouvé Mort à crédit passablement ennuyeux à l'époque où je l'avais lu. Quant à Guignol's band, pas réussi à le finir. Bon, va falloir que je les retente...
  9. Il y a quand même un risque non négligeable que les gens viennent te parler parce que "trop trop lol ton t-shirt".
  10. En quoi l’existence d’une culture/identité impliquerait qu’un État doive s’assurer de sa préservation ou limiter la libre circulation des individus ?
  11. Moui, on ne peut pas vraiment tirer de conclusions là-dessus vu que critiquer l'ultra-libéralisme, c'est s'attaquer à un concept creux, vide. Il se peut que le but des critiques de Macron soit simplement de rassurer son potentiel électorat, lui envoyer le message qu'il est peut-être libéral mais "halala, attention hein, pas le salaud qui bouffe du chaton communiste au p'tit-déj'".
  12. Lus ces derniers temps : - La fin de La peau , de Curzio Malaparte. Roman autobiographique traitant de la période de la Libération de Naples et, plus généralement, de l'Italie durant la dernière guerre. Comme Kaputt, un excellent livre à l'humour glacé, au style baroque, parsemé de scènes saisissantes, parfois surréalistes. - Le guépard de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, l'histoire d'un prince sicilien et de sa famille pris dans les tourments du Risorgimento. Roman d'une grande finesse je trouve, par son style, par ses analyses, un gros coup-de-cœur. - Un taxi mauve de Michel Déon. Un peu trop de longueurs à mon goût. - La légende dispersée : Anthologie du romantisme allemand, regroupant des textes des principaux romantiques allemands (Moritz, Jean-Paul, Fichte, Hölderlin, Novalis, Wackenroder, Tieck, August et Friedrich Schlegel, Schelling, Bonaventura, etc.). Si le principe du recueil est intéressant, permettant de découvrir ces auteurs, le contenu est, quant à lui, plutôt variable. Ainsi, si certains romantiques font preuves, par moment, de fulgurances (Moritz, Hölderlin, Novalis, Tieck, Bonaventura, Kleist), la plupart plonge la tête la première dans la mièvrerie la plus pompeuse. Concernant les deux philosophes idéalistes du lot (Fichte et Schelling), on navigue entre l'imbitable et le poussif. Quelques bonnes surprises donc et de l'oubliable. - Le hussard bleu de Nimier. L'histoire en elle-même, avec ses longueurs, n'est pas inoubliable, le roman valant surtout pour le kaléidoscope de pensées des différents protagonistes (qui m'a rappelé Aymé) et son style, tranchant et cynique. Une tonalité globalement pessimiste, des passages hilarants, quelques bons mots et des phrases qui claquent, pas mal dans l'ensemble. - Le sergent dans la neige de Mario Rigoni Stern, nouvelle où l'on suit la retraite du Corps expéditionnaire italien sur le front de l'Est fin 42/début 43. Rigoni Stern c'est un peu l'anti-Malaparte : un regard plein d'humanité sur les différents protagonistes du livre, dépourvu du moindre cynisme, un style très sobre, peu de scènes saisissantes et/ou surréalistes, on suit juste des soldats italiens qui fuient l'avancée russe dans la faim et le froid, tout en cherchant à conserver leur humanité. Pas mal aussi donc. - La tête des autres de Marcel Aymé, un manifeste contre la peine de mort. Sympathique mais il faut un peu pâle figure comparé à Uranus. - Et là je démarre Le désespéré, roman semi-autobiographique de Léon Bloy. Si l'histoire me semble un peu banal au premier abord, la plume acide de l'auteur et ses descriptions féroces du milieu littéraire de la fin du XIXème sont réjouissantes.
  13. Ultimex

    Aujourd'hui, en France

    Oui. dans le même genre, tu as le syndrome de Münchhausen et sa variante, le syndrome de Münchhausen par procuration.
  14. Hé ho !
  15. J'aimerais être aussi optimiste que toi mais les faits te contredisant ne manquent pas, entre la Suisse, la Californie, etc. (cf. l'article de José). Je ne pense pas le contraire.
  16. C'est là où tu te mets le doigts dans l’œil. Le fait de passer en démocratie directe ne changerait rien à la dichotomie entre les personnes qui prennent une décision et les personnes subissant les conséquences de la décision : "Un impôt supplémentaire pour toute personne qui gagne plus de 10000€/mois ? Je ne suis pas concerné et cela servirait à combler le déficit de l'Etat, je vote pour", "Interdire les armes à feu dans le pays pour éviter les attaques terroristes ? C'est vrai que c'est dangereux ces objets là, c'est pour ça que je n'en ai pas chez moi : hop, je vote pour", "Un smic à 2500€/mois ? Bah, c'est les patrons qui payeront et puis ça fera plus de pouvoir d'achat en France, hop je vote pour", etc. Puis bon, se sentir responsable de son choix quand on est un votant parmi plusieurs milliers/millions... Sauf que tu ne proposes pas un moyen de limiter le pouvoir, tu ne fais que déplacer ce dernier d'un organe (la chambre des représentant) à un autre (le peuple), en espérant que ce dernier sera plus avisé que le premier... Bref, tu espères guérir un mal en faisant appel à un mal du même ordre. Plus importants sont les garde-fous, les barrières permettant de limiter ce pouvoir. Cf. : les réflexions de José et de Cugieran. Wishful thinking.
  17. Tu veux parler de la démocratie directe ? J'ai beaucoup de mal à saisir l'attrait que ces deux formes de démocratie pourraient avoir pour nous libéraux en tout cas. Des mesures liberticides prises par une assemblée représentative élue deviendrait soudainement acceptables (et mêmes respectables) par un principe de transsubstantiation festif et citoyen car décidées par démocratie directe ou par une assemblée tirée au sort ? Ou alors ces deux formes de démocratie ne pourraient jamais prendre de mesures liberticides ? C'est un sacré acte de foi que tu demandes dans ce cas...
  18. Ultimex

    OGM

    Fallait le dire tout-de-suite, dans ce cas ça, se défend.
  19. Je trouve que Wauquiez ne va pas assez loin, les chantiers ne devraient pas être attribués à des entreprises situées à plus de 100 m du lieu concerné. La construction du Macumba de Glandieu ne sera pas laissée à ces ploucs de Groslée-Saint-Benoît BTP ! Halte au dumping social inter-communal !
  20. Ultimex

    OGM

    Si, sauf si tu considère que le Prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d'Alfred Nobel n'est pas un vrai prix Nobel. Mais dans ce cas tu chipotes...
  21. En effet. Cela me semble une très bonne idée oui.
  22. Où ai-je expliqué que les individus se réduisaient à leur nationalité ? A nouveau, je ne suis pas romantique, je ne vois pas la nation comme un absolu qui s’impose aux individus et les déterminent. Peut-être est-ce là la source de notre désaccord, Etat et nation sont deux choses différentes pour moi. Je ne considère en effet pas la nation comme un instrument politique mais comme un fait émergeant marquant effectivement une partie de l'identité des individus (comme le fait d'avoir grandi dans telle famille plutôt que telle autre). Bref, inutile de nous battre, je crois que nous n'arriverons pas à nous entendre sur ce point.
  23. Elle est peut-être d'origine libérale mais me semble plus correspondre à une fiction qu'à une réalité. Comme le dit PABerryer : Sinon, je suis d'accord avec toi sur le fait que la conception romantique de la nation est une aberration (dangereuse), mais personne ici n'y a fait référence il me semble.
  24. Deux remarques sur ce que tu dis : 1) Concernant la phrase que j'ai mise en gras : il s'agit d'une définition assez limitée de la nation qui me semble plus correspondre à une certaine conception de l'Etat. Il ne me paraît en effet pas déconnant de considérer que la nation est un peu plus qu'une simple association politique, qu'elle a une réalité (cf : le débat qui avait eu lieu ici : https://www.liberaux.org/index.php/topic/53562-dimension-descriptive-et-normative-de-la-nation/) 2) Considérer que la nation existe et est plus qu'une simple association politique ne légitime pas pour autant une quelconque action de l'Etat visant à contrôler l'immigration ou à protéger l'identité d'un pays et de ses habitants. Il ne nie pas non plus le fait qu'une personne étrangère à une nation puisse s'approprier les traits culturels de celle-ci. Aparté: mea culpa, je dois concéder qu'A. Biteau avait raison. Bienvenue sinon Turgot.
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