Calembredaine Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 alors je sais les corrigés parce que je connais les règles. Oui mais là, tu l'as fait exprès pour attraper les mouches.
Patrick Smets Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 Oui mais là, tu l'as fait exprès pour attraper les mouches. :warez: OUIIINN ! même pas. et je m'étais relu
L'affreux Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 J'ai beau me relire trois fois Faut pas relire. Faut te poser la question de l'accord à chaque mot. Quand tu écris, tu ne penses pas au mot suivant, tu vérifies que tu es sûr de celui que tu écris. Après quand ça deviendra naturel tu pourras penser au mot suivant tout en écrivant.
Ash Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 Pour les cours de français, j'en aurais bien besoin aussi. On ouvre un fil dédié ?
Patrick Smets Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 Pour les cours de français, j'en aurais bien besoin aussi.On ouvre un fil dédié ? voilà On arrête ici pour les problèmes d'accords et on retourne au sujet.
Roniberal Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 On arrête ici pour les problèmes d'accords et on retourne au sujet. + 1. J'avais l'impression de suivre un fil lobinisé
Patrick Smets Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 Oh, hé, hein ! Ca va aller, oui !!!
Invité egdltp Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 Pour continuer sur votre conception des règles du jeu, quelle réponse le marché apporte t il a ceux qui n'arrivent pas à s'y insérer ? Ce concept est il pour vous indépassable et donc soit on s'y soumet soit on meurt ? N'y a t il pas un risque de refus de ces règles pour ceux qui ne peuvent avoir en main les cartes pour jouer suivant ces règles ? On voit dans l'actualité que malheureusement, les joueurs du marché actuellement fond tout pour ne suivre les règles que lorsque elles les arrangent. En quoi ce qui se passe au niveau inter étatique, qui est peut être plus proche de votre idéal que le niveau interpersonnel, ne se passera pas au niveau interpersonnel ? Il y a suffisement de critique des théories économiques au niveau inter étatique ou macro économique pour voir que si on les ramènes à une interaction entre "acteurs" cela pose les problèmes quelques soient ces acteurs, des personnes ou des groupes de personnes. Il y a pour moi beaucoup trop d'inconnues dans votre système pour qu'il me semble viable, même si en théorie il semble parfait. Rapporter à la motivation première des acteurs, notemment individuels, cela ne me semble pas tenir la route sans une remise a zero régulière afin que chacun puisse participer. La vie n'est pas un jeu ou certains ne peuvent que regarder sans participer, se serait nier leur personne humaine.
Ash Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 La vie n'est pas un jeu ou certains ne peuvent que regarder sans participer, se serait nier leur personne humaine. = l'éthique altruiste - collectiviste telle que décrite par Rand au-dessus. C'est un peu ça qu'on essaye de démonter. L'enfer est pavé de bonnes intentions si tu préfères. Je laisse quelqu'un d'autre répondre en détail à tes questions.
L'affreux Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 Pour continuer sur votre conception des règles du jeu, quelle réponse le marché apporte t il a ceux qui n'arrivent pas à s'y insérer ? Ah… y-a pub pour mon texte là : à propos des sdf. Il y a pour moi beaucoup trop d'inconnues dans votre système pour qu'il me semble viable C'est ça qui est beau dans l'idéal libéral : on ne sait pas où on va justement parce qu'on n'est pas tout seul. On ne régule pas, on ne maîtrise pas d'autres que soi. La liberté…
Roniberal Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 Pour continuer sur votre conception des règles du jeu, quelle réponse le marché apporte t il a ceux qui n'arrivent pas à s'y insérer ? N'oublie pas le rôle très important que peux jouer la société civile. Ce concept est il pour vous indépassable et donc soit on s'y soumet soit on meurt ? Non, please, n'utilise pas ces métaphores socialo-communistes: "le marché, on en crève" qui n'est fondée sur aucun argument. N'y a t il pas un risque de refus de ces règles pour ceux qui ne peuvent avoir en main les cartes pour jouer suivant ces règles ? Je m'en fous qu'ils les refusent, ils n'ont pas à vivre sur les fruits e mon travail. Et de toute façon, pourquoi n'auraient-ils pas ces cartes en main? On voit dans l'actualité que malheureusement, les joueurs du marché actuellement fond tout pour ne suivre les règles que lorsque elles les arrangent. Ce sont qui ces "joueurs du marché" dont tu parles? Pour toi, le libéralisme, ce sont les PDG de Coca-Cola et de Vivendi Universal? En quoi ce qui se passe au niveau inter étatique, qui est peut être plus proche de votre idéal que le niveau interpersonnel, ne se passera pas au niveau interpersonnel ? Je ne comprends pas cette phrase. Il y a suffisement de critique des théories économiques au niveau inter étatique ou macro économique pour voir que si on les ramènes à une interaction entre "acteurs" cela pose les problèmes quelques soient ces acteurs, des personnes ou des groupes de personnes. Je ne comprends pas plus cette phrase. Il y a pour moi beaucoup trop d'inconnues dans votre système pour qu'il me semble viable, même si en théorie il semble parfait. Trop d'inconnues? On sait que tout se passe tellement mieux dans les payx libéraux que chez les collectivistes! Rapporter à la motivation première des acteurs, notemment individuels, cela ne me semble pas tenir la route sans une remise a zero régulière afin que chacun puisse participer. La remise à zéro est la plus grande utopie de l'histoire de l'humanité et tu le sais. La vie n'est pas un jeu ou certains ne peuvent que regarder sans participer, se serait nier leur personne humaine. Non, là tu m'énerves. C'est TOI qui leur enlève toute dignité humaine en sous-entendant qu'ils ne pourraient survivre que par le biais du paternalisme étatique et aux dépens des autres.
Patrick Smets Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 Pour continuer sur votre conception des règles du jeu, quelle réponse le marché apporte t il a ceux qui n'arrivent pas à s'y insérer ? Il est impossible de n'être pas insérer sur le marché, sauf peut-être à être un anachorete sur sa collone. Le marché, ce n'est pas une salle de bourse, c'est un concept qui recouvre tous les échanges économiques volontaire. Acheter son pain chez le boulanger, c'est être sur le marché. Ce concept est il pour vous indépassable Phraséologie marxiste. N'y a t il pas un risque de refus de ces règles pour ceux qui ne peuvent avoir en main les cartes pour jouer suivant ces règles ? Oui. refuser les règles de la propriété privée, ca s'appelle voler. Ca doit être réprimé, mais il y aura toujours des voleurs. On voit dans l'actualité que malheureusement, les joueurs du marché actuellement fond tout pour ne suivre les règles que lorsque elles les arrangent. Oui, ca s'appelle du vol, ou de la fraude, ou du protectionnisme. Quoi qu'il en soit ca doit être réprimé. En quoi ce qui se passe au niveau inter étatique, qui est peut être plus proche de votre idéal que le niveau interpersonnel, ne se passera pas au niveau interpersonnel ? Le niveau interétatique n'est pas proche de notre idéal, au contraire. Car les Etats sont affranchis du droit et n'interagissent que sur base de la violence et du rapport de force. On est très loin d'une société régie par le droit. Il y a suffisement de critique des théories économiques au niveau inter étatique ou macro économique pour voir que si on les ramènes à une interaction entre "acteurs" cela pose les problèmes quelques soient ces acteurs, des personnes ou des groupes de personnes. Je ne comprends pas le sens de cette phrase, soit plus explicite. Il y a pour moi beaucoup trop d'inconnues dans votre système pour qu'il me semble viable, même si en théorie il semble parfait. Il a existé à peu près à l'Etat pur au 19ème siècle. Il a dégénéré pour donner la sociale-démocratie actuelle. C'est un des arguments forts des anarcho-capitalistes à l'encontre des libéraux classiques. cela ne me semble pas tenir la route sans une remise a zero régulière Remise à zéro de la société ? un grand boum atomique et le retour aux cavernes ? La vie n'est pas un jeu ou certains ne peuvent que regarder sans participer, se serait nier leur personne humaine. Phrase vide de sens. A part quelque moines bouddhistes, je ne connais personne qui se contente de regarder le paysage sans jamais poser aucune action.
antietat Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 Votre système implique que pour subsister le capital a toujours besoin du travail, or les progrès technologiques font que pour conserver la même valeur, le capital a besoin de moins en moins de travail, et même pas du tout, voir la bulle financière de ces dernières années. Comment ceux qui n'ont que le travail pour vivre peuvent t ils s'en sortir ?Une vision à long terme des tenants du capital veut qu'ils distribuent une partie de leur surplus afin de laisser la majorité en dessas d'un seuil de révolte. Pour moi l'Etat "voleur" ne fait qu'organiser et systématiser cette opération. A propos de tes interrogations sur le capital. 1 C'est de l'argent non consommé. Première question : pour quoi faire ? Sauf pour les avares, si cet argent n'est pas consommé c'est qu'on veut l'investir, non ? 2 Cela devient alors un outil. Regarde un bilan. Très schématiquement à droite, au passif, tu as le pognon et à gauche à l'actif, l'emploi qui en est fait. Donc l'actif n'est qu'un outil c'est tout ce qui sert à produire. C'est l'emploi du capital. Deuxième question : un outil est il nuisible ou utile à un travailleur ? Si tu crois qu'un outil, et donc un capital, se suffit à lui même, sans avoir besoin d'un travailleur, alors au lieu d'appeler un plombier la prochaine fois que tu en auras besoin regarde ton chéquier déboucher lui même ton lavabo. Le crin crin marxiste de l'opposition capital travail est tout simplement à mettre à la poubelle. Le seul problème que pose le capital c'est qu'on en a pas assez.
Calembredaine Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 Il est impossible de n'être pas insérer sur le marché, sauf peut-être à être un anachorete sur sa collone. Le marché, ce n'est pas une salle de bourse, c'est un concept qui recouvre tous les échanges économiques volontaire. Acheter son pain chez le boulanger, c'est être sur le marché. J'imagine que notre ami évoque les plus pauvres, ceux qui n'ont pas les moyens financiers de se loger, voire de se nourrir. C'est la question rituelle: que vont devenir les pauvres s'il n'y a plus d'Etat pour s'en occuper. Aussi, notre ami devrait avoir connaissance des éléments suivants: -Contrairement au communisme qui tue ou emprisonne ceux qui refuse de se soumettre, dans un monde libre les gens ont la possibilité de s'associer librement par exemple pour collectiviser le logement, la nourriture, etc. -Lire l'excellentissime Bastiat dont je cite l'idée essentielle du texte: "Dans la sphère économique, (…), une loi n'engendrent pas seulement un effet, mais une série d'effets. [1] De ces effets, le premier seul est immédiat; il se manifeste simultanément avec sa cause, on le voit. Les autres ne se déroulent que successivement, on ne les voit pas; heureux si on les prévoit. (…) il arrive presque toujours que, lorsque la conséquence immédiate est favorable, les conséquences ultérieures sont funestes, et vice versa." Ce qui signifie que vouloir "redistribuer" de l'argent volé en faveur des plus démunis génère des effets pervers dont le principal est l'appauvrissement général qui implique mathématiquement un accroissement du nombre de pauvres et ainsi de suite. En conclusion, nous pourrions dire que non, le libéralisme n'apporte pas la solution ultime au problème de la pauvreté mais une chose est sûre, l'interventionnisme accroît le problème. C'est d'ailleurs surprenant que l'évidence ne saute pas aux yeux de ceux qui se réclament du socialisme (de droite ou de gauche): Quels sont les pays où la pauvreté est (ou fut) la plus importante et quels sont ceux où elle est très réduite?
h16 Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 J'ajouterai (si cela n'a pas été fait) qu'avant même de vouloir distribuer la richesse (parangon du socialisme et des collectivismes divers), il faut la créer. Le collectivisme n'est pas en mesure d'assurer une création de richesse, au contraire du libéralisme.
Apollon Posté 27 juillet 2006 Signaler Posté 27 juillet 2006 @ egdltp Certaines réponses étaient de mauvaise facture. Voici la mienne, en un exemple : à Paris, le logement est cher. L'action de l'Etat et des collectivités publiques c'est d'aider tout un tas de privilégiés (notamment les fonctionnaires), l'interdiction de construire au-delà d'un plafond ou les garanties contre l'expulsion. Toutes ces mesures qui rétrécissent l'offre sont en fin de compte assumées par les locataires lambda au moment de la facture. A l'inverse, le propriétaire égoïste qui coupe en deux un appart pour le louer en deux studios plutôt qu'un amène paradoxalement une baisse du cout de l'immobilier. Il faut enterrer le fantasme d'un monde libéral où les riches dominent, la répartition à laquelle procède l'Etat est une mystification.
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