Vos arguments sont valables, et effectivement il semble que les pays anglo-saxon donnent plus et que la fiscalité joue un rôle.
Le revers de la médaille, c'est que les dons se font priotairement vers les causes les plus médiatiques, et qui'll se crée un marché de l'humanitaire. L'image y joue un rôle essentiel.
Je prendrais comme exemple le tsunami en asie du sud-est et le seisme récent (octobre) au pakistan : dans les 2 cas un désastre humanitaire mais une couverture médiatique très différentes et des dons qui suivent cette tendance.
L'état, même si vous pouvez le traiter de voleur, a envoyé des moyens dans les 2 cas.