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Franklinson

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  1. En entreprise, on appelle ça des restructuring charges (je ne connais pas le terme en français).
  2. Exactement. Et la gauche ne mérite pas cette immunité de type "No True Scotman".
  3. De un, il y a une différence entre des militants lambda à un meeting politique et des députés à l'Assemblée nationale. De deux, ça reste du whataboutism, et ils ont ce comportement à cause de leurs idées bien de gauche, pas parce qu'ils sont devenus de droite.
  4. Oui, j'en ai marre de lire, quand quelqu'un de gauche a un comportement nuisible, que du coup, il est de droite/extrême droite. C'est une idée qui est beaucoup trop diffusé en France. Cette idée que violence = droite, que rétrograde = droite, etc. Donc je relève et j'exprime mon désaccord. Je vais te faire un aveu : je ne sais même vraiment pas ce que ça veut dire la droite (quoi de commun entre Lisnard, Le Pen, Bellamy, Barnier, Zemmour ?). Mais je sais que la gauche bénéficie d'une trop bonne image à cause notamment de ce type d'entourloupe. Et ça continue d'enfoncer notre pays, parce qu'elle continue de diffuser des idées néfastes complètement anti-libérales sur énormément de domaines. Et s'ils tournent mal, ce n'est pas parce qu'ils sont "de droite", mais c'est bien des conséquences de leurs idéologies. Que l'on se doit de relever et critiquer, tout autant que la droite (dont les libéraux, qui sont classifiés à droite en France) est constamment critiquée (et tant mieux, même si on aimerait un peu plus de rigueur et moins de caricatures).
  5. "Dans les meeting de gauche". De un, je ne me souviens pas d'événement de ce type dans un meeting, mais virer des gens identifiés comme de droite c'est monnaie courante lors de manifestations et autres. De deux, ce n'est pas une meeting de gauche. Ou alors c'est une curieuse description de l'Assemblée nationale. Quoique tu tiens peut-être quelque chose. J'imagine la situation inverse, si des droitards avaient eu le même comportement avec une journaliste de Mediapart.
  6. I'm not offended, je relève un biais constant que son rattrapage aux branches ne suffit pas à masquer. N'interprétez pas tout comme de l'émotionnel, ce n'est pas intéressant.
  7. Tu as clairement indiqué que la gauche se droitise quand elle vire des journalistes.
  8. Intéressant ce whataboutism. Et quand la gauche fait quelque chose de mal, c’est parce qu’elle se droitise. Parce que la Gauche, c’est le Bien, je suppose.
  9. Tiens, on l'a vu hier à l'Assemblée: https://www.lefigaro.fr/flash-actu/des-journalistes-de-frontieres-exfiltres-lors-d-un-rassemblement-de-collaborateurs-a-l-assemblee-20250409 Des journalistes de Frontières ont dû être évacués après les actions de la gauche gentille pas violente qui s'est senti menacée par leur présence.
  10. Ça passe déjà par en parler et par la critique. Chose difficile quand les invectives habituelles (accusation d'islamophobie, obsession, accompagnés d'épouvantails et autres joyeusetés) et la négation (ca n'existe pas) pointent systématiquement leur nez. C'est triste qu'on en soit là même dans des milieux libéraux alors qu'on parle d'une idéologie complètement orthogonale au libéralisme. Mais bon, les vieilles techniques marchent ; même les accusations répétées de "fasciste" marchent encore pour beaucoup. Difficile d'envisager des solutions à un problème quand il est si difficile d'en discuter. On pourrait discuter de comment une société libérale combat l'entrisme islamique (frérisme en particulier), la possible organisation volontaire des individus, par exemple pour aider les personnes qui subissent un harcèlement judiciaire, des menaces, etc. pour soutenir les personnes qui en sortent, voire même contrattaquer. Bref, comment faire pour que la pression soit dans l'autre sens. Par exemple, je suis sorti de la religion dans laquelle on m'a éduqué, et quand je l'ai fait, j'ai globalement senti que la société dans son ensemble n'irait pas contre moi, et même soutiendrait mon émancipation (mes choix personnels). Ce n'est pas le cas pour l'immense majorité des apostats de l'islam ; il suffit de les écouter, il y a maintenant de très nombreux témoignages en ligne. On pourrait avoir une réflexion sur les manques qui touchent certaines personnes dans la société moderne, surtout celles qui sont sorties de milieux fréristes ou rigoristes en général, par exemple le manque de communauté. On pourrait parler du fait que lors de la fondation des US, il y avait un foisonnement d'églises (au sens large) diverses et variés qui remplissaient notamment des rôles qui sont remplis en France par l'État (et souvent pas bien) mais qui pourraient être remplis par des personnes associées librement. On pourrait parler de si c'est faisable dans une société qui a largement abandonné la croyance en Dieu. Comment susciter et entretenir un certain civisme. On pourrait parler de responsabilités individuelles, de la nécessité (ou pas) d'une certaine implication civique des citoyens pour que la société reste libérale, etc. Enfin, plein de sujets seraient possibles si le débat n'était pas pourri en permanence. Heureusement, des chercheurs font leur travail, quelques personnes commencent à les écouter. Certains ex-musulmans font un travail formidable aussi, malgré les dangers. On est en France, ils sont rarement libéraux et ils attendent souvent beaucoup de l'État, même si en pratique ils font quand même sans. Et même si le mouvement connaît une croissance impressionnante, c'est encore petit, et certains commencent déjà à être exaspérés du manque de soutien du reste de la population.
  11. tiens, le rapport Gouyette-Courtade est en cours de déclassification : https://www.lopinion.fr/politique/bruno-retailleau-designe-sa-nouvelle-cible-la-charia-que-veulent-installer-les-freres-musulmans On va peut-être pouvoir commencer à en parler sans avoir en permanence des accusations d'islamophobie et circulez-y-a-rien-à-voir. Moi j'aimerais bien un modèle libéral d'anticorps. Pour l'instant, je ne suis pas super confiant.
  12. Moi aussi, mais c’est déjà difficile d’en parler, alors avant que quelque chose soit fait pour que le vent change de sens… il y a des jours où c’est difficile d’être optimiste. Mais bon, il le faut bien.
  13. https://www.lepoint.fr/societe/a-lyon-2-un-professeur-denonce-le-premier-blocage-islamiste-en-france-05-04-2025-2586575_23.php La pression islamiste dans la société continue, notamment à l’université. Des petits échos de la décennie noire pour ceux qui ont connu/suivi.
  14. Je vois ma famille et je suis d'accord. Je vois mes voisins et je perds ton optimisme.
  15. Je ne suis pas persuadé que les leaders des EAU soient musulmans autrement qu’officiellement, vu le discours de certains. Et peut-être pas MBS non plus.
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