-
Compteur de contenus
28 442 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
14
Tout ce qui a été posté par Mathieu_D
-
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mathieu_D a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Mais pourquoi ? Faut pas avoir peur du rebranding. Tiens en y pensant je n'ai pas envore vu passer d'application de deep learning en psychométrie, c'est un peu ironique quand on y pense. -
Chaud pour la réputation professionnelle du garde du corps. J'aurais été tenté aussi, mais de ce que je m'imagine du métier j'aurais refusé aussi.
-
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mathieu_D a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Tu peux venir si tu veux, la psychométrie c'est de la belle stat'. -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mathieu_D a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Il l'a fait. -
Le féminisme
Mathieu_D a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
Plotly <3 -
Photos culinaires (et recettes de cuisine)
Mathieu_D a répondu à un sujet de Hugh dans Sports et loisirs
C'est beau. -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mathieu_D a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Pour un vendeur de lampes. -
Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Mathieu_D a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Un peu surnaturel le "non ce n'est pas 50 % c'est 45 % " ! -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mathieu_D a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
J'sais bien, a priori ce sera pour des luminaires. -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mathieu_D a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Mes petits amis qui connaissent des trucs en deep learning, je cherche des tutos sur 2 sujets en R et pas en Python ni en Scala : - image similarity (calculer une distance entre 2 images selon si elles se ressemblent ou pas) - faire une regression avec en input des images et en output une note. (use case : c'est quoi une photo qui ramène des likes sur instagram) Si vous avez ça sous le coude, merci. J'ai le tuto pour faire de l'image tagging avec Inception et Mxnet, toujours sur R, si vous voulez en échange - et ça marche bien didjou pour un truc gratuit et réentrainable - . @Noob @Elphyr @Adrian @Solomos ? Sur le sujet image similarity hier en Meetup Tim Hunter de Databricks nous a montré comment le faire intelligement sous Spark en 6 lignes de code Python le salaud, ça déchire ( quelle classe) -
Images fun et leurs interminables commentaires
Mathieu_D a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
Rifeusèp ? -
Le féminisme
Mathieu_D a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
Oui. C'est choquant de décliner en masculin et féminin alors qu'il y a plus de 20 genres. Prenons un € pour un genre "autre" on écrirerait alors au minimum "Ch/e/è/€/r/e/s" Ensuite décliner en genres et pas en races et une inégalité. Corrigeons là par une déclinaison inclusivement raciale des mots avec un "o" final pour les personnes de couleurs. On aurait "Ch/e/è/€/r/o/e/s". Mais ici on n'a pas d'inclusivité sociale. Je propose une révolution grammaticale en déclinant en classes sociales avec un préfixe plutôt qu'un suffixe. Mettons "lo" pour inclure les classes laborieuses. On aurait lo/Ch/e/è/€/r/o/e/s. -
Quelqu'un peut m'expliquer comment l'Arabie Saoudite peut se sentir menacé par le Liban au point de menacer d'une guerre ?
-
Pluzun. (et je n'en branle pas une non plus, à part deux trois trolls sur Reddit, Facebook ou à un diner. Mon temps de propagande associative est dédié à la promotion du vin de Lorraine)
-
Ze phuque ? Tu vas mourir à 35 ans.
-
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mathieu_D a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
"Un bon travail est un travail qui suit parfaitement les process" -
Le féminisme
Mathieu_D a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
Ho puis parce qu'il n'y a as que le français : Différence entre les langues[modifier | modifier le code] Allemand[modifier | modifier le code] Le débat sur la féminisation de la langue est assez fort dans les pays germanophones, en particulier dans les milieux de gauche. Ainsi, bien qu'on puisse en allemand obtenir le féminin d'un nom en y ajoutant le suffixe -in, il existe des mots qui font exception et pour lesquels le féminin est peu usité, ou assez récent. Par ailleurs, comme en français, le masculin peut servir de forme générique au pluriel. C'est notamment l'aspect le plus critiqué par les partisans et les partisanes d'un langage féministe. Il est ainsi devenu relativement fréquent d'utiliser un pluriel en -Innen (Binnen-I), c'est-à-dire le pluriel féminin, mais avec une majuscule afin d'indiquer qu'il s'agit d'un pluriel mixte (die StudentInnen, die KollegInnen, etc.).[réf. nécessaire] On utilise aussi les formes /innen (die Student/innen, die Kolleg/innen, etc.) ou _innen (die Student_innen, die Kolleg_innen, etc.). On peut également remplacer certains mots par d'autres jugés plus neutres, notamment des participes employés comme substantifs (die Studierende, participe présent de étudier) ou des termes tels que Lehrkraft (personnel enseignant). De façon extrêmement marginale, on remplace parfois man (on) par mensch ou frau, formés à partir de Mensch (être humain, personne) et Frau (femme), à cause de la similitude entre man (on) et Mann (homme)18. Les formulations avec un slash sont utilisées depuis les années 1980, dans les universités. En 2013, les universités de Leipzig et Potsdam décident d'utiliser le féminin générique pour dénommer l'ensemble des personnes d'un même titre ou fonction. L'expression « Die / der Professor / Professorin » est remplacée par la forme générique « die Professorin »19. Anglais[modifier | modifier le code] L'anglais apparaît relativement neutre du point de vue de l'usage grammatical des genres. La langue comprend un vestige de genres féminin et masculin pour les noms désignant des personnes, voire des animaux familiers du sexe correspondant ; les bateaux (ship) sont souvent désignés par le pronom féminin she. Les autres noms ont un genre non défini ou neutre. Le genre n'est toutefois pas marqué dans la conjugaison ni dans les adjectifs et n'apparaît donc que dans le choix des pronoms personnels utilisés pour remplacer les noms correspondants à la troisième personne du singulier, à savoir he pour le masculin, she pour le féminin, it pour le neutre. Cependant, on voit actuellement réapparaître un they singulier dont la fonction est de désigner une personne dont on ignore le sexe. Cet usage du pronom a plusieurs siècles, mais est tombé en désuétude au xviie siècle avant de réapparaître dans les années 198020. Le mot man, quant à lui, qui signifiait simplement à l'origine « être humain », est à la base de mankind signifiant « humanité ». S'il s'est spécialisé par la suite pour signifier « homme » (être humain masculin), il reste utilisé de nos jours dans ce sens. Il y a donc la même ambivalence qu'en français avec le mot homme, un terme signifiant aussi tantôt un être humain masculin, tantôt l'humanité dans son ensemble21(voir la partie de l'article évoquant la langue française). Le terme woman « femme », lui, provient de l’anglo-saxon wīfmann, composé de wīf « femme » et mann « être humain ». L'anglais dispose par ailleurs du terme asexué sibling, signifiant « frère ou sœur », dont l'équivalent français « adelphe » est très peu usité. Certains auteurs, principalement aux États-Unis, emploient maintenant le féminin pour désigner une personne dont le sexe est indéterminé dans le contexte (le lecteur ou la lectrice, un auteur ou une autrice quelconque hypothétique, etc.) : Ex. : « When you find value assumptions, you know pretty well what a writer or speaker wants the world to be like – what goals she thinks are most important ; but you do not know what she takes for granted […]22. » De plus, aux États-Unis, l'usage de he or she (« il ou elle ») à l'oral et de he or she, (s)he, ou s/he à l'écrit lorsque le sexe de l'individu n'est pas connu a aujourd'hui tendance à disparaître au profit du theysingulier. Espéranto[modifier | modifier le code] En espéranto, le genre grammatical n'existe pas23. La racine des mots est généralement sémantiquement neutre, le sexe pouvant être marqué par le préfixe vir- pour le masculin et le suffixe -in- pour le féminin. Par exemple, ŝafo (mouton), virŝafo (bélier), ŝafino (brebis). Ido[modifier | modifier le code] L'ido utilise le suffixe -in- pour marquer le féminin, et -ul- pour le masculin, avec par exemple : frato (« frère ou sœur »), fratino (« sœur »), fratulo (« frère »). Français[modifier | modifier le code] Les pratiques possibles : l'emploi de parenthèses : « musicien(ne) ». Les parenthèses peuvent être également utilisées pour noter un pluriel facultatif : « le(s) musicien(ne)(s) » ; l'emploi du caractère "/" : « musicien/ne » l'emploi du E majuscule : « motivéEs »... Cette forme est fréquemment utilisée en allemand ; l'emploi du trait d'union : « musicien-ne-s », « motivé-e-s », et même l'article « un-e » ; l'emploi du point médian, semblable au trait d'union mais plus discret : « musicien·ne·s », « motivé·e·s » ; l'emploi du point, plus facile d'accès sur un clavier que le point médian, mais peut prêter à confusion : « musicien.ne.s », « motivé.e.s » ; la terminaison à deux genres : « acteurs/trices » ou « acteurs·trices » ; la création de mots trans-sexes : « illes » ou « iels » pour « ils et elles », « celleux » ou « ceulles » pour « celles et ceux », « chanteureuses » ou « chanteuseurs » pour chanteurs et chanteuses. ; l'emploi de termes épicènes, c'est-à-dire prenant la même forme aux deux genres ou pouvant désigner aussi bien des femmes que des hommes : parler d'« élèves du lycée » plutôt que de « lycéens », de « personnalité politique » plutôt que d'« homme politique », au risque d'une altération du sens lorsqu'il n'existe pas de terme épicène strictement équivalent au terme genré. Le genre d'un nom prenant la même forme au féminin et au masculin peut toutefois apparaître dans le contexte si ce nom est précédé d'un article au singulier (« un/une ministre ») ou lorsqu'il est accompagné d'un adjectif (« trois élèves doués/douées »), ce qui doit être pris en compte si on cherche à utiliser un langage non genré9. La règle de proximité : La règle de proximité consiste à accorder le genre et le nombre de l'adjectif avec celui du plus proche des noms qu'il qualifie, et le verbe avec le plus proche de ses sujets. Cette règle, présente en latin mais progressivement abandonnée en français, a pu s'appliquer jusqu'au xviie siècle24. L'accord actuel pour lequel le genre non marqué (semblable au masculin) prévaut, a donc pu être considéré comme une marque de domination masculine25. Ainsi, pour justifier la primauté du masculin, l'abbé Bouhours déclare en 1675 que « lorsque les deux genres se rencontrent, il faut que le plus noble l'emporte » ; étant entendu que, comme l'explique le grammairien Beauzée en 1767, « le genre masculin est réputé plus noble que le féminin à cause de la supériorité du mâle sur la femelle26. » Ces explications sont cependant fantaisistes, et ne tiennent pas compte de l'évolution de la langue : la règle d'accord préexistait à ces deux auteurs, et n'a pas pour origine une prétendue « noblesse » d'un genre grammatical (mais la proximité phonétique du neutre et du masculin en latin). En France[modifier | modifier le code] Un certain nombre de pratiques visent le langage genré. Il s'agit d'introduire des apports linguistiques novateurs, essentiellement (pour l'instant) lorsqu'on parle d'un groupe de personnes composé d'individus indifférenciés ou des deux sexes. Le gouvernement s'exprime en 1984 en faveur de « la féminisation des titres et fonctions et, d’une manière générale, le vocabulaire concernant les activités des femmes. » Deux circulaires du Premier ministre se prononcent à sa faveur : le 11 mars 198627 et le 6 mars 199828. En politique, le souvenir de l'adresse célèbre « Françaises, Français ! » des débuts des discours du général de Gaulle29, parfois dénoncée comme une absurdité grammaticale, reste vivace de nos jours au travers des innombrables « Les Françaises et les Français » qui continuent à émailler les discours des personnalités politiques de tout bord30. Cette expression a été raillée par Pierre Desproges dans Le Tribunal des flagrants délires (« Françaises, Français. Belges, Belges »31). Elle a été habilement remplacée par la suite par l'expression « Mes chers compatriotes ». Le 21 février 2012 sous l'impulsion de Roselyne Bachelot, les termes et expressions mademoiselle, nom de jeune fille, nom patronymique, nom d'épouse et nom d'époux sont supprimés des formulaires et correspondances administratifs français, par la circulaire no 557532. Les défenseurs de ces termes arguaient qu'il était utile à l'administration pour savoir si le nom qui suivait était susceptible de changer. En France, chacun des époux peut user du nom de l'autre33. Cependant l'évolution moderne du droit des familles (divorces, mariage homosexuel et, depuis la loi du 4 mars 2002, la possibilité de transmettre aux enfants, le nom du père, de la mère ou des deux noms accolés33) a largement affaibli cet argument. En novembre 2015, le Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes publie un Guide pratique pour une communication publique sans stéréotype de sexe34. Ce guide en détaillant dix recommandations, invite à promouvoir un langage reflétant le principe d’égalité entre les femmes et les hommes35. Inspirée par cette démarche, une agence de communication édite et diffuse en septembre 2016 un premier Manuel d'écriture inclusive36 proposant trois conventions d’écriture afin de faire progresser l’égalité, notamment sur le plan professionnel, entre les femmes et les hommes. En mars 2017, l'éditeur Hatier sort le premier manuel scolaire employant l'écriture inclusive, intitulé Questionner le monde et destiné aux CE2. Sa sortie ne manque pas de faire réagir, Le Figaro titrant un article « Un manuel scolaire écrit à la sauce féministe », et Raphaël Enthoven accusant l'écriture inclusive d'être un « lifting du langage qui croit abolir les injustices du passé en supprimant leur trace »37. L'Académie française récuse l'autorité du gouvernement à réformer la langue et s'oppose à cette tendance en 1984 puis en 200238. En 2014, elle reprend cependant une conclusion de la Commission générale de terminologie et de néologie qui « s'incline [devant] le désir légitime des individus de mettre en accord, pour les communications qui leur sont personnellement destinées, leur appellation avec leur identité propre39 », concluant que c'est l'épreuve du temps qui doit l'emporter. En 2017 cependant, elle réaffirme dans une « solennelle mise en garde » un avis fortement négatif sur les formes complexes proposées par le « langage inclusif » (voir plus haut, chapitre « critiques »)17. En Suisse[modifier | modifier le code] Le courant prônant l'emploi d'un « langage épicène » (expression souvent employée en Suisse) a atteint les sphères officielles dès la fin du xxe siècle, à la suite de la parution dès 1994 des ouvrages spécialisés de Thérèse Moreau s'adressant aux écoles, aux métiers, puis aux administrations (voir la bibliographie). La Chancellerie fédérale publie en 2000 un Guide de formulation non sexiste des textes administratifs et législatifs de la Confédération40. Les administrations cantonales, les hautes écoles, publient leurs propres recommandations41. En Belgique[modifier | modifier le code] Plusieurs guides de communication épicène ont été publiés en Belgique : « Mettre au féminin - Guide de féminisation des noms de métier, fonction, grade ou titre »42, Fédération Wallonie-Bruxelles, 3e édition, 2014. « Égalité et diversité dans la communication de la Fédération Wallonie- Bruxelles - Trucs et astuces pour les communicateur-trice-s »43, SPF Chancellerie du Premier Ministre, DG Communication externe, 2013. « Intégrer la dimension de genre dans la communication fédérale – Guide pour les communicateurs fédéraux »44, SPF Personnel et Organisation et SPF Chancellerie du Premier ministre, COMM Collection n° 25, 2013. « Liste alphabétique des noms de métier, fonction, grade ou titre »45, Communauté française de Belgique, Conseil supérieur de la langue française. Guide du bon usage du genre dans votre communication46, UCL Université catholique de Louvain. Au Québec[modifier | modifier le code] Au Québec, la féminisation lexicale est encouragée dès 1979 par l'Office québécois de la langue française, qui promeut également la rédaction épicène47. L'Office québécois de la langue française met à disposition une banque de dépannage linguistique sur la rédaction épicène en 200248, et publie un Guide de rédaction épicène en 200649. Tchèque[modifier | modifier le code] En règle générale, le nom de famille d'une femme se met au féminin, Jana Tichá porte le même patronyme que Miloš Tichý. Dans le cas présent, tichý est un adjectif et la forme féminine de cet adjectif est tichá. Quand le nom de famille est un substantif, il est le plus souvent dérivé du masculin par l'ajout de « —ová » : Eva Romanová est la sœur de Pavel Roman. La forme « —ová » désigne un adjectif d'appartenance et implique, au grand dam des féministes, l'idée de possession50 (madame Nováková est littéralement l'épouse ou la fille de monsieur Novák). Jusqu'à il y a peu, cette forme était obligatoire, imposée par la loi tchécoslovaque puis tchèque. Désormais, l'épouse tchèque d'un ressortissant étranger ou d'un membre d'une minorité linguistique51 de la République tchèque peut choisir entre : garder son nom de naissance ; accoler son nom de naissance avec celui (inchangé) de son époux ; accoler son nom de naissance avec le nom slavisé de son mari (ce qui était déjà possible) ; adopter le nom, slavisé ou non, de son époux52. La loi tchécoslovaque permettait au mari d'accoler le nom de son épouse au sien. Ainsi le premier président, Tomáš Garrigue Masaryk a été l'un des premiers à montrer le faire. En 2006, l'entrée en vigueur de l'équivalent tchèque du pacte civil de solidarité, qui permet à la partenaire tchèque d'une ressortissante étrangère d'adopter son nom de famille53 (comme pour les épouses dans un mariage classique) qui, pour une oreille tchèque sera forcément « masculin », a provoqué une réaction des protecteurs de la langue. Espagnol[modifier | modifier le code] Quand ils cherchaient à s'exprimer en langage non-sexiste, les hispanophones devaient employer des expressions répétées du type « queridos amigos, queridas amigas » (chers amis, chères amies). Comme souvent on passe du masculin au féminin en remplaçant le « o » par un « a », les hispanophones ont eu l'idée de remplacer la répétition par un mot avec un « @ » (car ressemblant visuellement à un « a » dans un « o »), ce qui donne « querid@s amig@s »54. L'usage de l'astérisque (l*s amig*s), du «x» (lxs amigxs) ou «e» (les amiges) est aussi possible. Il est préféré d'utiliser ces trois possibilités plutôt que « @ » car ils n'excluent pas les personnes non-binaires. Le «e» est quant à lui aussi préféré à «x» ou «*»pour une plus simple prononciation. -
Le féminisme
Mathieu_D a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
Après l’écriture, la grammaire « inclusive » http://www.lemonde.fr/education/article/2017/11/08/apres-l-ecriture-la-grammaire-inclusive_5211949_1473685.html -
Le féminisme
Mathieu_D a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
On dit "maïeuticien" pour les hommes sage-femmes. -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mathieu_D a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Bien. -
En revanche c'est vrai pour les suicides. Il y en a plus en valeur absolue quand il y a plus d'armes à feu.
- 5 338 réponses
-
Le féminisme
Mathieu_D a répondu à un sujet de Taranne dans Politique, droit et questions de société
J'aime bien masculin=genre non marqué et féminin=genre marqué. Pour moi aussi masculin = neutre, et donc le feminin est "mieux" puisque plus spécifique. Mais bon. -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mathieu_D a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Un pénis haut-marnais. -
Je lisais ça : http://www.letelegramme.fr/bretagne/inegalites-de-revenus-la-bretagne-s-en-sort-mieux-07-11-2017-11730587.php La Bretagne est au deuxième rang des régions de France les moins inégalitaires. Avec 10 % des ménages les plus aisés qui gagnaient plus que 2.896 € et 10 % des moins aisés qui touchaient moins de 994 € en 2014, la Bretagne se situe en deuxième position des régions les moins inégalitaires. Moins de 10 % des foyers seulement sont à plus de 3000 euros mensuel ? Il y a beaucoup de foyers avec un seul etudiant pour autant moyenner vers le bas ? [Edit] C'est en UC, normalisé donc par le nombre de personnes dans le foyer. https://www.insee.fr/fr/statistiques/1285622 Ça ne veut donc pas dire ce que j'ai cru lire. (nourjalisme)
-
Images fun et leurs interminables commentaires
Mathieu_D a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
Boudiou est-ce vrai ? 3 Girls and 1 Guy https://imgur.com/gallery/lRQhK
