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Patrick Smets

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Tout ce qui a été posté par Patrick Smets

  1. Patrick Smets

    Immobilier

    Même réaction ce matin en entendant BFM business. Il y a deux jours, on nous annonçait que les volumes allaient baisser mais pas les prix et aujourd'hui, crac les prix !
  2. Concernant cette histoire de pièce de platine. En admettant que sa valeur réelle est zéro et que la Fed parvient à stériliser l'opération. Au temps T0, le gouvernement à zéro dollar, la FED 16 T en obligations et le peuple 16 T en billets. L'opération se fait, la FED vend 1 T de bons d'Etat et achète la pièce pour 1T A T1, le gouvernement a 1T en billets, la FED 15T en obligations, le peuple 15T en billets et 1T en obligations. Au bout d'un an, le gouvernement a dépensé tout son argent en programmes divers. A T2, le gouvernement a zéro dollar, la Fed 15 T en obligations et le peuple 16 T en billets et 1 T en obligations. Donc au final, l'opération revient à ce que la FED donne 1 T en bons d'Etat au peuple. Est-ce si mal ? Est-ce que ces bons d'Etats ne sont pas mieux hors des mains de la FED ? (je ne vois pas trop l'intérêt de la FED mais j'imagine qu'on va lui tordre gentiment le bras)
  3. En matière de stratégie politique, l'observation des gaullistes n'est pas des plus instructive.
  4. Si. Je sais bien que ce n'est pas dans nos gènes, mais justement, je pense qu'on doit faire preuve de bisounousserie face à toute production libertarienne. Il y a des tas de marxistes sérieux et d'intellos de gauche qui considèrent les militants de base comme des crétins incohérents, mais en public (et même en privé quand des militants de base sont présents) ils sont réellement solidaires et soutiennent tous les "indignés" de la terre. Par principe et parce que ça marche à long terme. Par contre, ils sont prêts à tuer les déviants et les révisionnistes. Mais les camarades débiles auront toujours droit à un petit mot gentil pour les encourager. ceux qui font de la com' de masse et du grassroot produiront toujours un certain nombre de déchets. Il n'empêche ! Ils attirent l'attention sur le mouvement et les gens intelligents et curieux finiront toujours par retomber sur les textes des intellos. Donc, ils ne détruisent pas ton boulot mais ils jouent les rabatteurs. Et on aurait un peu plus de rabatteurs si on était systématiquement enthousiastes de leurs idées. Comme ça, par principe.
  5. Il faut en tout cas faire très attention à ne pas prendre pour des mesures libérales des mesures de bonne gestion socialiste. (je pense en particulier aux dossiers comme les retraites, le contrôle des chômeurs, etc)
  6. En fait, je pense que nous avons tous un devoir de gentillesse les uns envers les autres. Quand on affronte les hordes étatistes, on s'en prend quotidiennement plein la figure. Il est bon d'avoir un zone de paix et de calme où l'on est sûr de retrouver un peu de compassion, de douceur et de gentillesse. Si chacun était convaincu (par l'exemple) que ce havre de paix existe, on aurait peut-être encore plus d'initiatives.
  7. J'ai rencontré deux des fondateurs, Jean-François N. et Gilles M. Ce sont d'honorables libertariens, biens sous tout rapport, qui souhaitent copier en France ce que nous faisons avec le Parti Libertarien en Belgique. Comme tout projet, il aura ses faiblesses et je vous invite à leur accorder une bienveillante sympathie.
  8. Ben, justement, tu vas faire une bonne approximation de la masse monétaire. Donc tu n'as pas résolu la question de la différence (éventuelle) en PIB et masse monétaire.
  9. Et bien, nous sommes dans l'idéal !
  10. Et bien, je ne suis pas d'accord avec toi. Le féminisme a gommé la féminité offrant à la femme une construction identitaire basée sur une imitation de l'homme. Ce qui se joue en ce moment, c'est bien un retour vers la féminité, c'est à dire un retour vers une plus grande division des rôles sexuels avec une ré-appropriation par les jeunes femmes des techniques de leurs grand-mères.
  11. Iconoclaste et 1001 nuits sont effectivement les deux références dans le domaine. C'est LA tendance du moment. Les nanas de plus de 30 ans, on les a envoyé à l'unif pour qu'elles aillent faire de grrrrrandes carrrrrrières et, in fine, elles rêvent toutes de patisserie et de travaux d'aiguille. Tu mets en couverture Don Draper qui mange un cupcake à coté d'une Bernina et tu vends 1 million d'exemplaires la première semaine. On trouvera bien un moyen pour établir un rapport avec la choucroute. Super ! je te contacte par MP C'est un projet de pro avec des commerciaux et tout le tintouin. Les titres seront évidemment adaptés au public cible. Le respect de la vie privé est un thème immense et incontournable. Je suis preneur. Et, effectivement, pourquoi pas un texte collaboratif ? (quoi que je ne crois pas que ce sera plus simple pour autant)
  12. Bonjour à tous, Michel Desgranges, Président du conseil de surveillance des Belles Lettres, et moi avons lancé un nouveau projet éditorial libertarien. Il s'agit d'éditer de petits livres (50 pages format poche) qui traitent d'une question de société avec une perspective libertarienne et/ou autrichienne. L'idée est de parvenir à convaincre Madame Michou qu'elle vivrait mieux sans l'intervention permanente de l'Etat, à l'aide d'exemples concrets. L'objectif est de quitter les épais traités théoriques (que j'apprécie par ailleurs à leur juste valeur) pour s'ouvrir à un nouveau marché qui n'a jamais entendu du libertarianisme. Ces petits livres devraient être accessible près de la caisse des libraires et susciter un achat impulsif pour le thème. Vite vu, vite acheté, vite lu. Et ensuite, espérons-le, conseillé au voisin. A titre d'exemple, les thèmes suivants sont abordés par nos premiers auteurs : L'inflation législative, le marché de l'essence, les prohibitions de l'alcool, le retour de la féminité, la politique de la petite enfance, etc. Cette collection a également pour objectif de faire découvrir de nouveaux auteurs venus de la blogosphère libérale. Je suis donc à la recherche d'amateurs qui souhaiteraient passer pro. Le format du livre (50.000 caractères) correspond à 10 ou 20 post sur un blog et est donc à la portée de beaucoup d'entre vous. Je suis ouvert à toute suggestion de thème du moment que ça ne ressemble pas à "une approche heideggeriennne de la double herméneutique appliquée au néo-malthusianisme et sa réfutation par la praxéologie de Gunnar Skirbekk" Si l'expérience vous tente, vous pouvez me contacter soit par MP soit par mail smets . pat (at) gmail . com. Je suis évidemment à votre disposition pour vous aider à affiner un sujet ou à progresser dans la recherche et la rédaction.
  13. Merci à Librekom pour son gentille intention, mais la moitié de ces bonnes femmes sont des boudins imbaisables.
  14. Il parait que ça fait grassroots…
  15. Pour rappel, c'est demain ! info inscriptions
  16. En bonne justice, il faudrait traquer chaque avantage indu depuis 1945. En pratique, je suis prêt à l'imputer en "pertes et profits" et puis basta ! C'est plus important pour moi de mettre fin à la source des injustices que de corriger celles déjà commises.
  17. Quelques remarques sur ces points qui doivent encore faire l'objet d'une discussion et d'un vote au Congrès de Fondation 1°) la neutralité militaire est une mesure symbolique qui met en avant le principe fondamental de non-agression qui définit le libertarianisme. Le but de la neutralité n'est pas de faire des économies (après tout, on pourrait être neutre tout en entretenant une grande armée très coûteuse), mais de lutter contre deux effets indésirables de l'impérialisme, la propension à s'occuper de la vie du voisin et la tendance à abandonner nos libertés au nom d'un guerre qui nécessite de serrer les rangs. 3°) La TVA est un impôt obligatoire pour tout pays qui fait partie de l'Union Européenne. Nous ne proposons pas de sortir de l'UE donc nous ne pouvons pas abolir la TVA. Par ailleurs, la TVA est le moins mauvais des impôts parce qu'il ne nécessite pas de ficher les particuliers. Une fois une flat tax instauré, rien n'empêchent les gouvernements suivants d'augmenter le taux et de complexifier le système. Une fois l'impôt limité à la TVA, nous pouvons effacer l'ensemble des bases de données du fisc et dissoudre tous les services chargés de récolter les données. La restauration d'un impôt confiscatoire sera plus difficile. 5°) Bien sûr que tous les privilèges légaux doivent être abolis, mais il ne faut pas tomber dans le politiquement correct et il faut rappeler qui sont les plus gros bénéficiaires du système actuel. Par ailleurs, les niches fiscales ne sont pas des privilèges et il est hors de question de proposer une quelconque forme d'augmentation des impôts quel qu'en soit le pretexte. Aucun individu particulier ne doit payer plus d'impôts avec nous que sans nous. 7 et 9) les axes programmatiques doivent encore être déclinés en propositions concrêtes 10) Notre objectif, c'est la pédagogie et la diffusion des idéaux libertariens, pas l'amabilité envers les petites vieilles. Ce qu'il convient de faire passer comme message, c'est que chacun a le droit de se foutre en l'air sans demander l'avis de son voisin. Par ailleurs, il convient de mettre en évidence tous les effets pervers de la prohibition, pas de parler de la réinsertion des drogués. 11) l'étalon-or, c'est clair, ça parle à tout le monde et c'est libérallal. Le concurrence des monnaies viendra dans un sous-chapitre. 12) Tout d'abord, tu sous-estimes terriblement l'ampleur du problème si tu penses que qui que ce soit est capable de rembourser la dette en 10 ans. Ensuite, je suis un peu surpris de la difficulté qu'ont les libertarien a percevoir le potentiel révolutionnaire de l'annulation de la dette. C'est notre seule arme contre l'Etat et nous comptons bien nous en servir. J'explique ici comment l'organisation d'un débat sur l'annulation de la dette prend place dans une stratégie politique libertarienne. Nous aurons encore beaucoup de pédagogie à effectuer sur ce point, mais je signalerai déjà que nous avons Rothbard dans notre camp. Je pense que c'est une référence qui ne souffre aucune discussion.
  18. ATTENTION : lors du congrès du 11 novembre, et seulement ce jour-là, vous aurez l'occasion d'acquérir le statut de Membre Fondateur. Plus d'info
  19. Je ne sais pas si c'est particulièrement autrichien comme approche, mais je trouve ça fascinant comme idée.
  20. Si je résume correctement ce que tu m'expliques Une fois abandonnée l'absurdité de la valeur-travail, les biens et services ne sont plus comparables entre eux autrement que par le prix. Si je prends l'ensemble des biens et services et que je multiplie chacun par son prix, je tombe nécessairement sur la masse monétaire. Donc la croissance d'un PIB chiffré ne peut être lié qu'à l'accroissement de la masse monétaire. C'est bien ça ? Et si c'est la cas, comment fait-on pour évaluer sérieusement la richesse d'un pays, parce que quand même la France, c'est pas le Niger et qu'il faut bien essayer de quantifier la différence entre les deux…
  21. @ raoul, loin de moi l'idée de vouloir démontrer que tu as tort. Au contraire, je lis tes interventions avec intérêt. (d'autant plus que je ne connais rien du tout à la construction du PIB)
  22. ou le solde primaire ? @Raoul, Il y a un truc qu'on calcule tous les mois qui s'appelle le PIB et un autre qui s'appelle l'inflation. Si je soustrais le second au premier, j'obtiens un machin que j'appelle la croissance réelle. Je suis tout prêt à croire que ces bidules de technocrates keynésiens n'ont aucune validité sérieuse, mais on les emploies quotidiennement. D'un point de vue argumentaire politique, il est impossible d'en sortir à ce jour.
  23. Dans l'article de wikipédia, on spécifie qu'il s'agit du taux de croissance nominal (càd inflation incluse). Ce qui confirme par la théorie ce que les spreadsheet de Chitah et moi-même semblait indiquer. La dette peut-être maîtrisée sans coupes budgétaires à partir du moment où le taux de croissance réel est de l'ordre de 2%, ce qui n'est pas hors d'atteinte. Politiquement, c'est un résultat qui m'ennuie un peu, en fait…
  24. Je résume l'article pour ceux qui ont la flemme Dans un système où les pouvoirs publics peuvent agir sur les taux d'intérêt de la dette publique (US, Japon, UK?) Tout dépend du rapport entre tx de croissance et tx d'intérêt. Si taux d'intérêt < taux de croissance, le système converge vers un état stable Si taux d'intérêt > taux de croissance, le système diverge lentement sans effet explosif à court terme. Dans un système où les pouvoirs publics ne contrôlent pas les taux d'intérêt et sont dépendant des marchés financiers, le taux d'endettement influence les taux d'intérêts. Dans ces conditions, la divergence du système s'alimente elle-même et il y a un emballement du niveau de la dette. Le processus est bien connu et la politique du FMI consiste à isoler le malade, pour lui faire réduire son déficit primaire afin de mettre fin au processus explosif avant de le relâcher sur les marchés financiers. Le tout doit être accompagné de mesure de croissance qui ne plombent pas le déficit primaire. Pour ce qui m'intéressait, je retiens que, pour mettre la dette sous contrôle, il faut que le taux de croissance soit supérieur au taux d'intérêt. Il me reste une question (pour cedonc ?) Est-bien le taux de croissance réel (hors inflation) qui doit être supérieur au taux d'intérêt (lui-même fort impacté par le niveau d'inflation) ? ou est-ce un taux de croissance "facial" ?
  25. Merci Cedonc. Je crois que c'est ce que je cherche.Je lirai ça en détail ce soir.
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