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Esperluette

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Tout ce qui a été posté par Esperluette

  1. En même temps, je ne me targue pas spécialement d'avoir bon goût, même pas sur les JV. Le divertissement à sa juste place.
  2. Grève du mariage en Egypte <= (à cause des exigences matérielles faramineuses des familles pour conclure le mariage de leur fille) http://www.courrierinternational.com/artic…spece-en-colere
  3. S'instruire donc aussi instruire ses enfants, par exemple.
  4. 7 janvier : http://www.al-kanz.org/2010/01/07/islam-google Essai avec "pourquoi le". pourquoi les hommes n'écoutent jamais rien et les femmes ne savent pas lire les cartes routières pourquoi les femmes aiment les noirs <= pourquoi les hommes trompent leur femme Y'a des complexés sur le Net.
  5. Le cinéma français ne s'exporte plus http://www.20minutes.fr/article/376698/Cul…xporte-plus.php
  6. .
  7. Dans Dragon Age, il est un personnage dont le nom dépend de l'imagination du joueur. J'ai soufflé à mon mari …
  8. Courage, soldate Skeg. Gardez votre lèvre supérieure rigide : 6 mois à tenir !
  9. Chasser la baleine, un jeu dangereux La répétition de violents accrochages entre baleiniers japonais et défenseurs de cétacés dans l'Océan austral a abouti à la destruction d'un trimaran des écologistes. http://www.courrierinternational.com/artic…n-jeu-dangereux
  10. Une dame m'a appelée pour me proposer un job de 9 heures ( ) en tant que pionne ( sauve qui peut!). J'explique le malentendu, il paraît que le site du rectorat répertoriant les candidatures n'indique pas mes sélections de poste. Ca commence bien.
  11. L'écriture fait partie de la traduction mais représente un exercice différent quand même. Sisi.
  12. Oui, je débuterais par là pour gagner en fluidité. Le français s'accommode mal des adverbes en -ment dont raffolent les anglophones. Quant à l'adjectif, je n'y tiens pas spécialement (mais dans mon souvenir, les universitaires apprécient la fidélité… ). Et puis les variantes de ponctuation existent : "Erreur, terrible erreur" ou "Quelle tragique erreur !". A voir selon le mouvement d'ensemble du texte…
  13. L'exercice de traduction bénéficie énormément du travail collaboratif. => Faux. Effroyablement faux. Indice : vous vous en dépêtrerez avec un substantif plutôt qu'un adjectif.
  14. C'est chouette, les textes sans intérêt : la technique revient au premier plan, sans états d'âme. J'aimerais bien que tu publies ta traduction céans ou me l'envoies par mél !
  15. Mais non, pas de honte à éprouver. C'est proche de ce qu'on refile aux étudiants en traduction économique et technique. Vous devriez au contraire vous réjouir : traduire un auteur qu'on aime inspire des scrupules à chaque instant et devient une gageure. Traduire un document nous laissant de marbre permet de garder la tête froide. C'est pour ça, en partie, que je n'avais pas opté pour la traduction littéraire.
  16. +57 km/h, en France, ça devient un retrait automatique du permis non ?
  17. Je suis d'accord sur le choix d'attaquer ou non en RPG. Il y a un moment où ça devient lassant de basher de longues minutes des méchants trop connus sur un trajet familier alors qu'on veut juste discuter avec un personnage de quête. Ca peut fonctionner par objet permanent (il y avait un "brassard de paix" dans FFX) ou temporaire ou encore par décalage de niveau - la fuite devient un tantinet trop vue. Et l'imagination fournit sûrement plein d'autres paramètres à régler selon les choix du joueur. Maintenant pour MGS, comme il existe une dimension d'infiltration et de discrétion, charge au joueur de passer inaperçu. Ca se tient pour moi.
  18. Oh, c'est très surfait. Depuis quelle langue et quel style de contenu ?
  19. Grouik grouik grouiiiiiiiiiiiik. Un vrai poème, cette affaire. Comme les histoires d'ours des Pyrénées. La Corse face au péril rose Quatre pattes, deux oreilles, un groin et une queue en tire-bouchon : les cochons errants sont, avec les vaches, le nouveau danger qui guette l’île de Beauté. Et il y a un os : personne ne veut se charger de les abattre. Bienvenue en Corse, avec ses plages de sable blanc, sa délicieuse cuisine méditerranéenne… et ses redoutables troupeaux de vaches et de cochons errants. Depuis des années, les autorités s’évertuent à empêcher les bandes d’animaux d’errer dans les rues sur cette île baignée de soleil. Pratiquement chaque jour de l’année, des troupeaux de bêtes provoquent des dégâts matériels dans les villages et sont fréquemment à l’origine de graves accidents de la route. En 2008, il a fallu interrompre le trafic aérien à l’aéroport de Figari, dans l’extrême sud de l’île, après que des cochons eurent envahi la piste principale. En novembre 2009, un taureau est tombé d’une falaise pour atterrir sur la terrasse d’un café. Dans leurs efforts pour arrêter la cavalcade des animaux, les maires ont appelé en vain à la rescousse les vétérinaires, les gendarmes et le gouvernement. En désespoir de cause, ils se tournent désormais vers Bastien Rossi. Avec ses 26 confrères corses, il fait partie de ce que l’on appelle les lieutenants de louveterie. Ce corps de tireurs d’élite a été fondé en l’an 812 par Charlemagne, roi des Francs et empereur du Saint Empire romain germanique, pour protéger les humains et les cultures contre les loups et autres animaux sauvages. Un millier d’années plus tard, un autre empereur, d’origine corse celui-là, Napoléon Ier, a défini officiellement les missions des lieutenants de louveterie. Depuis, cette prestigieuse confrérie, chargée d’assurer la sécurité en milieu rural, est composée de bénévoles qui obtiennent le droit de port d’armes après avoir prêté serment. “Nous sommes les sages des campagnes, qui veillent à ce que les agriculteurs, les chasseurs et les villageois vivent en harmonie”, précise Bernard Pontier, le dirigeant de l’Association nationale des lieutenants de louveterie. De nos jours, les loups qui rôdent sur le territoire français sont bien moins nombreux qu’au temps de Charlemagne, mais, entre les renards et les sangliers, les louvetiers ont de quoi s’occuper toute l’année. En Corse, les autorités estiment à 10 000 le nombre de vaches et de cochons qui errent dans la nature. Ces derniers mois, des maires ont autorisé les louvetiers à en abattre. Seul problème : Bastien Rossi et ses confrères n’ont aucune envie de tirer sur la gent bovine ou porcine. “Je m’y refuse”, déclare Rossi d’un ton bourru, tandis que sa femme ajuste le col amidonné de son uniforme kaki, impeccablement repassé. “Notre vocation, depuis des siècles, est d’éliminer les bêtes sauvages, non les animaux domestiques.” Et Rossi, qui, avant de devenir lieutenant de louveterie, a exercé pendant vingt-cinq ans comme gendarme, ajoute qu’il ne veut pas se charger de faire ce à quoi tant d’autres avant lui ont échoué. Car quiconque trouve en France un animal errant sur la voie publique est d’abord tenu d’en vérifier le numéro d’identification, qui permet de remonter jusqu’à la personne qui en est responsable. Pour une vache, “cela implique de lire, à l’aide de jumelles, un numéro de 16 chiffres inscrit sur l’une de ses oreilles”, explique Bastien Rossi, dans la mesure où il est parfois difficile d’approcher l’animal sans le faire détaler. “Paris se méfie de notre caractère fougueux” Quant à tuer la bête sur place, c’est une entreprise risquée. Par le passé, ceux qui se sont portés volontaires pour supprimer des vaches et des cochons en liberté ont reçu des menaces de mort de la part d’individus qui s’en prétendaient propriétaires, même en l’absence de tout numéro d’identification. Ange-Pierre Vivoni, maire de Sisco (dans l’extrême nord de l’île) et président de l’Association des maires de Haute-Corse, reconnaît qu’il est dangereux pour un louvetier d’intervenir – comme il le dit si joliment, “les cimetières sont remplis de héros”. Pour résoudre le problème, Vivoni raconte qu’il a d’abord fait appel au gouvernement central, habitué dans d’autres régions de France à intervenir sur des questions locales. Mais la Corse, poursuit-il, est un peu particulière. “Paris se méfie de notre caractère fougueux.” Le gouvernement français a de fait décrété que les maires étaient habilités à résoudre le problème sur leurs territoires respectifs. Pour les Corses, la cause profonde du problème se trouve du côté du système européen des subventions agricoles. Au début des années 1990, l’Union européenne (UE) avait réduit les mesures favorisant la production de lait, lesquelles avaient provoqué des stocks excédentaires un peu partout en Europe. Parallèlement, elle avait encouragé l’élevage des vaches allaitantes, dans le but de soutenir la production de veau. De nombreux paysans corses, qui vivaient traditionnellement des chèvres et des moutons, se sont alors lancés dans l’élevage bovin pour profiter de la manne. Mais, en 1994, l’UE a déclaré avoir découvert de nombreux cas de fraude, des agriculteurs corses ayant perçu des subventions alors qu’ils ne disposaient pas de terres pour le bétail. C’est ainsi que l’UE a réduit de moitié ses aides agricoles à la Corse. A la même époque, de nombreux Corses ont quitté les régions montagneuses où ils vivaient pour s’installer dans les villes côtières, en pleine expansion. Enfin, pour satisfaire la demande de charcuterie artisanale, qui fait la réputation de l’île, les paysans ont entrepris d’élever des cochons à proximité des villages, en les laissant souvent pénétrer dans des propriétés privées. Résultat, l’île est maintenant envahie par des milliers de bêtes qui évoluent en liberté. “Il faut reconnaître que les agriculteurs jouissent en Corse d’un niveau élevé d’impunité”, glisse Antoine Poussier, directeur de cabinet de la préfecture de Haute-Corse et plus haut représentant du gouvernement central dans cette partie nord de l’île. Certains Corses ont décidé de prendre l’affaire en main. En décembre, Gérard Alfonsi a écopé d’une amende de 1 500 euros pour avoir tué six animaux “domestiques”. En 2006, excédé par les excréments d’animal qui souillaient son terrain à Carcheto-Brustico (Haute- Corse), il a abattu huit cochons avec son fusil de chasse. Le tribunal ne l’a toutefois reconnu coupable que de la mort de six d’entre eux, admettant la légitime défense pour les deux autres. “Personne ne veut s’attaquer au problème, alors j’ai pris les choses en main. Mais, maintenant, c’est moi le méchant”, se lamente l’intéressé. http://www.courrierinternational.com/artic…e-au-peril-rose
  20. Tiens, je l'ai enfin vu celui-là. C'est mignon tout plein. Je comprends que les ados en raffolent : à 13 ans, j'imagine que ça m'aurait émerveillée. Mais bon, comme j'ai la trentaine, je trouve ça ravissant sur le plan esthétique et d'une naïveté prêtant à maints sourires.
  21. Fallait attendre les congés de monsieur mon amoureux & mari.
  22. Je suis enchantée qu'elle vous convienne. A vrai dire, hormis la sensibilité, je doute que nous partagions les mêmes soucis. Ce qui est fort heureux pour vous… Même pas les tatanes-baskets mochardes pour touristes ? C'est assez fastidieux, d'où l'intérêt d'un bouquin ou magazine à portée de main. Toutefois, en général, la destination mérite amplement ces menus tracas. Excellents conseils, SCM. Oh, vous n'êtes pas seule dans ce cas.
  23. Je doute qu'on vous embête pour un tube ou pot minimaliste. (et la marque Clinique, saycoule !) De toute façon, emporter plus de 2 paires de chaussures en voyage (1 pour trotter à l'aise, 1 pour des occasions plus habillées), ça me semble une surcharge inutile… Du reste, à l'aéroport puis en avion puis à l'aéroport de destination, vous apprécierez les vêtements amples et les chaussures confortables. Je présume en fait que ça dépend de la taille de la bestiole. Non, c'est une durée classique. Vous devrez vous orienter vers le bon comptoir, passer à l'enregistrement (file d'attente), vous coltiner les contrôles de rayon X (file d'attente), éventuellement les visas pour une destination extra-communautaire (file d'attente) et enfin rejoindre la salle d'embarquement, avant de procéder à l'embarquement proprement dit. Avec un temps de rab pour les imprévus ou les flâneries en zone détaxée. Ah, conseil au passage : si vous deviez téléphoner depuis votre villégiature vers la France, je vous conseille de dénicher une carte avec n° spécial et code à enregistrer. Ca revient bien moins cher. Et bon voyage !
  24. Prenez plutôt une crème hydratante. Personne ne m'a jamais embêtée avec un petit tube de crème, la ventoline, le stick lèvres… (voir edit dans mon message précédent). Les petites quantités discrètes ne les effarouchent pas (pas comme 500 ml de savon liquide + un shampoing + grosse bouteille de parfum…). Au pire, vous emballerez tout ça dans le sachet hermétique prévu à cet effet pour les bagages à main en cabine. Chaussettes ! Cela dit, mes tatanes de voyage correspondant généralement au style Doc Martens ou Caterpillar, j'ai toujours dû passer le portique en chaussettes sinon ça sonnait. Je ne sais pas si les gens en espadrilles ou en sandales sont tenus à la même procédure… On enlève manteau, écharpe, ceinture, contenu métallique des poches (genre clés & portables), sur-chemise ample… Vous pouvez.
  25. Les produits liquides ou semi-liquides sont proscrits dans les bagages à main, sauf si nécessaires à la durée du voyage, en quantité minimale (100 ml max ?) et emballés dans un sac hermétique spécial. Faites gaffe aux objets tranchants, un coupe-ongles en deviendrait suspect. Pour le château-lapompe, dans mon souvenir on ne peut pas apporter une boutanche de l'extérieur mais, passés les contrôles des bagages aux rayons X, on a le droit d'en acheter une derrière la barrière. Et oui, pour le portique rayon X, il faut se désaper assez amplement et retirer ses grolles. Edit : les femmes à peau fragile apprécieront d'emporter, selon la durée du vol, une petite dose de crème hydratante pour le visage. L'air dans l'avion dessèche un tantinet. Bon voyage !
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