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Tout ce qui a été posté par Patrick Smets
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@chitah, tu n'avais pas bloqué le taux de croissance du PIB. Ce qui nous donnait des chiffres très différents. J'ai modifié la formule et tes résultats se rapprochent des miens.
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Tu considères que le poids de la charge de la dette suit l'inflation comme les autres dépenses. C'est une hypothèse. On peut toujours raffiner. J'avais fait le même genre de calcul pour la situation belge en séparant solde primaire et charge de la dette https://docs.google.com/spreadsheet/ccc?key=0Aom7hBxZvX1MdDZjeHN4bTFBZUdxMTFvWERKN2ZWWmc
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Tu fais dépendre les recettes de la croissance réelle, hors inflation ?
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Je cherche une réponse économiquement fondé à ceux qui m'expliquent que le retour de la croissance permettra de réduire proportionnellement le poids de la dette publique (étant entendu que le déficit serait maîtrisé). Le raisonnement est imparable (en théorie). Il existe un taux de croissance tel que l'augmentation des recettes fiscales viendra progressivement gommer les déficits publics et entraînera progressivement une diminution du niveau relatif de la dette public (exprimé en % du PIB) Nous savons tous que cette solution est politiquement irréaliste parce qu'il n'y a aucune chance qu'un gouvernement ne profite du retour de la croissance pour augmenter ses dépenses. Mais ce n'est pas une réponse acceptable par les défenseurs des plans de croissance et autre qui jurent de leur bonne foi. Est-ce que quelqu'un a déjà fait le calcul pour savoir (sous différentes hypothèse d'inflation et de taux d'intérêts) quel serait le taux de croissance nécessaire pour produire un effet significatif à -disons- 10 ans ? (j'essaye d'écrire l'équation, mais je me prends les pieds dans le PIB qui est mesuré hors inflation et les recettes fiscales qui doivent être calculé sur le PIB inflation comprise)
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Dans mon post, il manque une virgule et, dans le tien, de la courtoisie. Ce n'est donc pas moi qui ai commis la faute la plus grave.
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Merci Michel. (vous relégué au grade de pisse-bleu, on aura tout vu sur ce forum )
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Bonjour à tous, Les plus attentifs d'entre vous auront remarqué que nous lançons un Parti Libertarien en Belgique. Jusqu'ici, à cause des élections communales qui captaient toute l'attention, nous en sommes resté à quelque chose de très informel. Nous nous sommes consacrés à la mise en place des outils plutôt qu'à la com' politique pure et dure. Il est temps désormais de passer à la vitesse supérieure et de constituer ce parti pour de bon avec des structures définies et une division du travail efficace. Les prochaines grandes élections en Belgique se tiendront à l'été 2014 avec un vote pour les parlements régionaux, fédéraux et européens. Ce sera un moment de grande effervescence politique, surtout depuis la victoire de la N-VA qui fait planer un doute quant à la survie même du pays. Nous espérons profiter de cette agitation pour parvenir à faire entendre notre message en faveur d'un libéralisme sans compromis. Bien que le Parti Libertarien soit par nature orienté vers l'action en Belgique Francophone, nous avons fait le choix de nous ouvrir largement à tout ceux qui souhaitent nous rejoindre quelque soit leur nationalité et leur lieu de résidence. Nous considérons qu'au-delà des tactiques politiques, qui restent nécessairement locale, le libertarianisme est un corps de valeurs intemporelles et universelles. Il nous semble donc logique que des libertariens de partout aient leur opinion sur ce parti et qu'ils puissent, s'ils le désirent, participer à sa vie interne. L'aventure que nous tentons ne doit pas être vue dans sa seule dimension belge. Nos expériences, nos succès et nos échecs alimenteront, je l'espère, la réflexion de ceux qui souhaitent initier la même démarche dans leurs pays respectifs. Bref, vous êtes tous invités à notre congrès de fondation qui se tiendra à Namur, le dimanche 11 novembre à parti de 10 h du matin. Nous espérons vous voir nombreux et je reste à votre disposition pour toute question ou information supplémentaire. Infos pratiques sur notre site
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Je suis passé trois fois dessus aujourd'hui en le cherchant et à peu près tous les jours où je me connecte. En balayage oculaire rapide, j'ai repéré le bouton facebook et catalogué l'ensemble comme "liens sociaux sans intérêt". C'est l'harmonisation avec le reste qui le rend invisible.
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Après avoir lu ce sujet, je suis allé sur la page de contrepoints pour voir comment on pouvait faire un don. J'ai passer trois fois la page en revue et je n'ai même pas trouvé où il fallait cliquer. C'est clair que ça ne risque pas de rapporter grand chose…
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Solussationnaliser la crise en 3 ans crasse au défaut et à l'enflation ?
Patrick Smets a répondu à un sujet de davideduardo dans La Taverne
Merde, sans m'en rendre compte, je suis passé dans un univers parallèle où on a vécu une réalité alternative à la mienne. C'est vrai qu'il y a des détails qui ne trompent pas : je parle avec un personnage de matrix et un type qui s'appelle William Bell. -
Solussationnaliser la crise en 3 ans crasse au défaut et à l'enflation ?
Patrick Smets a répondu à un sujet de davideduardo dans La Taverne
Je ne m'illusionne pas du tout. Je sais que notre avis n'a aucun poid, alors autant en avoir un qui a de la gueule et qui impressionne les gonzesses plutôt que de se la jouer eurocrate consciencieux et respectable. -
Solussationnaliser la crise en 3 ans crasse au défaut et à l'enflation ?
Patrick Smets a répondu à un sujet de davideduardo dans La Taverne
La plupart des états occidentaux étaient englués dans le socialisme dans les années '70. Les réformes libérales des années '80 qui ont permis de remettre l'économie sur les rails, ont du même coût garanti la stabilité des Etats et lancé la bulle de la dette publique qui explose aujourd'hui. C'est ce que tous les technocrates espère rééditer dans les années qui viennent. A vous de voir si vous êtes satisfait des effets à long terme de la politique raisonnable, réfléchie et respectable des politiciens libéraux des années 80. -
Solussationnaliser la crise en 3 ans crasse au défaut et à l'enflation ?
Patrick Smets a répondu à un sujet de davideduardo dans La Taverne
Ces vidéos parlent de tout sauf de l'annulation de la dette. Travail de gauchistes, comme d'hab. Austérité = solution néo-classique = sauvetage de l'Etat + centralisme européen + 20 ans de souffrances Inflation = solution keynésienne = sauvetage de l'Etat + euthanasie des rentiers + report du problème à dans 20 ans Défaut = solution libertarienne (relire Lysander Spooner) = chaos politique + disparition de l'Etat Providence + déflation + reconstitution de l'épargne + nouveau cycle de croissance Pour la première fois depuis longtemps, on a l'opportunité de marquer des points contre l'Etat social-démocrate. Ne la laissons pas passer. Le défaut fait partie de la solution libérale ! -
Les articles que vous voulez faire buzzer
Patrick Smets a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Ah ! Vous avez un service des plaintes efficace ! Espérons que ça buzze un peu, je l'aime bien ce texte. -
Les articles que vous voulez faire buzzer
Patrick Smets a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Action !
Je m'étonne que mon appel à l'abstention n'ait pas encore été repris par Contrepoints alors qu'on trouve au moins trois appels à voter Sarkozy. J'espère que le PLD n'a pas réussi sa tentative d'entrisme dans la salle de rédaction de Cp http://tedld.wordpress.com/2012/05/03/labstention-seul-choix-honorable/ -
Pas besoin d'e-mail, donc ? (J'avais déjà acheté du parchemin et une plume d'oie, au cas où..)
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tu rigoles ou quoi ? Vous avez pas un flux RSS ou un machin comme ça pour automatiser votre news flow ?
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Bien sûr. S'il faut que j'installe un plug-in ou kekchauz pour automatiser le transfert, tu n'as qu'à demander.
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J'ai changé de plate-forme et adapté le concept. Je laisse tomber l'analyse technique. Elle permettait d'amener une nouvelle population à qui balancer notre soupe empoisonnée, mais (de façon tellement humaine et tellement absurde) la crédibilité de mes positions politiques était directement impactée par l'efficacité de mes analyses boursières. Nouveau blog : « Tu enfanteras dans la douleur » Je ne sais pas quel est la position habituelle sur ce forum (et non ! je ne lirai pas les 364 pages de "armageddon économique") mais je ne peux qu'insister sur l'utilité politique de défendre le défaut sur les dettes souveraines. Rien qu'un débat public sur le sujet inquiétera suffisamment les investisseurs pour qu'ils coupent les robinets financiers à nos gouvernements. En 20 ans de militantisme, je n'ai jamais senti l'Etat aussi prêt de l'abîme. Ce n'est pas le moment de prendre des gants et de jouer au brave petit citoyen démocrate et responsable. A bas !
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Merci Rocou. Meilleurs voeux pour l'année nouvelle (aux autres aussi, d'ailleurs)
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Après des mois de procrastination, la recherche de la perfection, la tentative de redéfinir le business model du web, 3 faux départs, des vacances et un déménagement, j'ai lancé un brol sans prétention. http://pasmographe.blogspot.com/ (wordpress est clairement mieux que Bloggeur. Posez pas de question, je n'ai toujours pas compris comment et pourquoi je me suis retrouvé sur blogger…)
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L'orthographe sera toujours mon point faible, mais depuis que je lis le journal, pas mal de mes complexes se sont envolés.
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J'ai pris le temps de réfléchir. Définitivement, l'idée de Chitah est excellente. Un vidéoblog, c'est faisable, sexy et buzzogène. Je vais lancer un fil séparé pour présenter un projet clé-en-main en espérant que quelqu'un s'en emparera. Quant à moi, je vais me lancer dans un blog "normal", car mon objectif n'est pas le buzz mais la respectabilité et l'autorité intellectuelle. Mon pubic, les journalistes, politiciens et autres bourgeois qui ne comprennent rien à la crise actuelle parce qu'on ne leur a jamais expliqué les liens entre sociale-démocratie et bulle du crédit. Le temps de paramètrer le compte et de mettre un contenu de base en ligne, j'ouvrirai sans doute le blog dans une dizaine de jours. A bientôt.
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De fait, wordpress est ce que je cherchais. (c'est formidable comme ça a évolué. Ils ont même un site dédié pour contrer la procrastination et le manque d'inspiration ) Merci Chitah pour l'idée. J'y avais absolument pas pensé. Ma première réaction est d'aligner toutes les raisons pour lesquelles ce n'est pas possible et ça ne peut pas marcher, mais je vais y réfléchir sérieusement, voir si quelque chose de sérieux peut-être fait.
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Les commentaires sont évidemment un must ; ainsi que l'abonnement RSS, les "partage" "j'aime", "tweet" etc Mais j'imagine que tout ça est de série sur toutes les solutions clé-en-main… Ainsi que la possibilité d'ouvrir les droits d'écriture à un collaborateur.