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Ah non, je suis sérieux. Une économie repose sur l'échange de biens rivaux et non rivaux. Dans le numérique, il n'y avait essentiellement que des biens non rivaux. Plus maintenant : on peut avoir des bien rivaux et, bonus, on peut facturer la transformation de non-rival à rival (ce qui n'existe pas vraiment dans le monde non numérique).

Strictement impossible. Pour cela, il faut pouvoir verrouiller la copie (i.e. trouver un mécanisme qui détermine, de deux données valables, laquelle est considérée authentique, i.e. qui la rend unique, ce qui suppose de résoudre notamment le problème des généraux byzantins).

Permettre au monde numérique d'avoir enfin la notion de bien rival est absolument essentiel.

Son salaire dépend de sa compréhension inverse, donc bon ...

C'est probable. Ca pue les besogneux qui confondent effort et travail.

Oui c'est une trad du PLib

Le plus rigolo est que ces informations, lorsqu'elles sont balancées un peu partout, ne déclenche... rien de la part des journaleux si ce n'est des "complotisssss" murmurés fielleusement par les hyènes dactylographes.

En fait non, c'est un graphique qui provient d'une association de psy pour la lutte contre les relations (personnelles) toxiques.

Fais l'inverse : coupe toujours à peu près à la même hauteur (genre toujours à la fin du premier quart) et ton message est alors "Reste trois quart du texte à lire" ou un truc de ce style.

La version avec "gouvernement" :

C'est tellement grotesque que ça illustre bien ce que valent les décisions prises actuellement.

On veut transformer les humains en animaux d'élevages.

Nonobstant, la vidéo mérite largement le temps qu'on peut lui consacrer.

Je parle de leur solution la plus haut de gamme. Ben oui. Et les autres, ceux qui sont passé à côté, doivent pour une bonne part regarder ailleurs.

Ceci dit, on apprend (stupéfait) que les backups d'un des datacentres qui a cramé se trouvaient... dans l'autre datacentre qui a cramé. La redondance juste à côté, ça ne sert qu'à pouic.

Ceci à l'air intéressant bien qu'un peu vague.

Il l'est (ce n'est juste pas sous ce nom et ceux qui opèrent sont un peu plus malins et discrets que Ross Ulbricht). Comme proxybay (plus visible). Comme d'autres choses qu'il n'est pas bon d'évoquer ici mais qui existent tout plein.

Non. Ah oui.

C'est important de se mettre en groupe pour dialoguer tout seul.

Les stimuchèques arrivent, je présume.

Je connais cette théorie. Voilà : c'est important d'être poliment écouté et de voir les politiciens n'en tenir absolument aucun compte.

Sur le long terme, ça se finit pourtant toujours pareil. Je me demande bien pourquoi ... Ah oui : peut-être parce que lorsqu'on fait des compromis, c'est "politiquement et économiquement plus rentable" à l'instant T et puis, plus tard, on se fait baiser ? Je vais prendre un exemple concret : il n'a jamais été question de négociations, d'arrangements et de dialogue pour certains aspects du partage en P2P pour la simple et bonne raison qu'il n'existe aucun moyen technique de l'empêcher. Bilan : ça couine, ça chouine, ça pleurniche, mais le législateur est en slip. Napster, qui a tenté de négocier, est mort. Kazaa aussi. Etc. Il en ira de même avec les cryptos. Celles qui refuseront le compromis perdureront parce qu'elles devront faire face à l'environnement le plus hostile qui soit et si elles survivent à ça, elles survivront à tout.

Ah, cette jeunesse, cette fougue, cette naïveté

très bon signe que les cryptos s'éloignent du but initial (une alternative crédible et solide au monde bancaire, et un éloignement de la férule des états).

Que ça va être un truc à la mode qui va beaucoup hyper pendant quelques temps, tomber en oubli ensuite pour après disposer d'une superbe utilisation dans la vie de tous les jours, depuis les productions artistiques jusqu'à tout ce que tu veux. Gros gros potentiel. C'est la hype du moment. Mais le fondamental derrière est une excellente idée.