wapiti Posté 13 septembre 2006 Signaler Posté 13 septembre 2006 L'union fait la force, et l'union ne peut pas être obtenue sans échange. Quant à l'expression "marché politique", elle me semble tout aussi inadaptée qu'à toi justement parceque les rapports de force se mèlent à l'échange dans le jeu politique, à la différence du marché libre, mais je répondais à A.B. qui l'utilisait.
A.B. Posté 13 septembre 2006 Signaler Posté 13 septembre 2006 L'union fait la force, et l'union ne peut pas être obtenue sans échange.Quant à l'expression "marché politique", elle me semble tout aussi inadaptée qu'à toi justement parceque les rapports de force se mèlent à l'échange dans le jeu politique, à la différence du marché libre, mais je répondais à A.B. qui l'utilisait. J'ai utilise l'expression "marche politique" quand?
Libérus Posté 13 septembre 2006 Signaler Posté 13 septembre 2006 Si c'était vraiment le cas, ça se saurait. C'est un fantasme de liber-gauchien. Je n'avais pas encore pris ça. Je me croyais plutôt liber-droitien.
h16 Posté 13 septembre 2006 Signaler Posté 13 septembre 2006 Je n'avais pas encore pris ça. Je me croyais plutôt liber-droitien. On vous accordera liber-us.
Libérus Posté 13 septembre 2006 Signaler Posté 13 septembre 2006 J'ai utilise l'expression "marche politique" quand? Mêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêê (mais) il n’y aurait pas de honte à cela . En français, nous n’avons malheureusement que: Tullock, Gordon Le Marché politique : analyse économique des processus politiques Economica, Paris, 1978 (mais c’est déjà pas mal pour qui veut se faire une idée de la théorie économique de la bureaucratie) L’ouvrage fondateur n’a jamais été traduit. C’est : James M. Buchanan and Gordon Tullock. The Calculus of consent, logical foundations of constitutional democracy Ann Arbor, University of Michigan press : 1965 On peut aussi consulter tous les livres de Gordon Tullock , par exemple: Tullock, Gordon,Seldon, Arthur Brady, Gordon L. - Government failure, a primer in public choice. ed Publication Washington, D.C, Cato Institute : 2002 P. S. Pour les nombreux économistes présents sur le forum, je tiens à les rassurer : j’ai lu aussi pas mal choses publiées depuis sur le public choice . S’ils veulent établir une biblio complète, je ne peux que les y encourager vivement.
Taranne Posté 13 septembre 2006 Signaler Posté 13 septembre 2006 Ou quand l'Etat protège certaines oeuvres d'art et pas d'autres: La cour d'appel de Lyon autorise la "Demeure du Chaos" à rester en l'étatAFP 13.09.06 | 16h09 Consultez les dossiers, l'analyse approfondie des grands sujets d'actualité. Abonnez-vous au Monde.fr : 6€ par mois + 30 jours offerts Agrandir la taille du texte Diminuer la taille du texte Imprimer cet article La cour d'appel de Lyon a autorisé mercredi l'homme d'affaires et amoureux des arts Thierry Ehrmann à garder sa controversée "Demeure du chaos" en l'état, infirmant un premier jugement qui l'enjoignait à remettre cette oeuvre en conformité avec le code de l'urbanisme. Le tribunal l'a en revanche condamné à 200.000 euros d'amendes pour avoir réalisé les travaux de modification du site sans autorisation préalable, alourdissant l'amende donnée en première instance. Depuis 1999, Thierry Ehrmann a "déconstruit" le siège de sa société, situé à Saint-Romain au Mont d'Or (Rhône), transformant un ancien relais de poste du XVIIe siècle en une oeuvre d'art apocalyptique, aux murs noircis et couverts de signes ésotériques. Le maire du village, dont plusieurs bâtiments sont classés monuments historiques, avait porté plainte contre lui en 2004 pour non respect du code de l'urbanisme. Le 16 février dernier, le tribunal correctionnel de Lyon avait estimé que la "Demeure du Chaos" était bien d'une oeuvre d'art mais que celle-ci étant supérieure à 12 mètres de haut et 40 m3 de volume, son auteur aurait dû faire une demande préalable avant de la constituer. Dans son arrêt, la cour d'appel reprend le même argumentaire, mais elle rappelle que les mesures de "mise en conformité des lieux ou des ouvrages, ou leur démolition (…) sont facultatives" et que "les juges apprécient souverainement de les ordonner ou non". Rappelant que "les travaux entrepris en 1999 ont pu être exécutés durant plusieurs années sans réaction des autorités" avant fin 2004, et "qu'une procédure de classement de l'immeuble est en cours au ministère de la Culture", les juges concluent qu'il n'y a pas lieu "d'ordonner les mesures de restitution des lieux". A la sortie de l'audience, le maire de Saint-Romain au Mont d'Or, Pierre Dumont, se disait très déçu par ce jugement et indiquait réfléchir à un éventuel pourvoi en cassation. "Il y a quelque chose qui m'échappe : comment se fait-il que la loi s'applique à certains et pas à d'autres ?", a-t-il déclaré, citant l'exemple de personnes obligées de reboucher les fenêtres qu'elles ont ouvertes sans autorisation.
Calembredaine Posté 14 septembre 2006 Signaler Posté 14 septembre 2006 Ou quand l'Etat protège certaines oeuvres d'art et pas d'autres: Curieux retournement de situation. L'Etat ne protège pas les oeuvres d'art, il décide ce qui est une oeuvre d'art et ce qui ne l'est pas. Partant de là, il décide si la chose peut être créée, doit être démolie ou comme dans le cas présent, peut survivre à condition de payer.
wapiti Posté 14 septembre 2006 Signaler Posté 14 septembre 2006 J'ai utilise l'expression "marche politique" quand? Toutes mes excuses, il s'agissait de Liberus.
Fredo Posté 6 octobre 2006 Signaler Posté 6 octobre 2006 Curieux retournement de situation. L'Etat ne protège pas les oeuvres d'art, il décide ce qui est une oeuvre d'art et ce qui ne l'est pas. Partant de là, il décide si la chose peut être créée, doit être démolie ou comme dans le cas présent, peut survivre à condition de payer. Et il n'est pas fichu de savoir où il a égaré 40% des oeuvres du patrimoine nationâaal.
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