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Harald

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Tout ce qui a été posté par Harald

  1. Sur ce point, l'écolo moyen avec sa sympathique 2cv ou sa vieille coccinelle (j'allais oublier le vieux combi VW) pollue nettement plus qu'un SUV actuel. Question d'image certainement. C'est tellement plus cool de ressembler à un crevard de décroissant quitte à polluer plus.
  2. On risque de manquer de murs pour y coller l'engeance verte.
  3. Merci, pour ma part j'aurais été beaucoup moins diplomate et nettement plus cru.
  4. Harald

    Top ringardos

    Une vieillerie, j'avais 7 ans… EDDY MITCHELL - 1969 - Moïse
  5. En fait il y a deux choses qui caractérisent le nazisme (délires idéologiques hitlériens mis à part) : une bureaucratie tatillonne à l'extrême (la lecture des Bienveillantes est éclairante sur ce point) et une anarchie interne incroyable.
  6. Si on en vient à discuter de la primeur en matière de casse urbanistique on peut alors remonter à napoléon à qui l'on doit le percement de la 1ère grande artère de paris : la rue de Rivoli. Assez bizarrement ce fut un échec au point qu'il dut exempter les futurs habitants de pas mal de taxes pour qu'ils daignent y installer leurs pénates. Quant à Haussmann, oui je connais et je n'en pense pas spécialement du bien. Derrière l'alibi hygiéniste il y avait la volonté de traverser la capitale de grandes artères permettant le déplacement rapide de la soldatesque pour mater la population. Vous parlez d'une vision !
  7. Si. Fait lui passer une nuit dans un congélateur.
  8. Les urbanistes sont la peste des temps modernes. Nous leur devons les cauchemars quotidiens qui nous tiennent lieu de ville depuis les années 60/70. Ils ont accouché des pires concepts du modernisme : créer une ville nouvelle pour y loger l'homme nouveau. Projet digne d'un humaniste stalinien voire maoïste, mais comme ce sont de gentils occidentaux on s'est longtemps émerveillé de leurs travaux. Il n'y a pas besoin de penser la ville. Laissez donc les gens vivre. Ils adhèrent spontanément à certaines formes d'organsiation et en délaissent naturellement d'autres, lorsqu'on leur en laisse l'opportunité, bien sûr. Croyez-vous que Florence ou Paris sont nées des délires urbanistes de je ne sais quel débile constructiviste ?
  9. De fait, un peu de curiosité, un peu de matos acheté chez Leroy-Merlin et tout un chacun peu fabriquer une arme à 1 coup.
  10. Pourquoi se compliquer la vie : Calibre 36, poudre noire. En vente libre. J'ai possédé un tel joujou et ça fait de très gros dégâts.
  11. J'ai été parisien jusqu'à mes 22 ans. Je n'ai eu besoin d'un véhicule qu'à partir du moment où je suis devenu banlieusard, centralisme des transports en commun obligeant. Ceci dit vous ne répondez en aucune façon à mes observations quant au comportement des cyclistes parisiens. Enfin dire que Paris n'est pas fait pour la voiture, c'est à mon sens l'appréciation de quelqu'un qui n'a pas connu la ville dans les années 60/70. Si je le concède le volume de véhicules était moins important, il ne faut pas perdre de vue que bon nombre d'aménagements modernes (voies rapides, etc.) n'existaient pas encore ou seulement à l'état embryonnaire. Au final, on roulait très bien à Paris avant Chirac, Tibéri et Delanoë qui se sont évertués à faire de la capitale une ville morte, vidée des classes moyennes et populaires qui usaient de la bagnole au quotidien. Vos revendications sont identiques à celles des bobos parisiens qui adulent St Bertrand le libéral. Exemple ?
  12. Je m'en tamponne. Je suis patient, j'ai la clim, un stock de cd. Et puis je hais le cycliste urbain qui s'imagine détaché de toute obligation de respecter le code de la route, qui grille les feux de circulation, qui tourne sans indiquer préalablement son changement de direction, qui zizague entre les voitures en rayant les carrosseries au passage sans avoir la plus élémentaire courtoisie de s'arrêter, s'excuser et faire un constat. Paris devient un enfer à cause de ces connards et le pire dans l'histoire, c'est que tu risques d'être sérieusement emmerdé si par malheur tu en écrases un, même si il est en tort. En ville le danger c'est le vélo, surtout si tu es automobiliste.
  13. Plutôt crever que de ressembler peu ou prou à ça :
  14. Voilà. Pour ma part, je n'utilise que très rarement les transports en commun. Outre le fait que les métros ou RER puent, sont bondés, que les débrayages et autres arrêts de travail en solidarité avec le copain agressé alors qu'il se rendait au travail, que les trains supprimés, les retards accumulés pourrissent la vie du banlieusard, ils sont fort mal organisés. Pour aller d'une banlieue à l'autre, il faut passer par Paris. De plus certaines lignes sont assez dangereuses car fréquentées par la voyoucratie. Par ailleurs, le train oblige le plus souvent à recourir ensuite soit au taxi, soit au bus. Fameux gain de temps en fait ! Tout cela me pousse à être en pleine conscience un mauvais citoyen, individualiste, qui prend sa bagnole pour se déplacer seul ou en famille, qui ne pratique pas le covoiturage en raison d'une certaine misanthropie qui ne va pas s'amenuisant et d'une détestation de toutes les vaches sacrées du moment. Ceci dit j'aligne bon an, mal an quelques 30.000 km.
  15. A propos de l'antienne "c'était mieux avant" et sur les homicides en milieu domestique : Le taux global des homicides pour la Belgique, l’Angleterre, la France, l’Allemagne, l’Italie, la Suède et la Suisse, de 1950 à 1995, montre une nette augmentation qui a débuté vers 1970. Grosso modo, d’environ 0,9 à 1,5 pour 100 000 habitants. Au vu de cette courbe, l’observateur pourrait penser que la violence est un phénomène typique du monde moderne. Néanmoins, un graphique sur une très longue période démontre plutôt le contraire. Les taux d’homicides ont chuté de quelques 30 à 50 par 100 000 habitants au moyen-âge, à 20 au XVIème siècle et encore moins pour chaque siècle suivant, pour parvenir à une moyenne tournant autour de 1 pour 100 000 au XXème siècle. En calculant les moyennes par siècle on ne se rend évidemment pas compte de l’escalade qu’il y a eu depuis 1970, mais cette augmentation apparaît très modeste sur l’arrière-plan de la baisse à long terme. Cette baisse se vérifie dans toutes les régions européennes pour lesquelles nous avons suffisamment de données, mais plus tard dans le Sud de l’Europe que dans les autres pays. Lorsqu’ils sont examinés par pays ou par ville, les taux d’homicides montrent parfois des fluctuations ou des poussées temporaires. Ainsi les taux d’homicides d’Amsterdam sont d’abord conformes au modèle européen, avec une baisse de presque cinquante au XVème siècle à juste un peu plus de vingt à la fin du XVIème . Au cours des années 1660 et 1670, ils sont très bas – avec probablement un sous-enregistrement – juste au-dessus de trois. Puis entre 1690 et 1720 on note un pic autour de neuf, après quoi la baisse reprend, avec un taux d’environ deux au début du XIXème siècle. Dans les années 1990 le taux d’homicides à Amsterdam était de nouveau à six. L’augmentation moderne s’est intensifiée à Amsterdam parce que la violence moderne se concentre dans les grandes villes cosmopolites. Pour l’ensemble des Pays-Bas, la hausse est beaucoup plus modeste : d’environ 0,4 dans les années 1950 à environ 1,4 dans les années 1990. Constatant que dans un grand nombre de pays européens les taux d’homicides sont plus faibles depuis 2000 que dans les années 1990, nous avons une indication que la poussée récente est peut-être terminée, voire en train de redescendre. Récemment, Amsterdam a connu une chute spectaculaire. Alors que la police comptait trente-cinq homicides en 2005, en 2006 il n’y en avait que dix-sept. Dans son discours de janvier 2007, le chef de la police Bernard Welten a déclaré : Nous avons arrêté la vague des liquidations. Il entendait dire qu’avec l’arrestation de quelques chefs supposés du crime organisé, la violente compétition entre les organisations illégales avait plus ou moins cessé. Cette affirmation doit bien sûr être soumise à une étude scientifique. Elle souligne le fait incontestable qu’aujourd’hui, comparé au passé, un plus grand nombre d’homicides ont leur origine dans le crime organisé. Cette conclusion découle d’un certain nombre de recherches approfondies, mais c’est un élément qui reste souvent dans l’ombre dans les analyses des taux globaux au niveau national. La deuxième grande tendance à long terme de l’homicide concerne une augmentation importante de la proportion des victimes intimes. Les données de recherches effectuées en Angleterre, aux Pays-Bas et en Allemagne, montrent que jusqu’au XVIème siècle le pourcentage des victimes intimes d’homicides était nettement en dessous de dix, avec cinq comme moyenne. Il a grimpé à seize au XVIIème siècle, trente au XVIIIème , tandis que quarante ou plus était assez courant après 1800. À Amsterdam le changement est survenu vers le milieu du XVIIIème siècle. Entre 1700 et 1750 la victimation par des étrangers comptait pour 44% et par des intimes pour 14,7%. Au cours des soixante années suivantes ce rapport s’est inversé : 17,5% pour 42,5% (ces derniers chiffres étant probablement quelque peu tendancieux). Il faut aussi ajouter que puisque les taux d’ensemble diminuaient dans une proportion beaucoup plus élevée, le taux de victimation intime diminuait également. Une évaluation approximative, basée sur un ensemble de données européennes, donne 2 homicides du côté des intimes sur une population totale de 100 000 habitants au moyen-âge et 0,5 après 1800. Ces évolutions s’observent non seulement dans le cas des homicides, mais plus généralement dans de nombreuses formes de violence interpersonnelle. Pour la période contemporaine, les études sociologiques en France et en Allemagne suggéraient que cette tendance continue avec une force renouvelée, grâce à deux processus sociaux majeurs. - Premièrement, une hausse des dénonciations de certains types de violence : violences contre les femmes et les enfants, dans l’environnement domestique mais aussi au travail, à l’école et dans de nombreux endroits où les jeunes vivent – y compris les établissements judiciaires – qui étaient beaucoup plus tolérées dans le passé. - Deuxièmement, il y a un processus de « judicialisation » lié en partie aux nouveaux styles de vie, moins de liens communautaires, l’augmentation des conflits familiaux et conjugaux concernant le divorce, séparation et garde des enfants. Par exemple, la propension à signaler la violence domestique est probablement due à une plus grande sensibilisation plutôt qu’à un changement dans les comportements en soi. http://www.gern-cnrs.com/gern/fileadmin/do…__03_fr_WP2.pdf
  16. Faudrait le dire à Orange, il leur reste certainement un stock de Bi Bop à fourguer.
  17. Et alors ? On ne peut pas aller bosser avec un ledsled ?
  18. La voiture d'hier, d'aujourd'hui, de demain, c'est ça :
  19. Comme les flamands.
  20. Maurice, vous êtes un condensé, une synthèse. Il faudrait vous mettre sous cloche, à Sèvres. Vous serviriez de mètre étalon. Merci à M. Audiard.
  21. En Suède ils ont lancé la burqa pour électrosensibles.
  22. Qu'en pensent les cadors de l'UMP ?
  23. Epithète qu'il ne le sait pas.
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