Ronnie Hayek
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"Éthylique de la liberté" sonnerait mieux. Exactement.
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C'est une synthèse dialectique ? Des hommes et des activités qui s'autorègulent, cela n'existe pas. Elles ont besoin de normes extérieures et supérieures (et non, je ne parle pas de l'État - ni de Dieu.)
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Qui peuvent donc s'autoréguler ? Personne n'a dit le contraire. Encore une fois, tout est une question de mesure.
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Strawmanisons gaiement.
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Cela n'existe pas, bien entendu.
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Le problème est l'interconnexion entre la vie réelle d'une entreprise (qui peut engranger des bénéfices) et les paris de boursicoteurs malveillants. Je ne suis pas sûr que placer la survie d'une entreprise lambda sous l'épée de Damoclès des spéculateurs témoigne d'un bon sens économique. C'est oublier qu'elle doit avant tout satisfaire une clientèle avant de rendre des comptes à des turfistes en col blanc. Faux.
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Si tu mélanges toutes ces choses, il est évident que le caractère virtuel de certaines activités ne te convaincra pas.
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L'économie virtuelle parasitait à ce point l'économie réelle qu'elle finit par la précipiter dans sa chute. Même pas : Sarko réunit en une seule personne les différentes sensibilités (contradictoires) de la droite française.
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Faire de Sarkozy un communiste, ça, c'en est bel et bien.
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Avec de telles réflexions, autant arrêter les débats.
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Un must représentatif du vide musical que furent les années 90, oui.
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Minou joue de la batterie :
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Je l'avais en effet implicitement relevé (et remarqué en concert voici près de vingt ans - époque où il chantait le très beau Privilège).
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Jobriath - . (Hot, hot, hot !) Du même : . Une perle des années 60 (la chanson, pas le clip) : Napoleon XIV -