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Une étude sur les produits hard discount

Selon un récent sondage, actuellement, deux français sur trois reconnaissent faire occasionnellement leurs courses dans des magasins hard discount. Or, d'après certaines études, les produits vendus dans ces magasins ne seraient pas forcément bons pour la santé. Partant de cette étude, le nutritionniste Jean-Michel Cohen a décidé de réaliser une enquête pour savoir la vérité sur ces produits.

Des études françaises qui critiquent les produits hard discount

Pour réaliser son étude sur les produits alimentaires vendus dans les magasins hard discount, le nutritionniste Jean-Michel Cohen s'est basé sur des enquêtes réalisées par des organismes indépendants et portant sur divers produits.

Le premier constat qui a été réalisé porte sur la composition de certains aliments. En effet, les fabricants, selon leur propre aveu, pour pouvoir fournir des produits au faible prix réclamé par les magasins hard discount, sont obligés de modifier les recettes de leurs produits. Par exemple, dans le cas de la margarine, les fabricants doivent rajouter plus de mauvais acides gras, qui favorisent le cholestérol.

Le second problème qui a déjà été relevé sur les produits hard discount, c'est celui des étiquettes. En effet, celles-ci sont censées donner au consommateur le détail des ingrédients utilisés pour fabriquer le produit, mais aussi des indications sur les apports nutritionnels du produit. Or, sur certains produits vendus dans les magasins hard discount, les étiquettes que portent les produits sont incomplètes.

Enfin, le troisième vrai problème est celui des produits qui sont imités, que ce soit dans le domaine des sodas ou dans celui des gâteaux et des bonbons. Ces produits, dans les magasins hard discount, ne présentent pas les mêmes caractéristiques que les produits dont ils sont issus. Ainsi, la plupart de ceux-ci sont trop chargés en sucre, qui favorise l'obésité et les problèmes de santé en général quand on en consomme trop.

Une nouvelle étude qui devrait faire éclater la vérité

Partant de ces constatations déjà établies, le nutritionniste Jean-Michel Cohen a décidé de lancer une nouvelle étude sur les magasins hard discount, étude qu'il désire faire beaucoup plus complète que celles qui ont déjà été réalisées.

Pour réaliser son enquête, il va s'intéresser à toutes les chaînes de magasins hard discount de France, c'est à dire Lidl, Aldi, ED, Leader Price et Neto. Pour Jean-Michel Cohen, la première étape de l'étude sera d'envoyer les dix diététiciennes de son équipe dans tous ces magasins afin qu'elles réalisent des achats de divers produits, sans toutefois se faire connaître aux employés du magasin, à la différence de l'office de la répression des fraudes.

Une fois réalisés, tous ces achats seront goûtés, étudiés et comparés aux produits vendus dans les grandes surfaces traditionnelles. Le point le plus développé de cette étude devrait concerner les sucres et les graisses qui sont contenus dans les produits étudiés.

Cette étude devrait durer jusqu'à la fin de l'année 2005 et devrait permettre de réaliser ce que sont les risques que peuvent engendrer la consommation à haute dose des produits hard discount. Toujours est-il que durant l'intervalle la part des produits hard discount devrait augmenter dans la consommation des ménages, compte tenu du fait que les français préfèrent désormais le critère du prix par rapport aux autres lors de leurs achats alimentaires.

Cette étude sur les produits alimentaires hard discount devrait donc permettre de les classer par rapport aux produits vendus dans les supermarchés traditionnels mais aussi de mobiliser les français sur les dangers des aliments qui sont trop chargés en sucre ou en graisse.

http://www.tonguide.com/actualites/webzine…d-discount.html

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Je propose la création d'une Haute Autorité Pour la Protection des Consommateurs et le Contrôle des Hard Discounts.

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Je propose la création d'une Haute Autorité Pour la Protection des Consommateurs et le Contrôle des Hard Discounts.

Ne rigole pas, c'est sans doute ce qui nous attend. Envoyé Spécial devait d'ailleurs en parler ce soir, mais ils ont déprogrammé le sujet, nous y aurons probablement droit la semaine prochaine. Sur le même sujet, avec les mêmes intervenants:

La malbouffe dénoncée (14/03/2006)

© DE TESSIERES

De la peau de poulet dans les nuggets, des tranches de jambon avec 30% de viande en moins…

BRUXELLES Mais que mangeons- nous?Doit-on dire à nos enfants que dans les nuggets de poulet qu'ils adorent, il y a, plutôt que du filet de poulet, la peau de la volaille et au maximum 30% de viande?

Dans Savoir manger, un épais livre qui vient de sortir de presse (édition Flammarion), deux médecins nutritionnistes Français, les docteurs Jean-Michel Cohen et Patrick Serog, ont analysé la composition de pas moins de 10.000 produits alimentaires que nous consommons tous les jours. Bien sûr, les résultats sont totalement applicables à la Belgique, d'autant que l'on retrouve des produits venant de Carrefour, d'Aldi ou de Lidl, également vendus chez nous.

Nous avons relevé ci-contre quelques exemples criants d'hérésie culinaire, dénoncées par les spécialistes. Entre autre aberration, ceux-ci notent que jusqu'à 50 substances différentes entrent dans la composition des aliments industriels! Tel pain d'épice est préparé avec une dizaine de substances, mais… pas de miel, alors que la recette traditionnelle en prévoit plus de 50%! Étonnant? Que dire alors d'une mousse de canard faite de lait, de foie de canard, de gras de porc, de graisse de canard, de dextrine, foie de poulet, oeufs, crème et de sirop d'érable? L'enquête des deux spécialistes révèle enfin la présence fréquente de sirop de glucose-fructose, que les industriels de la malbouffe utilisent régulièrement pour remplacer le saccharose ou le glucose car il est moins cher, tout en sachant que sa consommation abusive est nuisible pour nos artères et qu'on lui impute aussi un engraissement du foie!

Pour les huiles c'est pareil, note Jean-Michel Cohen: on utilise de plus en plus les huiles de palme et de coco, très riches en acides gras saturés, plus néfastes pour les artères, mais moins chères. «On en trouve dans presque toutes les frites industrielles, et particulièrement chez McDo», précise Cohen, qui craint que cette malbouffe ne s'accompagne de nouvelles maladies, alors que les effets sont déjà bien visibles sur le tour de taille des consommateurs. «La valeur nutritive des aliments ne cesse d'augmenter. Par exemple, il y a quelques années, un yaourt de 100 grammes apportait en moyenne 70 kilocalories, contre 80 aujourd'hui. Pour le pain, on est passé de 250 à 275». Les édulcorants ne sont pas en reste: abusez de cola light 1er prix et vous serez rapidement au-delà du seuil acceptable.

Hérésies alimentaires

BRUXELLES Nous l'avons souligné voici peu: les dépenses alimentaires sont en baisse, les Belges dépensent moins en achetant autant, ce qui semble indiquer un transfert d'achat vers des produits premiers prix ou de hard discount. Ces produits moins chers sont-ils comparables? Pas toujours, notent les auteurs du Savoir Manger. Il y a quelques mois, Test-Achats parvenait à la même conclusion. «Ces premiers prix ne boxent pas vraiment dans la même catégorie: moins de fruits dans les confitures, version de base pour les jambons».

Quelques autres exemples relevés dans le guide Savoir Manger.

Certains nuggets de poulet sont faits avec de la peau de poulet. Des panés affichent 247 kilocalories pour 100 grammes, alors que le poulet contient environ… 110 kilocalories pour 100 grammes.

Côté pâtisserie, les minichoux fourrés contiennent 660 kilocalories aux 100 grammes, une teneur en huile à 60%.

Si le Coca-cola light contient des édulcorants modernes sans aucun danger, plusieurs premiers prix sont édulcorés avec du cyclamate, qui serait responsable de cancers chez la souris.

Les biscuits Boudoirs 1er prix de Carrefour contiennent du sirop de glucose-fructose et plus de sucre que de farine.

Le jambon 1er prix d'Intermarché présente 68% de jambon de porc et un ajout d'eau et de plasma, contre 100% de viande chez Herta.

Les Cookies de Lu contiennent 22% de pépites de chocolat; le 1er prix d'Intermarché 5% seulement, et a été enrichi d'huile de palme, et de ses acides gras saturés néfastes pour les artères.

Un chocolat blanc fourré aux noisettes vendu chez Carrefour affiche 43,6% de matières grasses: plus riche que le foie gras…

© La Dernière Heure 2006

http://www.dhnet.be/dhinfos/article.phtml?id=145733

La complotite n'est pas trop mon truc, mais je serais curieux de connaître les véritables raisons de cette curée soudaine contre les hard-discounters qui, rappellons tout de même, ne sont pas un phénomène récent. Qui a peur de Lidl et Leader Price?

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. Marques & qualité !

Jean-Michel Cohen et Patrick Serog, nutritionnistes de leur état, viennent de lancer un pavé dans la mare alimentaire avec leur dernier ouvrage Savoir Manger.

Ils y analysent 10 000 produits vendus sous des marques nationales ou des marques de distributeurs - y compris de hard discount - et décortiquent les différents ingrédients employés.

Premier constat : globalement, le nombre díingrédients présents dans un produit est inversement proportionnel au prix du produit… et à sa qualité nutritionnelle.

Passons sur la composition des aliments (une barre de céréales affiche par exemple, selon les marques, de 31 à 68 % des dites céréales…) et arrêtons-nous sur la nature même des ingrédients. Car cíest là que le bât blesse.

Premier accusé : le sirop de glucose-fructose qui remplace souvent le saccharose ou le glucose, en raison de son pouvoir sucrant supérieur et de son coût inférieur. Coupable díencrasser les artères et de favoriser l'obésité, il « serait également responsable de la formation d'un foie "gras", habituellement retrouvé chez les buveurs excessifs », dixit les auteurs.

Côté huiles, les « bonnes » huiles sont souvent remplacées par celles de palme et de coco, plus néfastes pour les artères mais carrément plus légères pour le portefeuille (paraît quíon en trouve notamment dans les frites de Mc Do).

Et que penser des préparations à base de viande ? Un plat de chez Dia, par exemple, annonce 65 % de viande de poulet, tout en précisant entre parenthèses : viande de poulet 70 %, eau, amidon… En réalité, díaprès les auteurs qui sont balèzes en déchiffrage díétiquettes, la viande ne représente donc que 40 % de l'ensemble.

« On glisse de plus en plus vers une alimentation à 3, voire 4 vitesses, constate Marie-Jeanne Husset, rédac chef de 60 Millions de consommateurs. D'ailleurs, les pauvres grossissent plus vite que les autres. Car si tous les aliments présents sur le marché répondent aux mêmes normes en terme de sécurité sanitaire, c'est bien leur seul point commun. »

En clair, ce sont les MDD et marques de HD qui tirent la qualité vers le bas. On se disait aussi, des prix aussi bas, ça cache forcément quelque chose. Et pas seulement des économies sur le merchandising ou le packaging !

Il y a donc tromperie quand les MDD et autres marques au rabais parlent de «qualité identique à un prix moindre» (que ceux qui veulent porter plainte lèvent la main).

Une claque, quand on sait que les Français consacrent aujourdíhui environ 14% de leurs revenus à líalimentaire (vs 28% en 1960). Une diminution qui síest faite au profit des « marques moins chères » et au détriment des marques (les vraies).

La seule solution, díaprès les auteurs, cíest un examen attentif de la composition des aliments avant de les acheter (beaucoup de plaisir en perspective…).

On a une autre solution, certes plus onéreuse, mais qui ne nécessite pas díêtre docteur des étiquettes : que les marques (les vraies) retrouvent leur statut de repère-qualité et leur place dans les linéaires !

Bref, savourons plutôt une mousse au chocolat brandée (chocolat, beurre, jaunes et blancs d'oeufs, sucre et sucre vanillé) plutôt quíune mousse au chocolat 1er prix (lait entier, sirop de glucose, sucre, crème fraîche, chocolat en poudre 4% et cacao)…

Avec une telle actualité, la dernière campagne de Carrefour tombe vraiment mal et ferait presque sourire (jaune) quand on lit líaccroche : « A-t-on droit aux bienfaits nutritionnels quand on achète moins cher ? ».

A priori, la réponse est : NON.

(Source : Le Point, 09/03/06)

http://www.brainstorming.fr/planneur.php

De toute manière, j'ai toujours eu un peu de mal à comprendre ce concept de "malbouffe" qui semble ne reposer que sur des critères nutritionnels et non simplement gastronomiques.

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http://www.brainstorming.fr/planneur.php

De toute manière, j'ai toujours eu un peu de mal à comprendre ce concept de "malbouffe" qui semble ne reposer que sur des critères nutritionnels et non simplement gastronomiques.

Le concept de malbouffe est aussi une question d'égalité d'accès à la nourriture et à la santé. C'est donc un concept collectiviste. Henri Lepage en a parlé dans un cadre plus large, le "contrôle social":

http://www.liberaux.org/index.php?showtopic=25622&hl=

Posté
La complotite n'est pas trop mon truc, mais je serais curieux de connaître les véritables raisons de cette curée soudaine contre les hard-discounters qui, rappellons tout de même, ne sont pas un phénomène récent. Qui a peur de Lidl et Leader Price?

Si j'ai bonne mémoire, les relations entre la "classe politico-médiatique" et la grande distribution n'ont jamais été saines.

:icon_up:

En attendant je me désespère d'habiter une ville encerclée par les maraîchers et de ne trouver à manger que des tomates, certes rouges et fermes comme les fess… (heu, là je divague), mais totalement insipides. Pour moi c'est ça la malbouffe.

Posté

"Cohen, qui craint que cette malbouffe ne s'accompagne de nouvelles maladies, alors que les effets sont déjà bien visibles sur le tour de taille des consommateurs"

Ah oui, comme celui qui prévoyait de nouvelles maladies pour les voyageurs de ce nouveau et terrible cheval de vapeur qu'était la première locomotive… ouais, bof, dès qu'il s'agit de fourguer quelques bouquins bien formaté "malbouffe"

Tout ça nous prépare sans doute une bonne petite taxe pour contrôler un peu mieux ce que mange le peuple qui décidément aura toujours besoin de nous pour découvrir la voie.

D'un point de vue client, une bonne bière de leader price (1e/litre?)… enfin ça n'est pas le sujet :icon_up:

Posté

Ca me rappelle un (excellent) numéro du Maitre Du Monde qui faisait une remarque intéressante : si, tous les jours de la semaine, je mange de la pizza, pendant un mois, je grossis. Eh oui, c'est la malbouffe. Les Italiens, ils mangent vraiment de la m*de.

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J'imagine bien l'Etat crée une nouvelle taxe sur les produits hard-discount. Je vois pas en quoi c'est un problème. A partir du moment où les produits présents dans les biens sont affichés sur l'étiquette. En effet, après l'individu est libre ou non d'acheter le produit et de le consommer. ENfin ils vont nouveau nous dire que c'est pour la lutte contre l'obésité, et afin d'éviter que le trou de la Sécu augmente :icon_up: .

Posté

Indirectement ils seront visés si le projet de taxe sur les produits gras passe. Vu que nombre de ces produits peu chers le sont parce qu'ils contiennent plus de produits gras.

Posté
Une taxe, ça serait quand même le comble, alors que l'intérêt de ces produits est leur prix…

C'est malheureusement comme ça que raisonnent les politiques. Une assurance privée modulerait ses prix en fonction des habitudes alimentaires de ses clients, ce qui les aideraient à faire des choix plus raisonnables (car les fausses économies faites en achetant des produits de mauvaise qualité ont un coût en terme de santé). L'Etat lui, préfère mettre une taxe, ce qui va pousser les fabricant à sacrifier encore plus la qualité pour rester compétitifs sur les prix malgré la taxe …

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Ce serait déjà bien de savoir si les produits en question sont vraiment de si mauvaise qualité. Il y a un Lidl à côté de chez moi et les clients ne me paraissent pas particulièrement gros - du moins pas plus ni moins que ceux de n'importe quelle autre grande surface. Perso je flaire la grosse manip.

Posté
Ca me rappelle un (excellent) numéro du Maitre Du Monde qui faisait une remarque intéressante : si, tous les jours de la semaine, je mange de la pizza, pendant un mois, je grossis. Eh oui, c'est la malbouffe. Les Italiens, ils mangent vraiment de la m*de.
N'était-ce pas plutôt une lutte contre l'impérialisme capitaliste suisse ? http://users.skynet.be/maitredumonde/2004-07-21.htm :icon_up:
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Ouiiiiiiii, voilà !

Je suis cliente des hard discount pour certains produits comme je suis cliente des magasins bio ou de l'exploitant agricole Bio qui fait de la vente directement .

On trouve les mêmes marques que dans les hypermarchés classiques

On trouve même des labels bio AB : oeufs, lait de vache, farine, lait de soja

On trouve les mêmes fromages …

Et On trouve les produits de ces harddiscount :

- l'eau en bouteille : je l'ai trouvée dégueu

-Le faux coca : pas pire que le coca et meilleur que le 1er prix dans 1 hypermarché

Légumes et fruits :

Cela dépend des harddiscount mais pas pire du tout !

Si l étude englobe aussi les premiers prix chez les carrefour, auchan, intermarché etc..

elle dénonce je pense alors les plats préparés, les plats surgelés et les conserves

Posté
Je suis cliente des hard discount pour certains produits comme je suis cliente des magasins bio ou de l'exploitant agricole Bio qui fait de la vente directement .

On trouve les mêmes marques que dans les hypermarchés classiques

On trouve même des labels bio AB : oeufs, lait de vache, farine, lait de soja

On trouve les mêmes fromages …

Et On trouve les produits de ces harddiscount :

- l'eau en bouteille : je l'ai trouvée dégueu

-Le faux coca : pas pire que le coca et meilleur que le 1er prix dans 1 hypermarché

Légumes et fruits :

Cela dépend des harddiscount mais pas pire du tout !

Si l étude englobe aussi les premiers prix chez les carrefour, auchan, intermarché etc..

elle dénonce (en toute logique) les plats préparés, les plats surgelés et les conserves

L 'alimentation des bébés est inégale en qualité !

Par exemple, j 'ai éssayé une fois des petits pots bébé : légumes et fruits

bcp de sucre ! dégueulasse ! un goût de colorant en plus !

Quelle différence avec les marques Nestlé, Blédina, Carrefour qui suivent des normes et là, il vaut mieux mettre le prix.

Le Dr Cohen a raison de dénoncer.

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Pour les petits pots, je ne saurais dire, vu et étant donné que je n'en consomme plus et que je les ai toujours trouvés dégueulasses. :icon_up:

En ce qui concerne les plats cuisinés, par contre, j'ai eu l'occasion de les tester pendant les dernières vacances et je n'ai pas constaté de différence majeure (gustative du moins) avec William Saurin ou Findus (pour lequel Cohen travaille d'ailleurs comme par hasard)

Posté
Pour les petits pots, je ne saurais dire, vu et étant donné que je n'en consomme plus et que je les ai toujours trouvés dégueulasses. :icon_up:

C'est très inégal effectivement. Certaines purées (même de marques) sentent le traficoté (léger). Rien ne vaut la purée maison (avis personnel).

Invité Arn0
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Si j'ai bien compris l'étude ne dénonce pas la qualité gustative des produits mais leur qualité nutritionnel. Pour le goût si on n'apprécie pas on aller voir ailleurs, alors qu'il est plus difficile pour une personne de juger d'un plat en fonction des conséquence sur sa santé de dans vingt ans. Ce genre d'études peut donc avoir beaucoup d'intérêt, à partir du moment ou elle se contente d'informer sans réclamer de nouvelles contraintes.

Posté
En attendant je me désespère d'habiter une ville encerclée par les maraîchers et de ne trouver à manger que des tomates, certes rouges et fermes comme les fess… (heu, là je divague), mais totalement insipides. Pour moi c'est ça la malbouffe.

en même temps c'est un peu normal si tu les achéte en mars tes tomates…. :icon_up:

Posté
Si j'ai bien compris l'étude ne dénonce pas la qualité gustative des produits mais leur qualité nutritionnel. Pour le goût si on n'apprécie pas on aller voir ailleurs, alors qu'il est plus difficile pour une personne de juger d'un plat en fonction des conséquence sur sa santé de dans vingt ans. Ce genre d'études peut donc avoir beaucoup d'intérêt, à partir du moment ou elle se contente d'informer sans réclamer de nouvelles contraintes.

Certes, mais tous les aliments sont plus ou moins "dangereux" pour la santé si on a une mauvaise hygiène de vie. Et je doute que cela change grand-chose de toute manière pour la plupart de nos contemporains qui mangent essentiellement pour faire tourner la machine, si vous voyez ce que je veux dire.

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Qui sait que la majorité pour ne pas dire la totalité des hard discounters sont détenus par des groupes de grande distribution tout à fait classique?

Et qu'il s'agit donc d'une segmentation d'offre tout à fait classique? Un peu comme la Logan de Renault, fabriquée par sa filiale Dacia, qui est une voiture "cheap" a peu près au niveau de la Clio I sortie en 1994?

Il faut s'attendre, d'ailleurs, à ce que la Logan entre dans le débat politique. Comment, quoi, on propose une voiture aux gens qui n'a pas d'airbag latéral, etc…?

Si les hard discounters ont autant de succès, c'est parce que des gens achètent, quand j'étais petit mes parents achetaient certains trucs chez Schleker, un hard discounteur allemand très présent à Lyon, mais ils n'y achetaient pas tous les produits.

Si un type est assez débile pour ne pas faire la différence entre une escalope de poulet dégueu, et une escalope de poulet meilleure, hé ben on peut rien pour lui.

Après, pour des produits complètement banalisés comme l'eau ou le lait ou le savon de marseille, est-ce vraiment la peine de se taper une super marque?

Posté
Qui sait que la majorité pour ne pas dire la totalité des hard discounters sont détenus par des groupes de grande distribution tout à fait classique?

Aldi Market est l'exception, me semble-t-il.

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Findus (pour lequel Cohen travaille d'ailleurs comme par hasard)

Effectivement, Cohen a besoin de sousous ! C'est la recherche privée, trafiquent-ils les chiffres? je ne crois pas : ce n'est pas plus orienté que la recherche d'Etat ..

Rassurez moi …

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Effectivement, Cohen a besoin de sousous ! C'est la recherche privée, trafiquent-ils les chiffres? je ne crois pas : ce n'est pas plus orienté que la recherche d'Etat ..

Rassurez moi …

Effectivement, c'est tout aussi orienté que la recherche publique.

Alors, rassuré ? :icon_up:

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