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Tout ce qui a été posté par Sonni Ali Ber
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Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
+ 1 La seule chose que j'ai retenu c'est que "La France est bloqué par les corporatismes..." Trop consensuel, trop mou, pas assez percutant, phrases trop longues. Dommage. -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Emmanuel Macron, candidat à la présidentielle. -
Le Gouverneur de la rosée, Jacques Roumain.
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Livres pour combattre le socialisme chez vos enfants
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Bézoukhov dans Lectures et culture
Déjà évoqué sur Contrepoint : http://www.contrepoints.org/2016/08/19/263287-loi-de-frederic-bastiat-bd-reflexion-philosophique-a-lusage-enfants -
- J'ai envoyé ma première critique sur Georges Séféris à l'adresse redaction@contrepoint.org J'en ferai un prochain sur Brodsky, ou St John Perse.
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Tu doutes de mon libéralisme?
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- Je suis prêt à m'investir dans la rédaction des articles. Pourquoi pas une chronique littéraire? Je pourrai proposer des articles sur des auteurs injustement méconnu en France. Dès lors, Contrepoint se positionnera dans les premiers résultats du moteur de recherche. Contribuant ainsi a augmenter son audience dans un public de plus en plus diversifié. Par ailleurs, il me semble que ceux qui lisent les auteurs type Bachmann, Rezzorri, Adonis, Keats, sont biens plus aptes à être converti au libéralisme. Enfin, puisque l'intérêt propre est la meilleure source de motivation, ces chroniques littéraire me permettra d'avoir un C.V plus solide.
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Le libéralisme a-t-il un avenir ?
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Johnnieboy dans Philosophie, éthique et histoire
- Le libéralisme a t-il un avenir en France? La pensée libérale doit muer dans un cadre qui lui est défavorable : Média Prenons un exemple concret : Henri Delsol a un boulevard pour démonter la pensée incohérente de son contradicteur. Mais là encore pensée libérale doit se déployer de manière rationnelle dans un environnement irrationnel. Alors la faute à qui? La faute à Henri Delsol. Ce dernier, sait pertinemment que ce type d'émission ne sied pas à un raisonnement étayé. Dès lors, il me semble qu'une partie des libéraux font la même erreur qu'Henri Delsol. Les libéraux en effet pèchent par angélisme et naïveté. A et égard, il me semble que la méthode que use le journaliste Helfed est pertinente à utiliser pour nous libéraux. (La syntaxe de cette phrase est laide. Sorry.) -
Faire et défaire - François Fillon, candidat de la drouate
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Flashy dans Politique, droit et questions de société
Meeting de Fillon au Palais des congrès le 18 novembre. https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSdoLoKxOZQRrNhLHZE1tpWZhwKV6kdzS4OZcuE0TIZryegXfQ/viewform -
Élection POTUS 2016 : Donald Trump
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Sekonda dans Europe et international
Il oublie que l'éducation a très peu d'effet sur les idées, les conceptions du monde de chacun d'entre nous. -
Élection POTUS 2016 : Donald Trump
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Sekonda dans Europe et international
- Correction automatique de safari. Mais je te remercie. -
Élection POTUS 2016 : Donald Trump
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Sekonda dans Europe et international
"Divinités propices à l'éclosion des songes, ce n'est pas vous que j'interpelle, mais les Instigatrices ardentes et court-vêtues de l'action. Nous avançons mieux nos affaires par la violence et par l'intolérance. La condition des morts n'est point notre soucis ni celle du failli L'intempérance est notre règle, l'acrimonie du sang notre bien-être. Et de grands livres pénétrés de la pensée du vent, où sont ils donc? Nous en ferions notre pâture. Notre maxime est la partialité, la sécession notre coutume. Et nous n'avons, ô dieux! que mésintelligences dans la place." (...) " Vous qui savez, rives futures, où s'éveilleront nos actes, et dans quelles chairs nouvelles se lèveront nos dieux gardez-nous un lit pur de toute défaillance... " St John Perse Vents Mercredi 9 novembre, l'Histoire s'accélère; Donald Trump est élu président des Etats-Unis. Ne sachant pas quoi pensé, notre esprit erre, se trompe, à cet instant, notre raison est démunis. A cet instant précis, seule l'intuition nous sauvegarde des errances de notre esprit. Malheureusement, cet intuition est insaisissable pour la raison, le langage s'avoue en effet vaincu. Pour autant, il semble que la situation internationale révèle la démission de l'Humanité. Le monde échappe à notre raison, cette maxime tant ignoré, devrait être hélas l'apanage des puissants. A plusieurs reprises, l'Histoire nous démontre que l'absence d'humilité est le lit des tares de la civilisation. Ne vous trompez guère ne nous n'entrons pas dans une ère de nationalisme, de protectionnisme. Je dirais plutôt que la situation actuelle est la résurgence de nos échecs successives. -
L'adresse IP est bien une donnée à caractère personnel
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Adrian dans Actualités
Pourquoi ? -
[modéré]Hollande, le départ du comique français
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Chitah dans Politique, droit et questions de société
Tout ce que je retiens c'est d'avoir payé un tel livre à 24 balais. :/ -
- Maurice Barrès :La colline inspirée Une oeuvre bouleversante; l'histoire de trois frères (Les baillard) qui souhaitent rétablir une "magistrature spirituelle dans leurs pays" face à une religion chrétienne tombé "dans un rationalisme indigne". Je ne m'appesantirai pas à faire une synthèse de l'histoire. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Colline_inspirée Mais je vais livrer mes impressions sur le style d'écriture de Maurice Barrès. Juste un extrait : " (...) Il est des lieux qui tirent l'âme de sa léthargie, des lieux enveloppes, baignés de mystère, élus de toute éternité pour être le siège de l'émotion religieuse. (...) Tout l'être s'émeut, depuis ses racines les plus profondes jusqu'à ses sommets les plus hauts. C'est le sentiment religieux qui nous envahit. Il ébranle toutes nos forces. (...) Illustres ou inconnus, oubliés ou à naître, de tels lieux nous entraînent, nous font admettre insensiblement un ordre de faits supérieurs à ceux où tourne à l’ordinaire notre vie. Ils nous disposent à connaître un sens de l’existence plus secret que celui qui nous est familier, et, sans rien nous expliquer, ils nous communiquent une interprétation religieuse de notre destinée. Ces influences longuement soutenues produiraient d’elles-mêmes des vies rythmées et vigoureuses, franches et nobles comme des poèmes. Il semble que, chargées d’une mission spéciale, ces terres doivent intervenir, d’une manière irrégulière et selon les circonstances, pour former des êtres supérieurs et favoriser les hautes idées, morales. C’est là que notre nature produit avec aisance sa meilleure poésie, la poésie des grandes croyances. Un rationalisme indigne de son nom veut ignorer ces endroits souverains. Comme si la raison pouvait mépriser aucun fait d’expérience ! Seuls des yeux distraits ou trop faibles ne distinguent pas les feux de ces éternels buissons ardents. Pour l’âme, de tels espaces sont des puissances comme la beauté ou le génie. Elle ne peut les approcher sans les reconnaître. Il y a des lieux où souffle l’esprit.(...) En automne, la colline est bleue sous un grand ciel ardoisé, dans une atmosphère pénétrée par une douce lumière d’un jaune mirabelle. J’aime y monter par les jours dorés de septembre et me réjouir là-haut du silence, des heures unies, d’un ciel immense où glissent les nuages et d’un vent perpétuel qui nous frappe de sa masse. Une église, un monastère, une auberge qui n’a de clients que les jours de pèlerinage, occupent l’une des cornes du croissant ; à l’autre extrémité, le pauvre village de Vaudémont, avec les deux aiguilles de son clocher et de sa tour, se meurt dans les débris romains et féodaux de son passé légendaire, petit point très net et prodigieusement isolé dans un grand paysage de ciel et de terre. Au creux, et pour ainsi dire au cœur de cette colline circulaire, un troisième village, Saxon, rassemble ses trente maisons aux toits brunâtres qui possèdent là tous leurs moyens de vivre : champs, vignes, vergers, chènevières et carrés de légumes. Sur la hauteur, c’est un plateau, une promenade de moins de deux heures à travers des chaumes et des petits bois, que la vue embrasse et dépasse pour jouir d’un immense horizon et de l'air le plus pur. Mais ce qui vit sur la colline ne compte guère et ne fait rien qu’approfondir la solitude et le silence. Ce qui compte et ce qui existe, où que nous menions nos pas en suivant la ligne de faîte, c’est l’horizon et ce vaste paysage de terre et de ciel. Notre cœur périssable, notre imagination si mouvante s’attachent à ce coteau d’éternité. Nos sentiments y rejoignent ceux de nos prédécesseurs, s’en accroissent et croient y trouver une sorte de perpétuité. Il étale sous nos yeux une puissante continuité, des mœurs, des occupations d’une médiocrité éternelle ; il nous remet dans la pensée notre asservissement à toutes les fatalités, cependant qu’il dresse au-dessus de nous le château et la chapelle, tous les deux faiseurs d’ordre, l’un dans le domaine de l’action, l’autre dans la pensée et dans la sensibilité. L’horizon qui cerne cette plaine, c’est celui qui cerne toute vie ; il donne une place d’honneur à notre soif d’infini, en même temps qu’il nous rappelle nos limites. Mais ainsi dénudée, la colline nous propose toujours, au milieu de la plaine, sa vétusté sereine, son large abandon, sa terrasse à demi morte, sa gravité, sa tristesse vaste et nue en hiver, sa force en toute saison, pareille à celle d’une falaise dans la mer, son indifférence à ce que nous pensons d’elle, sa résignation qui ne réclame rien, qui ne prétend même pas à la beauté. Elle demeure, elle reste à sa place, pour être un lieu de recueillement où nous rassemblons nos forces, pour nous remuer d’un pressentiment, nous enlever à l’heure passagère, à nos limites, à nous-mêmes, et nous montrer l’éternel. Extrait de: Barrès, Maurice (1862-1923). « La colline inspirée (1913). » A ces mots notre âme sent le poids de sa solitude, se recueille, et cherche à ouvrir ses yeux qui ne sauraient plus voir. A ces mots notre âme semble avoir traversé les siècles, les épreuves, les souffrances et les espérances déchues. Une oeuvre qu'il faut lire et relire pour inculquer à notre l'âme l'Amour divin.
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- George Séféris Poèmes. Des passages magnifiques, des chants d'allégresse de toute beauté qui vous font sentir la plénitude divine. Notre âme se plait, se mue à chaque mot prononcer par Séféris. George Séféris fait partie de ces auteurs qui cultive la bonté et l'Amour dans le coeur de son lecteur. Ainsi, il faut que notre âme soit prête pour pouvoir être touché. Je souhaiterai ouvrir un fil où on pourrait partager des passages qui laisse une trace indélébile sur notre âme. Des images qui mêle le regard mélancolique d'un homme, des paysages époustouflante de beauté, et de sensations. J'aimerai savoir si il y a des personnes qui serait prêt à ouvrir ce fil vu que je dans l'impossibilité d'en créer un.
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On n'est pas couché, Moix & toi
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Adrian dans Politique, droit et questions de société
Non. De 5 min49 à 7.58 Plusieurs exemples : Son refus de la logique tout ou rien face à une question du journaliste: "(...) C'est exactement la façon dont dialogue malheureusement le pouvoir militaire et civil. (...) Intervenir au Mali sans avoir une stratégie politique de réconciliation et en particulier du traitement de la question touareg que nous relégué derrière en ayant une approche formelle (...) fait que la crise malienne n'est pas réglée." Il est sans doute un piètre homme politique notamment en continuant cet erreur de vouloir continuer l'héritage de De gaulle, alors qu'en matière politique il faut tuer le père. Mais il reste un formidable diplomate qui ne tombe pas dans l'écueil d'analyses grossières en matière de relations internationale. -
On n'est pas couché, Moix & toi
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Adrian dans Politique, droit et questions de société
- internationaux* -
On n'est pas couché, Moix & toi
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Adrian dans Politique, droit et questions de société
Pour autant, et c'est une qualité indéniable il a une finesse d'esprit dans les enjeux internationales. -
On n'est pas couché, Moix & toi
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Adrian dans Politique, droit et questions de société
J'avais l'intuition qu'une personne aller me faire la remarque sur la compatibilité entre homme d'état et libéral. -
On n'est pas couché, Moix & toi
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Adrian dans Politique, droit et questions de société
Dommage, que De villepin ne fût pas libéral. Il a la stature d'un grand homme d'état. -
Faire et défaire - François Fillon, candidat de la drouate
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Flashy dans Politique, droit et questions de société
Cela reste à prouver. -
Faire et défaire - François Fillon, candidat de la drouate
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Flashy dans Politique, droit et questions de société
C'est vrai que l'assasinat de Lumumba, de Thomas Sankara encourage le fait de ne pas être une marionnette. Je pensais que le fait de menacer autrui n'était pas franchement libérale. -
Faire et défaire - François Fillon, candidat de la drouate
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Flashy dans Politique, droit et questions de société
Vous avez terminé. Bien, maintenant que vous êtes descendu de votre tribune, la vérité peut être à présent découvert. Je souhaiterai que vous étayez vos affirmations par des preuves. Je ne vois pas où ce monsieur prêche la haine envers une autre ethnie. -
Faire et défaire - François Fillon, candidat de la drouate
Sonni Ali Ber a répondu à un sujet de Flashy dans Politique, droit et questions de société
Nous sommes bien d'accord. Mince, l'intuition que j'avais à propos de cette s'est avéré finalement exacte. C'est dommage. Il serait intéressant de voir le lien entre la construction de l'enfant et les modèles que nous lui proposons.