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free jazz

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  1. free jazz

    Top ringardos

    Dans un certain sens oui, il s'agissait alors de faire une musique qui soit injouable et donc incompréhensible par les oreilles blanches de l'époque, car elle exigeait une trop grande connaissance technique. Les plus grands noms du jazz viennent pourtant de cette période d'une richesse insolente, du bop au free : Art Blakey, Max Roach, Sonny Rollins, Donald Byrd, John Coltrane, Miles Davis, Mac Coy Tyner, Clifford Brown, Charles Mingus, Horace Silver, Wayne Shorter, Paul Chambers, Ornette Coleman, Albert Ayler, Charlie Haden, Roland Kirk, Archie Shepp, Don Cherry, Cecil Taylor, Pharoah Sanders, etc. La pop-rock anglaise n'est-elle pas in fine anecdotique dans l'histoire musicale du XXè s?
  2. free jazz

    Top ringardos

    Taranne faisait sans doute référence à la musique afro-américaine ici, dans un sens similaire où l'on parle de musique arabo-andalouse. Les racines du blues se trouvent au Mali et ont été importées en Amérique par la traite. Historiquement, le développement des spirituals, du gospel, du blues, du jazz et du hip hop, a bien comporté une dimension identitaire et ethnique, qui a évolué en opposition à la musique européenne blanche - bien qu'en fait, elle en ait revisité certaines gammes. Ce sont donc des musiques hybrides. C'est particulièrement vrai dans le jazz où les différents styles, du bop au free, sont apparus comme des innovations permettant aux musiciens noirs de se démarquer de la concurrence du jazz "blanc". Et ainsi d'éviter le phénomène de normalisation qui s'est produit dans le rock, particulièrement dans sa pire forme, la pop-rock anglaise.
  3. Pourtant ton pseudo pouvait laisser penser que tu étais du côté des libertaires en ce qui concerne la fumette. Plus serieusement, la prohibition qui traduit pénalement la politique de contrôle hygiéniste de la population par le gouvernement, relève typiquement d'une idéologie progressiste visant l'amélioration de la société par la santé publique et le système de sécurité sociale. Un corps sain dans un esprit sain, c'est-à-dire corvéable et docile, une jeunesse sportive et immunisée contre les vices, voilà un principe qui émerge des objectifs de la social-démocratie. La prohibition des drogues est une étape incontournable de ce programme, celui de la marche utopique et forcée vers le progrès social. D'ailleurs les drogues ont circulé pendant des siècles sans que les autorités traditionnelles ne cherchent à réguler ou empêcher ce phénomène aussi vieux que l'humanité. Il y avait une consommation socialement intégrée, plutôt bourgeoise. Ce sont des Etats interventionnistes qui ont instauré ce régime de prohibition et ce contrôle sanitaire au XXè siècle, en faisant exploser les profits pour les mafias et donc la consommation. Les problèmes modernes engendrés par la prolifération de la criminalité liée au trafic, sont des conséquences des politiques modernes de gestion politique de la vie médicale des individus. Aussi, ça me fait doucement rigoler quand de prétendus conservateurs défendent la prohibition, d'accord en cela avec tous les régimes progressistes.
  4. Certes, mais cela n'implique pas que tu puisses contrôler cette chose indépendamment de ses conséquences sur les autres individus, ni que tu la contrôles dans le même sens que tu contrôles ton corps. Par ce biais, je voulais te faire sentir que ta prémisse selon laquelle les individus ont des droits séparés dont le respect est une fin en soi, est insuffisante pour expliquer ta conception de la propriété, qui implique aussi selon ta définition un certain genre de vie rationnel plutôt qu'irrationnel, en termes objectivistes.
  5. En quoi cette transformation de la nature par du travail donnerait-elle à l'individu des droits séparés des autres individus? Qu'est-ce qui motive l'être humain à choisir d'utiliser son énergie pour créer et améliorer sa propre situation, plutôt qu'à agir comme un automate contrôlé par un tiers, ce qui serait en fin de compte plus facile?
  6. Tu confonds avec le léninisme. ça c'est la vulgate marxiste à destination des masses. En principe, dans le pur dogme marxiste, il n'y a pas besoin d'une classe de révolutionnaires professionnels. Il ne faut pas oublier le caractère eschatologique de cette théorie. En toute logique marxiste (c-à-d les lois de la dialectique), la révolution émerge des conditions sociales, sans orientation volontaire de l'histoire, puisque les desseins individuels sont une illusion produite par l'idéologie. Ici l'individu est vu comme quantité négligeable, seules comptent les forces sociales induites par les rapports de production et l'idéologie de chaque classe. Dans cette vision, la "mission" du prolétariat est déterminée selon un processus pseudo-scientifique. La première classe révolutionnaire est la bourgeoisie, dont la tâche historique est de détruire la société féodale. Pour Marx, la révolution française achève cette étape en instaurant la domination politique bourgeoise par la démocratie libérale. A cette domination correspond le développement international du capitalisme et du commerce mondialisés, qui permet l'émergence du prolétariat de tous les pays et la destruction progressive des Etats nationaux. Ainsi les phases révolutionnaires sont produites par le développement des contradictions internes du capitalisme: d'abord économiques, puis contradictions sociales à travers la lutte des classes. Dans le pur dogme marxiste donc, c'est la crise ultime du capitalisme mondialisé et l'écroulement du commerce international qui poussera le prolétariat à se révolter contre ses "maîtres". Il suffit d'un prophète qui anticipe cette crise finale, en expliquant au prolétariat sa "mission" et son programme. C'est pourquoi Marx ne croyait pas possible la révolution communiste en Russie, qui en était encore au stade de l'économie féodale. Il fallait que le processus commence dans un pays où le capitalisme était assez mûr. En revanche, le léninisme est une théorie qui explique comment faire la révolution à contre-sens de l'histoire, elle suppose qu'une élite de révolutionnaires professionnels peut manipuler les masses pour imposer la dictature du prolétariat partout dans le monde. Tu touches là au caractère contradictoire de cette mystique révolutionnaire : d'un côté elle est l'objet d'un culte pieux, ce "grand soir" imaginé comme un événement inéluctable et imminent par les croyants; mais d'un autre côté, faire la révolution est impossible s'il ne se produit pas de grande catastrophe. Elle ne peut être provoquée, ce qui leur permet aussi de continuer à croire au communisme comme Salut terrestre et consolation future. C'est pourquoi les communistes sont tiraillés entre l'espérance d'une crise finale prochaine du capitalisme et une agitation révolutionnaire qui tente de la provoquer vainement. Le déni de réalité et la foi eschatologique en sont les principes. Les libertariens sérieux ne disent pas cela. La défense et la promotion pour chacun de sa vie propre sont bien le fondement de la propriété, mais les interprétations divergent sur le sens et les limites de cette défense de la vie. La mondialisation libérale, les réseaux, les organisations transnationales, les communautés et nouvelles formes d'organisation locales vont pourtant dans ce sens. A mon sens l'anarcapie concerne les évolutions locales, elle n'a pas besoin de plan global, mais d'un processus de libre choix permettant l'émergence d'élites naturelles. C'est une catallaxie sur le long terme. Comme dit plus haut les anarcaps qui rêvent d'une disparition rapide des Etats nations sont des naïfs. D'autre part cela n'entraînera pas la disparition des conflits ni de la violence sociale, sur ce point je suis d'accord avec toi.
  7. Il faut distinguer entre le finalisme revendiqué par certains libertariens, lié au principe que l'éthique est contenue dans la nature sociale de l'homme, et l'importance de la volonté. Ce concept d'orientation voulue de l'histoire n'existe pas dans le système de Hegel, puisque la Raison y gouverne l'histoire selon un processus déterminé par les lois de la dialectique, qui ne laisse aucune place aux dessins individuels conscients : "Les hommes font l'histoire mais ne savent pas l'histoire qu'ils font." Aussi l'action des grands hommes obéit par une "Ruse" à une architecture globale, comme Napoléon dont les plans de conquête servent à accomplir la synthèse de son époque (esprit du temps), des Lumières et de la terreur. Cette vision de l'histoire comme processus organique et spirituel emprunte davantage aux méditations sur le christianisme qu'à la philosophie cartésienne de la volonté. Or dans le système hegelien ce gouvernement rationnel de l'histoire conduit justement à la constitution d'un gouvernement mondial qui réalise la synthèse de l'Etat et de la société civile. Idem dans le système de marx, qui en est une variante matérialiste : la volonté ne joue aucun rôle, puisque ce sont les lois du matérialisme qui déterminent le mode de production dont dépendent les rapports sociaux; ou en termes marxiens, la superstructure qui détermine les consciences individuelles. C'est pourquoi Marx souhaite l'extension du capitalisme pour provoquer sa crise finale et pousser les prolétaires à la révolution. Notons que jusqu'à présent cette conception de l'histoire a plutôt séduit des libéraux classiques comme Fukuyama, qui voient la fin de l'histoire dans la démocratie libérale. Comme dit Neneu2K, tu oublies que l'anarcho-capitalisme se définit comme un ensemble de propriétés émergentes par percolation, spontanées au sens de Hayek. Le développement des copropriétés et des villes privées n'implique ni révolution, ni tabula rasa. Il n'a rien de planifié. Si processus il y a, il n'implique que le droit de sécession et la coopération des individus. De plus l'incompatibilité supposée de certains libertariens avec en gros la morale judéo-chrétienne, ne serait-elle pas plutôt un effet de leur absence de finalisme? Je dis supposé, car en réalité rien n'interdit apriori le développement de ligues morales dans une société libertarienne. Ce qui est affirmé, c'est que cette société n'a pas de moralité préconçue. Au fond, j'entends bien ta critique : les anarcho-capitalistes seraient en réalité des révolutionnaires utopistes déguisés en libéraux. Mais je crois que cette critique concerne certains de nos camarades libertariens un peu naïfs et trop impatients de voir réaliser leurs souhaits. En fait si l'anarcapie suppose bien un optimisme sur le long terme, elle n'implique pas d'attitude utopiste si on la définit comme un idéal régulateur.
  8. En fait le marché noir des armes est surtout plus facilement accessible aux criminels, car il est moins aisé de vendre sous le manteau une Kalachnikov qu'un sachet de poudre. L'intérêt de la légalisation c'est aussi la responsabilisation des individus. Alors qu'aujourd'hui les cures de désintoxication et les produits de substitution sont payés par autrui via la SS, la légalisation ne pourrait avoir des effets vertueux que si chacun assume les conséquences de ses vices. Une prise en charge publique des toxicomanes reviendrait à subventionner leur conduite et donc financer leur vice, ce qui n'est pas acceptable dans une société libre.
  9. L'argument utilitariste selon lequel en gros la drogue, c'est mauvais et nuisible à la santé, donc pour maximiser le bonheur collectif il faut l'interdire, ne tient pas la route. Car il n'y a aucune difficulté à se procurer la plupart des produits stupéfiants sur le marché noir, sauf qu'on ne peut jamais connaître la qualité du produit par avance, s'il est frelaté ou bien au contraire trop pur. La plupart des overdoses viennent de là. Les prohibitionnistes version utilitariste sont donc soit des menteurs, soit de dangereux empoisonneurs publics qu'il faudrait écarter de la société pour le bien de la jeunesse, population la plus exposée aux risques. Du point de vue utilitariste, la prohibition encourage la criminalité et incite nombre de jeunes gens soit à fréquenter des criminels, soit à devenir eux-mêmes membres de réseaux mafieux. Son utilité marginale est faible, comme le montre l'échec des wars on drugs, qui ont fait exploser la consommation depuis qu'elles sont conduites par des Etats interventionnistes pratiquant le fascisme sanitaire. D'autre part ces poncifs sur les méfaits de "la drogue" comme l'on parle des méfaits du capitalisme, s'inscrit dans la pensée magique et l'animisme primaire. Dans la réalité, il y a des drogues différentes pour des usages différents. On ne peut pas comparer l'usage ethnologique d'un psychotrope hallucinogène, avec celui du camé aux narcotiques ou opiacés. Ni l'usage récréatif du cannabis avec celui d'un gros fumeur de shit, ni celui du cadre dynamique ou du chef d'entreprise usagers de coke. Comme on ne peut comparer un amateur de grands crus classés avec les épaves humaines que sont les alcooliques accros aux alcools supérieurs à 40°. L'addictologie nous enseigne que tout peut être une drogue, c'est le rapport au produit qui est déterminant dans la conduite addictive. Je voudrais aussi souligner l'hypocrisie monstrueuse de notre société qui pourchasse les consommateurs comme des criminels, alors même que par son système si généreux de sécurité sociale, la surconsommation d'antidépresseurs en tous genres est encouragée. Cette toxicomanie subventionnée par le trou de la sécu rend accro une partie de la population à des produits dont la dangerosité n'a rien à envier aux produits illicites. Hypocrisie célébrée dans un reportage récent où l'on voyait des douaniers adipeux, le nez bouffi par l'alcool, se féliciter de leur saisie de cannabis en s'ennivrant comme des soudards devant les caméras. Et ces badernes ont des pouvoirs exorbitants, comme celui de désosser votre voiture sur simple présomption. Sans parler des vie brisées pour de simples passeurs.
  10. free jazz

    Supa Playlist!

    Si ça ne dérange personne, je continue mon lobbying easy jazz festif, pour apéro & piscine, si possible en agréable compagnie, en sirotant par exemple un mojito. Le Label Bleu, évoqué plus haut, est plein de perles jazzeuses, comme Julien Lourau, en passant par David Krakauer, Michel Portal, Henri Texier, Louis Sclavis, Aldo Romano, Daniel Humair, l'ONJ, Bojan Z, Magic Malik Orchestra, Socalled, Vincent Segal… En voici quelques unes. Comme cette reprise de Bowie par Bojan Z qui pourrait plaire à R.H, sur son dernier album "Xenophonia" superbe de bout en bout : Klezmer rules : David Krakauer's Klezmer Madness - Bubbemeises: Lies My Gramma Told Me [dailymotion]x33ogb[/dailymotion] Socalled - Ghettoblaster + Funky : Magic Malik Orchestra http://www.youtube.com/watch?v=U_Dv8-iw4vA…feature=related M.M avec Lourau + Electro-jazz, pour les amateurs de Herbie Hancock période Headhunters : Julien Lourau Les mêmes, plus énervés En passant, Hadouk Trio, c'est pas du Label Bleu (Abeille) mais c'est bon aussi Ensuite, pour faire danser sa belle, enchaîner sur de l'électro-jazz torride. Mais ce sera plus tard.
  11. free jazz

    Supa Playlist!

    Pas autant que Koenji Hyakkei , pas du tout easy , ou d'autres formations avec Tatsuya Yoshida. Un rayon entier de ma cdthèque est consacré aux groupes japonais déjantés avec des noms à coucher dehors. Mais j'ai vu Shibusa Shirazu Orchestra en live et c'est exceptionnel : spectacle total, une énergie qui met le feu.
  12. free jazz

    Supa Playlist!

    Tu ne trouves pas? C'est relativement easy, par rapport à du gros free qui tabasse. J'ai pu observer que ça passe bien en soirée, même auprès des gens qui n'ont pas l'oreille habituée au jazz. Ou auprès des amateurs d'électronica. En tout cas c'est plus easy que le Shibusa Shirazu Orchestra, que tu nous avais fort judicieusement conseillé il y a quelques temps.
  13. free jazz

    Supa Playlist!

    Disons que c'est un groupe transversal comme je les aime. Au départ Vincent Segal et Cyril Atef sont des musiciens de jazz, ensuite ils ont évolué vers la fusion ethnique & électronica. On le trouve plutôt dans le rayon musiques du monde maintenant. Puis le succès venant, ils officient comme sidemen pour des kadors de la variétoche française comme M ou la charmante Emilie Simon. Vincent Segal a d'ailleurs sorti quelques bons albums sur l'excellent Label Bleu, laboratoire d'innovations pour ouvrir le jazz à un public plus large. Je recommande celui-ci, pour ceux qui ont aimé Bumcello - avec entre autres Magic Malik ou Julien Lourau :
  14. free jazz

    Supa Playlist!

    Apéro jazz easy listening, pour danser près de la piscine, à côté du bar, avec à portée de main un cocktail frais; c'est ce qu'il nous faut par cette chaleur. Leon Parker Le nouveau Avishai Cohen Trio, des mélodies imparables et limpides sur du velour : Le dernier Yaron Herman Le dernier Jack De Johnette Bumcello Nils Petter Molvaer
  15. Disons aristocratie là où ta connaissance et ton jugement sont sûrs et dominants; snobisme assumé là où ton ignorance commence. (soit dit en toute amitié de ma part, et sympathisant de l'aristocratie tout court)
  16. Ou bien avoir été touché par quelque grâce, d'une voix ou d'une vibration particulière, comme le chant Soufi. Ou bien simplement par la virtuosité d'une technique instrumentale exceptionnelle. C'est justement cette modestie habituelle que je trouve exégérée. Quelqu'un qui vibre pour le "Cold Song" de Nomi et qui connaît "l'Ethique" de Pinhas, ne peut pas être si inculque - comme dirait Lucilio. ^^ Et j'avoue qu'il a pu me traverser l'esprit - que j'ai par nature mauvais, que cette passion pour le ringardos musical et le kitsch cinématographique pouvait contenir une sorte de snobisme. Ce que j'aime le plus chez Lucilio justement, c'est son snobisme de vieil esthète conservateur parfaitement assumé, surtout quand il n'entend rien au sujet.
  17. Ton snobisme est surtout placé ailleurs que celui des snobs ordinaires, dans une forme plus raffinée. Quant au rapport entre la curiosité pour les musiques non occidentales et le snobisme, je le vois mal, dans la mesure où ce dernier est plutôt, au fond, un refus de l'altérité. Inculque ou inculte, il faudra régler ce dilemne un jour. Sinon ta liste est excellente, même si elle manque un peu de film noir avec des détectives privés cyniques et alcooliques, des femmes fatales et des hotels louches. Miller est un dessinateur très surévalué; et effectivement 99% des BD sont médiocres.
  18. Tu as l'air de t'y connaître en musiques d'Asie centrale . Je pensais plutôt au festival de Samarkand, que nous envisagions de visiter avec Timur.
  19. Pareil, au moins il y avait de la légèreté et ça ne se prenait pas au sérieux. Sun Ra a d'ailleurs composé un hommage à la série en 1966, qui vaut le détour pour les fans : Qu'à cela ne tienne mon cher Timur, nous causerons de cinéma asiatique, qui lui est en excellente santé. Ou de musique des cultures de l'Altaï.
  20. Je suis assez d'accord avec Gadrel et Lucilio, ce film me paraît une sombre bouse pour ado attardé en mal de sophistication. Tout y est très convenu et prévisible. Cela me fait de la peine pour Michael Caine de le voir échouer ainsi dans cette galère. Mais mon avis n'a guère d'intérêt, puisque mes compétences en cinéma sont très rudimentaires. De plus le cinéma occidental contemporain, d'une manière générale, me semble d'une platitude désertique. A l'image de la décadence artistique chez les européens, en tout cas. Et ce n'est que le début d'une très longue période de décadence de l'Europe, qui redeviendra bientôt ce qu'elle fut dans les âges obscurs : un cap de l'Asie.
  21. free jazz

    Supa Playlist!

    Dédicace à Fred Frith, guitariste, compositeur et homme orchestre bricolo. Un des meilleurs disques de rock expérimental, la BO du film musical Step Across the Border ; où se croisent des artistes talentueux au gré de formations hétéroclites, comme René Lussier, Iva Bittová, Tom Cora, Tim Hodgkinson, Bob Ostertag ou John Zorn. Improvisations zen, inventions minimalistes pour guitares et percus: Fred Frith & Evelyn Glennie - A Little Prayer Fred Frith & Eitetsu Hayashi
  22. free jazz

    Supa Playlist!

    Soirée free jazz - rien que du très grand Charles Mingus - Freedom John Coltrane - Stellar regions John Coltrane - A Love Supreme Pharoah Sanders - Village Of The Pharoahs
  23. Rien que ça. Quel serial lover ce Rincevent. Toi tu vas terminer au poste fissa si ça continue
  24. Et même se brosser dans tous les sens. Bienvenue. N'hésite pas à m'envoyer un mèl si tu veux poursuivre notre discussion sur le marché libre des parents. ^^
  25. Ce serait encore lui faire trop plaisir. Le lombric, aussi nommé "intestin du monde", est considéré par les éco-sapiens comme un agent écologique majeur : un ami de Gaïa avec un rôle régulateur et purificateur des sols. Certains pensent que le lombric, comme alternative aux engrais et aux OGM, pourrait sauver la planète. Le lombric est ainsi l'objet d'un véritable culte néo-païen chez les environnementalistes et il a même un festival qui lui est dédié : http://www.lombric.ch/page.php?page=theme&smenu=smenu6 ^^
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