Mathieu_D

Djio a failli se mettre avec Autain ???

Attendez si j'ai bien suivi le copain actuel de l'ex c'est celui qui l'a piquée à Djio ? Pas de craintes qu'il refasse le coup ?

Les histoires de flotte c'est n'imp'. Toujours prendre une bière pour chaque verre et c'est bon. (En revanche, ne pas ajouter de Picon.)

J'y repense comme à un moment génial de ma vie !

Bouffe, loisirs, vacances, moins cher en célibataire ? (Quand j'étais en mode célib' je geekais devant World of Warcraft et je dépensais 10 euros par mois.) En famille il y a beaucoup de frais qu'on n'a pas tout seul. Même en couple sans enfants. A moins que les dépenses de recherche de partenaire sont inclus dans le calcul du niveau de vie du célib ? A part le logement je ne vois pas vraiment d'économie d'échelle. (Bon, ok, le logement, c'est une grosse dépense.).

Moi je note surtout que Djio a déjà fait un tri baisable/pas baisable dans ses collégiennes d'élèves.

Tant qu'on est dans les souhaits il peut lutter contre les sangliers qui bouffent les vignes ?

Ben non.

Oui mais Loding ils s'arrêtent au 11,5 en pointure ces cons.

Ben la question c'est surtout de savoir si Djio a/va piner son ex.

Ha oui bien, tu as aimé celle de Finnsbury ?

Faut faire gaffe à Bruxelles une fois où j'y bossais l'intendance n'avait plus trouvé d'hôtel du tout et ils m'avaient mis à Charleroi. (Ce qui faisait marrer tout le plateau.)

Offrir une formation militaire à ceux qui le souhaitent, pourquoi pas.

Actuaire est régulièrement dans la liste des métiers les plus sexy du moment.

C'est sympa comme job rabatteur, on se balade dans les bois. Tireur quand on reste en place à l'affut ce n'est pas forcément enthousiasmant.

Mais pourquoi pleurer une baisse des prix ?

Le lieutenant de louveterie est un "collaborateur bénévole de l'administration et collaborateur occasionnel du service public", ce n'est pas un métier rémunéré. Sa mission est de blaster du nuisible.

Il y avait des codes sur ces tatouages aussi, c'est une histoire assez fascinante.

Autour de Metz c'est surtout hêtraie-charmaie. C'est bizarre en effet, il n'y a pas eu de gelés tardives come en 2012 pourtant au printemps.

Ha ces jeunes. (Ils ne voient que le logement.)

Mmmmh un lac sur le toit d'un Ikea...

Mmmh les chinois en opex ? /popcorn time

(pour une fois qu'un journaliste fait un travail intéressant) (Je connais tous les vignerons cités dans l'article.)

Voici l'article paru hier dans le journal Le Républicain Lorrain : J ’ai un hectare de bouffé à Dornot. On travaille toute une année pour ça, et tout est gâché », Georgian Buzéa peste. De gros dégâts Les sangliers ont une nouvelle fois fait des ravages dans ses vignobles. Le bilan financier est significatif. « Si on prend les rendements standard, on enregistre une perte de 8 000 bouteilles, à 6,50 € la bouteille. » La perte s’élève à 52 000 €. À Lessy, Benoît Legrandjacques évalue le sinistre à 700 kg de fruits, soit 3 500 € de chiffre d’affaires, tandis que Marie-Geneviève Molozay observe avec beaucoup d’amertume l’état de ses vignes de Scy-Chazelles. « Chaque grappe mangée, c’est un départ de pourriture », explique-t-elle. En plus, les terrains sont retournés, ce qui engendrera inévitablement de gros soucis pour les vendanges. « Je suis obligée de récolter, non pas parce que les raisins sont à maturité, mais parce que les sangliers nous causent trop de dégâts. » Et pour les viticulteurs, le manque à gagner aligne rapidement les zéros. « On travaille avec une clientèle en vente directe , rappelle Jean-Marie Leisen, président du Syndicat des viticulteurs de Moselle. S’il n’y a pas de fruits, il n’y a pas de vin. » Des solutions Ève Maurice a entièrement clôturé (électriquement) sa parcelle à Ancy-sur-Moselle. « Notre domaine est d’un seul tenant , réalisé autour du jardin de mon grand-père , argumente-elle. En 2012, on a perdu le travail d’une année en dix jours. Un véritable traumatisme », qualifie la viticultrice. Il a fallu trouver une solution rapide et efficace. En plus, son père assure actuellement des tournées, trois fois par nuit. « Il met de la musique, allume les lumières, tourne dans les rangs. » Georgian Buzéa a adopté la même méthode d’effarouchement. « En deux nuits, j’ai sorti 26 sangliers de mes parcelles », décompte-il. Il s’est toutefois heurté à la quiétude des bestiaux qui n’ont pas bougé face à l’engin. « Même pas peur, il a fallu que je mette les gaz et que je fonce pour qu’ils fuient. » À quelques encablures, Norbert Molozay, du domaine de Vaux, a repris une adjudication de chasse. « Il sort tous les soirs avec une équipe de quatre à cinq personnes , récapitule son épouse. Il a cessé l’agrainage. Et ça marche puisque les parcelles sont exemptes de dégâts. » Tirs de nuit Face à ces dommages, la préfecture a publié un arrêté autorisant les tirs de nuit sur les communes de Scy-Chazelles, Lessy, Dornot, Ancy-sur-Moselle et Novéant. « Nous sollicitons les adjudicataires pour qu’ils chassent » , déclare Guy-Noël Perin, lieutenant de louveterie. « Nous sortons également la nuit pour effaroucher le gibier. J’en ai abattu un, dimanche soir. Nous sommes tranquilles pendant quelques jours. Il faudra reproduire l’opération dans deux-trois jours ». « Il faudrait faire des battues administratives, multiplier les interventions , préconise encore Benoît Legrandjacques. Car le cochon est très intelligent, il sort quand le chasseur n’est pas là. » Les viticulteurs des secteurs concernés par les ravages aimeraient encore que les chasseurs cessent de nourrir les bêtes. Le lieutenant de louveterie assure que le sujet est actuellement en discussion avec la Direction départementale des territoires. Anne RIMLINGER-PIGNON.

Le rapport de la semaine... C'est sayqusuel comme titre, non ? Sanksion figurera dans ce fil quand ça lui arrivera à nouveau ?