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Flashy

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Tout ce qui a été posté par Flashy

  1. C'est pas le genre de boîte misant sur la qualité, et l'argument central tient au coût facturé et au prix affiché (central pour le patron mais aussi dans le choix des clients). Les seuls à gueuler sont les autres avocats, mécontents du succès de ce genre de plate-forme. Quant au type qui a mal négocié, c'est la vie. Je ne vois aucune raison de nuire à mes objectifs en lui signalant ses erreurs. John Galt est un sociopathe. J'ai googlé. Mon dieu, ça a l'air bête. L'intention des utilisateurs de Tinder, c'est de baiser très souvent.
  2. Ou alors ça diminue le coût de la postulation, et donc le coût facturé au client. Ils sont contents. J'ai atteint mes objectifs. Je suis content, mon chef aussi. Le nouveau/le mec qui frôle la faillite a des dossiers. Il est content.
  3. Mmmm...Euh...Oui? Je ne vois pas où tu veux en venir. C'est quoi un PUA? Quant à "scorer", il ne s'agit pas d'avoir un tableau de chasse. C'est pas de Pokémon Go dont il s'agit. Il s'agissait de répondre à une question factuelle de NicolasB.
  4. C'est pas le signe d'un trouble du comportement, juste de logique. En stage, il y a quelques années, j'ai dû négocier le montant des postulations pour un "contrebandier du droit" (divorce en ligne etc). Bah pour négocier, je sélectionnais mes interlocuteurs selon des critères logiques : - date de prestation de serment, si possible venant tout juste de prêter serment (méconnaissance des prix du marché, manque d'expérience, absence de toute clientèle personnelle rendant très tentante la proposition) ; - paiement ou non de la TVA (le non-paiement de la TVA est le signe que l'avocat gagne fort peu ; qu'il est aux abois financièrement ; c'est donc plus simple de négocier un accord intéressant). Bah là, c'est pareil. Si tu veux réussir de façon adéquate, faut prendre les bonnes cibles et choisir les bonnes stratégies d'approche. Je remarque, d'ailleurs, que les réponses reçues ne nient pas la qualité de mon argument (à savoir que ce sont de bonnes cibles) mais leur moralité (quel rapport?) ou l'objet de Tinder.
  5. On a une femme, une asiatique et une non-informaticienne/non-développeuse aussi.
  6. On ne bâtit pas une relation "sérieuse" à partir du faciès de son prochain. C'est un critère pourri. A fortiori quand on a des enfants. Si le seul objet c'est de rencontrer quelqu'un, où est le problème? Parce que la femme en quête d'amour n'a pas nécessairement ce qu'elle désire? C'est la vie. Quand on est très exigeant, on échoue plus souvent. Ou le problème c'est que l'homme ne répondait pas aux critères explicités par la femme mais a tenté sa chance malgré tout?
  7. C'est très bien pour construire des relations sérieuses. C'est l'ancêtre de Tinder, après tout.
  8. Pas étonnant qu'elles restent célibataires. Compter sur cinq lignes et six photos pour trouver une relation sérieuse, en refusant le principe de toute rencontre de gens n'ayant pas les mêmes intérêts qu'elles...forcément, ça doit limiter. Quant à l'idée de chercher le futur beau-père sur un site comme Tinder...Je comprends mieux certaines statistiques sur les violences domestiques.
  9. Hé bien, il y a rencontre. L'un obtient ce qu'il veut, pas l'autre. Chacun repart dans son coin, libre de retenter sa chance. Avec assez d'adresse, on peut éviter de mentir et avoir du tact tout en remplissant l'objectif. Cela permet d'éviter tout conflit inutile.
  10. L'objet de Tinder est, si je comprends bien, de "matcher", c'est-à-dire qu'il y a "attirance" ou intérêt mutuel. Les informations à ta disposition : une poignée de photos, parfois un micro-texte, quelques vagues centres d'intérêt. C'est avec ça qu'on "reconstruit"? C'est adéquat pour un plan cul, aussi peu d'informations. Pas pour trouver le futur père de ses enfants. Voilà comment ça se passe : Tinder, il y a match. L'une spécifie qu'elle veut "reconstruire". C'est l'expression d'une préférence, pas une offre : on ne se marie pas sur Tinder. La rencontre n'engage à rien. Il y a rencontre physique une fois ou plus, avec du bon temps (voire du sexe) ; mais ça colle pas, les aspirations divergent. C'est la vie. Fin de l'histoire. En quoi est-ce ignoble? Personne n'est lésé. Et c'est le moyen le plus efficace pour atteindre l'objectif. Je ne vois pas le rapport avec l'estime de soi. Les personnes les plus esseulées sont les plus fragiles. Attirer quelqu'un, fut-ce pour un soir, peut les rassurer sur leur potentiel de séduction. Ou les soulager en leur donnant la sensation de se venger. De ne pas avoir besoin de celui qui est parti. Ou le vivre mal, à elles de voir. En attendant, l'objectif est rempli.
  11. Je comprends pas trop sa stratégie, sur ce coup.
  12. Concentre-toi sur celles qui indiquent sortir d'une rupture récente, elles sont plus vulnérables. La solitude peut être difficile à gérer pour certaines personnes habituées à être en couple. Elles auront plus facilement tendance à céder pour remplir leur lit. De même, tu peux ignorer le fait qu'elles indiquent "vouloir reconstruire". Tu ne vas pas sur Tinder pour rencontrer l'amour. Tu respectes l'objet de l'appli ; tu remplis tes objectifs ; elles peuvent continuer leur quête. Tout le monde y gagne. Dans la vraie vie, concentre-toi sur les femmes que tu peux identifier comme étant malheureuses, soit du fait de la solitude, soit dans leur couple.
  13. T'es une star. Tu pars bronzer dans ton jardin en moule-bite parce que tu veux bronzer partout. Je suis un photographe, j'utilise un drone et je mitraille 24h/24 ta baraque pour pouvoir vendre ton image. Quel droit ai-je violé? Je ne survole en aucun cas ta propriété. T'avais qu'à mettre des rideaux. Et à ne pas sortir dans ton jardin.
  14. Pas besoin de les "filer", je peux les prendre. Rien ne me l'interdit, si je vous suis. Et je suis une personne privée.
  15. Où tu vis, combien tu gagnes, où tu pars en vacances, pour combien de temps, dans quel hôtel, ta marque de voiture, ce que tu possèdes, tout ça me semble digne d'intérêt pour savoir si tu es un bon client pour un contrôle fiscal. De même, avec qui tu parles, combien de temps, voire de quoi tu parles, ça pourrait m'intéresser si j'étais flic.
  16. Il les utilisera dans le cadre de ses missions. Collecter l'impôt, par exemple. Ta nouvelle piscine non déclarée, tu l'auras dans le fion.
  17. C'est toi qui ne réponds pas à la question au départ. S'il y a un droit à la vie privée, l'Etat n'a pas à collecter les données. Pas plus que les entreprises, magazines, photographes ne peuvent le faire sans ton consentement. C'est la position de PABerryer et la mienne. En réponse, tu me demande quelle mission régalienne de l'Etat implique la collecte de données. Ce qui est hors de propos. S'il n'y a pas de droit vis-à-vis des données personnelles, ce qui est votre position, il n'y a absolument aucun problème à ce que les entreprises, magazines, photographes les collectent sans votre consentement, voire contre votre consentement. Ni qu'ils les vendent. Y compris à l'Etat. Qui est tout à fait libre de les utiliser selon ses besoins puisqu'il ne viole aucun droit d'aucune sorte (le droit à la vie privée n'existant pas). Assumez les conséquences de votre position.
  18. Pas de soucis, suffit de déléguer la collecte au privé puis de racheter. Ainsi, pas de violation de droit.
  19. C'est ce que je comprends de la position adverse. Un droit fluctuant dépendant quant à son existence de qui le viole. C'est rigolo.
  20. Le fisc est un bon client.
  21. Visiblement, un droit n'existe qu'en fonction de qui le viole. Un peu comme le racisme à la SJW. Cela dépend de qui commet l'acte : si c'est un blanc, c'est raciste. Sinon, ça ne l'est pas.
  22. Les entreprises ont le droit de vendre les données à qui elles veulent?
  23. Je peux donc te prendre en photo à mon gré, y compris chez toi? Ou publier tes mails, tes comptes ou whatever. Après tout, je ne suis pas l'Etat et je ne viole aucun droit.
  24. J'ai parié des sous sur Trump, du coup je suis partagé. J'ai envie qu'il gagne, j'aime l'argent.
  25. Il y a un droit à la vie privée, oui ou non?
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