Calembredaine Posté 24 septembre 2005 Signaler Posté 24 septembre 2005 Anyway, Sabato est bien plus intéressant qu'Alain Laurent - et je n'aurais jamais songé à comparer celui-ci à celui-là, du reste. <{POST_SNAPBACK}> C'est très subjectif. Sabato m'ennuie profondément. On peut exprimer des idées et des concepts complexes de façon concise et précise et sans enc*ler de mouches ce que Sabato et ses disciples ne savent pas faire. Mais bon, chacun son truc.
Tarzan Posté 24 septembre 2005 Signaler Posté 24 septembre 2005 - Grosse déception à la lecture de Qu'est-ce qu'une économie libérale ? de Jean-Claude MALAGUTI. (Lien)Du grand n'importe quoi saupoudré d'allusions à quelques slogans libéraux qui ont l'air de tomber comme des cheveux sur la soupe. J'ai sursauté en voyant le nom de Malaguti, mais après recherche, il s'avère que j'ai pensé à Paul Malaguti, qui n'est donc pas Jean-Claude, et heureusement pour nous d'ailleurs.
Invité plejarre Posté 4 octobre 2005 Signaler Posté 4 octobre 2005 Il y en a une quatrième, plus lente: la propagande, chacun de notre côté, qui fera que la demande politique changera, en espérant que cela entraînera une modification de l'offre politique. N'importe qui, en attendant, peut faire cela.Un parti libéral, je suis absolument pour, et je trouve que c'est une très bonne idée, longue vie et santé à ceux qui tenteront l'aventure, je suis de tout coeur avec vous! <{POST_SNAPBACK}> pas moi. on a quelqu'un qui represente le libéralisme. si on fait un parti libéral, la france sera libérale dans 20 ans. on a deux politiques qui ont un esprit assez libéral, sarkozy et madelin. si le premer passe le second aura des réformes à proposer. et ils auraient 3 ans avant la premiere sanction electorale. on a des gens qui cherchent à parler du libéralisme. comme moi qui ai connu ce qu'etait le libéralisme dans les années 70. le fonctionnement social marchait mieux et des gens expliquent ce que c'etait et donc ce qui serait possible de faire. pour le moment ca entraine surtout des reactions "en effet marre des impots et des charges " ou "arretons de payer ces sales fonctionnaires". pas positiif du tout mais ca a la mérite d'etre une reaction contre le socialisme. et meme si ca entraine encore un votre lepen au second tour. c'est deja quelque chose de positif. ca serait une grosse erreur que de faire un parti libéral, parce que ca diviserait les voix et on a pas besoin de ca.
Sous-Commandant Marco Posté 4 octobre 2005 Signaler Posté 4 octobre 2005 […]on a deux politiques qui ont un esprit assez libéral, sarkozy et madelin. si le premer passe le second aura des réformes à proposer. et ils auraient 3 ans avant la premiere sanction electorale. […] ca serait une grosse erreur que de faire un parti libéral, parce que ca diviserait les voix et on a pas besoin de ca. <{POST_SNAPBACK}> Le sujet a déjà été abordé maintes fois ici. En résumé: Madelin est l'homme politique français de premier plan le plus libéral mais n'a aucune chance d'arriver au pouvoir. Sarkozy n'est pas vraiment libéral. Il prend une posture libérale pour séduire l'électorat de Madelin comme il prend une posture kärchérisante pour séduire l'électorat de Le Pen. Le parti libéral permettrait d'éviter la confusion et la récupération du libéralisme par ce genre de personnages peu recommandables.
Ronnie Hayek Posté 4 octobre 2005 Signaler Posté 4 octobre 2005 ca serait une grosse erreur que de faire un parti libéral, parce que ca diviserait les voix et on a pas besoin de ca. <{POST_SNAPBACK}> On voit tous les jours la réussite d'une telle stratégie. Tant qu'on y est, on peut aussi approuver le régime du parti unique, ce sera moins compliqué et "les Français seront moins divisés"…
ricotrutt Posté 4 octobre 2005 Signaler Posté 4 octobre 2005 il faut bien garder en tête que l'idée des gens qui pourraient fonder un parti libéral ne serait pas de prendre le pouvoir immédiatement (dans ce cas pourquoi fonder un parti, autant déclencher la révolution non ? ) mais de faire connaître les idées, d'avoir une image, un symbole auquel se rattacher. Alors bien sûr certains libéraux refuseront de se rattacher au parti, le critiqueront tant qu'il pourront. Ils seront bien bêtes, mais on ne peut pas l'empêcher. Mais au moins on aura une vitrine politique claire, avec un discours de référence et qui sera présent dans les débats politiques que les gens regardent. Il est parfaitement utopique de croire que les choses peuvent changer immédiatement. C'est en ouvrant les esprits au libéralisme qu'on peut leur donner envie de se libérer, pas autrement !
Largo Winch Posté 6 octobre 2005 Signaler Posté 6 octobre 2005 Sarkozy n'est pas vraiment libéral. Attention, il faut être trés précis. Sarkozy n'est pas libéral du tout.
h16 Posté 6 octobre 2005 Signaler Posté 6 octobre 2005 En outre, il n'est pas vraiment ministre de l'intérieur. http://www.lefigaro.fr/politique/20051006.FIG0127.html
Messer Posté 6 octobre 2005 Signaler Posté 6 octobre 2005 Tiens pour le 2e tour Le Pen/Besancenot j'y ait aussi déjà pensé… Et à choisir entre un suicide social et un suicide économique, je préfèrerai voter pour le premier. Si le second passe, je gratterai à la porte de la Suisse. J'irais voir mes parents cool ils sont pas loin. Plus sérieusement, MA première probabilité est un Sarko/Le Pen. Allez, après avoir fait un carrefour carrière/emploi ce matin, je me suis apercu que je suis dans une branche sans avenir. Je me présente donc à la tête du futur PLF. Ne me remerciez pas !
Invité khano-et-khayek Posté 15 octobre 2005 Signaler Posté 15 octobre 2005 A mon avis, la réforme de l'EN se réalisera par le mouvement des parents qui seront de plus en plus nombreux à inscrire leurs enfants dans des écoles privées. Je pense que le système sera obligé d'évoluer malgré les syndicats enseignants et le conservatisme des partis politiques. En d'autres termes, la demande obligera l'offre à s'adapter.D'autre part, encore une fois, à notre propre échelle de citoyens lambda, nous pouvons oeuvrer dans le cadre de notre milieu professionnel, de nos relations sociales, etc. - tout en sachant, je le répète, que nous ne connaîtrons certainement pas les résultats d'un éventuel changement des mentalités. <{POST_SNAPBACK}> Tout à fait d'accord avec RH; on ne combat pas un systême en y cherchant sa propre place. Au contraire: 1) on le harcèle de l'extérieur : on exige des résultats, on s'ingère dans nos affaires (l'éducation de nos enfants ne doit pas être laissées au bien-pensants de gauche, par ex.), on s'associe pour faire respecter ses "droits" (assoc' de consommateurs), on trouve des alternatives aux services publiques (création d'école, de services privés), on nuit ostensiblement à l'état dès qu'on le peut (quiconque trouve une faille dans le systême l'exploite et le fait savoir). Cela nous permet aussi de ne pas avoir UNE ligne de parti, tentant de dégager une pensée libérale monilithique dont les débats de ce forum démontre le caractère illusoire. 2) on "milite" par l'exemple, on inculque un état d'esprit : c'est la concurrence des modèles, qui fait l'économie de toute coercition volontaire. 3) on laisse pourrir le systême collectiviste tout en se protégeant le plus possible en attendant (fonder un asile libéral en Suisse ou en Andorre ?) : l'URSS a implosé, la Chine s'ouvre à l'économie de marché d'elle-même, et on verra bien ce que deviendra Cuba aux lendemains de la mort de F. Castro. Laissez-faire (refus de solution -sic - politique) et se prendre en charge (individualisme entreprenant), aurait-on perdus nos principes ?
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