Taisei Yokusankai Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Ce forum contient un grand nombre d'interventions argumentées, bien écrites et intéressantes. <{POST_SNAPBACK}> Dit-il le contraire? Il ne fait que mentionner le cas de "plusieurs" intervenants, ça ne devrait pas être trop difficile à comprendre.
Taisei Yokusankai Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Plusieurs travaux montrent que le niveau, surtout celui de l'orthographe, ne baisse pas. C'est le contraire qui se passe… <{POST_SNAPBACK}> Source? Connais-tu les tests PISA?
L'affreux Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Dit-il le contraire? Il ne fait que mentionner le cas de "plusieurs" intervenants, ça ne devrait pas être trop difficile à comprendre.<{POST_SNAPBACK}> Il en fait un exemple de la baisse de qualité de l'enseignement. Je suggérais qu'on pouvait aussi le prendre comme exemple pour affirmer l'inverse. Effectivement Lapin, comme pour Ronnie, les sources seraient intéressantes.
Lapin kulta Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Il en fait un exemple de la baisse de qualité de l'enseignement. Je suggérais qu'on pouvait aussi le prendre comme exemple pour affirmer l'inverse.Effectivement Lapin, comme pour Ronnie, les sources seraient intéressantes. <{POST_SNAPBACK}> Deux travaux peuvent être cités: Baudelot et Establet: "Le niveau monte, réfutation d'une vieille idée concernant la prétendue décadance de nos écoles". Leur étude est basée sur les tests de présélection à l'armée… Il y a aussi Manesse D et Chervel A "la dictée, les français et l'orthographe" Ces deux réflexions mettent en évidence qu'il y a bien une hausse moyenne et que d'une manière globale "le niveau monte".
Lapin kulta Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Source? Connais-tu les tests PISA? <{POST_SNAPBACK}> C'est quoi la conclusion de ces tests?
Taisei Yokusankai Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 C'est quoi la conclusion de ces tests? <{POST_SNAPBACK}> Que le niveau baisse en France et en Belgique. Ce sont des tests menés toutes les X années par l'OCDE.
Lapin kulta Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Que le niveau baisse en France et en Belgique. Ce sont des tests menés toutes les X années par l'OCDE. <{POST_SNAPBACK}> Hummm intéressant…effrectivement je ne connaissais pas. L'étude est basée sur quoi?
Largo Winch Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Hummm intéressant…effrectivement je ne connaissais pas. L'étude est basée sur quoi? <{POST_SNAPBACK}> Les résultats de l’enquête PISA (Programme International de Suivi des Acquis) menée par l’OCDE en 2003 et rendue publique le mardi 7 décembre 2004 L’enquête Créée en 2000, l'enquête Pisa a été menée en 2003 dans 41 pays (dont 30 de l'OCDE), sur plus de 250 000 élèves. Ils ont planché deux heures sur une série de questions permettant de mesurer leurs "compétences", à l'issue de la scolarité obligatoire. Quatre grands thèmes sont abordés : la culture mathématique, la culture scientifique, la compréhension de l'écrit et la résolution de problèmes. En 2000, l'attention avait été portée sur la compréhension de l'écrit mais en 2003, la culture mathématique a été privilégiée, dans une optique assez “pratique” puisque les épreuves visaient à déterminer dans quelle mesure les élèves étaient capables d'élaborer et d'appliquer des modèles mathématiques pour accomplir des tâches de la vie courante, ainsi que d'interpréter, de valider et de communiquer les résultats. Les résultats Comme en 2000, c'est en Finlande que les acquis des jeunes de 15 ans dans les quatre domaines sont les meilleurs. Les très bons résultats en mathématiques des jeunes Finlandais (2e) égalent ceux des systèmes scolaires asiatiques tels que ceux de Hong Kong (1e), de Corée du Sud (3e) et du Japon (5e). Hong Kong et le Japon sont en revanche un peu moins bien placés en matière de compréhension de l'écrit. En bas de tableau, la Tunisie, l'Indonésie, le Brésil et le Mexique se disputent les dernières places. La France se situe médiocrement dans la moyenne dans les 4 domaines. En compréhension de l'écrit, elle arrive, comme en 2000, au 14e rang sur les trente membres de l'OCDE, avec un score très légèrement inférieur à la moyenne. Il faut cependant pointer la forte hausse du pourcentage d'élèves en grande difficulté - ceux qui ne savent pas lire -, qui a bondi de 4,2 % en 2000 à 6,3 % en 2003. La culture mathématique des jeunes Français n'a pas non plus évolué depuis trois ans. En la matière, la France arrive au 13e rang, avec une note un peu au-dessus de la moyenne. Seule la culture scientifique de ses élèves, pour laquelle la France est 10e, a légèrement progressé. Mais sous l'effet exclusif d'une progression des meilleurs éléments. Commentaires Dans son commentaire, l'OCDE a souligné qu’il n'est pas indispensable de dépenser beaucoup pour réussir : un certain nombre de pays, dont l'Australie, le Canada, la Corée, la Finlande, le Japon, les Pays-Bas et la République tchèque, réalisent un bon "rapport qualité-prix" dans leur système éducatif, alors que certains des pays les plus "dépensiers" se situent au-dessous de la moyenne de l'OCDE. Sur ce point, l’OCDE juge les performances de la France assez médiocres au regard des dépenses engagées (7% du PIB). Certains pays, comme la Finlande, le Japon, la Corée ou le Canada savent atténuer les inégalités sociales. Ce n’est pas le cas de la France. Cette enquête ayant privilégié la culture mathématiques, ce résultat peut surprendre quand on sait que la France a fait des mathématiques le principal instrument de sélection de ses élèves (sa maîtrise étant moins influencée par le milieu socioculturel dans lequel évolue l'élève que celle des matières littéraires). « La France est même moins équitable en maths qu'en littérature. Elle est relativement plus performante en maths, mais cela se fait au prix d'une moindre équité sociale », développe Jean-Luc Heller, expert en éducation à l'OCDE. La Finlande, la Corée, le Canada et le Japon sont aussi les pays qui présentent les plus faibles écarts entre les meilleurs élèves et les moins bons, ce qui malheureusement n’est pas le cas de la France. Les travaux de l'OCDE montrent enfin que les élèves français savent "appliquer une formule", "lire un graphique" et "prélever des informations" à partir de divers documents. En revanche, ils sont faibles dès qu'il s'agit de "généraliser", de "prendre des initiatives", ou de recourir à "la pratique de l'expérimentation en mathématiques (faire des essais, critiquer, recommencer…)".
Lapin kulta Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Les résultats de l’enquête PISA(Programme International de Suivi des Acquis) menée par l’OCDE en 2003 et rendue publique le mardi 7 décembre 2004 L’enquête Créée en 2000, l'enquête Pisa a été menée en 2003 dans 41 pays (dont 30 de l'OCDE), sur plus de 250 000 élèves. Ils ont planché deux heures sur une série de questions permettant de mesurer leurs "compétences", à l'issue de la scolarité obligatoire. Quatre grands thèmes sont abordés : la culture mathématique, la culture scientifique, la compréhension de l'écrit et la résolution de problèmes. En 2000, l'attention avait été portée sur la compréhension de l'écrit mais en 2003, la culture mathématique a été privilégiée, dans une optique assez “pratique” puisque les épreuves visaient à déterminer dans quelle mesure les élèves étaient capables d'élaborer et d'appliquer des modèles mathématiques pour accomplir des tâches de la vie courante, ainsi que d'interpréter, de valider et de communiquer les résultats. Les résultats Comme en 2000, c'est en Finlande que les acquis des jeunes de 15 ans dans les quatre domaines sont les meilleurs. Les très bons résultats en mathématiques des jeunes Finlandais (2e) égalent ceux des systèmes scolaires asiatiques tels que ceux de Hong Kong (1e), de Corée du Sud (3e) et du Japon (5e). Hong Kong et le Japon sont en revanche un peu moins bien placés en matière de compréhension de l'écrit. En bas de tableau, la Tunisie, l'Indonésie, le Brésil et le Mexique se disputent les dernières places. La France se situe médiocrement dans la moyenne dans les 4 domaines. En compréhension de l'écrit, elle arrive, comme en 2000, au 14e rang sur les trente membres de l'OCDE, avec un score très légèrement inférieur à la moyenne. Il faut cependant pointer la forte hausse du pourcentage d'élèves en grande difficulté - ceux qui ne savent pas lire -, qui a bondi de 4,2 % en 2000 à 6,3 % en 2003. La culture mathématique des jeunes Français n'a pas non plus évolué depuis trois ans. En la matière, la France arrive au 13e rang, avec une note un peu au-dessus de la moyenne. Seule la culture scientifique de ses élèves, pour laquelle la France est 10e, a légèrement progressé. Mais sous l'effet exclusif d'une progression des meilleurs éléments. Commentaires Dans son commentaire, l'OCDE a souligné qu’il n'est pas indispensable de dépenser beaucoup pour réussir : un certain nombre de pays, dont l'Australie, le Canada, la Corée, la Finlande, le Japon, les Pays-Bas et la République tchèque, réalisent un bon "rapport qualité-prix" dans leur système éducatif, alors que certains des pays les plus "dépensiers" se situent au-dessous de la moyenne de l'OCDE. Sur ce point, l’OCDE juge les performances de la France assez médiocres au regard des dépenses engagées (7% du PIB). Certains pays, comme la Finlande, le Japon, la Corée ou le Canada savent atténuer les inégalités sociales. Ce n’est pas le cas de la France. Cette enquête ayant privilégié la culture mathématiques, ce résultat peut surprendre quand on sait que la France a fait des mathématiques le principal instrument de sélection de ses élèves (sa maîtrise étant moins influencée par le milieu socioculturel dans lequel évolue l'élève que celle des matières littéraires). « La France est même moins équitable en maths qu'en littérature. Elle est relativement plus performante en maths, mais cela se fait au prix d'une moindre équité sociale », développe Jean-Luc Heller, expert en éducation à l'OCDE. La Finlande, la Corée, le Canada et le Japon sont aussi les pays qui présentent les plus faibles écarts entre les meilleurs élèves et les moins bons, ce qui malheureusement n’est pas le cas de la France. Les travaux de l'OCDE montrent enfin que les élèves français savent "appliquer une formule", "lire un graphique" et "prélever des informations" à partir de divers documents. En revanche, ils sont faibles dès qu'il s'agit de "généraliser", de "prendre des initiatives", ou de recourir à "la pratique de l'expérimentation en mathématiques (faire des essais, critiquer, recommencer…)". <{POST_SNAPBACK}> Oui….il faut souligner que sur la période etudiée, qui n'est pas long, le niveau a effectivement baisé. Mais pour autant faut-t-il en conclure qu'en France la tendance générale est à la baisse?
Lapin kulta Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Les résultats de l’enquête PISA(Programme International de Suivi des Acquis) menée par l’OCDE en 2003 et rendue publique le mardi 7 décembre 2004 L’enquête Créée en 2000, l'enquête Pisa a été menée en 2003 dans 41 pays (dont 30 de l'OCDE), sur plus de 250 000 élèves. Ils ont planché deux heures sur une série de questions permettant de mesurer leurs "compétences", à l'issue de la scolarité obligatoire. Quatre grands thèmes sont abordés : la culture mathématique, la culture scientifique, la compréhension de l'écrit et la résolution de problèmes. En 2000, l'attention avait été portée sur la compréhension de l'écrit mais en 2003, la culture mathématique a été privilégiée, dans une optique assez “pratique” puisque les épreuves visaient à déterminer dans quelle mesure les élèves étaient capables d'élaborer et d'appliquer des modèles mathématiques pour accomplir des tâches de la vie courante, ainsi que d'interpréter, de valider et de communiquer les résultats. Les résultats Comme en 2000, c'est en Finlande que les acquis des jeunes de 15 ans dans les quatre domaines sont les meilleurs. Les très bons résultats en mathématiques des jeunes Finlandais (2e) égalent ceux des systèmes scolaires asiatiques tels que ceux de Hong Kong (1e), de Corée du Sud (3e) et du Japon (5e). Hong Kong et le Japon sont en revanche un peu moins bien placés en matière de compréhension de l'écrit. En bas de tableau, la Tunisie, l'Indonésie, le Brésil et le Mexique se disputent les dernières places. La France se situe médiocrement dans la moyenne dans les 4 domaines. En compréhension de l'écrit, elle arrive, comme en 2000, au 14e rang sur les trente membres de l'OCDE, avec un score très légèrement inférieur à la moyenne. Il faut cependant pointer la forte hausse du pourcentage d'élèves en grande difficulté - ceux qui ne savent pas lire -, qui a bondi de 4,2 % en 2000 à 6,3 % en 2003. La culture mathématique des jeunes Français n'a pas non plus évolué depuis trois ans. En la matière, la France arrive au 13e rang, avec une note un peu au-dessus de la moyenne. Seule la culture scientifique de ses élèves, pour laquelle la France est 10e, a légèrement progressé. Mais sous l'effet exclusif d'une progression des meilleurs éléments. Commentaires Dans son commentaire, l'OCDE a souligné qu’il n'est pas indispensable de dépenser beaucoup pour réussir : un certain nombre de pays, dont l'Australie, le Canada, la Corée, la Finlande, le Japon, les Pays-Bas et la République tchèque, réalisent un bon "rapport qualité-prix" dans leur système éducatif, alors que certains des pays les plus "dépensiers" se situent au-dessous de la moyenne de l'OCDE. Sur ce point, l’OCDE juge les performances de la France assez médiocres au regard des dépenses engagées (7% du PIB). Certains pays, comme la Finlande, le Japon, la Corée ou le Canada savent atténuer les inégalités sociales. Ce n’est pas le cas de la France. Cette enquête ayant privilégié la culture mathématiques, ce résultat peut surprendre quand on sait que la France a fait des mathématiques le principal instrument de sélection de ses élèves (sa maîtrise étant moins influencée par le milieu socioculturel dans lequel évolue l'élève que celle des matières littéraires). « La France est même moins équitable en maths qu'en littérature. Elle est relativement plus performante en maths, mais cela se fait au prix d'une moindre équité sociale », développe Jean-Luc Heller, expert en éducation à l'OCDE. La Finlande, la Corée, le Canada et le Japon sont aussi les pays qui présentent les plus faibles écarts entre les meilleurs élèves et les moins bons, ce qui malheureusement n’est pas le cas de la France. Les travaux de l'OCDE montrent enfin que les élèves français savent "appliquer une formule", "lire un graphique" et "prélever des informations" à partir de divers documents. En revanche, ils sont faibles dès qu'il s'agit de "généraliser", de "prendre des initiatives", ou de recourir à "la pratique de l'expérimentation en mathématiques (faire des essais, critiquer, recommencer…)". <{POST_SNAPBACK}> le rapport souligne que le pourcentage d'élèves en forte difficulté a malheureusement augmenté, malgré les mesures gouvernementales comme la création des ZEP…mais le niveau général semble être assez stable!
Largo Winch Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Mais pour autant faut-t-il en conclure qu'en France la tendance générale est à la baisse? <{POST_SNAPBACK}> Pour se faire une idée, quelques perles relevées dans mes dernières copies de diplômés Bac+2 : "Travailler ardeusement" "Le manager autocrate est un chef suprême" "Il faut sanctionner les troublefaits" "Il s’en fou" "L’homme défend ses intérêts tel « un morceau de pain »" "L’approche de Crozier est une approche égoïste" "Le troisième concept développé par Crozier est le système d’action congrès…" (traduction : système d’action concret) "L’organisation thélorienne" "Avec la DPO, le manager cherche à comprendre ses employés d’une manière emphatique…" (traduction : empathique) "Si M. Letendre applique un management paternaliste, celui-ci est considéré comme le patron et à la fois le père fondateur" "L’absentéisme de feed-back montre que…" (traduction : l’absence de feedback !?) "Le manque d’attentivité de Lise" "La partiellisation verticale du travail" "La direction préfère tout simplement agir comme bon le veule." "Un rendement de travail inférieur à l’anormal" "Le ménagement des salariés …" (traduction : le management des salariés) "Les salariés ont un idéal menacé et déprécié par un projet professionnel qui est réduit à des machines qui tendent à les remplacer." "Le problème d’équitabilité" "La deuxième analyse que l’on peut interpréter est l’analyse bi-directionnelle…" (traduction : le 2ème type d’analyse que l’on peut mobiliser est l’analyse bi-factorielle) "On constate qu’il y a une rupture de transversalité entre les deux individus : chacun ne peut s’écouter correctement…" (? !) "Il s’agit d’une supervisation par standardisation des procédés" "Quoi de plus pire qu’un chef démotivé pour son équipe" "Ce sont des facteurs d’ambiance donc extrinséquences" "Elle lui coupe la parole d’un ton autain et à coté de la plaque" "La transfonctionnalité, c’est-à-dire la communication d’adulte…" (? ?) "Le méconnaissement des machines" "Les salariés ne se sentent pas glorifiés" "La motivation des individus dépend de la récompense qu’on leur approprie" "Ce ne peut être le cas puisqu’aussi non elle serait qu’ils ne sont pas emballés" En tout cas, c'est clair que le niveau des diplômés Bac+2 monte…
Lapin kulta Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Pour se faire une idée, quelques perles relevées dans mes dernières copies de diplômés Bac+2 : "Travailler ardeusement" "Le manager autocrate est un chef suprême" "Il faut sanctionner les troublefaits" "Il s’en fou" "L’homme défend ses intérêts tel « un morceau de pain »" "L’approche de Crozier est une approche égoïste" "Le troisième concept développé par Crozier est le système d’action congrès…" (traduction : système d’action concret) "L’organisation thélorienne" "Avec la DPO, le manager cherche à comprendre ses employés d’une manière emphatique…" (traduction : empathique) "Si M. Letendre applique un management paternaliste, celui-ci est considéré comme le patron et à la fois le père fondateur" "L’absentéisme de feed-back montre que…" (traduction : l’absence de feedback !?) "Le manque d’attentivité de Lise" "La partiellisation verticale du travail" "La direction préfère tout simplement agir comme bon le veule." "Un rendement de travail inférieur à l’anormal" "Le ménagement des salariés …" (traduction : le management des salariés) "Les salariés ont un idéal menacé et déprécié par un projet professionnel qui est réduit à des machines qui tendent à les remplacer." "Le problème d’équitabilité" "La deuxième analyse que l’on peut interpréter est l’analyse bi-directionnelle…" (traduction : le 2ème type d’analyse que l’on peut mobiliser est l’analyse bi-factorielle) "On constate qu’il y a une rupture de transversalité entre les deux individus : chacun ne peut s’écouter correctement…" (? !) "Il s’agit d’une supervisation par standardisation des procédés" "Quoi de plus pire qu’un chef démotivé pour son équipe" "Ce sont des facteurs d’ambiance donc extrinséquences" "Elle lui coupe la parole d’un ton autain et à coté de la plaque" "La transfonctionnalité, c’est-à-dire la communication d’adulte…" (? ?) "Le méconnaissement des machines" "Les salariés ne se sentent pas glorifiés" "La motivation des individus dépend de la récompense qu’on leur approprie" "Ce ne peut être le cas puisqu’aussi non elle serait qu’ils ne sont pas emballés" En tout cas, c'est clair que le niveau des diplômés Bac+2 monte… <{POST_SNAPBACK}> Oui oui
Lapin kulta Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Oui oui <{POST_SNAPBACK}> En tout cas champagne pour la Finlande….Leur force réside dans la Lapin Kulta. Apparement le vin français n'a pas le même effet (joke)!
PnP Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Le niveau des connaissances a baissé (il suffit d'ailleurs de contempler sur ce forum l'orthographe de plusieurs intervenants pour s'en apercevoir). Ce n'est pas parce que plus de gens entreprennent des études supérieures que le niveau augmente pour autant. <{POST_SNAPBACK}> Sé vré leu nivo de l'ortografe est nulle jeu leu konfirme avec le systaime aidukatif aktuel Je rebondis sur le probléme : Walras , à propos de la justice sociale, préconisait la nationalisation des terres et la suppression de toute forme d'héritage pour assurer à tous les mêmes chances pour s'enrichir "tous les coureurs doivent a voir le même point de départ, mais chacun doit être récompensé en fonction de son agilité" Etonnant , non?
Taisei Yokusankai Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Oui oui <{POST_SNAPBACK}> Il est clair que les mieux placés pour juger sont sans doutes les (bons) profs.
Lapin kulta Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Sé vré leu nivo de l'ortografe est nulle jeu leu konfirme avec le systaime aidukatif aktuel Je rebondis sur le probléme : Walras , à propos de la justice sociale, préconisait la nationalisation des terres et la suppression de toute forme d'héritage pour assurer à tous les mêmes chances pour s'enrichir "tous les coureurs doivent a voir le même point de départ, mais chacun doit être récompensé en fonction de son agilité" Etonnant , non? <{POST_SNAPBACK}> Walras ne se réclamait pas comme libéral…mais plutôt comme un socialiste…! Pour la suppression de toute forme d'héritage je suis évidement contre car je pense que l'on travaile également pour les siens!
Dilbert Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 Je rebondis sur le probléme : Walras , à propos de la justice sociale, préconisait la nationalisation des terres et la suppression de toute forme d'héritage pour assurer à tous les mêmes chances pour s'enrichir "tous les coureurs doivent a voir le même point de départ, mais chacun doit être récompensé en fonction de son agilité" Etonnant , non? <{POST_SNAPBACK}> N'oublions pas aussi de couper un bras à tout le monde pour que les manchots ne soient pas défavorisés, de crever un oeil à tout le monde pour que les borgnes ne soient pas défavorisés, etc. Finalement, c'est ça qui m'énerve profondément avec les collectivistes : ils ne vont jamais jusqu'au bout de leur logique (mais ça se comprend, ils ne veulent pas que son absurdité soit trop patente).
(V) Posté 6 septembre 2005 Signaler Posté 6 septembre 2005 "Le troisième concept développé par Crozier est le système d’action congrès…" (traduction : système d’action concret) <{POST_SNAPBACK}> On sent le mec qui s'est fait souffler la réponse par son voisin mais qui n'a pas bien entendu
L'affreux Posté 7 septembre 2005 Signaler Posté 7 septembre 2005 le rapport souligne que le pourcentage d'élèves en forte difficulté a malheureusement augmenté, malgré les mesures gouvernementales comme la création des ZEP…mais le niveau général semble être assez stable! <{POST_SNAPBACK}> Surtout, le nivau moyen des élèves à la sortie de l'enseignement obligatoire n'est pas le niveau moyen des gens. Aujourd'hui l'enseignement obligatoire est long et presque tout le monde y va. Etait-ce le cas au début du siècle par exemple ?
Ronnie Hayek Posté 7 septembre 2005 Signaler Posté 7 septembre 2005 Surtout, le nivau moyen des élèves à la sortie de l'enseignement obligatoire n'est pas le niveau moyen des gens. Aujourd'hui l'enseignement obligatoire est long et presque tout le monde y va. Etait-ce le cas au début du siècle par exemple ? <{POST_SNAPBACK}> Non, mais est-ce un progrès ? Tout le monde a-t-il vocation à devenir médecin, avocat ou physicien ? Ce serait absurde. L'obligation scolaire est le type même de la fausse bonne idée, typiquement uniformisatrice et égalitariste.
José Posté 7 septembre 2005 Signaler Posté 7 septembre 2005 Aujourd'hui l'enseignement obligatoire est long et presque tout le monde y va. Etait-ce le cas au début du siècle par exemple ? Presque tout le monde va à l'école non pas tant parce que c'est obligatoire, mais surtout parce que nos sociétés sont plus riches qu'il y a un siècle. Qu'est-ce qui prouve que si l'obligation scolaire était abolie, il y aurait moins d'enfants qui seraient envoyés à l'école. Ou mieux encore, qu'est-ce qui prouve que les enfants seraient plus ignorants (voir par exemple l'explosion aux États-Unis du homeschooling).
L'affreux Posté 7 septembre 2005 Signaler Posté 7 septembre 2005 Non, mais est-ce un progrès ? Tout le monde a-t-il vocation à devenir médecin, avocat ou physicien ? Ce serait absurde. L'obligation scolaire est le type même de la fausse bonne idée, typiquement uniformisatrice et égalitariste. <{POST_SNAPBACK}> Eh bien justement j'ai des doutes sur l'idéologie libérale dans ce domaine. Et puis tu exagères : l'enseignement obligatoire s'arrête au collège (pour la France). A la fin de la 3ème on n'est ni médecin, ni avocat, ni physicien et on a finalement rarement une idée précise de ce qu'on deviendra.
L'affreux Posté 7 septembre 2005 Signaler Posté 7 septembre 2005 Presque tout le monde va à l'école non pas tant parce que c'est obligatoire, mais surtout parce que nos sociétés sont plus riches qu'il y a un siècle. Qu'est-ce qui prouve que si l'obligation scolaire était abolie, il y aurait moins d'enfants qui seraient envoyés à l'école. Ou mieux encore, qu'est-ce qui prouve que les enfants seraient plus ignorants (voir par exemple l'explosion aux États-Unis du homeschooling). <{POST_SNAPBACK}> C'est juste. A mon avis c'est la "gratuité" qui joue plus que l'obligation
Ronnie Hayek Posté 7 septembre 2005 Signaler Posté 7 septembre 2005 Eh bien justement j'ai des doutes sur l'idéologie libérale dans ce domaine. Et puis tu exagères : l'enseignement obligatoire s'arrête au collège (pour la France). A la fin de la 3ème on n'est ni médecin, ni avocat, ni physicien et on a finalement rarement une idée précise de ce qu'on deviendra. <{POST_SNAPBACK}> En Belgique, depuis 1983, l'enseignement est obligatoire jusqu'à l'âge de 18 ans. Sinon, tu sais bien que l'idéologie de l'enseignement obligatoire essaie de faire croire aux gens qu'arriver aux études supérieures, voire les achever, est un droit.
José Posté 7 septembre 2005 Signaler Posté 7 septembre 2005 C'est juste. A mon avis c'est la "gratuité" qui joue plus que l'obligation. Non, les sociétés étant plus riches, les enfants ne sont plus obligés d'aller gagner leur pain dès l'âge de 10-12 ans. De fait, les parents peuvent les envoyer à l'école et leur préparer un futur. Essaie donc d'instaurer l'obligation scolaire "gratuite" jusqu'à 18 ans au Bénin.
L'affreux Posté 7 septembre 2005 Signaler Posté 7 septembre 2005 En Belgique, depuis 1983, l'enseignement obligatoire jusqu'à l'âge de 18 ans.Sinon, tu sais bien que l'idéologie de l'enseignement obligatoire essaie de faire croire aux gens qu'arriver aux études supérieures, voire arriver jusqu'au bout de celles-ci, est un droit. <{POST_SNAPBACK}> Et avec ça je ne serai pas d'accord. Mais personne ne m'a encore sorti qu'il fallait obliger chacun à accéder aux études supérieurs.
Ronnie Hayek Posté 7 septembre 2005 Signaler Posté 7 septembre 2005 Et avec ça je ne serai pas d'accord. Mais personne ne m'a encore sorti qu'il fallait obliger chacun à accéder aux études supérieurs. <{POST_SNAPBACK}> Non, ce qui se passe, c'est que l'Etat oblige le contribuable à payer pour que des gars y accèdent.
L'affreux Posté 7 septembre 2005 Signaler Posté 7 septembre 2005 Non, les sociétés étant plus riches, les enfants ne sont plus obligés d'aller gagner leur pain dès l'âge de 10-12 ans. De fait, les parents peuvent les envoyer à l'école et leur préparer un futur. Essaie donc d'instaurer l'obligation scolaire "gratuite" jusqu'à 18 ans au Bénin. <{POST_SNAPBACK}> Ce que tu dis est plein de sagesse ! La société est plus riche, ce n'est pas le cas de chaque foyer mais la société, elle, peut permettre aux enfants de ne plus gagner leur pain dès l'âge de 10-12 ans. (donc effectivement, pas faisable dans la société béninoise)
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