Calembredaine Posté 15 janvier 2006 Signaler Posté 15 janvier 2006 Un petit clic ici: j'vais pisser dans mon froc Pardon Nico.
Dilbert Posté 15 janvier 2006 Signaler Posté 15 janvier 2006 Un petit clic ici: j'vais pisser dans mon froc Mais pourquoi la photo cache-t-elle le jeans et les baskets ?
Sous-Commandant Marco Posté 15 janvier 2006 Signaler Posté 15 janvier 2006 Mais pourquoi la photo cache-t-elle le jeans et les baskets ? Parce que les énormes bénéfices de Freeman Inc. (Freeman y a investi tout son argent de poche) n'ont pas encore permis à son CEO et principal actionnaire d'acheter un pantalon et des chaussures qui vont avec la veste.
Dostix Posté 15 janvier 2006 Signaler Posté 15 janvier 2006 Tiens ils parlent aussi de ça chez les péhèfes…. ça marque
Freeman Posté 15 janvier 2006 Signaler Posté 15 janvier 2006 CA ETE CERTIFIE : L'HOMME LIBRE A UN PENCHANT POUR LA BOUTEILLE
Dostix Posté 15 janvier 2006 Signaler Posté 15 janvier 2006 Tiens ils parlent aussi de ça chez les péhèfes…. ça marque
Freeman Posté 15 janvier 2006 Signaler Posté 15 janvier 2006 J'ai vu. J'ai pas compris ce qu'il appelait " mon côté démocrate US ". Qu'est-ce qu'il voulait dire ? Je peux pas blairer les dems… J'aime bien Mister Bean et Jim Carrey. Je leur ai fait Bean hier en boîte à des jeunes, putain, on a bien rigolé !
Ash Posté 15 janvier 2006 Signaler Posté 15 janvier 2006 Ne dis pas que tu ne blaire pas les démocrates, tu encenses ce bon vieux Clinton dans tes billets (et ouais ils y en a qui te lisent ^^) Tu tapes tellement sur les Républicains qu'avec ton avatar je ne comprends pas bien pourquoi. Les démocrates n'ont jamais flirter avec le libéralisme, les républicains oui. Alors quitte à plomber l'un plus que l'autre, il serait plus juste de défendre ces derniers.
Etienne Posté 15 janvier 2006 Signaler Posté 15 janvier 2006 Les voies de l'homme libre sont impénétrables.
Sous-Commandant Marco Posté 15 janvier 2006 Signaler Posté 15 janvier 2006 Les voies de l'homme libre sont impénétrables. Pas pour les liquides alcoolisés.
Etienne Posté 15 janvier 2006 Signaler Posté 15 janvier 2006 Pas pour les liquides alcoolisés. La bouteille est fermée, il me semble.
h16 Posté 16 janvier 2006 Signaler Posté 16 janvier 2006 La bouteille est fermée, il me semble. Ou vide … et le bonhomme, plein.
Dardanus Posté 16 janvier 2006 Signaler Posté 16 janvier 2006 Il est normal d'encenser Clinton : n'avait-il pas réduit les déficits et lutté contre l'assistanat ? Il s'est montré plus libéral que l'actuel président, non ?
Freeman Posté 16 janvier 2006 Signaler Posté 16 janvier 2006 Il a fallu que la crise éco s'aggrave et que les républicains l'emportent au Congrès pour qu'il change au cours de son second mandat. C'est lui le Workfare non ?
Messer Posté 16 janvier 2006 Signaler Posté 16 janvier 2006 Hop merci de la bonne humeur avant mon partiel de finances publiques (Jve me faire massacrer si je tombe sur des questions en bois, jve tenter de retenir mes coups si il y a une question sur le consentement à l'impot)
Sarvok Posté 16 janvier 2006 Signaler Posté 16 janvier 2006 Juste une petite annectote marrante : Il y a maintenant un an et 16 jours, je demandais à un gar qui était en école de commerce (il avait fait une prépas et était dans une des 5 meilleurs école de commerce de France je crois) si c'était une bonne idée d'investir dans Total. Car dans ma tête de lycéen scientifique : hausse du prix du pétrol = hausse proportionnel des bénéfices de total. Il m'a dit nan c'est une très mauvaise idée, …. 1 moi après je regarde dans le fig' : la hausse du prix du pétrol à augmenté les bénéfices des companies pétrolières. L'action avait pris 20% ! J'ai rien dis après, mais j'ai bien rigolé dans mon coin tout de même ! J'ai vraiment AUCUNE notion en économie ou en finance bourse, …. Mais c'est moi ou le pays-des-droits-de-l'homme nous apprends rien (ou des sotises) à l'école-obligatoire-et-égalitaire ? Parceque le gar avait quand même essayé de passer HEC (il aurait surement pu l'avoir en passant une 5/2). D'ailleurs il me parlait de Madelin comme un ultra-libéral !
Messer Posté 16 janvier 2006 Signaler Posté 16 janvier 2006 Les écoles de commerce ne désendoctrinent pas leurs étudiants, cependant il était moins bête que la majorité des gens qui disent que Villepin est un libéral et Sarko un ultra libéral. Ca progresse. Et tout HECiste ou pas qu'il est pour prévoir les flux boursiers m'est d'avis que ce n'est pas qu'une question d'études.
William White Posté 16 janvier 2006 Signaler Posté 16 janvier 2006 Les écoles de commerce ne désendoctrinent pas leurs étudiants, cependant il était moins bête que la majorité des gens qui disent que Villepin est un libéral et Sarko un ultra libéral. Ca progresse.Et tout HECiste ou pas qu'il est pour prévoir les flux boursiers m'est d'avis que ce n'est pas qu'une question d'études. Ne généralisons pas les amis: "LES écoles de commerce", … non… ou alors, généralisons bien: "les écoles de commerce FRANÇAISES", là oui d'accord…
Etienne Posté 17 janvier 2006 Signaler Posté 17 janvier 2006 Il y a maintenant un an et 16 jours, je demandais à un gar qui était en école de commerce (il avait fait une prépas et était dans une des 5 meilleurs école de commerce de France je crois) si c'était une bonne idée d'investir dans Total. Car dans ma tête de lycéen scientifique : hausse du prix du pétrol = hausse proportionnel des bénéfices de total.Il m'a dit nan c'est une très mauvaise idée, …. 1 moi après je regarde dans le fig' : la hausse du prix du pétrol à augmenté les bénéfices des companies pétrolières. L'action avait pris 20% ! En même temps, si la prévision des cours de bourse était une science exacte, il n'y aurait jamais de perdants - alors école de commerce ou pas, ça ne change pas grand chose dans ces cas-là. (Non, je ne vais pas faire une école de commerce. ) Petite anecdote : quelques journalistes du Wall Street Journal ont mené il y a quelques temps l'expérience suivante : ils ont tiré aux flechettes (sur des listings de cours de bourse) un certain nombre de valeurs à acheter (une dizaine, je crois), et ont comparé au boût d'un an, les performances de ce portefeuille (virtuel) avec le protefeuille de référence des analystes de Morgan Stanley (à moins que ce soit Merrill Lynch). Résultat des cours : leur portefeuille aléatoire a superformé et le marché et le portefeuille "scientifique" des analystes de MS/ML. Comme quoi…
Sous-Commandant Marco Posté 17 janvier 2006 Signaler Posté 17 janvier 2006 Je viens de lire une observation intéressante sous la plume de Bill Bonner, de www.lewrockwell.com: selon lui, la bourse punirait les foules. Dès que la foule croit quelque chose, c'est le contraire qui se produit. Il donne l'exemple du dollar, dont beaucoup pensaient qu'il baisserait significativement en 2005. Il doit y avoir beaucoup d'investisseurs qui suivent le conseils de Merryll Lynch, Morgan Stanley et consorts. De manière plus générale, dès que les analystes en parlent, il est trop tard pour gagner beaucoup d'argent avec.
Dardanus Posté 17 janvier 2006 Signaler Posté 17 janvier 2006 Petite anecdote : quelques journalistes du Wall Street Journal ont mené il y a quelques temps l'expérience suivante : ils ont tiré aux flechettes (sur des listings de cours de bourse) un certain nombre de valeurs à acheter (une dizaine, je crois), et ont comparé au boût d'un an, les performances de ce portefeuille (virtuel) avec le protefeuille de référence des analystes de Morgan Stanley (à moins que ce soit Merrill Lynch). Résultat des cours : leur portefeuille aléatoire a superformé et le marché et le portefeuille "scientifique" des analystes de MS/ML. Comme quoi… Se non è vero, è ben trovato. Le doigt mouillé rien de tel à la Bourse. Même les Écoles de commerce canadiennes ne sauraient garantir des gains boursiers. Après tout, Keynes était un bon spéculateur, non ? Y a pas besoin d'être bon en économie…
Etienne Posté 17 janvier 2006 Signaler Posté 17 janvier 2006 Je viens de lire une observation intéressante sous la plume de Bill Bonner, de www.lewrockwell.com: selon lui, la bourse punirait les foules. Dès que la foule croit quelque chose, c'est le contraire qui se produit. Il donne l'exemple du dollar, dont beaucoup pensaient qu'il baisserait significativement en 2005.Il doit y avoir beaucoup d'investisseurs qui suivent le conseils de Merryll Lynch, Morgan Stanley et consorts. De manière plus générale, dès que les analystes en parlent, il est trop tard pour gagner beaucoup d'argent avec. "Acheter au son du canon et vendre au son du clairon", en somme. Sinon, je nuancerai l'analyse de LewRockwell.com : pendant un certain temps, la foule peut suivre le mouvement. A partir du moment où ce dernier devient spéculatif (souvent favorisé par le crédit) et que le mouvement se perpétue, il arrive un moment où il y a une "purge" de la spéculation, et où c'est la foule qui est aux premières places pour déguster. Disons que les "purges" baissières touchent surtout ceux qui vont avoir fait de la spéculation à crédit, le problème est que l'effet de propagation peut être assez génant.
Invité jabial Posté 17 janvier 2006 Signaler Posté 17 janvier 2006 Entre parenthèses, j'aimerais bien avoir des sources exactes sur l'expérience des fléchettes, parce qu'il me paraît évident qu'elle est soit biaisée, soit un canular. En effet, je connais une grande quantité de personnes qui vivent de la bourse à temps plein, sans autre source de revenus. Si la Bourse fonctionnait au hasard, logiquement elles perdraient autant qu'elles gagneraient, et donc personne ne pourrait y gagner sa vie. Par ailleurs je rejoins l'analyse selon laquelle à partir du moment où tout le monde fait quelque chose, il faut (presque) faire le contraire. Enfin… pas tout à fait. Un exemple classique : un analyste populaire indique que la valeur XXX est surévaluée. Les gens vont vendre, donc sa valeur va baisser… sans doute en dessous de ce qu'elle vaut vraiment, à cause de l'effet de masse. Il faut donc vendre immédiatement comme tout le monde, attendre un peu, puis racheter. En ce qui me concerne personnellement, je spécule en Bourse de la façon suivante : je recherche les valeurs que je juge grossièrement sous ou sur-évaluées, et j'utilise presque exclusivement des produits à fort effet de levier pour "parrier" dans le sens que je juge logique. A titre d'information, j'ai fait une performance de plus de 60% récemment sur Yahoo… à la baisse. Le produit que j'avais acheté, entre parenthèses, est très réactif et est donc devenu sans valeur avec le rebond d'aujourd'hui, mais ce n'est pas un problème : mon ordre à seuil glissant a tout revendu.
Etienne Posté 17 janvier 2006 Signaler Posté 17 janvier 2006 Entre parenthèses, j'aimerais bien avoir des sources exactes sur l'expérience des fléchettes, parce qu'il me paraît évident qu'elle est soit biaisée, soit un canular. C'est une des expériences les plus connues du milieu, alors ça ne sert à rien d'être suspicieux. In his influential 1973 book, "A Random Walk Down Wall Street," Burton Malkiel drove home his ideas about the way the stock market works with this vignette:"Taken to its logical extreme," the Princeton University economics professor wrote, his view meant "that a blindfolded monkey throwing darts at a newspaper's financial pages could select a portfolio that would do just as well as one carefully selected by experts." The idea Prof. Malkiel was explaining is known as the "efficient-market theory." The theory holds that all available information is quickly reflected in stock prices, and so all stocks present equal chances for a gain. But the image of a blindfolded monkey flinging darts has stuck through the years. And The Wall Street Journal drew on the concept when we set out a decade ago to create a new column that would provide individuals with some investment ideas -- and some fun at the same time. http://update.wsj.com/public/current/artic…24729880000.htm En effet, je connais une grande quantité de personnes qui vivent de la bourse à temps plein, sans autre source de revenus. Si la Bourse fonctionnait au hasard, logiquement elles perdraient autant qu'elles gagneraient, et donc personne ne pourrait y gagner sa vie. Non, ce n'est pas contradictoire, si le marché a une tendance particulière. On peut toujours profiter de cette tendance sans être particulièrement doué (trackers), à la hausse ou à la baisse. Ce que l'expérience peut tendre à montrer, c'est que l'arbitraire pointilleux de certains traders n'est pas plus rémunérateur qu'un choix aléatoire. En aucun cas, ça ne veut dire qu'on ne peut y gagner de l'argent.
William White Posté 17 janvier 2006 Signaler Posté 17 janvier 2006 L'intro du bouquin de Malkiel est très intéressante et originale concernant les grandes bulles spéculatives. Évidemment, on trouvera toujours des méthodes moins financières ou économiques, avec exemples à l'appui, montrant la réussite d'un portefeuille (comme par exemple les adeptes de l'analyse graphique, très répandue en Asie, pas vraiment rigoureuse.). Mais sur des marchés organisés et bien informés, qui tendent donc vers une forte efficience, il n'y a pas de raison de mésestimer ou déconsidérer le travail des analystes. Ensuite, comme pour les médecins, il y a des bons et des mauvais analystes.
Etienne Posté 17 janvier 2006 Signaler Posté 17 janvier 2006 (comme par exemple les adeptes de l'analyse graphique, très répandue en Asie, pas vraiment rigoureuse.). L'exemple "type" de la prophétie auto-réalisatrice, qui joue un rôle "perturbateur" par rapport à l'analyse fondamentale. Vas te déméler les pinceaux avec ça !
Invité jabial Posté 18 janvier 2006 Signaler Posté 18 janvier 2006 Je constate juste un petit truc : les personnes que je connais gagnent beaucoup, beaucoup plus que la tendance basique du marché. Ils gagnent aussi bien quand le marché est à la hausse que quand il est à la baisse. L'un d'entre eux a même quasiment doublé sa fortune lors de l'éclatement de la bulle Internet. Je maintiens que l'expérience est biaisée. Ils ont dû chercher une performance à peu près égale à leur jeu de fléchettes parmi les recommandations de traders existantes, et basta. UPDATE: Over 100 six-month contests, the pros have racked up an average gain of 10.9%, compared with 4.5% for the dart throwers and 6.8% for the Dow industrials. The pros have come out ahead of both the darts and the Dow industrials 44 times.In the real world, of course, no serious investor bets everything on a single stock and then holds onto it for six months come what may. And Prof. Malkiel said 10 years ago, even as he tossed the first dart, that Investment Dartboard isn't a fair test of the efficient-market theory because of the small number of stocks involved and because a "publicity effect" might make the stocks selected for this contest perform better than others, at least temporarily. Conclusion, comme je le disais, c'est un gros pipo.
L'affreux Posté 18 janvier 2006 Signaler Posté 18 janvier 2006 De toutes manières un jeu de fléchettes ne prouve rien. En statistique il faut passer à quelques centaines d'essais pour réduire la marge d'erreur à un niveau acceptable.
Etienne Posté 18 janvier 2006 Signaler Posté 18 janvier 2006 Conclusion, comme je le disais, c'est un gros pipo. Ca pourrait être génant, donc c'est du pipo. Tout dépend de la série de données que l'on choisit : en voici une autre (le "concours" existe depuis 1988.) Soyons clairs : je ne suis pas du genre à porter un jugement moral sur la bourse, contrairement à pas mal d'autres, mais je ne suis pas du genre non plus à dire que tout va très bien, que c'est le comble de la rationalité ou tout ce qu'on veut pour faire plaisir à d'autres. C'est vrai que l'attitude de base de l'anti-capitaliste sera "youpi, c'est génial", et du capitaliste de base : "c'est du pipo". Les deux attitudes sont pathétiques. Il y a des gens qui gagnent de l'argent (beaucoup), d'autres qui en perdent (beaucoup). Qu'il y ait un contre-exemple dans un sens ou dans l'autre ne change strictement rien au constat global. One very public way that analysts make stock recommendations is in the WSJ "Dartboard" column. The column has run monthly since October 1988. Each month, the stock picks of four analysts (the "pros") are published along with four stocks picked at random by throwing darts (the "darts"). Six months later, the performance of the pros' picks and the darts are reported along with the return for the Dow Jones Industrial Average (DJIA). More recently, the WSJ has added four "readers" stocks that are picked from email suggestions by the paper's readers.For example, in the February 15, 2001, issue of the WSJ, the "Dartboard" presented the picks of four analysts. The analysts and their picks were Joseph Battipaglia (buy LSI Logic), John Keegan (buy Oracle), Lanny Thorndike (buy Hartford Financial), and Jeanie Wyatt (buy Scientific-Atlanta). Do the analysts know something we don't? Do their stock picks outperform the market? If I buy their picks, will I beat the market? In a quick review, I examined the contest results for the two years prior to writing this chapter (November 1999 to October 2001). Of the 24 contests, the pros' picks won 10 times, the darts won nine times, and the DJIA won five times. Not exactly a dominating performance by the analysts. In head-to-head competition with the darts, the pros beat the darts 13 times and lost 11 times. A more formal analysis of the pros' picks includes a longer time-series and the magnitude of the returns. Financial economist Bing Liang examined the performance of the 216 analysts' recommendations in the 54 contests from 1990 to 1994.7 Each day after the publication of the "Dartboard," the daily returns of the stocks were examined. To determine the success of the picks, the performance was computed as an abnormal return. Think of the abnormal return as how much the stock beat the general stock market. A positive (negative) abnormal return means the stock did better (worse) than the market. http://www.phptr.com/articles/article.asp?…8&seqNum=4&rl=1
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