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Une FIV suivit d'un avortement
Bastiat a répondu à un sujet de Librekom dans Politique, droit et questions de société
+1 Il est claire que la tenu de propos aussi peut nuancés que ceux tenus par certain ici, devraient aussi s'accompagner d'un engagement actif. J'ajouterais à ta liste. Faire au minimum des dons au Docteur Dor et sos tout-petits. Plaider devant les tribunaux gratuitement pour des cas comme celui là (pour les avocats). Monter une association pour les transactions sur le droit de garde et les mères porteuses, la fin des subventions à l'avortement. Il est clair qu'il y a mille chose légales à faire de plus productif que simplement discuter sur un forum en expliquant qu'il faut par exemple interner une femme suicidaire à la quelle on interdirait d'avorter pour viol et qu'on l'obligerais à élever l'enfant… Evidement quand à la moindre indignation de catholiques, par exemple sur le telethon, la polémique fait augmenter les dons pour celui-ci, ça demande un sacré courage de s'engager, faut le reconnaitre. -
Une FIV suivit d'un avortement
Bastiat a répondu à un sujet de Librekom dans Politique, droit et questions de société
A ce titre je trouve intéressant de regarder ce qu'en pensent les autres traditions. De quoi relancer le debat ! Mes commentaires en rouge Je trouve l'argumentation Juive beaucoup plus fondée sur des arguments rationnels, c'est frappant. La tradition juive. http://www.lamed.fr/societe/science/1674.asp L’optique juive traditionnelle ne s’accorde pas facilement avec les positions classiques du débat sur l’avortement. Puisque le thème de l'avortement ressurgit dans le cadre la campagne présidentielle aux Etats-Unis, il vaut la peine d'examiner l'approche du judaïsme à ce sujet. L'optique juive traditionnelle ne s'accorde pas facilement avec les positions classiques du débat sur l'avortement. Nous n'interdisons pas radicalement l'avortement, ni ne le permettons sur demande de manière indiscriminée. Une femme peut avoir l'impression que jusqu'à la naissance, le fœtus fait partie intégrante de son corps, et que pour cette raison elle conserve le droit d'avorter en cas de grossesse non désirée. Le judaïsme reconnaît-il un droit à " choisir " l'avortement ? Dans quelle situation le judaïsme sanctionne-t-il l'avortement ? Acquérir une meilleure compréhension des cas où l'avortement est permis (ou même requis) et des cas où il est interdit, requiert l'appréciation de certaines nuances de la halakha (loi juive) qui régissent le statut du fœtus (1). La manière la plus simple de concevoir le statut du fœtus d'après la halakha est de considérer que c'est un être humain à part entière - mais pas tout à fait (2). Dans la plupart des cas, le fœtus est traité comme n'importe quelle autre " personne ". En général, on ne peut délibérément faire du mal à un fœtus. Mais s'il semble évident que la loi juive tient pour responsable celui qui provoque volontairement une fausse-couche chez une femme, des sanctions sont même requises pour celui qui porte la main sur une femme enceinte et provoque inintentionnellement une fausse-couche (3). Cela ne veut pas dire que toutes les autorités rabbiniques considèrent l'avortement comme un meurtre. Le fait que la Torah requiert un dédommagement financier pour avoir provoqué une fausse-couche, est interprété par certains rabbins comme une indication que l'avortement n'est pas un crime majeur (4). D'autres font remarquer que bien qu'il soit une forme de meurtre, l'avortement ne requiert pas la peine de mort (5). Il existe même un désaccord pour savoir si la prohibition concernant l'avortement est biblique ou rabbinique. Néanmoins, il est universellement admis que le fœtus est normalement destiné à devenir un véritable être humain et qu'il doit y avoir une raison très sérieuse pour permettre l'avortement. En règle générale, l'avortement n'est permis par la loi juive que si l'accouchement ou le fait de porter le fœtus à terme constitue une menace directe pour la vie de la mère. En de telles circonstances, le bébé est considéré l'équivalent d'un rodef, un poursuivant (6) perçu comme un agresseur donc , qui pourchasserait sa mère dans l'intention de la tuer. Néanmoins, comme l'explique la Mishna (7), s'il est possible de sauver la mère en causant une malformation au fœtus, par exemple en l'amputant d'un membre, l'avortement devient interdit Il est donc souhaitable de faire le moins de dommages possibles au foetus . Malgré la classification du fœtus comme poursuivant, une fois que la tête du bébé ou la majorité de son corps est sortie du ventre de la mère, la vie du bébé devient égale à celle de la mère ; on ne peut plus faire de préférence, parce que l'on considère à présent qu'ils se poursuivent l'un l'autre. Il est important de relever que la raison pour laquelle la vie du fœtus est subordonnée à celle de la mère, est parce que le fœtus est la cause première de la condition qui menace la vie de la mère, que ce soit directement (dans le cas d'une toxémie, d'un placenta praevia ou d'une position de siège) ou indirectement (ex. exacerbation d'un diabète sous-jacent, maladie des reins ou hypertension) (8). Un fœtus ne peut être avorté pour sauver une autre personne dont la vie n'est pas directement menacée par le fœtus, par ex. en utilisant les organes fœtaux pour une transplantation. Le judaïsme tient compte des facteurs psychiatriques autant que physiques dans l'évaluation de la menace potentielle que le fœtus représente pour la mère. Toutefois, le danger posé par le fœtus (qu'il soit physique ou émotionnel) doit être autant probable que substantiel pour justifier un avortement (9). Le degré de maladie mentale nécessaire pour justifier de mettre un terme à la grossesse, a été largement débattu par les décisionnaires rabbiniques (10), sans que ceux-ci soient parvenus à un consensus clair sur les critères exacts permettant l'avortement dans un tel cas (11). Néanmoins, tous s'accordent à dire que si une grossesse devait occasionner de véritables envies suicidaires chez une femme, ce serait suffisant pour permettre l'avortement (12). Toutefois, plusieurs experts rabbiniques contemporains ont tranché que, puisque les dépressions dues à la grossesse et au post-partum peuvent être traitées, l'avortement n'est pas justifiable (13). En règle générale, la loi juive n'attribue pas de valeur relative à des vies différentes. C'est pourquoi, la plupart des grands poskim (rabbins qualifiés pour rendre des décisions dans la loi juive) interdisent l'avortement en cas de malformations ou de difformités découvertes chez le fœtus. Rav Moshe Feinstein, l'un des plus grands décisionnaires du siècle passé, tranche d'ailleurs que l'amniocentèse est interdite, si elle est accomplie dans le seul but de détecter des malformations et conduirait les parents à demander l'avortement. Néanmoins, si un tel test (amniocentèse ou taux d'alpha fœto-protéine) est effectué afin d'améliorer la prise en charge médicale du péri-partum ou du post-partum, il est permis. Alors que la plupart des décisionnaires interdisent l'avortement lorsque le fœtus est " défectueux ", Rav Eliézer Yéhouda Waldenberg est une exception notable. Rav Waldenberg autorise l'avortement au premier trimestre dans le cas où le fœtus aurait à souffrir de sa difformité après la naissance et, jusqu'au septième mois, s'il s'agit d'un défaut létal comme la maladie de Tay Sachs (14). Les experts rabbiniques discutent aussi de la permissivité de l'avortement pour des mères ayant contracté la rubéole ou pour des bébés avec un syndrome de Down avéré. Il existe une divergence d'opinion concernant l'avortement en cas d'adultère ou en d'autres cas de relations interdites d'après la Bible. En cas de viol ou d'inceste, le problème se pose sur la souffrance émotionnelle que subira la mère si elle porte le fœtus à terme. En cas de viol, Rav Shlomo Zalman Auerbach recommande l'utilisation de méthodes pour empêcher une grossesse après des rapports (15). La même analyse que celle déjà utilisée dans d'autres cas de souffrance émotionnelle, peut être employée ici. Les cas d'adultère introduisent des considérations supplémentaires au débat, avec des décisions allant de l'interdiction à la considération de l'avortement comme étant une mitsvah une obligation donc si j'ai bien compris (16). J'ai tenté de distiller l'essence de l'approche juive traditionnelle sur l'avortement. Néanmoins, chaque cas est unique et particulier, et les paramètres déterminant l'autorisation de l'avortement dans la halakha sont subtils et complexes. Il est crucial de se rappeler que lorsque l'on est confronté à un patient dans une telle situation, une autorité halakhique compétente doit être consultée pour chaque cas. Traduction et Adaptation de Tsiporah Trom Notes: (1) S'il existe un débat parmi les rabbanim pour déterminer si l'avortement est une interdiction biblique ou rabbinique, tous s'accordent sur ce complexe fondamental selon lequel l'avortement n'est permis que pour protéger la vie de la mère ou en des situations exceptionnelles. La loi juive ne permet pas l'avortement à la demande sans raison sérieuse. (2) Igrot Moche, 'Hochen Michpat II : 69B (3) Choul'han Aroukh, 'Hochen michpat 423 : 1 (4) Rabbi Yéhouda Achkenazi, Béer Hetiv, 'Hochen Michpat 425 : 2 (5) Igrot Moche, ibid (6) Maïmonide, Michné Torah, Lois sur le meurtre 1 : 9, Talmud Sanhédrin 72B (7) Ohalot 7 : 6 (8) Voir Dr. Abraham Steinberg; Encyclopedia of Jewish Medical Ethics, " Abortion and Miscarriage ", pour une discussion poussée sur les indications maternelles de l'avortement. (9) Igrot moche, ibid (10) Voir Encyclopedia of Jewish Medical Ethics, p. 10, pour références. (11) Voir Moshe Spero, Judaism and Psychology, p. 168-180. (12) Rav Yitzchak Zilberstein, Emek Halacha, Assia, Vol. 1, 1986, p. 205-209. (13) Rav Shlomo Zalman Auerbach et Rav Yehoshua Neuwirth cité dans la version en anglais de Nishmat Avraham, 'Hochen Michpat, 425 : 11, p.288. (14) Tzitz Eliézer, Volume 13 : 102. (15) Rav Shlomo Zalman Auerbach et Rav Yehoshua Neuwirth cité dans la version en anglais de Nishmat Avraham, 'Hochen Michpat, 425 : 23, p.294. (16) Voir l'excellent chapitre dans la version en anglais de Nishmat Avraham, 'Hochen Michpat, 425 par le Dr. Abraham Abraham, en particulier p. 293. Le Dr. Daniel Eisenberg travaille au département de radiologie du centre médical Albert Einstein à Philadelphie et est professeur assistant de radio-diagnostique à l’université de médecine Thomas Jefferson. Il donne des cours hebdomadaires d’éthique médicale juive, depuis les dix dernières années. Il anime des groupes d’étude médicale juive mensuels au centre médical Albert Einstein et donne des conférences internationales sur des sujets d’éthique médicale juive. La tradition Islamique http://www.muslimfr.com/modules.php?name=N…cle&sid=158 L'avortement. Proposé par Mouhammad Patel le Mardi, 28 Août 2001 Le jardin intime (Réservé aux adultes). Question : Que dit l'Islam sur l'avortement ? Réponse : Tout d'abord, il est nécessaire de rappeler que la vie du foetus, à l'instar de la vie humaine en général, est sacrée en Islam . A ce titre, elle se doit d'être gardée et protégée dans la mesure du possible. On peut se faire une idée de l'importance reconnue au foetus lorsqu'on considère le fait que la jurisprudence musulmane autorise à la femme qui est enceinte et qui craint pour la santé du futur bébé de ne pas jeûner durant le mois de Ramadhân (et de remplacer les jours ainsi manqués plus tard) … alors que la pratique du jeûne du Ramadhân compte parmi les cinq piliers les plus connus de l'Islam… Plus révélateur encore: A l'époque du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam), une femme ("Al Ghâmidiya") était tombée enceinte après avoir commis l'adultère… Comme elle était venue se dénoncer devant le Prophète (sallallâhou alayhi wa sallam), celui-ci prit la décision d'appliquer la peine prévue, mais pas avant que la femme en question n'eut accouché et complété la période d'allaitement… Que de pudeur, la peine prévue est ici la mort par lapidation C'est pourquoi, comme le souligne Cheikh Qaradâwi r.a., la règle de base en Islam par rapport à l'avortement, c'est l'interdiction. Néanmoins, cette interdiction peut être plus ou moins sévère, en fonction des circonstances et surtout en fonction du moment où a lieu l'interruption de la grossesse… (Réf: "Fatâwa Mou'âsirah" - Volume 2 / Page 547) L'avortement après l'insufflation de l'âme ("Nafkh our roûh"): Dans un certain nombre de Hadiths authentiques où sont détaillés les différentes étapes du développement embryonnaire, le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) affirme que l'âme est insufflée ("nafkh our roûh") dans le fœtus au terme du quatrième mois de grossesse (120 jours). 1 C'est justement en raison de ce genre de Hadiths que les savants musulmans considèrent unanimement que, passé la limite de quatre mois (120 jours), l'avortement est strictement interdit. Avorter dans un tel cas de figure est considéré comme étant un acte d'infanticide et est assimilé à un crime en Islam. Allâmah Ibné Taymiyyah r.a. écrit dans une de ses Fatâwa que cet acte relève du "wa'd" (enterrement d'un enfant vivant), à propos duquel Allah dit sur un ton d'avertissement dans le Qour'aane: "Et lorsqu'on demandera à la fillette enterrée vivante , pour quel péché elle a été tuée". (Sourate 81 - Versets 8/9) (Réf: Madjmou'oul Fatâwa - Volume 4 / Page 217) Cependant, si le fait de conserver ce fœtus met la vie de la mère en danger, et qu'il ne soit pas possible de la sauver sans le retirer, dans ce cas, certains oulémas affirment que l'avortement est toléré, même si la vie a déjà été insufflée, en vertu de la règle en Islam, qui veut que, lorsqu'on est obligé de choisir entre deux maux, on doit opter pour le moindre des deux. Dans ce cas précis, il est évident que la mort de la mère est une perte beaucoup plus grande que celle du fœtus. Qui de plus est, la vie de la mère est une réalité, alors que la naissance du futur enfant n'est encore, à ce stade, qu'espérée… (Réf: "Fatâwa Mou'âsirah" - Volume 2 / Page 547; il est à noter que certains savants ont interdit l'avortement même dans ce cas… C'est ce qui est mentionné dans les références hanafites suivantes: "Al Bahr oul Râïq" - Volume 8 / Page 233 et "Fatâwa Qâdhi Khân" - Volume 4 / Page 385.) L'avortement avant l'insufflation de l'âme ("Nafkh our roûh"): Ecole hanafite: Si l'âme n'a pas encore été insufflée et le futur enfant se trouve encore à l'état embryonnaire, selon l'école hanafite, la femme peut avorter dans un cas de grande nécessité (réelle et reconnue) et pour une raison valable. Si une femme avorte sans raison valable alors que les membres et les organes de foetus avaient déjà commencé à se former, elle aura le péché d'avoir commis un crime, comme le mentionne explicitement Ibné Âbidine Châmi r.a. dans son ouvrage de référence de l'école hanafite, "Raddoul Mouhtâr" (Volume 5 - Page 519). Et même si les membres et organes du fœtus n'ont pas encore commencé à se former, il n'est pas permis de procéder à un avortement sans raison valable. Cependant, si une femme le fait quand même, elle n'aura pas autant de péchés que si elle avorte après que les membres aient commencé à se former. 2 Les raisons valables pour un avortement peuvent être de deux types: Les facteurs qui sont en rapport avec le fœtus. Exemples: une malformation décelée du fœtus; la présence chez lui d'une déficience importante; le fort risque qu'il soit atteint par une maladie génétique grave héritée des parents. Néanmoins, dans ce genre de cas, la décision éventuelle d'une interruption de grossesse devra être basée sur un diagnostic médical fiable et digne de confiance, et non pas sur de simples suppositions… 3 Les facteurs qui sont en rapport avec la mère. Exemples: la présence du fœtus met en danger la vie ou la santé mentale de la future mère; la femme étant handicapée physiquement ou mentalement, elle ne pourra pas élever correctement un éventuel enfant, et il n'y a personne non plus de sa famille pour le faire à sa place; la femme est tombée enceinte à la suite d'un viol et elle ne désire pas garder cet enfant. (Réf: "Al Halâl wal Harâm" de Cheikh Khâlid Sayfoullâh - Pages 309 / 310) Ecole hambalite: Selon le rapport de Cheikh Wahbah Az Zouheïli, l'avis de l'école hambalite sur cette question est similaire à celle de l'école hanafite. (Réf: "Al Fiqh oul Islâmiy" - Page 2648) Ecole châféïte: Il y a principalement trois avis qui sont rapportés de l'école châféite concernant l'interruption de la grossesse avant l'insufflation de l'âme: - Une opinion est assez proche de celle des hanafites. (C'est là l'avis qui a la préférence du juriste châféite, Al Ramali r.a.). - L'autre avis est qu'il est permis mais déconseillé ("Makrouh") d'avorter avant 40 jours de grossesse. (Si cela devait se faire, l'accord des deux époux serait nécessaire.) Après 40 jours, l'avortement est strictement interdit. (Réf: "Al Fiqh oul Islâmiy" - Page 2648) - L'avortement est interdit depuis le moment où a lieu la fécondation. Cette troisième opinion est celle qui a été retenue par l'Imâm Abou Hâmid Al Ghazâli r.a." (Voir "Ihyâou ouloûmi dîne", Volume 2 - Page 47). Pas de consensus donc en la matiére Ecole mâlékite: L'avis le plus fiable au sein de l'école mâlékite est que l'avortement est interdit depuis le début même de la grossesse. (Réf: "Al-Qawaaneen al-Fiqhiyyah" de Ibn Djizzi - Page 141 - "Al Fiqh oul Islâmiy") Il est à noter que, sur cette question, bon nombre de savants contemporains ont adopté une position qui, finalement, va dans le sens de celle qui a été définie par les experts de l'école hanafite… Cheikh Wahbah Az Zouheïli écrit ainsi: "Et je donne préférence (à l'avis stipulant) l'interdiction de l'avortement depuis le début de la grossesse, sauf en en cas de nécessité ou dans le cadre d'une raison valable (…)" (Réf: "Al Fiqh oul Islâmiy" - Page 2647) Cheikh Qaradâwi affirme pour sa part: "La règle de base en ce qui concerne l'avortement est l'interdiction. Cette interdiction prend de l'ampleur en fonction de l'état d'avancement et de développement du foetus. Ainsi, durant les quarante premiers jours de grossesse, l'interdiction est la plus légère. C'est pourquoi, l'avortement sera autorisé dans ce cas pour des raisons valables. Après la période de quarante jours, l'interdiction devient plus forte; l'avortement ne sera alors toléré que pour des motifs plus graves (par rapport à l'étape précédente), motifs qui seront déterminés par des personnes versées dans le "Fiqh". Et l'interdiction continuera ainsi à prendre de l'ampleur (…)" (Fatâwa Mou'âsirah - Volume 2 / Page 547) Wa Allâhou A'lam ! Et Dieu est Plus Savant ! Notes: 1- Il existe une différence entre l'insufflation de l'âme réelle ("roûh rabbâniy" ou "roûh haquiqui", comme le désigne certains oulémas), qui se fait donc au quatrième mois de grossesse, et l'apparition des signes de la vie (que ces mêmes savants appellent "roûh haywâni") au sein du fœtus. En effet, les signes de la vie font leur apparition chez l'embryon bien avant que l'âme réelle ne soit insufflée (le coeur bat déjà à partir de la quatrième semaine de développement, et au cours du troisième mois, le foetus commence à bouger)… Il convient de souligner également qu'il existe un Hadith authentique (rapporté par l'Imâm Mouslim) qui mentionne que l'embryon reçoit la visite d'un ange lorsque 42 nuits de grossesse sont passées (6 semaines): Celui-ci est notamment chargé de "modeler" ("taswîr") l'embryon par la formation de certains organes sensoriels… - Retour 2- Certaines références hanafites (comme "An Nawâdir" par exemple) mentionnent la permission de mettre un terme à la grossesse si les membres du foetus ne sont pas encore formés… Néanmoins, les experts de l'école hanafite affirment que cette permission ne concerne que les cas où l'interruption de grossesse serait justifiée par une raison valable (Voir à ce sujet les écrits de Ibn Âbidine, dans son "Radd oul Mouhtâr" - Volume 3 / Page 176) -Retour 3- Une Fatwa, émise par "The Islamic Fiqh Committee of the Muslim World League" lors de sa 12ème session qui s'est déroulée à Makkah le 10 Février 1990, stipule que, s'il est établi de façon certaine par un comité de médecins digne de confiance que le foetus est malformé, et que cette malformation ne pourra être traitée par la suite par les spécialistes, l'avortement est permis avec l'accord des parents et dans la limite des 120 jours de grossesse. Cette page a été réalisée par M. Patel avec la collaboration de Mouslima. Les articles publiés sont signés et n engagent que leur auteur. Tous droits de reproduction et de publication sur le web réservés. Les articles peuvent être imprimés et diffusés sous forme écrite, avec les références adéquates, dans un but non commercial. -
L'ambiance est trés "Half Life" Le debut est un peut longuet, mais c'est fait pour s'identifier aux personnages.
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Une FIV suivit d'un avortement
Bastiat a répondu à un sujet de Librekom dans Politique, droit et questions de société
+100 Il est infiniment préférable de donner en exemple les femmes exceptionnelles qui décident de garder l'enfant d'un viol que persécuter celles qui ont déjà suffisamment souffert. C'est ainsi que l'on évitera probablement le plus d'avortement. -
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Bastiat a répondu à un sujet de Librekom dans Politique, droit et questions de société
ça me fait chialer moi les histoires comme ça ! -
Bon, on ne me le demande pas, mais j'ai bien aimé Cloverfield. L'originalité du film est la vue subjective, on plonge dedans, flippant à souhait.
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Bastiat a répondu à un sujet de Librekom dans Politique, droit et questions de société
Je dirais que peu importe la technique qu'il soit découpe en morceaux ou transplantable. Non, je suis parfaitement capable de faire la différence. "Je ne sais pas faire de comparaisons interpersonnelles d'utilité" signifit que je ne sais pas évaluer et comparer leur degré de géne. Présumer que l'enfant ne souhaite pas mourir ne lui donne pas le droit de dépendre de la femme violée. Comment s'y prendre pour évaluer la sanction pour avortement ? (quadris) -
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Bastiat a répondu à un sujet de Librekom dans Politique, droit et questions de société
Ne pas prendre à sa charge n'est pas un meurtre. (cas de viol evidement) Je ne sais pas faire de comparaisons interpersonnelles d'utilité, argument non valide. Comment s'y prendre pour évaluer la sanction pour avortement ? (tris) -
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Bastiat a répondu à un sujet de Librekom dans Politique, droit et questions de société
Glissant comme positionnement. L'enfant aurait des "droits à" ? La position sur le droit à l'abandon est tout de même plus satisfaisante. Le père ou la mère doivent pouvoir abandonner individuellement le droit de garde. Bien sur je suis favorable aux transactions sur le droit de garde. Qu'il existe ou non une techno de transplantation d'embryons qui permettrait de l'abandonner avant terme et que la mère souhaite ou non l'utiliser ne change rien à l'affaire. Elle n'est pas tenue de le prendre à sa charge, sela dit si elle allait jusqu'à élever l'enfant issu d'un viol, ce serait à n'en pas douter un acte d'une grande abnégation selon moi. J'ai marqué est PAS s'est introduit, quoi qu'il en soit, il n'a pas de droit à rester à la charge de la femme qui ne l'a pas mis dans cet état de dépendance vis à vis d'elle. (je reprend ton argument que je trouve fondé hors cas de viol). Dans tous les cas en cas d'avortement, sur quels critéres fonder la sanction. -
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Bastiat a répondu à un sujet de Librekom dans Politique, droit et questions de société
Autant ton argumentation est solide en cas de consentement autant elle ne l'est pas en cas de viol. Si quelqu'un est introduit chez moi, le fait de l'expulser même sachant qu'il fait -20 et qu'il va mourir n'est pas un assassina (même si c'est fort peu charitable), le sans domicile peut demander de l'aide chez le voisin. Si la femme ne trouve pas d'adopteur, ou qu'elle ne juge pas satisfaisante les indemnités du violeur. Elle à le droit de ne plus prendre l'enfant à sa charge. Reste un Probleme majeur pour les pro-life ! En cas d'avortement comment évaluer la sanction ? 30 ans ? peine de mort ? -
Une FIV suivit d'un avortement
Bastiat a répondu à un sujet de Librekom dans Politique, droit et questions de société
Bon au fait, qui pense que l'avortement doit être subventionné ici (secu) ? (pas moi) -
Une FIV suivit d'un avortement
Bastiat a répondu à un sujet de Librekom dans Politique, droit et questions de société
Justement ! :-) ça rêgle plutot bien la question ! et ça n'exclue pas la plus part des modes de contraception. -
Une FIV suivit d'un avortement
Bastiat a répondu à un sujet de Librekom dans Politique, droit et questions de société
Non, loin de là justement. Personnellement je le situe à la nidation réussie. Avant, 70 à 90 % des fœtus sont non viables ou des conditions non propices à la grossesse pour diverses raisons (hormonales…) éliminent probablement un bon nombre de fœtus viables en tant que tels. Une foi cette étape passée il n'y a que tres peu de fausses couches. La nature fait bien les choses, ce me semble être un critére plutôt meilleur que les autres. -
Le travail d'un parlementaire US qui à permis de virer les soviétique d'Afghanistan, film trés bien joué et passionnant, a voir absolument. Pour asterix, je confirme c'est à chier, a part Delon en César qui est un régal mais ça ne suffit pas même pour une entrée avec un coup marginal de ZERO euros.
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Taxe de la semaine
Bastiat a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
Il semble logique que l'offre hôtelière est plus inélastique que la demande (mais de combien ?). ce serait donc effectivement soit également reparti, soit plutôt payé par l'hôtelier. -
Taxe de la semaine
Bastiat a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
vous devriez peut être réviser votre vision de prix. http://www.0800paris-hotels.com/index_fr.asp?pub=h2e -
Taxe de la semaine
Bastiat a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
à 100€ la nuit, c'est 2% du chiffre d'affaire quand même ! Reporté sur les clients… probable, et si ceux-ci ne le remarquent pas , l'état ne se privera pas de l'augmenter jusqu'à ce qu'il le sentent, mais pas trop, pour maximiser le racket. -
Taxe de la semaine
Bastiat a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
J'ai compris, ils se sont demandé quoi taxer. Ils ont repéré un truc qui marchait bien en france, le tourisme. D'ou la taxe sur les avions et sur les hotels. Je suis sur qu'il va y avoir de nouvelles taxes sur le tourisme. -
le Rhume, la Grippe, le Mal de gorge, le Mal de ventre, la Toux, le Mal aux oreilles, la Mauvaise haleine, la Maladie du baiser, le Pied d’athlète, l’Ulcère, la Vie sur Mars, la Levure, la Peste noire, l'Ebola, la Maladie mangeuse de chair, la Maladie du sommeil, l’Acarien, la Punaise des lits et la Petite vrillette (et dans notre gamme « Professionnel » : le VIH et l’Hépatite C). Et heu, y en a pas une pour le socialisme !?
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Réchauffement climatique
Bastiat a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Je me demande comment l'interventionnisme peut être efficace au regard de l'ensemble des objectifs individuels ? c'est une contradiction dans les termes. -
à choisir entre 2 mesures sociales démocrates, je prefaire les alocations familialles aux revenu de "liberté" au mois c'est les adultes avec des enfants à charge qui en profittent. Un adulte tout seul ça me pause moins de problèmes que des enfants à la rue. pour ma part je ne prend ni l'un ni l'autre. je prefére ma proposition qui par ailleurs marche très fort et desarme aisément mes adversaires. http://www.sexycentriste.com/read.php?5,2528 Amélioration des dons déductibles à 100% de l'impôt. Accessible à toute association ayant au moins 1 an d'existance, et ne portant pas atteinte à l'ordre public. Dons indiqués directement sur la feuille d'impots. On peut citer une à dix associations sur dix lignes, chacune valant 10% de l'impôt payé. L'association touche les dons des contribuables d'une zone (le département par exemple) si au moins N contribuables (1000 par exemple) de cette zone la citent au moins une foi sur leur feuille d'impot. en france nos taxes municipales sont encadrées en bas, en haut, et interdépendantes pour empêcher la concurence.
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Il me semble que ce sont les cantons qui accordent des compétences aux organes communs qui ne lève pas le petit doit sans l'accord d'une bonne parti d'entre eux (50%, 2/3 ?). L'allemagne est un état clairement fédéral. Les us , est entre les 2 je dirais selon les compétences, cette répartition des compétence est le fruit de la jurisprudence de la cour suprême. Une UE dont les textes seraient supérieurs à la constitution des états concentrerais en 2 ou 3 décénies toutes les compétences par effet de cliquet si je m'en tient au TCE.
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ha chouet chouet ! J'aimerais bien supprimer l'europe "fédérale, politique et libérale" aussi ! à remplacer par une Europe confédérale, non politique, ouverte au commerce et sans cartels fiscaux entre États ou impôts européens.
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Réchauffement climatique
Bastiat a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Quel farceur ce réchauffement climatique. http://www.20minutes.fr/article/187595/Sci…-aussi-haut.php -
Justement en apparence. Sans vaccination préalable, c'est un poison pour l'esprit critique, je ne recommanderais jamais a un/une débutante en eco ce type de journal.
