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José

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Tout ce qui a été posté par José

  1. L'État empêcherait quelque chose que l'on n'a jamais vu apparaître naturellement, nulle part. Allons bon… 1° D'abord, il faudrait que l'on s'entende sur ce qu'est l'État. La monarchie mérovingienne, un État ? Gros doute. 2° Il a existe et existe encore (Zomia) des sociétés sans État.
  2. C'est bien forcer les tiers à accepter une situation qu'ils ne reconnaissent pas forcément. Dans la vie normale, on accepte partout et toujours qu'un fils né dans le mariage hérite de ses prents naturels. Un tiers se verra toujours opposer cela avec succèès devant otus les tribunaux sans que l'État oblige quiconque à accpeter ce fait. Par contre, il faudra bien l'imposition de l'État pour fermer la gueule au frère qui réclame sa part d'héritage des biens de son frère mort sans descendance et qui se verra spolier par le fils du mec de son frère. Le fait que seul l'État peut maintenir sur pied par la force la fiction juridique du "mariage gay" prouve à suffisance que c'est du pipo. Et l'on peut être parfaitement sûr qu'en Anarkapistan, le "mariage gay" existera aussi peu que dans l'empire romain, au Moyen-Âge ou à l'époque victorienne.
  3. C'est dommage… paske hein… quand on prétend parler en se basant sur le Droit naturel, il se trouve, justement que la durée dans le temps et la diffusion dans l'espace sont de très bons indicateurs sur ce qui est naturel et compatible avec le vai fondement des droits. C'est bien pourquoi la position des libéraux classiques et minarchiste est relativement solide. Ceci dit, ton "contre exemple" n'en est pas un, relevant plus du strawman que d'autre chose. L'impôt peut exister et il existe imposé par l'État - par définition. Par contre, le "mariage gay" n'a jamais existé et n'existe que lorsque l'État nous force à reconnaître cette farce juridique. Alors dire que l'on devrait acccepter d'être forcé par l'État de reconnaître la parodie que les activistyes gays veulent nous imposer parce que, par ailleurs, nous sommes forcés de payer des impôts, c'est vraiment zéro comme argumentation.
  4. Ça n'a posé aucun problème dans les colonies anglaises d'Amérique du Nord. Tiens, v'la une Valda.
  5. Et on en trouvera qui reconnaîtront les couples inter espèces. Ce qui est important c'est que l'État n'oblige pas à accepter cette parodie de "mariage gay" ceux qui s'y refusent.
  6. L'adoption est jstement un prcédure spéciale pour donner le nom à un enfant né hors du mariage propre. L'enfant né dans le mariage porte naturellement le nom de sa famille. Même chose, pour faire hériter ton concierge, tu dois passer unacte spécial. L'enfant né dans le mariage hérite naturellement de ses parents. Le fait que l'institution du mariage monopolisé abusivement aujourd'hui par l'État soit largement dévoyée ne justifie pas qu'on la dévoie encore plus. Et, encore une fois, si ce n'est que parce que c'est l'État qui l'impose, le "mariage gay" n'apparaîtrait jamais naturellement comme figure juridique.
  7. Bah… le gros du taf avait déjà pratiquement été abattu à la fin de l'Ancien Régime. Un vrai putain d'escroc, le Buonaparte.
  8. On va recommencer : le propos n'est pas d'interdire les parodies de "mariages gays", mais de rejeter le fait que l'État oblige les gens à reconnaître des effets juridiques qui leur seraient opposables. Exemple : depuis toujours, partout dans le monde, les enfants issus du mariage héritaient des parents et un cousin avait juste le droit de fermer sa gueule. Personne ne mettait cela en doute et cette règle de droit surgissait naturellement prouvant sa compatibilité avec le Droit naturel. Par contre, si une couple gay se "marie", les gens n'ont pas a être obligés de reconnaitre que le fils de Mr Y qui vit "maritalement" avec Mr X aurait le droit d'hériter de ce dernier qui vient de décéder en première ligne et avant, toujours par exemple, le frère de Mr X. Dans le monde normal et naturel, si le frère de Tartempion décède sans descendance, c'est Tartempion qui hérite de ses biens, pas le fils du mec de son frère. Ce que veulent les gays, c'est que l'État oblige Tartempion à fermer sa gueule et le priver de ce qui lui revient naturellement par les liens familiaux. Pas tous ni les mêmes droits que pour les enfants nés dans le mariage. La polygamie n'est qu'un cumul de mariage entre deux personnes de sexe opposé. Donc tu seras d'accord avec moi pour dire que l'État n'a pas à obliger les gens à accepter les conséquences juridiques qui leur seraient opposables d'une situation qu'ils ne reconnaissent pas.
  9. Non. La procréation n'est pas une élément qui doit être accompli obligatoirement. Ce dont il s'agit, c'est de reconnaître un statut particulier des enfants opposables aux tiers qui seront la conséquence naturelle du mariage. Partout dans le monde et à travers l'histoire on a reconnu des droits aux enfants du couple mariés (nom, filiation, héritage, etc.) Justement, le mariage n'a jamais été institué par l'État, il s'agit d'une institution qui a toujours surgi naturellement partout dans le monde et à toutes les époques qui consacrait l'union de deux personnes de sexe opposé dans le cadre d'une alliance entre deux familles et adaptée à la perpétuation des deux lignages. Ce sont, au contraire, les activistes gays qui font appel à l'État pourt forcer les gens à reconnaître un "mariage gay" qui n'a jamais été reconnu naturellement, nulle part.
  10. http://www.tdg.ch/coucher-ennemi-bien-isra…cite-2010-10-04
  11. Sauf que la reproduction est une des éléments essentiels du mariage puisque partout dans le monde et à travers le temps, le mariage a été considéré comme l'institution opposable au tiers qui règle l'alliance de deux familles et leur perpétuation naturelle. Si je mets "droit au mariage" entre guillemets, c'est bien parce que c'est du flan réclamé par les activistes gays. Cette absence de reconnaissance est justement tout à fait naturelle. Et le fait que les gays soient obligés de faire apel à l'État pour obliger les gens à reconnaître ces parodies que sont les mariages gays prouve à suffisance que refuser de reconnaître le "mariage gay" est parfaitement compatible avec la Loi naturelle et le Droit naturel. Le propos ici n'est pas de dire : les homosexuels sont des individus libres et ils font ce qu'ils veulent avec leurs cheveux, mais bien de savoir si les gens sont obligés de leur reconnaître des droits qui leur seraient opposables. Or il se trouve que l'expérience humaine indique le contraire : depuis des centaines de miliers d'années il a dû exister des miyons d'homosexuels qui ont dû vivre dans une relation plus ou moins stable publique ou non, or jamais aucune conséquence juridique valablement opposable au tiers n'a jamais été reconnu à cet état de fait (filiation, héritage, transmission du nom, etc.) jusqu'à présent et il faut le diktat de l'État pour que cela devienne le cas. Bref, y a pas foto : le "mariage gay" n'a jamais été du droit et ne devient du droit que par l'imposition étatique d'une farce juridique. Non, comparer les conséquences juridiques d'un "mariage gay" à celui de l'union d'un être humain à un animal. C'est kif kif : du vent qui ne fonde rien de solide si ce n'est qu'imposé par l'État. Et l'État se conduit en parfait tyran en voulant obliger les gens à reconnaître des conséquences juridiques qui leur seraient opposables, autant que s'il chercahit à nous obliger à reconnaître un mariage contre nature entre deux espèces différentes.
  12. Sauf que le mariage, ce n'est pas seulement "se mettre en couple". Le mariage, à travers le temps et le monde, a toujours été un statut juridico-social de la famille, pas un statut du couple. Le mariage, jusqu'à récemment, a toujours été considéré comme le cadre opposable à des tiers où se fonde une famille, quand, en s'unissant publiquement, deux personnes de sexe opposé lient leur vie mais aussi leurs deux familles et posent les conditions de la perpétuation de celles-ci par la potentielle naissance naturelle des enfants. Dès lors, sauf à dénaturer complètement cette institution, les gays n'ont pas "droit au mariage" et - en se plaçant dans une perspective non anarcap - les États peuvent parfaitement nier la reconnaissance des ces parodies de mariages gays sans pratiquer aucune discrimination de ce fait. Comme ne se rendrait pas coupable de dicrimination un État qui se refuserait à reconnaître le mariage d'un homme avec son animal de compagnie préféré.
  13. http://fr.reuters.com/article/oddlyEnoughN…E69300I20101004
  14. José

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  15. Fastoche : l'homme qui aime les femmes qui aiment les hommes qui aiment les femmes. Quand tu sais pas, tu me demandes.
  16. La Nature, c'est plus fort que toi. Sinon - pour rester sérieux -, ne faut-il pas chercher la raison à cet état des choses du côté d'un certain narcissisme et même d'un narcissisme certain, consubstantiel au fait d'être attiré par une personne du même sexe. Va bien devant seulement.
  17. Aucun problème. Moi aussi, en matière d'homosexualité, je tiens à mourir ignorant.
  18. Oui mais… les homosexuels noirs ?
  19. Pas besoin d'être plus catholique que le Pape sur la question de l'homosexualité. La position libérale-conservatrice est simple : on ne légifère pas sur cette question. Mais on peut montrer les zomos du doigt.
  20. Mais qu'est-ce que tu racontes comme conneries ! ? Tu sors jamais de chez toi, tu seras jamais dans une telle situation. Ou alors ton chat est plus balèze que toi.
  21. Inculque.
  22. Message signalé.
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