Si c'est la merde en France et que j'ai une porte de sortie pour trouver refuge en Israël, je n'hésite pas le moins du monde à foutre des mazel tov partout, à fêter hannouka quand c'est le moment, manger casher laisser pousser la barbe et me mettre une kippa.Mais honnêtement, sans conversion...je ne sais pas s'ils ont des mots pour les goys (un peu collants) qui font tout pour s'intégrer à la communauté juive mais qui ne peuvent être de fait pas convertis faute de mère juive, et qui sont sans doute tournés en dérision.
/ce post vous est offert par l'ACASC (Amicale des clichés et autres stéréotypes commodes)