Aller au contenu

José

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    38 347
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    75

Tout ce qui a été posté par José

  1. Hélas, il semble que ce soit mort pour les charters cities au Honduras : la Cour suprême a déclaré inconstitutionnelle la réforme légale qui les autorisait.
  2. http://www.dailytelegraph.com.au/news/world/germany-to-ban-sex-with-animals-report/story-fnddckzi-1226524544281
  3. Là, c'est sûr maintenant, la fin du monde approche : les modèles du calendrier Pirelli 2013 sont habillées !
  4. Écoute, c'est justement un truc qui m'avais frappé lors de mon dernier passage à Paris : jamais vu autant d'opticiens par km². Il doit en avoir 20 fois plus qu'à Bruxelles.
  5. Stagiaire préposé aux étagères ?
  6. Ben si… Tu achètes des Français au prix qu'ils valent et tu les revends au prix qu'ils déclarent valoir. Des couilles en or que tu te fais, fieu !
  7. Tu quoque.
  8. Ajoute la longueur d’un pas ! Non. Droit à la vie, Droit naturel, toussa, comme l'explique Bastiat, entre autres.
  9. Des cheveux coupés ne sont pas une extension de l'individu.
  10. (Allez, parce que c'est la journée des bisoux.) Suite aux développements de la biotechnologie ou des possibilités d’utiliser certaines parties du corps, il est évident que l'ancienne conception d’indisponibilité absolue du corps humain ne résiste pas à la réalité actuelle. Ce qui a fait émerger un droit de la personne à l'autodétermination vis-à-vis de son propre corps, droit qui puise ses racines non pas dans une pseudo "propriété de soi" mais dans le droit au respect de l'intégrité physique. On peut donc parfaitement accepter l'idée que le corps humain n’est pas indisponible et qu'une personne peut poser des actes disposant certaines parties du corps. Cependant, l'idée que la personne a un droit sur son corps n'implique pas qu'elle en soit propriétaire. La notion de propriété est tout à fait inappropriée dans ce cadre. Il s'agit d'un droit de la personnalité : toute personne jouit des droits de la personnalité, qui comprennent le droit à la vie et au respect de l'intégrité physique. Et ce sont ces droits qui autorisent à l'individu de consentir à tout acte médical portant atteinte à son intégrité physique, de disposition du corps ou de ses éléments et produits.
  11. Tu vois, Mirisme, que l'on peut raisonner sans faire appel à la pseudo "propriété de soi".
  12. La réponse est pourtant évidente.
  13. Dans ce cas, la jambe, à partir de ce moment, la jambe ne fait plus partie de "soi" (comme des cheveux que l'on vend). Bref, pas besoin de faire appel au concept foireux de pseudo "propriété de soi" pour gérer le don ou la vente d'organes. 1° C'est à voir. T'as fait un sondage sur la question ? Par exemple, pour Bastiat, ce qui fonde la propriété, c'est la défense de la vie. 2° Les libéraux qui sont des klettes en droit comme Rothbard, Rand et alii et tutti quanti, ainsi que leurs groupies nanarcaps ont tort. C'est tout.
  14. Non, car se serait vouloir dire que l'objet de droit est le sujet de droit. La dichotomie corps/volonté n'existe pas en droit. La volonté seule n'est titulaire d'aucun droit, seule la personne humaine - qui est un corps doté d'une volonté - l'est.
  15. Ben non. Le sujet de droit qui est propriétaire, c'est être humain, qui est un corps doté d'une volonté. La volonté humaine n'a jamais été sujet de droit. Parler de "propriété de soi" c'est confondre sujet de droit et objet de droit.
  16. La "propriété de soi" a existe pas.
  17. Non non, on y parle aussi de la donation du vivant (reins).
  18. Tu fais pitié : quand tu veux t'informer, tu vas sur Contrepoints : "Le commerce des organes".
  19. Non. Et c'est très bien ainsi. C'est un signe de bonne santé mentale.
  20. José

    À supprimer

  21. José

    À supprimer

×
×
  • Créer...