Ce n'est pas très intuitif d'imaginer une pression de sélection conduisant à des femelles chétives conduites par les mâles de l'espèce.
Il faudrait que les femelles chétives et soumises se reproduisent plus, or si je ne m'abuse la pression de sélection est plutôt sur les mâles. (Toutes les femelles se font engrosser mais pas par tous les mâles, où je me trompe ? Dans la hiérarchie sociale il y aussi des femelles interdites de reproduction ? )
Ce qui me semblerait une hypothèse de travail plus raisonnable, c'est que la pression de sélection agisse sur les mâles, où les plus grands et forts se reproduisent et pas les autres. La pression de sélection ne s'exerce que sur le chromosome Y ou sur ce qui est en interaction avec Y, mais ça revient au même.