Flashy

Ce qui est exact.

This.

Je suppose que tous les pays où les femmes ont une bonne insertion sur le marché du travail ont donc des professeurs d'un niveau déplorable.

Bof. Les gars cèdent sur les perturbateurs endocriniens de façon effective. Le lendemain, ils promettent le "tout-électrique" en 2040. Probablement de la com', et une stratégie pour permettre à Hulot de garder la face. Le seul point chiant, c'est de voir ce qui sera effectivement fait au niveau constitutionnel...j'espère qu'on en restera à une vague déclaration d'intentions.

Je suis nul, je n'arrive pas à mettre une fucking miniature sur le partage FB de mon blog. J'arrive même pas à piger pourquoi une fois sur deux, ça ne marche pas. C'aurait été bien pour un truc sur le seasteading.

C'est plutôt déplacé dans le cadre d'un hommage rendu à des funérailles. Mais pas très surprenant.

Qu'est-ce qu'elle raconte?

Quel est le rapport avec les technologies disruptives ou le transhumanisme? Quant à la conquête spatiale, la nouvelle génération a tendance à s'affranchir petit à petit de la tutelle étatique. Le Lunar X Prize sera intéressant, de ce point de vue. Sinon, es-tu contre la santé? Ou l'éducation?

Indulgente-e-s? Whut? Non seulement c'est moche, laid et ridicule, mais en plus c'est faux.

Apparemment c'est la même chose en VO. Ce n'est pas rare. Ainsi, dans Vision Aveugle de Peter Watts, on a le même procédé, au demeurant assez logique (comme le pointait Lancelot) : le narrateur ne juge pas utile d'expliquer ce qui, pour lui, relève de l'évidence. Par contre, dans le Neuromancien (oui, j'utilise le nom français, je suis un sagouin), la chose m'a paru particulièrement marquée au point de pouvoir présenter un aspect presque rebutant, chose que je n'ai pas ressenti dans Vision Aveugle ou d'autres ouvrages. Je l'ai lu il y a un an, à peu près. Assez rapide à lire. C'est un roman "d'atmosphère" : il n'y a pas de personnage mémorable, de scénario surprenant ou haletant. Par contre, oui, tout l'objet du livre est de dépeindre une atmosphère, celle d'un monde qui se prétend parfait, transparent, pur de toute souillure, un monde qui a dépassé l'individualisme, les passions individuelles, où chacun connaît sa place dans les rouages de l'Etat et se conforme avec sérénité à ce qu'on attend de lui. Par petites touches, on voit cette mécanique se gripper. Le malaise persiste un peu, même lorsqu'on a refermé le livre. A titre personnel, je lui préfère 1984. Mais ça n'en reste pas moins une dystopie intéressante, surtout lorsqu'on la remet dans le contexte de l'époque.

Je pense que Rincevent va te dire qu'il est utile que le parlementaire soit proche de ses électeurs, pour que l'origine de son pouvoir soit moins dilué dans la masse et, qu'individuellement, il pèse moins. Ceci étant posé, il est plus facile de surveiller l'action 300 gusses que de 600. Et il est plus difficile de glander sans se faire griller dans des structures plus "petites".

Il est dans ma pile ! Là, je termine "Accelerando" de Charles Stross. Je l'ai lu en français. Un bon livre, qu'on apprécie encore davantage quand on connaît un peu Zamyatine et qu'on sait que ce livre a été publié en 1920 (avec un contexte historique particulier en Russie).

Je ne pense pas que l'individualisme soit en danger suite à ces évolutions. Je peux même te parier que beaucoup craignent précisément l'inverse : que ces évolutions conduisent à "exacerber l'individualisme" au détriment de notre "vivre-ensemble", de nos "traditions", de notre "commune humanité" etc etc.

L'enchaîner à quoi?

C'est un peu l'objet du blog de répondre à ces questions. Autant, pour les actualités en cause, je peux donner des indications, autant cet âge nouveau qui s'annonce, je ne peux en tracer qu'une esquisse, et encore, d'une main tremblante seulement. Ainsi, pour les actualités, je peux citer : - la relance de la conquête spatiale (le Luxembourg a adopté une législation spéciale quant à l'exploitation minière des astéroïdes ; deux sondes devraient arriver vers 2021/2023 sur deux astéroïdes pour les étudier plus avant, Hayabusa 2 et Osiris-Rex) ; - les derniers développements de l'intelligence artificielle ; - l'automatisation et la robotique ; - les drones ; - la nanotechnologie ; - les derniers développements en matière génétique (TALEN, UCART19, CRISPR-CAS9...) ; - l'impression 3D... Ce ne sont là que des exemples, qui à mon avis vont donner lieu à des interactions ou des applications que je ne peux même pas imaginer. A cela, je peux ajouter l'agriculture verticale, les tours-forêts, la production de viande artificielle, de nouveaux matériaux, des maisons passives, de nouvelles façons de produire de l'énergie, la réalité virtuelle, la blockchain et les cryptomonnaies, les premières augmentations, l'utérus artificiel... De toute évidence, on a affaire à plusieurs révolutions en même temps (et pas seulement une révolution numérique). De ce fait, le transhumanisme (par exemple) ne me paraît pas destiné à rester une question théorique. Mais j'ai encore du mal à définir avec précision les contours de l'époque qui s'ouvre.

Fake, j'y crois pas.

Amis liborgiens, vous auriez des bons sites à recommander sur tout ce qui touche vulgarisation scientifique/actu scientifique/hard SF?

En droit social, les doctorants en convention CIFRE ont un statut en tout point similaire à celui d'un apprenti. Ce sont donc, tout à la fois, des étudiants, des "salariés" (avec un certain nombre d'obligations à cet égard) et des auxiliaires de l'Université (écrire des articles, corriger des copies, se charger des TD...)

Je le fignole encore, mais il se trouve là : https://journalduncurieux.com/

J'ai enfin créé le blog dont j'avais parlé en décembre dernier.

De ce que j'ai pu observer, je ne vois nul force, nul épanouissement, nul héroïsme dans le suicide. C'est surtout un acte relativement égoïste (souffrance auto-centrée) qui transforme un tas de chair animé en un tas de chair inanimée (ou animé uniquement par la décomposition). Dans le monde moderne, à l'abri (dans une grande mesure) du tragique de l'Histoire, je ne vois aucune espèce d'utilité au suicide, si ce n'est éliminer les plus inadaptés. C'est exact. Mais ce conseil oublie ce qu'est une dépression. Dépression fort souvent concomitante au suicide.

Bah, il ne songe pas vraiment au suicide. Dans 90% des cas, le suicide n'est pas un acte médité mais un acte impulsif. C'est davantage de la curiosité morbide. Quant à la dépression, à distinguer de la déprime, il s'agit d'un déséquilibre neurochimique durable : cela ne relève donc pas d'un manque de volonté ou de motivation mais constitue bien une maladie, au sens propre du terme. Ceci étant posé, il convient de préciser que c'est une maladie qui se soigne ; la fatalité n'existe pas (ou du moins, elle est beaucoup plus rare que ce que les gens perçoivent). Bien sûr, le dépressif ne le perçoit pas -c'est dans la nature même de la dépression-. Si le problème vient de la solitude, d'un défaut d'amour-propre, de défauts multiples (rédhibitoires du point de vue reproductif), là encore, il existe des solutions. Il suffit de se fixer des objectifs (objectifs qui devront être personnalisés, mesurables, gratifiants, réalistes, avec des deadlines), de se réjouir des succès, d'accepter l'échec sans se démotiver (souci du dépressif), bref, de compenser le trouble neurologique par des structures et habitudes permettant de fonctionner. Consulter un psychiatre peut également être recommandé.

Dans le feu du combat, entouré d'ennemis vaincus, hurlant la gloire d'Odin. Mon côté viking, sans doute.

Il ne faut pas stigmatiser.

L'objectif me paraît clair : maintenir le doute, critiquer la légitimité, faire planer le soupçon sur la triche etc. Un recours effectif va à l'encontre d'un tel objectif : c'est risqué car, au terme du processus judiciaire, il y a un risque que la légitimité de Valls en sorte renforcée, que les soupçons de triche soient dissipés. De ce fait, mieux vaut une campagne médiatique qu'une action judiciaire effective ; si action judiciaire il doit y avoir, il faut essayer de perdre sur la procédure pour que le fond ne soit pas examiné, et pouvoir entretenir le soupçon de triche.