Dardanus

Bienvenu !

Le roi aurait-il la petite vérole ?

Sans vouloir parier, on pourrait peut-être aller jusqu'à la troisième personne. Mais la deuxième n'est-ce pas plutôt paries ?

Rassurez-vous, mon cher Pancaca, vous ne faites pas du tout votre âge.

Bienvenu. Ah ! où sont mes 31 ans.

Que voilà de libres propos. Bienvenu !

Un avenir en femme, c'est bien le problème de ce parti très machiste à l'électorat très masculin. La fille ne remplace pas le père pour les électeurs sains d'esprit.

Il nous manquait un gentil thomas pour faire pendant à laffreuxthomas ( ). Bienvenu.

Évidemment, que c'est une petite forme. Je ne me sentais pas d'écrire une épopée. Mais bon, ces vers modestes peuvent être prisés, à défaut de faire un tabac.

Pour une raison des plus simples, j'étais absent du forum à ce moment là. Et de ces messieurs je suis le seul doué pour la poésie. Citronne, allons voir si la rose, Qui ce matin avait éclose, N'est point perdue…enfin perdue quoi, Parmi les choux et les petits pois. Bon, il se fait tard.

On peut citer aussi les taoïstes.

On peut être libre et beau. Mes vers de mirliton étaient bien sûr à prendre au 2e degré. Je connais d'ailleurs un libéral de gauche presque aussi bien de sa personne que librekom mais moins éphèbe, plutôt vieux beau, un Dom juan bientôt sénile (ceci pour faire plaisir à alex6).

Le libertarien n'est pas très beau, c'est là son moindre défaut. Si la rose embaume, mignonne, c'est pour mourir tantôt. Il faut passer tôt ou tard, il faut passer dans la barque, Minarchiste ou libertaire, bergère ou bien monarque. Sinon, bienvenu à la Belle sans lunettes.

Ce n'est pas très gentil de comparer un Libertarien à l'État.

Bienvenue !

Bienvenu à Onanophile Comme le disait Oscar Wilde

Bienvenue à Mammon. Le veau d'or est toujours debout !

Triste de constater l'ignorance de certains : il s'agit de l'exécution de Maximilien peinte par Manet. D'où ma référence au film Juarez qui s'achève par cette exécution.

Bienvenue ! Voilà un avatar qui me fait penser à cette notice du Wikilibéral Juarez

Mais non…cohérence freemanienne.

Je répondrais les deux ! Aussi importe-t-il de distinguer ce qui relève d'un sens ou d'un autre. En fait la colonisation ne reposait sur aucune notion raciale mais avait besoin de justifications culturelles ou scientifiques. La colonisation reposait avant tout sur la volonté de puissance appuyée sur une technologie supérieure. Mais la force brutale a besoin d'alibis surtout quand cette force brutale est exercée par des "civilisés" à l'encontre de "sauvages". Jules Verne parle d'ailleurs dans le roman cité précédemment de "guerres civilisatrices" indispensables en Afrique.

En fait c'est une faute tolérée mais non permise…

Je précise à toutes fins utiles (bien que Bastiat ait répondu pertinemment sur le sujet) que je ne suis pas un relativiste mais que j'ai le souci de la nuance, donc de préciser le sens des mots utilisés. Quand Jules Ferry dit race, il ne l'emploie pas comme Hitler. Loin de moi de justifier le colonialisme mais quand on lit Jules Verne, on comprend mieux le point de vue de l'époque : dans un Capitaine de Quinze ans, par exemple, il oppose des noirs d'Amérique aux noirs d'Afrique. Il considère les uns supérieurs aux autres car plus civilisés. Point de vue étranger à Hitler. C'est la source de contresens perpétuels fait par des non-historiens (mais aussi parfois par certains historiens) quand il s'agit du passé. Ceci dit des radicaux, comme Clémenceau, critiquaient fortement la notion de races supérieures ou inférieures. Et la colonisation a toujours été combattue en France par diverses personnalités et courants de pensée.

Cela m'a du moins donné l'idée de développer la notice du Wikipédia qui était quasi inexistante sur lui (ce qui est assez incroyable). Après tout, il a été sénateur de mon cher département.

Waldeck-Rousseau ne peut pas vraiment être qualifié de démocrate-chrétien (terme de toute façon anachronique) plutôt de républicain libéral. Il est à l'origine de la loi sur les associations peu favorable aux congrégations et un des inspirateurs de la séparation de l'Église et de l'État.